Ormesson (Seine-et-Marne)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Ormesson est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

En Modèle:Population de France/dernière année, elle compte Modèle:Unité. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation et communes limitrophes

Fichier:77348-Ormesson - Localisation.png
Localisation d'Ormesson dans le département de Seine-et-Marne.

La commune d'Ormesson se trouve dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France<ref name="meta"/>.

Elle se situe à Modèle:Unité par la route<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.</ref> de Melun<ref> Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, à Modèle:Unité de Fontainebleau<ref> Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture et à Modèle:Unité de Nemours<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton de Nemours dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Nemours<ref name="meta">Modèle:Lien web.</ref>.

Fichier:Ormesson (Seine-et-Marne) OSM 3.png
Carte des communes limitrophes d'Ormesson .

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Faÿ-lès-Nemours (Modèle:Unité), Châtenoy (Modèle:Unité), Chevrainvilliers (Modèle:Unité), Saint-Pierre-lès-Nemours (Modèle:Unité), Nemours (Modèle:Unité), Bagneaux-sur-Loing (Modèle:Unité), Aufferville (Modèle:Unité), Bougligny (Modèle:Unité).

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Géologie et relief

Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gâtinais.

Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)<ref name="BRGM-carte"> Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="BRGM-notice"> Modèle:Lien web.</ref>.

Géologie de la commune d'Ormesson selon l'échelle des temps géologiques<ref name="BRGM-carte" />,<ref name="BRGM-notice" />.
Ères Périodes géologiques Époques géologiques Nature des sols
Cénozoïque Quaternaire Holocène
Modèle:Carré couleur LP : Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
Pléistocène
Néogène Pliocène non présent
Miocène non présent
Paléogène Oligocène
Modèle:Carré couleur g1CE : Calcaire d'Étampes, meulières, marnes, calcaires du Gâtinais.
Modèle:Carré couleur g1GF : Grès de Fontainebleau en place ou remaniés (grésification quaternaire de sables Stampiens dunaires).
Modèle:Carré couleur g1SF : Sables de Fontainebleau, accessoirement grès en place ou peu remanié (versant).
Éocène
Modèle:Carré couleur e7C : Calcaire de Champigny, Calcaire de Château-Landon, marnes de Nemours.
Paléocène non présent.

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Hydrographie

La commune n’est traversée par aucun cours d'eau<ref name="siges">Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 2 juillet 2018</ref>.

Climat

Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref name="EspProtégés">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional du Gâtinais français, créé en 1999 et d'une superficie de Modèle:Unité. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuités écologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)<ref name="Parc-Gatinais">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Deux autres espaces protégés sont présents dans la commune :

  • la zone centrale de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de Modèle:Unité (Modèle:Unité pour la zone centrale). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises<ref name="MAB-Font">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • la zone de transition de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de Modèle:Unité (Modèle:Unité pour la zone de transition). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises<ref name="MAB-Font"/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Fichier:77348-Ormesson-ZNIEFF1.png
Carte des ZNIEFF de Modèle:Nobr localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal d'Ormesson comprend une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref>,<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte name=GeoZNIEFF>Modèle:Géoportail.</ref>, les « Sablières et Boisements de la vallée d'Ormesson » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Ormesson est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,48 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,48 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,73 %), forêts (28,52 %), zones agricoles hétérogènes (7,75 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols en 1990 et 2018<ref name="CLC" />.
Type d’occupation 1990 2018 Bilan
Territoires artificialisés
(zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
Modèle:Unité 0,00 % Modèle:Unité 0,00 % Modèle:Unité Modèle:Stagnation
Territoires agricoles
(terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
Modèle:Unité 71,48 % Modèle:Unité 71,48 % Modèle:Unité Modèle:Stagnation
Forêts et milieux semi-naturels
(forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
Modèle:Unité 28,52 % Modèle:Unité 28,52 % Modèle:Unité Modèle:Stagnation

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Planification

La loi SRU du Modèle:Date- a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de Modèle:Unité et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours Gâtinais, approuvé le Modèle:Date- et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-Gâtinais<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme<ref group= Carte name="Géoport">Modèle:Lien web.</ref>.

Lieux-dits et écarts

Fichier:77348-Ormesson-Cadastre.png
Carte du cadastre de la commune d'Ormesson.

La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref> (source : le fichier Fantoir) dont la Vallée et les Bossats.

Logement

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nobr dont 99,1 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 0,9 % d'appartements<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>.

Parmi ces logements, 85,9 % étaient des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et 9,7 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 88 % contre 9 % de locataires et 3 % logés gratuitement<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 24 septembre 2020</ref>.

Voies de communication et transports

Voies de communication

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier d'Ormesson.

Deux routes départementales relient Ormesson aux communes voisines :

  • la Modèle:Nobr, à Faÿ-lès-Nemours, au sud ;
  • la Modèle:Nobr, à Saint-Pierre-lès-Nemours, au nord-est ; et à Châtenoy, au sud-ouest.

Transports

Ormesson est desservie par deux lignes du réseau d'autocars Transdev Nemours<ref> Modèle:Lien web (Plan 72 : secteur de Nemours).</ref>,<ref> Modèle:Lien web.</ref>,<ref> Modèle:Lien web.</ref> :

  • la ligne 13A, qui relie Aufferville à Saint-Pierre-lès-Nemours ;
  • la ligne 13B, qui relie Faÿ-lès-Nemours à Saint-Pierre-lès-Nemours.

