Marcoux (Alpes-de-Haute-Provence)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Marcoux {{#ifeq:1|0|/maʁ.ku/|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Le nom de ses habitants est Marcousiens<ref name="tresor"/>.
Géographie
Localisation
Commune située à 7 km de Digne-les-Bains<ref>Lieux et itinéraires</ref>.
Voies de communications et transports
Voies routières
Commune desservie par la D 900.
Transports en commun
Commune desservie par le réseau des lignes régulières de transport des Alpes-de-Haute-Provence<ref>Réseau des lignes régulières de transport des Alpes-de-Haute-Provence</ref>
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau sur la commune ou à son aval<ref>L'eau dans la commune</ref> :
- rivière la Bléone,
- torrents le bouinenc, le bès,
- ruisseaux le mardaric, de l'escure,
- ravin de mouiroués.
Marcoux dispose de la station d'épuration intercommunale de Digne nouvelle, d'une capacité de 35 000 équivalent-habitants<ref>Description de la station</ref>.
Géologie et relief
Le village est situé à 730 m d’altitude<ref name="La Torre"/>. La commune est traversée par la Bléone.
La commune compte Modèle:Unité de bois et forêts<ref name="tresor"/>. Elle comporte plusieurs entités distinctes :
- le Liman (versant est) ;
- la vallée de la Bléone dont le plan de Marcoux. La vallée s'élargit sur deux kilomètres de large, ce qui contraste avec la vallée de la Bléone en aval ;
- la Grande Colle, relief situé entre la Bléone et le Mardaric, dont l'extrémité nord-est forme la colline Saint-Michel ;
- la vallée de l'Escure, site caractéristique pour ses terres noires, et où passe une partie du raid VTT des Terres-Noires ;
- la vallée du Bouinenc (empruntée par la route menant à Draix et Archail) et de la Cougourde.
-
Vue de la vallée de la Bléone et de la commune de Marcoux.
-
Paysage de terres noires à l'adret de l'Escure.
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Digne-les-Bains-Est auquel appartient Marcoux est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques<ref name="ddrm39"/>, et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011<ref name="prim"/>. La commune de Marcoux est également exposée à trois autres risques naturels<ref name="prim"/> :
- feu de forêt ;
- inondation (dans la vallée de la Bléone) ;
- mouvement de terrain.
La commune de Marcoux est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route<ref name="ppr"/>. La départementale RD900 (ancienne route nationale 100) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses<ref name="ddrm80"/>.
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune <ref name="ppr"/> et le Dicrim n’existe pas non plus<ref name="dicrim"/>.
La commune a ressenti quelques tremblements de terre. Un seul l’a été fortement, en atteignant une intensité macro-sismique ressentie de V sur l’échelle MSK (dormeurs réveillés, chutes d’objets), celui du 8 février 1974, dont l’épicentre était situé à Modèle:Page h'<ref name="brgm"/>,<ref name="brgm40137"/>.
Urbanisme
Typologie
Marcoux est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (35,9 %), forêts (26,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (19 %), terres arables (11 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), zones urbanisées (0,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le nom de la localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1113 (de Marculfo), et provient d’un nom propre d’origine germanique, Marcolfus<ref name="TGF"/>.
Histoire
Dans l’Antiquité, les Bodiontiques (Bodiontici) peuplaient la vallée de la Bléone, et étaient donc le peuple gaulois qui vivait dans l’actuelle commune de Marcoux. Les Bodiontiques, qui sont vaincus par Auguste en même temps que les autres peuples présents sur le Trophée des Alpes (avant 14 av. J.-C.), sont rattachés à la province des Alpes-Maritimes lors de sa création<ref name="beaujard-22"/>.
Environ un siècle après l’abandon de l’organisation administrative de l’Empire romain, le territoire de Marcoux est signalé, dès 814, dans le polyptyque de Wadalde : deux colonges s’y trouvent<ref name="archeo-provence"/>. Les moines de l’abbaye Saint-Victor de Marseille perdent ensuite leurs biens dans la commune. L’abbaye Saint-Honorat de Lérins y a aussi possédé un prieuré<ref>Jean-François Boué, « Implantation des ordres réguliers au Moyen Âge », CG 06.</ref>.
