Montferrand (Aude)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Montferrand <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française, située dans le nord-ouest du département de l'Aude en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal du Midi, le Fresquel, le Rigole du Canal Midi et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Montferrand est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Montferrandais ou Montferrandaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend trois immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Saint-Pierre, inscrite en 1948, le canal du Midi (Bassin de Naurouze, bief de partage des eaux et obélisque), inscrit en 1996, et les Vestiges archéologiques, classés en 1964.
Géographie
Localisation
Commune de l'aire urbaine de Toulouse située dans le Lauragais sur la rigole de la plaine en Pays Lauragais. C'est une commune limitrophe avec le département de la Haute-Garonne. C'est sur la commune que se trouve le seuil de Naurouze.
Communes limitrophes
Montferrand est limitrophe de cinq autres communes dont une dans le département de la Haute-Garonne. Modèle:Carte communes limitrophes
Lieux-dits et écarts
Saint-Pierre-d'Alzonne (Elusiodunum<ref>Cicéron, Pro Fonteio.</ref> Modèle:Lien siècle av JCModèle:Vérification siècle, Mansio Elusione<ref>Itinerarium Burdigalense</ref> Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Eluso Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) dont le nom est une corruption par l'hydronyme Alzonne d'une racine préceltique Elus- de sens obscur (cf. Eauze, ancienne Elusa.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; son altitude varie de Modèle:Unité/2<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Voies de communication et transports
Accès avec l'autoroute A 61 et les routes départementales D 6113 (ex-RN 113) et la D 218 ainsi qu'avec la via Tolosana, le canal du Midi et la voie verte du canal du Midi en Haute-Garonne.
La commune est desservie par la ligne 955 du réseau liO.
Hydrographie
La commune est pour partie dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et pour partie dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens », au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle est drainée par le canal du Midi, le Fresquel, la rigole du canal du Midi, la Cantarane et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail.</ref>.
Le canal du Midi, d'une longueur totale de Modèle:Unité, est un canal de navigation à bief de partage qui relie Toulouse à la mer Méditerranée depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Sandre.</ref>.
Le Fresquel, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Baraigne et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans l'Aude à Carcassonne, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.
La rigole du canal du Midi, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Saint-Félix-Lauragais et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le canal du Midi sur le territoire communal, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1970 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. Modèle:Climat
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : les « collines de la Piège » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 38 dans l'Aude et 2 dans la Haute-Garonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Montferrand est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), forêts (3,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Montferrand est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 257 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Toponymie
Histoire
Montferrand correspond probablement à l'ancien carrefour routier du bourg gallo-romain d'Elesiodunum, cité par Cicéron dans son discours Pro Fonteio (69 av. J.-C.), où un des péages instauré par le gouverneur romain Fonteius collectait une taxe sur le vin exporté d'Italie vers la Gaule indépendante. Pendant la croisade des Albigeois, un Modèle:Lien y eut lieu en 1210. Il est cité, sous le nom de Mansio Elusione, comme une des étapes du pèlerinage de Bordeaux à Jérusalem au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Sulpice Sévère y a résidé à la fin du siècle. Par la suite, l'insécurité a amené les habitants à déplacer leur habitat vers la hauteur qui a pris le nom de Montferrand<ref>Henri-Paul Eydoux, Lumières sur la Gaule, Plon, 1960, p. 191 à 215.</ref>.
Découvert en 1955 par un minotier, le complexe architectural et funéraire chrétien de l'Antiquité tardive et du haut Moyen Âge ({{#switch: -
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: VIII|-| – | VIII }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècle
}}s après J.-C.) situé à Peyre Clouque est unique dans le Lauragais<ref>Modèle:Article</ref>.
Héraldique
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et Modèle:Unité, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze<ref>Modèle:Légifrance.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de l'arrondissement de Carcassonne de la communauté de communes de Castelnaudary Lauragais Audois et du canton du Bassin chaurien (avant le redécoupage départemental de 2014, Montferrand faisait partie de l'ex-canton de Castelnaudary-Sud) et avant le Modèle:1er janvier 2017 elle faisait partie de la communauté de communes de Castelnaudary et du Bassin Lauragais.
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 82,9 % d'actifs (76,8 % ayant un emploi et 6,2 % de chômeurs) et 17,1 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 82 en 2013 et 74 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 277, soit un indicateur de concentration d'emploi de 33,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64,2 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 277 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 70 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 85,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,6 % les transports en commun, 2,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
43 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Montferrand au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 43 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
4 | 9,3 % | (8,8 %) |
Construction | 7 | 16,3 % | (14 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
14 | 32,6 % | (32,3 %) |
Activités immobilières | 1 | 2,3 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
8 | 18,6 % | (13,3 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
2 | 4,7 % | (13,2 %) |
Autres activités de services | 7 | 16,3 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32,6 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 43 entreprises implantées à Montferrand), contre 32,3 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Ateliers C, travaux de menuiserie bois et PVC (Modèle:Unité)
- SARL Cambouyer, production d'électricité (Modèle:Unité)
Agriculture
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aude<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 23 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 19 en 2000 puis à 21 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 19 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 17 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 42 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.
Service public
Enseignement
Montferrand fait partie de l'académie de Montpellier.
Culture
Activités sportives
Écologie et recyclage
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Vestiges archéologiques de Montferrand
- Seuil de Naurouze
-
Vue générale depuis l'autoroute A61.
-
Porte fortifiée du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
-
Clocher-mur de l’église Notre-Dame (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).
-
Explications du télégraphe Chappe.
- Canal du Midi et écluse de l'Océan
- Croix discoïdale de Montferrand
- Église Saint-Pierre d'Alzonne. Le Chevet roman (sauf la fenêtre orientale) a été inscrit au titre des monuments historiques en 1948<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Église Saint-Laurent de Saint-Laurent.
- Église Saints-Pierre-et-Paul de Montferrand.
Personnalités liées à la commune
Pour approfondir
Bibliographie
- Anne-Bénédicte Mérel-Brandenburg, « A propos du mobilier métallique récemment découvert à Peyre Clouque, Montferrand (Aude) », (2005) - In : La Méditerranée et le monde mérovingien, pages 193-205.
- Anne-Bénédicte Mérel-Brandenburg, « Le complexe architectural et funéraire de Peyre Clouque à Montferrand (Aude) ({{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:| }} }}-Modèle:VIle siècles) », (2005) - In : L'édifice cultuel entre les périodes paléochrétienne et carolingienne pages 143-154.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes