Marthon

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Modèle:Infobox Commune de France

Marthon (Marton en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Marthonnais et les Marthonnaises<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Modèle:Sommaire

Géographie

Fichier:Marton 16 Route D16 depuis pont Bandiat 2013.jpg
La D 16 depuis le pont sur le Bandiat.

Localisation et accès

Le bourg de Marthon est situé à Modèle:Unité au sud-ouest de Montbron et Modèle:Unité au sud-est d'Angoulême, dans la vallée du Bandiat.

Marthon est aussi à Modèle:Unité au sud-est de La Rochefoucauld, Modèle:Unité au nord-ouest de Villebois-Lavalette et Modèle:Unité au nord-est de Nontron<ref>Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper</ref>.

Deux voies principales se croisent dans le bourg de Marthon : la route d'Angoulême à Nontron (D 4 de Garat à Souffrignac), et la D 16 de Confolens à Montmoreau qui parcourt toute la commune du nord au sud<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref>.

Hameaux et lieux-dits

Les principaux hameaux de la commune sont : Saint-Sauveur, dans le nord de la commune, autrefois siège d'une petite paroisse, réunie à Marthon au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle ; Chez Trape, sur la route de Montbron ; les Métairies ; le Maine, le Petit Breuil et le Grand Breuil, dans le sud de la commune, etc.<ref name="ign"/>.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Le terrain communal est calcaire et date du Jurassique moyen (Bajocien, Bathonien et Callovien). Les flancs de la vallée du Bandiat sont recouverts par endroits par des colluvions, sables argileux, ainsi que les plateaux au nord de la commune, tandis que le fond est occupé par des alluvions (sable et galets) datant du quaternaire (Pléistocène). Quelques failles est-ouest fissurent localement ces plateaux karstiques<ref>Visualisateur Infoterre, site du BRGM</ref>,<ref>Carte du BRGM sous Géoportail</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Article connexe

Le relief de la commune est celui d'un plateau, plus vallonné au nord, traversé d'est en ouest par la vallée du Bandiat. Le point culminant est à une altitude de Modèle:Unité, situé sur la limite nord-est dans la forêt, au nord de Limérac. Le point le plus bas est à Modèle:Unité, situé au fond d'une fosse aux Guillemies, au sud-ouest. Le bourg, au bord du Bandiat, s'étage entre 100 et Modèle:Unité d'altitude<ref name="ign"/>.

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le Bandiat, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

Le centre de la commune de Marthon est occupé par la vallée du Bandiat, sous-affluent de la Charente. Au nord et au sud, la vallée est dominée par de hauts plateaux boisés, principalement au nord, où l'on cultive essentiellement des céréales. Le bourg est situé sur la rive gauche du Bandiat. Ce cours d'eau, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source en Haute-Vienne, dans la commune de La Chapelle-Montbrandeix, et se jette dans la Tardoire à Agris, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Gestion des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Climat

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain. Modèle:Article connexe

Urbanisme

Typologie

Marthon est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,7 %), terres arables (26,9 %), zones agricoles hétérogènes (15,3 %), prairies (7,8 %), zones urbanisées (4,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Marthon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Bandiat. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2008<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:16211-Marthon-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Marthon.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 67,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 210 sont en aléa moyen ou fort, soit 75 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS"/>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Toponymie

Les formes anciennes sont Martonno, Marton en 1060-1075<ref>Modèle:Ref-Ang-Cartulaire</ref>, Marthonium en 1331, Marto au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ref-Ang-Livre des fiefs</ref>.

L'origine du nom de Marthon remonterait à un nom de personne gaulois Marto- auquel est apposé le suffixe -onem<ref>Modèle:Dic-Dauzat-1989</ref>. La ressemblance avec le diminutif de Marthe a provoqué l'addition de la lettre H<ref>Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928</ref>.

Langues

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin<ref>Modèle:Ref-Charente-Michon</ref>. Elle se nomme Marton en occitan<ref name=oc>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Article connexe

Histoire

Les seigneurs avant la Révolution

La châtellenie de Marthon est, jusqu'à la Révolution, l'une des plus importantes de l'Angoumois. Sa juridiction s'étend sur quatorze paroisses et ses seigneurs ont droit de haute, moyenne et basse justice dans toute l'étendue de la châtellenie. La situation de Marthon, aux confins de l'Angoumois et du Périgord, en fait une possession importante pour ses seigneurs qui, de là, peuvent surveiller toute la vallée du Bandiat.