En 1122, Guillaume Marcoux était seigneur de Marcoux<ref name="Isnard">Marie-Zéphirin Isnard, État documentaire et féodal de la Haute-Provence : nomenclature de toutes les seigneuries de cette région et de leurs possesseurs depuis le XIIe siècle jusqu'à l'abolition de la féodalité ; état sommaire des documents d'archive communales antérieures à 1790 ; bibliographie et armoiries, Digne, Vial, 1913, Modèle:P.221</ref>.
Le village et le château fort appartenaient aux évêques de Digne<ref name="AHP"/>, jusqu’à la Révolution<ref name="archeo-provence"/>. Les églises relevaient du chapitre de Digne, qui cède l’église paroissiale et les revenus attachés à l’évêque en 1476 (contre celle de Courbons)<ref name="archeo-provence"/>. La communauté relevait de la baillie de Digne<ref name="archeo-provence"/>.
Le château est vendu en 1525 par les évêques qui participent ainsi au paiement de la rançon de François Ier, fait prisonnier à la bataille de Pavie en 1525.
Saint-Martin constituait un fief distinct au Moyen Âge<ref name="AHP196"/>.
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792<ref name="club"/>. La chapelle Saint-Martin est vendue comme bien national, et a disparu depuis<ref name="archeo-provence"/>.
Comme de nombreuses communes du département, Marcoux se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède deux, qui dispensent une instruction primaire aux garçons, la première étant située au chef-lieu<ref name="labadie9"/> et la seconde au hameau des Granges<ref name="labadie52">Labadie, Modèle:Opcit, Modèle:P.52.</ref>. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants<ref name="labadie16"/>, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Marcoux<ref name="labadie18"/>. Si la commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve aux Granges (achevée en 1883) et rénover celle du chef-lieu<ref name="labadie11"/>,<ref name="labadie52"/>, ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Marcoux sont régulièrement scolarisées.
Jusqu’au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la vigne était cultivée dans la commune, uniquement pour l’autoconsommation. Cette culture, qui s'était maintenue dans l'entre-deux-guerres mondiales malgré la crise phylloxérique<ref>Paul Minvielle, « La viticulture dans les Alpes du Sud entre nature et culture », Méditerranée, 107 | 2006, mis en ligne le Modèle:1er décembre 2008, consulté le 12 juillet 2013.</ref>, a depuis été abandonnée<ref name="reparaz-medit109"/>.
En 1945, l’école des Granges est fermée, à cause de la désertification. Puis on la rouvre en 1950-1951, et en 1953. En 1954, elle s’installe dans un bâtiment neuf. Elle est finalement fermée au milieu des années 1960<ref name="labadie52"/>.
Héraldique
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 247 personnes, dont 14 chômeurs<ref name="insee-dossier-local5"/> (20 fin 2011<ref name="insee-dossier-local8"/>). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (80 %)<ref name="insee-dossier-local7"/> et travaillent majoritairement hors de la commune (84 %)<ref name="insee-dossier-local7"/>.
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 16 établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salarié<ref name="insee-dossier-local16"/>.
Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de 14 en 2010. Il était de 12 en 2000<ref name="otex"/>, de 24 en 1988<ref name="exploitations-insee"/>. Actuellement, ces exploitants sont essentiellement tournés vers les grandes cultures. Quatre exploitations pratiquent la polyculture<ref name="otex"/>. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) avait un peu augmenté, de 909 à Modèle:Nombre<ref name="exploitations-insee"/>, avant de fortement régresser lors de la dernière décennie, reculant à Modèle:Nombre<ref name="otex"/>.
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait 10 établissements, n’employant aucun salarié<ref name="insee-dossier-local16"/>.
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait 14 établissements (avec onze emplois salariés), auxquels s’ajoutent les cinq établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant deux personnes<ref name="insee-dossier-local16"/>.
