Menetou-Salon

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonyme Modèle:Sources à lier Modèle:Infobox Commune de France Menetou-Salon [mɛnətu] est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Géographie

Modèle:...

Localisation

Voies de communication et transports

Voies routières

La commune est à Modèle:Unité de la route départementale 940 en venant de Bourges.

L'autoroute A71 (axe Paris – Clermont-Ferrand) est à Modèle:Unité par le contournement ouest de Bourges.

Les routes départementales desservant Menetou-Salon sont :

Transport ferroviaire

La gare de Bourges est à Modèle:Unité par la route de Fussy.

Transport en commun

Menetou-Salon est desservie par la ligne 105 des transports du département du Cher (Henrichemont – Bourges)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Menetou-Salon est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourges, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (28,3 %), forêts (28,1 %), prairies (25 %), cultures permanentes (8 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), zones urbanisées (3,6 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Menetou-Salon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Fichier:18145-Menetou-Salon-argile.png
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Menetou-Salon.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 93,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 746 sont en aléa moyen ou fort, soit 85 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

Histoire

Origine du nom

Le toponyme actuel est désigné au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par Modèle:Latin (« petit monastère de Sarlon ») aussi dénommé Modèle:Latin. Ce nom fait expressément allusion à la fondation près du château seigneurial, vers 1075, du prieuré Saint-Martin par Sarlon, seigneur de Ménetou et Quantilly membre d'une famille noble influente auprès du vicomte de Bourges.

Antiquité

Après la conquête de la Gaule par les légions de Jules César, Avaric Modèle:Incise est reconstruite et devient Avaricum. Pour alimenter en eau les fontaines monumentales et les thermes de la nouvelle cité, un des aqueducs est construit depuis la fontaine Saint-Jacques située sur le territoire actuel de Menetou-Salon.

À la Motte-Robert, un ferrier arasé, daté de cette époque, a été mis en évidence sur une surface de près d’un hectare.

Moyen Âge

En 1097, le seigneur de Ménetou, Sarlon le Riche, ayant décidé d’accompagner à la Première croisade le vicomte de Bourges, Eudes Arpin/Odo Arpin de Bourges Modèle:Incise, donne l’église Saint-Pierre de Ménetou, avec ses revenus, à l’abbaye Saint-Sulpice-lez-Bourges de l'ordre de Saint-Benoît<ref>Monumentum : abbaye Saint-Sulpice.</ref>,<ref>BnF : abbaye Saint-Sulpice de Bourges.</ref>.

En 1190, Hugues de Vesvre, seigneur de Menetou, donne des terres à l’abbaye Notre-Dame de Loroy toute proche (actuellement sur la commune de Méry-ès-Bois) fondée en 1125 par le seigneur de Sully, la Chapelle et les Aix.

En 1259, Hervé III, seigneur de Vierzon, donne la seigneurie de Menetou-Salon<ref group=Note>Héritée des Mehun, dont descendait les Vierzon, Menetou faisait partie d'un ensemble de fiefs dans la mouvance de Mehun.</ref> à sa sœur ou nièce Marie de Vierzon à l’occasion du mariage de cette dernière avec [[Jean Ier de Sancerre|Jean {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Sancerre]]. Robert de Sancerre (mort entre 1271 et 1301), fils cadet ou frère de ce dernier, obtient la seigneurie de Menetou-Salon.

En 1384, Arnould de Bonnay, marié à Isabeau de Sancerre dame de Menetou<ref group=Note>Probablement mort vers 1389-1396, elle n'est pas Isabelle ou Isabeau, fille de Louis II de Sancerre, mais une parente éloignée, de la branche cadette des Sancerre de Menetou et Soesmes.</ref>, seigneur de Quantilly, peut se prévaloir par son mariage du titre de seigneur de Menetou.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Vers 1450, Jacques Cœur achète les terres et le château de Menetou. Dans les années qui suivent, le grand argentier tombe en disgrâce et ses biens sont saisis par le roi Charles VII. Ce dernier cède pour Modèle:Nombre d’or cette seigneurie à sa favorite du moment, Antoinette de Maignelais, devenue dame de Villequier par son mariage avec André de Villequier.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

En 1513, Artus de Villequier vend pour Modèle:Monnaie la terre de Ménetou à dame Jeanne de Malet-Graville, veuve en 1511 du maréchal Charles d’Amboise et morte en 1546 sans postérité survivante.

En 1532, Claude d'Urfé, surintendant de la Maison du roi François II, épouse Jeanne de Balzac d’Entragues, dame de Menetou<ref group=Note>Nièce des précédents, car fille de Pierre d’Entragues et d’Anne de Graville, qui était la sœur de Jeanne Malet de Graville.</ref> et devient ainsi seigneur de Menetou-Salon.

En 1559, à la mort de Claude d’Urfé, son beau-frère Jean Pot seigneur de Rhodes en bas Berry<ref group=Note>Qui avait épousé en 1538 Georgette de Balsac, sœur de Jeanne et fille de Pierre de Balsac et Anne de Graville.</ref> achète à Jacques d’Urfé la châtellenie de Menetou-Salon.