Le témoin de cette époque est le vieux donjon, à moitié démantelé, qui domine le bourg<ref name="tour">Modèle:Base Mérimée</ref>.

Le plus ancien seigneur que l'on connaisse est Hugues de Marthon, fils de Robert de Montbron, qui meurt dans les premières années du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Il laisse trois enfants, dont l'aîné, Robert de Marthon, lui succède dans la baronnie. Ce dernier est un grand bienfaiteur de l'Église, faisant notamment d'importantes donations aux abbayes de Grosbot et La Couronne.

Robert de Marthon s'est marié avec Emma de La Rochefoucauld, fille d'Adémar et héritière de Gui III de La Rochefoucauld. Après lui, la baronnie de Marthon passe aux mains de la famille de La Rochefoucauld, par Guy, fils d'Emma de La Rochefoucauld et Robert de Marthon. Gui a relevé le nom de La Rochefoucauld. Il apparaît dans la généalogie comme Gui IV de la Rochefoucauld, seigneur de La Rochefoucauld, Verteuil, Marthon et Blanzac<ref>Marie Vallée - La Rochefoucauld. Un château, une famille - Château de La Rochefoucauld - Modèle:ISBN</ref>.

Pendant la guerre de Cent Ans, les seigneurs de Marthon restent fidèles aux rois de France, en défendant vaillamment leur cause. Aussi, dans la nuit du 5 au Modèle:Date, les Anglais mettent le feu au château de Marthon et ravagent toute la châtellenie. Plus tard, lors des démêlés du roi Louis XI avec son frère Charles, duc de Guyenne, l'armée royale trouve, dans le château de Marthon, un appui solide.

Jusqu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la baronnie de Marthon appartient aux aînés de la famille de La Rochefoucauld. Mais en 1521 ou 1522, François Ier de La Rochefoucauld et sa femme, Louise de Crussol, abandonnent Marthon à leur fils cadet, Hubert de La Rochefoucauld qui sera le plus remarquable des seigneurs de Marthon ; il entre d'abord dans l'ordre de Malte, qu'il quitte en 1559, pour venir se fixer à Marthon.

Lorsqu'éclatent les guerres de religion, alors même que son neveu, François III de La Rochefoucauld, entraîne la plus grande partie de la noblesse angoumoisine dans le parti de la Réforme, le seigneur de Marthon reste fidèle à la foi de ses pères, et se met à la tête des troupes catholiques.

N'ayant pu reprendre aux protestants la ville d'Angoulême, il s'empare du château de Vouzan, dont le seigneur se trouve à Orléans, dans les rangs de l'armée protestante de son neveu, et le saccage, ainsi que ceux de Sers et Nanteuil.

Il vient alors assiéger Cognac, et, ne réussissant pas à reprendre cette place aux protestants, il se dirige vers Châteauneuf, dont il s'empare et où il se fortifie solidement.

Lorsque la paix est signée, le baron Hubert se retire à Marthon, où il meurt en 1566, sans laisser d'enfant.

Après sa mort, la baronnie de Marthon est partagée entre différents membres de la famille de La Rochefoucauld, et recouvre son unité seulement vers le milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, avec François de Roye, arrière-petit-neveu du baron Hubert.

Le Modèle:Date, ses héritiers vendent la baronnie de Marthon à Étienne Chérade, comte de Montbron. Ses descendants seront dépossédés à la Révolution. Le château est vendu comme bien national à Élie-Léonard Planty, premier maire de la commune en 1790.

Les fiefs de Marthon

La paroisse de Marthon possédait plusieurs autres fiefs, dont les principaux étaient ceux de la Couronne<ref>Modèle:Géoportail</ref> et de Limérac<ref>Modèle:Géoportail</ref>.

Le logis de la Couronne dépend de la baronnie de Marthon, Modèle:Citation. Dans le principe, ce domaine appartient aux moines de l'abbaye de La Couronne ; il faisait probablement partie des donations faites par Robert de Marthon à cette abbaye. Par la suite, cette terre est arrentée par les moines à diverses personnes.

Vers la fin de la guerre de Cent Ans, le domaine est à peu près complètement ruiné. Le Modèle:Date, il est acquis par Bertrand Farinard, capitaine du château et de la ville de Marthon. Ses héritiers le conservent jusqu'en 1564 où par mariage, Mathieu de Chambes, seigneur de Vilhonneur, acquiert ce fief. Cette famille le gardera jusqu'à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.

À partir de cette époque, le domaine de la Couronne change fréquemment de propriétaire.

Le fief de Limérac relève de l'évêché d'Angoulême. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, ce fief appartient à la famille Amigon, d'où il passe dans la famille Vigier.

En 1541, le seigneur de Limérac est Vincent Hastelet, écuyer, maître de forges de Planchemesnier et, en 1554, ce fief est légué par Jean Hélie de Colonges à sa sœur Marguerite, qui a épousé Jacques de Devezeau, seigneur de Rancogne.

Le Modèle:Date, ce dernier vend Limérac à Jean Béchade, juge assesseur de Marthon, dont le fils Étienne n'a pas d'enfant ; Limérac passe donc à Jacques de Fornel, mari d'Anne de Villars<ref name=mb>Modèle:Ref-Charente-MB</ref>.

Temps modernes

Entre 1870 et 1940, la commune était desservie par la ligne du Quéroy-Pranzac à Thiviers joignant Angoulême à Nontron, et la gare était située au Colombier. La voie a été déposée progressivement et le dernier tronçon encore ouvert au trafic marchandises a été fermé en 1985 ; il reliait Marthon au Quéroy, avec terminus de la ligne à Marthon, et desservait la scierie.

Administration

Fichier:Marthon mairie.JPG
La mairie de Marthon.

Créée sous le nom de Marton en 1790 et chef-lieu de canton, la commune devient Marthon dans le canton de Montbron en 1801. Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Article connexe


Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 26,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 39,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 52,32 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Remarques

Marthon fait preuve d'une grande stabilité démographique.

Économie

Fichier:Marthon centre.JPG
Commerces.

Agriculture

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Commerces

Marthon offre de nombreux commerces de proximité.

Équipements, services et vie locale

Enseignement

Marthon possède une école primaire publique comprenant quatre classes (une classe maternelle et trois élémentaires). Le collège public du secteur est à Montbron<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Culture

Marthon possède un cinéma : « Le Silverado ».

Un « Espace Livres » est à disposition des visiteurs.

Lieux et monuments

Patrimoine civil

Donjon

Fichier:Marthon donjon7.JPG
Le donjon vu du centre bourg.

Vestiges du donjon de Marthon des {{#switch: e

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}}, inscrit aux monuments historiques depuis 1928<ref name="tour"/>. Modèle:Article détaillé

Château-neuf

Fichier:Marthon 16 Le Château-neuf 2013.jpg
Le Château-neuf.

Construit sur l'emplacement d'un château roman incendié en 1347, le Château-neuf date de la Renaissance. Il a été fortement remanié au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à l'initiative de Maurice Raynaud, député de la Charente.

Château de la Couronne

Fichier:Marthon castle.JPG
Château de la Couronne.

Situé à l'ouest de la commune, ce château a été transformé en hôtel.

En 2006, il a été le théâtre du film Nos jours heureux avec Jean-Paul Rouve.

Patrimoine religieux

Église Saint-Martin

L'église Saint-Martin, romane, date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle; c'est l'église paroissiale, également inscrite monument historique depuis le Modèle:Date<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Ancien prieuré de Saint-Sauveur

Fichier:Marthon3.5.JPG
Vestiges de l'église de Saint-Sauveur.

L'ancien prieuré Saint-Sylvestre est situé au lieu-dit Saint-Sauveur. On y voit les vestiges de l'église des {{#switch: e

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}}, vicairie bénédictine perpétuelle de l'abbaye Saint-Florent de Saumur<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, et dont les registres commencent en 1638<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Ce prieuré est inscrit monument historique depuis le Modèle:Date<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Chapelle-porte

Fichier:Marthon chapel.JPG
Ancienne chapelle-porte.

En contrebas du donjon, la chapelle-porte Saint-Jean-l'Évangéliste, d'architecture romane, permettait d'accéder au château. C'est aussi un logis.

Personnalités liées à la commune

  • Guy Tachard (1648-1712), jésuite et mathématicien à la Cour de Siam, est né à Marthon.
  • Maurice Raynaud (1860-1927), homme politique français, député et ministre, est né à Marthon.

Galerie

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Portail