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est secondaire pour la commune, avec moins d’un touriste accueilli par habitant<ref name="atlas-hébergement6"/>, l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non-marchande<ref name="atlas-hébergement7"/>. Les structures d’hébergement à finalité touristique sont peu nombreux à Marcoux, et se limitent à des meublés labellisés<ref name="atlas-hébergement32"/> et non-labellisés<ref name="atlas-hébergement36"/>. Les résidences secondaires apportent un complément appréciable à la capacité d’accueil<ref name="atlas-hébergement44"/> : au nombre de 53, elles représentent logement sur cinq<ref name="insee-dossier-local17"/>,<ref name="insee-tourisme"/>.
Restaurant Bistrot de pays Le Cheval blanc<ref>La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays</ref>,<ref>Fédération nationale des bistrots de pays</ref>.
Politique et administration
Municipalité
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel
Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Budget et fiscalité 2017
En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :
- total des produits de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des ressources d'investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des emplois d'investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- endettement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 7,21 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,36 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,11 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : Modèle:Unité<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.
Intercommunalité
Marcoux fait partie :
- de 2002 à 2013, de la communauté de communes des Trois Vallées ;
- de 2013 à 2017, de la communauté de communes Asse Bléone Verdon ;
- depuis le Modèle:Date, de la communauté d'agglomération Provence-Alpes.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section {{#invoke:Démographie|demographie}} L’histoire démographique de Marcoux, après la saignée des {{#switch: e
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| Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
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}} et le long mouvement de croissance jusqu’au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1836 à 1856. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1936, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841<ref name="vidal">Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. », Provence historique, tome 21, Modèle:N°85, 1971, Modèle:P.288.</ref>. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’aux années 1960. Marcoux connait ensuite une croissance rapide, triplant sa population en trente ans.
Enseignement
Établissements d'enseignements<ref>Établissements d'enseignements</ref> :
- Écoles maternelles et primaires à La Javie, Digne-les-Bains,
- Collèges à Digne-les-Bains,
- Lycées à Digne-les-Bains.
Santé
Professionnels et établissements de santé<ref>Professionnels et établissements de santé</ref> :
- Médecins à Le Brusquet, Digne-Les-Bains,
- Pharmacies à Digne-Les-Bains,
- Centre hospitalier de Digne-les-Bains.
Cultes
- Culte catholique, Paroisse Marcoux - Digne - Riez - Sisteron<ref>Paroisse Marcoux - Digne - Riez - Sisteron</ref>, Diocèse de Digne.
Lieux et monuments
Le château, résidence d’été des évêques de Digne, est partiellement en ruines. Un papier peint de l’époque de Louis XIII y a été retrouvé. Une corniche de gypseries ornée d’entrelacs décore la grande salle<ref name="gypserie"/>.
L’église Saint-Étienne (fin du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:| }} }}/début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) est inscrite aux monuments historiques<ref name="mérimée430"/>. Un des contreforts date de 1434, un autre est construit dans les années 1960, avec la grande campagne de consolidation et de restauration (pose de tirants, réfection de la charpente). La nef à trois travées, voûtée en berceau, est longue de 21,6 m et large de 5,9 m. Le campanile du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle est posé sur le clocher construit en 1888-1889<ref name="collier"/>. Sa cloche date de 1699 (classée au titre objet<ref name="palissy782"/>). L’autel, en bois doré, date du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (classé<ref name="palissy234"/>).
La chapelle de la Peyrière est peut-être l’ancien prieuré Saint-Marcellin<ref name="archeo-provence"/> (actuellement indiquée comme Sainte-Marthe).
Le monument aux morts. Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 et 1939-1945<ref>Monument aux morts</ref>.
Personnalités liées à la commune
- saint Jacques Chastan (1803-1839), né à Marcoux, martyr de l’Église catholique en Corée.
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Collier-Haute-Provence
- Modèle:Atlas historique de la Provence
- Marcoux, sur le site http://dignois.fr/
- Marcoux, Saint Etienne, paroisse
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Livres
- Marie-Paule Baume, Tranches de vie à Marcoux du XIVe au XIXe siècle, Digne-les-Bains, Communauté de communes des 3 Vallées, 2003, Modèle:ISBN
Articles connexes
- Liste des anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
Liens externes
- Modèle:Site officiel
- Modèle:Autorité
- Modèle:Dictionnaires
- Modèle:Bases
- Marcoux sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes