Montbron

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Modèle:Confusion Modèle:Infobox Commune de France

Montbron (prononcer Modèle:MSAPI) (Montberol en occitan limousin) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Montbronnais et les Montbronnaises<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Géographie

Localisation et accès

Montbron est située Modèle:Unité à l'est d'Angoulême, Modèle:Unité au nord-ouest de la Dordogne et Modèle:Unité au sud-ouest de la Haute-Vienne.

Montbron est aussi à Modèle:Unité de La Rochefoucauld, le bureau centralisateur de son canton depuis 2015, Modèle:Unité de Nontron, Modèle:Unité de Confolens, Modèle:Unité de Périgueux et Modèle:Unité de Limoges<ref>Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper.</ref>.

Les routes importantes sont la D 699 (Angoulême à Limoges par Saint-Mathieu), la D 16 (Confolens à Montmoreau par La Péruse, Marthon et Villebois-Lavalette) et la D 6 (Mansle, La Rochefoucauld, Montbron, et va vers Piégut-Pluviers, nommée D 91 en Dordogne)<ref name="geoportail">Modèle:Géoportail Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées.</ref>.

Hameaux et lieux-dits

L'habitat est très dispersé et il y a de nombreux hameaux, du nord au sud : Neuville, Chez Joubert, Vergnas, les Chaises, Puybon, Courtillas, Lavaud, Grignol sur la route d'Angoulême, Chez Marvaud, le Panisson, les Brousses, Chez Vincent, etc.<ref name="geoportail"/>.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Montbron est situé sur la première colline calcaire du Bassin aquitain (altitude Modèle:Unité) en descendant du Limousin (partie occidentale du Massif central, composée de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne) qui est à l'est.

La Tardoire, qui passe au pied de la ville, à la Ville basse (altitude de Modèle:Unité), quitte le Massif central et arrive dans l'Angoumois calcaire. Le nord de la commune, flanc sud du massif de l'Arbre, est couvert d'argile à galets, avec un substrat tantôt de calcaire du Jurassique inférieur, tantôt de la roche métamorphique (micaschiste). La partie sud de la commune est du calcaire du Jurassique moyen (Bajocien) avec des colluvions et dépôts tertiaires de sable argileux sur les sommets<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Modèle:Article général

Au nord en allant vers Montembœuf est situé le massif de l'Arbre, qui culmine à Modèle:Unité (commune de Mazerolles). Le point culminant de la commune (Modèle:Unité) est d'ailleurs sur son flanc, sur la D.16, en limite des communes de Mazerolles et Rouzède. Le point le plus bas est à Modèle:Unité d'altitude, situé le long de la Tardoire sur la limite ouest.

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle est drainée par la Tardoire, la Renaudie, le ruisseau de Brisebois, la Touille, le ruisseau du Moulin de Baraca et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

La commune est traversée d'est en ouest par la Tardoire, qui est un sous-affluent de la Charente, et qui passe à la Ville basse, comme est appelé localement le pied de la ville de Montbron. Longue de Modèle:Unité, la Tardoire prend sa source en Haute-Vienne dans la commune de Pageas et se jette dans la Bonnieure à Saint-Ciers-sur-Bonnieure après avoir arrosé Modèle:Nombre<ref>Modèle:Sandre.</ref>.

Dans la commune, la Tardoire reçoit sur sa rive droite deux affluents : la Renaudie, et la Touille, qui descendent du massif de l'Arbre<ref name="geoportail"/>.

Gestion des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Climat

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé aux abords du Massif central. La station météorologique départementale est située à Cognac.

Modèle:Climat Modèle:Article connexe

Végétation

La végétation se compose de bois de chênes, ou châtaigniers sur les hauteurs décalcifiées occupées par un terrain tertiaire de nature détritique. On pratique la polyculture (céréales, colza, tournesol, quelques vignes), et l'élevage de vaches limousines (vallée de la Tardoire ou contreforts du Limousin).

Urbanisme

Typologie

Montbron est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (34,7 %), forêts (28,3 %), zones agricoles hétérogènes (24,7 %), terres arables (8,3 %), zones urbanisées (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Montbron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web.</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Tardoire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993 et 1999<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:16223-Montbron-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montbron.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 63,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 1 008 sont en aléa moyen ou fort, soit 85 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web.</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Montbron est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Toponymie

Les formes anciennes latinisées sont semblables entre elles : Monte Berulfi en 1168<ref>Modèle:Ref-Ang-Pouillé 1</ref>, Mons Berulphi, Monte Berulphi au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ref-Ang-Livre des fiefs.</ref>, Monte Berulfo en 1030-1044<ref>Modèle:Ref-Ang-Cartulaire.</ref>.

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, sur la carte de Cassini, la ville est identifiée sous le nom de Mont Beron<ref>Carte de Cassini sous Géoportail.</ref>.

L'origine du nom de Montbron remonterait au latin mons, « colline », et à un nom de personne franc<ref>Foerstemann, Altdeutsches Namenbuch, Berlin, 1856 in Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928.</ref> ou germanique Berulf<ref>Modèle:Dic-Dauzat-1989</ref>.

Langues

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin<ref>Modèle:Ref-Charente-Michon.</ref>. Elle s‘écrit Montberol en occitan<ref name=oc>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web.</ref> (prononcer Modèle:MSAPI). La prononciation au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, écrite « à la française », était Montbérou<ref name=talbert>Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928.</ref>. Modèle:Article connexe

Histoire

Préhistoire et Antiquité

Ces lieux étaient habités dès la Préhistoire comme en témoignent le crâne (présent au musée de l'Homme à Paris) ainsi que divers ossements humains et réalisations humaines trouvés dans la grotte de Montgaudier (distante de Modèle:Unité) et visible dans le musée du vieux château de Montbron.

À la grotte de Fontéchevade en limite d'Orgedeuil ont aussi été retrouvés quelques vestiges de la période de La Tène III.

Un vestige de villa romaine (pars urbana) a aussi été trouvé sur le plateau entre Lavaud et Courtillas. Un fragment de mosaïque est au musée archéologique d'Angoulême<ref>Modèle:Ref-Charente-Vernou.</ref>.

Moyen Âge

L'histoire du bourg commence vraisemblablement avec un oppidum romain, puis, au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, avec un chef franc (dux), Berulphus, qui donne son nom au fortin installé sur le monticule surplombant et gardant une boucle de la Tardoire. D'après Grégoire de Tours, Berulphus était installé par [[Chilpéric Ier (roi des Francs)|Chilpéric {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], le roi des Francs dans cette Aquitaine nouvellement conquise, pour résister aux troupes de son frère Sigebert.

Bien avant le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Montbron était déjà une baronnie importante qui exerçait sa juridiction sur 19 paroisses. Ses seigneurs avaient droit de haute, moyenne et basse justice et ne reconnaissaient comme suzerains que les évêques d'Angoulême. Lors de l'intronisation d'un nouvel évêque, les quatre pieds du trône étaient portés par les deux roches et les deux monts de l'Angoumois, à savoir les seigneurs de Montmoreau, La Rochefoucauld, La Rochechandry, et Montbron (pied arrière gauche).

D'après la chronique d'Aymar de Chabanais, les premiers seigneurs de Montbron furent des guerriers, auxquels les premiers comtes non héréditaires d'Angoulême confièrent ce poste. Ces seigneurs succombèrent à la guerre meurtrière que mena Waïfre, duc d'Aquitaine, pour conserver son indépendance.

Une nouvelle famille s'établit alors, dont le premier membre connu est [[Robert Ier de Montberon|Robert {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Montberon]], qui peut être considéré comme le véritable fondateur de la famille de Montberon (alias de Montbron). Lui et ses descendants, Robert II et Robert III, furent des fidèles alliés des comtes d'Angoulême dans leurs luttes contre leurs voisins ou les ducs d'Aquitaine<ref name="mb"/>.

Au cours du Moyen Âge, Montbron se trouvait sur un itinéraire secondaire est-ouest fréquenté par les pèlerins qui allaient au sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle et aux reliques de saint Eutrope à Saintes<ref>Modèle:Ref-Charente-Saint-Jacques.</ref>. De nombreuses épidémies et particulièrement la lèpre faisaient beaucoup de victimes comme l'atteste la présence de la chapelle des Lépreux.

Les puissants barons<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref> protégèrent la ville de Montbron par une enceinte murale flanquée de tours et percée de cinq portes : portes de la Cahue, du Prestin, de Fer, de la Fontaine et des Brébines<ref name=chat>Modèle:Ref-Charente-Châteaux.</ref>.

Modèle:Refnec.

En septembre 1471, François II de Montbron, endetté par cette guerre, dut vendre sa terre de Montbron à Marguerite de Rohan, comtesse d'Angoulême et veuve du bon comte Jean, pour Modèle:Unité. Elle fit reconstruire le château dont quelques parties subsistent encore<ref name="chat" />.

Ancien Régime

Après Marguerite de Rohan, la baronnie de Montbron passa aux mains de sa bru Louise de Savoie, femme de Charles d'Angoulême et mère de [[François Ier (roi de France)|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]]. En 1526, cette terre fut constituée en dot à sa nièce, Madeleine de Savoie, qui épousa le connétable Anne de Montmorency, passant ainsi dans la Maison de Montmorency<ref name="mb"/>.

Lors des guerres de religion, vers 1577, des bandes de paysans accourus des environs de Châlus chassent une troupe de protestants de Montbron, dont ils s'étaient emparés avec un nommé Gore à leur tête<ref>Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente - Impr. J. Lefraise (Angoulême) - 1845-1890.</ref>. Les protestants avaient capitulé, mais un grand nombre des leurs furent massacrés.

Cette année, René de Volvire, baron de Ruffec, a contribué à reprendre Montbron aux protestants. En 1589 Henri III lui témoigne, par lettres de sauvegarde, qu'il lui sait Modèle:Citation<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web.</ref>.

La paix revenue après ces dernières guerres, les habitants quittèrent en partie la ville pour habiter dans les villages alentour.

Cette terre était du domaine des comtes d'Angoulême de la Maison de Lusignan, et était donnée en partage à un puîné de cette famille. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Jean de Montberon, comte de Fontaine (issu de Louis de Fontaine-Chalendray, frère puîné de François II et de Guichard de Montbron ci-dessus), qui descendait des seigneurs de cette maison, portait les anciennes armes des Lusignan. Gabriel de Montmorency, fils d'Anne de Montmorency, portait le nom de baron de Montbron. Il fut tué à l'âge de 21 ans à la bataille de Dreux.

En 1624, Montbron passa par acquisition dans la maison de Loménie de Brienne. La terre fut érigée en comté en faveur d'Henri-Auguste de Loménie la même année<ref name="mb"/>. En 1699, elle fut vendue à Étienne Chérade, lieutenant général de la sénéchaussée d'Angoumois et maire d'Angoulême, et érigée de nouveau en comté en faveur de son petit-fils Adrien Chérade, par lettres patentes de 1776 portant réunion de la baronnie de Marthon audit comté<ref>Histoire de l'Angoumois - manuscrit de Louis Desbrandes (1816), conservé à la bibliothèque municipale d'Angoulême.</ref>. Ce dernier comte de Montbron fut dépossédé à la Révolution<ref name="mb"/>.

Temps modernes

Pendant la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Roumazières appelée le Petit Mairat.

Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'industrie dans la commune était représentée par une fabrique de feutres pour papeterie de MM. Bricq et Modèle:Cie<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. D'importantes foires avaient lieu le Modèle:1er du mois<ref name=mb>Modèle:Ref-Charente-MB.</ref>.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Source : depuis 1900<ref>Les maires de 1900 à nos jours sur le site de la mairie de Montbron, consulté le 5 avril 2013.</ref>

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Article connexe


Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 23,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 44,5 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Unité, soit un taux de 52,45 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Économie

Le secteur de la maroquinerie de luxe est en plein essor depuis l'installation en 2012 de l'entreprise Hermès<ref>Modèle:Article.</ref>. Son unité montbronnaise, dont les nouveaux locaux de Modèle:Unité sont inaugurés en Modèle:Date-, compte 175 salariés et pourrait atteindre à terme les 280<ref>Hervé Chassain, « La maison Hermès essaime en Charente », Sud Ouest édition Dordogne, 12 juin 2015, Modèle:P..</ref>.

Équipements, services et vie locale

Enseignement

Le collège d'enseignement secondaire François-Mitterrand regroupe 250 à 280 élèves de la Modèle:6e à la Modèle:3e répartis dans 12 classes<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Montbron possède une école primaire, François-Marvaud, comprenant six classes dont une classe d'intégration scolaire (CLIS), ainsi que trois classes de maternelle<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine religieux

Fichier:Montbron eg1.JPG
L'église Saint-Maurice.

Plusieurs bâtiments religieux sont édifiés sur la commune de Montbron :

Patrimoine civil

Fichier:Montbron castle2.JPG
Le vieux château.
  • La Barbacane était jadis l’entrée principale de la ville fortifiée. La rampe de la Barbacane qui part du Vieux Château et descend jusqu’à la « basse Ville » a été réhabilitée en 2004.

Montbron compte plusieurs châteaux :

Patrimoine environnemental

La Réserve naturelle régionale de la Vallée de la Renaudie se trouve en partie sur le territoire de la commune.

Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune.

Modèle:Palette

Personnalités liées à la commune

Modèle:Lien web.</ref>.

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blasonnement

Selon d'Hozier, la ville porte de vair à un chef componné d'argent et de sinople.

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Bibliographie

Liens externes

Modèle:Portail