En 1590, sont regroupées deux entités jusque-là distinctes : la seigneurie de la Chaintre qui dépendait du seigneur de Mehun-sur-Yèvre Modèle:Incise et qui était soumise à la taille, et la partie située autour du château de Menetou appelée le fief Pot (ou fief de Pot) qui dépendait de la principauté souveraine de Boisbelle, dont les habitants jouissaient de conditions très avantageuses en matière d’impôts et d’obligations militaires.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

En 1619, à l’issue d’un procès sommaire devant la cour souveraine de Boisbelle, un mendiant, Gilbert Fourneau, est arrêté, convaincu de sorcellerie et condamné à mort. Après avoir fait amende honorable au porche de l’église Saint-Pierre de Ménetou, il est pendu puis brûlé sur place.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Sous l'Ancien Régime, les catholiques de Menetou-Salon disposent de trois lieux de culte : l'église paroissiale Saint-Pierre, le prieuré de Saint-Martin et la chapelle du château. La paroisse est rattachée à l'archiprêtrie de Bourges.

À l'occasion de plusieurs mariages, la terre de Menetou Modèle:Incise va en peu de temps voir plusieurs maisons nobiliaires se succéder à sa tête. Ainsi :

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

En 1801, sous le Consulat et Napoléon Bonaparte est instauré à Menetou-Salon un tribunal appelé « justice de paix » pour régler les conflits de voisinage apparus sur les communes d'Allogny, de Fussy, de Menetou, de Pigny, de Quantilly, de Saint-Éloy-de-Gy, de Saint-Georges-sur-Moulon, de Saint-Palais, de Saint-Martin-d'Auxigny, de Vasselay et de Vignoux-sous-les-Aix.

En 1817, sous le règne de Louis XVIII et la Restauration française, le siège de la Justice de paix est transféré à Saint-Martin-d’Auxigny.

Vers 1824, un vaste incendie détruit 104 maisons à Menetou-Salon ; l’archevêque de Bourges, [[Guillaume-Aubin de Villèle|Modèle:Mgr]], ordonne des quêtes dans son diocèse pour porter secours aux sinistrés.

Dans les années 1830, sous la Monarchie de Juillet et le roi [[Louis-Philippe Ier|Louis-Philippe {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], la commune de Menetou-Salon est caractérisée par des activités de tissage de serge, d’huilerie de noix, de commerce de bois et bien sûr de production de vins (dont une partie alimente une distillerie) ; si l’on recherche des fabrications de taillandier ou un instrument aratoire, ils sont produits sur place<ref group=Note>Modèle:M., par exemple, pour les outils agricoles vers 1860.</ref>. Mais l'essor de ces activités est freiné par la vétusté et la lenteur des transports avec la seule traction à cheval : diligences et charrettes. De plus, les routes sont peu praticables en certaines saisons et dans les lieux reculés.

En 1867, sous le Second Empire et l'empereur Napoléon III, l’église de Menetou-Salon est reconstruite.

La deuxième partie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle voit partout en France l’essor du chemin de fer. L’objectif visé est que toutes les préfectures et les sous-préfectures soient rapidement reliées par le rail. Au début du siècle suivant, les trois quarts des cantons le seront également au moyen de chemins de fer départementaux ou de tramways (parfois à voie métrique, parfois à écartement plus faible encore : Modèle:Unité et même Modèle:Unité). Menetou-Salon va également être touché par ce bienfait voulu expressément par les autorités républicaines pour rallier les citoyens au nouveau régime politique. Dès 1860, le vin de Menetou commence à être vendu à Paris. Puis, dans les années 1880, est entreprise la construction de la ligne Bourges – Aubigny – Argent – Sully – Orléans ou Paris via Pithiviers (ligne exploitée jusqu’en 1938 par la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans) (ou « P.O » dans le langage quotidien) puis par la SNCF après 1938).

En 1877, le prince Auguste d’Arenberg (1837-1924)<ref group=Note>Fils de Pierre et petit-fils de Pauline-Louise de Brancas et Louis-Engelbert d'Arenberg.</ref>, déjà conseiller général du canton de Saint-Martin-d’Auxigny, est élu député monarchiste du Cher, au suffrage universel masculin ; il occupera cette fonction Modèle:Incise jusqu'en 1902.

En 1878, sous la Troisième République, sont édifiées la mairie et les écoles primaires de la commune.

1881 est une année noire pour la viticulture du centre de la France. À son tour, en effet, le Cher Modèle:Incise subit une grave crise économique agricole provoquée par la progression du phylloxéra, mais les viticulteurs de Menetou-Salon font face collectivement au désastre en créant un syndicat viticole en 1890 et en replantant de nouveaux cépages plus résistants.

Le château de Menetou-Salon est restauré et agrandi vers 1885 par le prince Auguste d’Arenberg, président de la Compagnie du canal de Suez, député du Cher.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Après la Première Guerre mondiale, le chemin de fer se trouve rapidement concurrencé par la route, du fait des considérables progrès techniques intervenus : dans le réseau routier, en particulier avec le goudronnage généralisé, ainsi que sur les automobiles et les camions.

Le monument aux morts est érigé le Modèle:Date- en l’honneur des nombreux poilus de la commune de Menetou-Salon tués au cours de la Première Guerre mondiale.

Le Modèle:Date-, la gare de Menetou voit passer le « train fou » vidé de toute présence humaine par les maquisards et lancé par la Résistance intérieure française en direction du nœud ferroviaire de Bourges pour empêcher les armées du troisième Reich d’utiliser le rail et de s’opposer aux conséquences du débarquement de Normandie ou pour battre en retraite rapidement vers l’Allemagne. Contre toute attente, cette action spectaculaire de la « bataille du rail » ne fit aucun dégât.

Après la Seconde Guerre mondiale et la reconstruction du pays, le rail connaît quelques années de répit mais les lignes d’intérêt local ou régional voient rapidement baisser leur trafic. Le remplacement des locomotives à charbon par des autorails ou des loco-tracteurs à moteur à essence ou à moteur diésel n’inversent pas la tendance.

En 1950, la gare de Menetou cesse d’accueillir les voyageurs et, vingt ans plus tard, les marchandises. Enfin, la ligne de chemin de fer desservant Menetou-Salon fait l’objet d’une mesure de « retranchement » et de « déclassement » en Modèle:Date-.

Politique et administration

La commune fait partie du canton de Saint-Martin-d'Auxigny, même après le redécoupage des cantons en 2015<ref>Décret no 2014-206 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Cher</ref>.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Évolution démographique

Évolution de la population

Modèle:Population de France/section

Indicateurs démographiques

Modèle:Section à actualiser Pour les périodes 1990-1999 et 1999-2010<ref name="insee-population">Modèle:Lien web.</ref> :

  • le taux annuel moyen de variation de la population était positif (+ 0,4 %) puis il devient quasi stable ;
  • le taux de natalité augmente légèrement, passant de Modèle:Unité à Modèle:Unité ;
  • le taux de mortalité diminue légèrement, passant de Modèle:Unité à Modèle:Unité.

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 26,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 35,7 % la même année, alors qu'il est de 32,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 51,52 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,56 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France


Économie

Le vignoble de Menetou-Salon Modèle:Incise est cependant un vignoble très ancien d'après les vieux écrits et documents concernant la seigneurie et châtellenie de Menetou-SalonModèle:Refnec.

Ce vignoble renommé s’étend sur Modèle:Unité de collines. L’aire d’appellation couvre dix communes dont Menetou-Salon, Aubinges, Humbligny, Morogues, Parassy, Quantilly, Saint-Céols, Soulangis, Vignoux-sous-les-Aix.

Tous les ans, au mois d'août, une manifestation "Caves ouvertes" est organisée un week-end par les vignerons eux-mêmes : dégustation, échanges avec les professionnels, démonstration de chauffage des tonneaux..

Emploi et population active

En 2010, parmi les Modèle:Nombre que compte la commune, 1 015 sont âgés de 15 à 64 ans et Modèle:Nobr (soit très approximativement les trois quarts) sont actifs (698, soit 68,8 %, ont un emploi<ref name="insee-emploi">Modèle:Lien web.</ref>).

Au sens du recensement, la commune comptait 63 chômeurs (soit un taux de chômage de 8,3 %<ref name="insee-emploi" />).

Toujours en 2010, on comptait 397 emplois (dont 295 salariés) ; 703 actifs avaient un emploi résidant dans la zone<ref name="insee-emploi" />.

Culture et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Château de Menetou-Salon.jpg
Le château de Menetou-Salon.
Photographie de l'église de Menetou-Salon
L’église Saint-Pierre.
Avant que Hugues de Cormaing ne cède en 1450 Menetou et Quantilly à Jacques Cœur, le château appartint à Sarlon le riche, contemporain de Henri {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}, puis à la Maison de Vèvre, de Vierzon et de Sancerre.
Le château primitif a appartenu en 1448 à Jacques Cœur Modèle:Incise avant de lui être confisqué lors de sa disgrâce en 1455, pour être adjugé à Antoinette de Maigrelay, veuve d'André Villequier puis racheté par Jeanne de Graville. Le riche hôtel particulier de Bourges, le palais Jacques-Cœur, a inspiré au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle l'architecte chargé des transformations. L'ancien château fut en effet agrandi et embelli, entre 1884 et 1890 par l'architecte parisien Ernest Sanson, le sculpteur Antoine Margotin et le menuisier-ébéniste Calmel, à la demande du prince Auguste Louis Albéric d'Arenberg et de la princesse son épouse. Ce représentant de l'aristocratie française remplit, sous la Troisième République, des fonctions éminentes dans de nombreux domaines, notamment comme député du Cher de 1877 à 1902. Ce château est de style néogothique. Il a été classé à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques.
Le château de Menetou-Salon est une des étapes de la route Jacques Cœur.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes

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Notes carte

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Cartes

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Références

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Voir aussi

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Bibliographie

Liens externes

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