Toponymie

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Ecclesia de Ulmesim en 1170<ref>Annales Gâtinais, XXXIX, 1930, p. 244.</ref> ; Ulmezon en 1178<ref>Annales Gâtinais, XXXIX, 1930, p. 247.</ref> ; Ormeceon en 1266<ref>Annales Gâtinais, XXI, 1903, p. 367.</ref> ; Ommesson en 1373<ref>Archives nationales, P 141, fol. 4.</ref> ; Ormecon en 1384<ref>Archives nationales, P 131, fol. 116) et 1489 (Arch. nat., S 15671.</ref> ; Ormesson en 1541 (Inscription sur une cloche fondue en 1541).

Ormesson vient du latin ulmus (orme)<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Roger Brunet - 2016 - Trésor du terroir. Les noms de lieux de la France: Les noms de lieux de la France - Modèle:ISBN.</ref>.

Histoire

Préhistoire

Paléolithique

Modèle:Article détaillé Des Néandertaliens de la période moustérienne du Paléolithique moyen s'installent sur le site des Bossats il y a environ 50 000 ans<ref>Datation réalisée sur un os de bison (Modèle:Nb BP, +/- 530), attribution au Gravettien confirmée en 2005Modèle:Par quiModèle:Refnec.</ref>. Entre 50 000 et 19 000 ans BP, ce territoire est d'abord parcouru par les derniers chasseurs néandertaliens qui ramassent l'ocre à Darvault.
Puis vers 40 000 ans BP, les hommes du Châtelperronien y ramassent du silex sur les bords du Loing pour en faire des couteaux. Des hommes et femmes du gravettien y chassent le bison. Des tailleurs de silex du Solutréen aménagent des cabanes en déplaçant de très gros blocs de pierre.

Ce gisement est découvert dans les années 1930. En 2004, un archéologue amateur, Claude Pommier, fait part de ses découvertes au musée départemental de Préhistoire d'Île-de-France de Nemours. En 2005, l'équipe d'ethnologie préhistorique du CNRS termine un vaste programme de recherche sur le Paléolithique supérieur ancien dans le Bassin parisien, sans avoir recensé de sites gravettiens bien préservés. Dans ce contexte, cette découverte est donc de première importance.

Autres sites préhistoriques sur la commune : le Cirque de la Patrie<ref name="2014Laca3"/>,<ref name="2003klaric">Modèle:Ouvrage.</ref> (Gravettien récent<ref name="2016touze159">Modèle:Article, Modèle:P..</ref>) et les Gros Monts<ref name="2014Laca3"/> (Gravettien ancien<ref name="2016touze159"/>), aux alentours de l'ancienne carrière à l'est du bourg<ref name="2014Laca3">Modèle:Article, p. 3.</ref>.

Néolithique

Vers la fin de l'âge du bronze et au début de l'âge du fer, on retrouve sur le site des Bossats une fosse dans laquelle les habitants jetèrent des ossements de chèvres et des restes de poterie cassée<ref>Pierre Bodu, Au fil du paléolithique, les révélations du site des Bossats, dans Archéologia, n°566, juin 2018, p.24-29.</ref>.

Antiquité et Moyen Âge

Modèle:...

Époque moderne et contemporaine

La commune est fusionnée en 1841 avec la commune de Châtenoy, puis est recréée en 1863 à partir de Châtenoy<ref name="Cassini"/>. Modèle:...

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Équipements et services

Eau et assainissement

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Assainissement des eaux usées

En 2020, la commune d'Ormesson ne dispose pas d'assainissement collectif<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. Le Parc naturel régional du Gâtinais français assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Eau potable

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAEP de Nemours, Saint-Pierre qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Les habitants sont appelés les Ormessonnais et Ormessonnaises<ref>Le nom des habitants d'Ormesson sur Habitants.fr.</ref>.

Modèle:Population de France/section

Enseignement

La commune ne dispose pas d’école primaire publique (maternelle ou élémentaire)<ref>Écoles Primaires, portail indépendant sur l'école primaire, consulté le 21 décembre 2020 </ref>.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de Modèle:Nobr, représentant Modèle:Nobr et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 26 730 euros<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section Revenus et pauvreté des ménages, consulté le 24 septembre 2020</ref>.

Emploi

En 2016 , le nombre total d’emplois dans la zone était de Modèle:Nombre, occupant Modèle:Nombre résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 63,2 % contre un taux de chômage de 9,8 %. Les 27 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 12,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 10,4 % de retraités ou préretraités et 4,3 % pour les autres inactifs<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2016», consultée le 8 février 2021</ref>.

Secteurs d'activité

Entreprises et commerces

En 2018, le nombre d'établissements actifs était de Modèle:Nobr dont Modèle:Nobr dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, Modèle:Nobr dans la construction, Modèle:Nobr dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, Modèle:Nobr dans les activités immobilières, Modèle:Nobr dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, et Modèle:Nobr était relatif aux autres activités de services<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 8 février 2021</ref>.

En 2019, une entreprise individuelle a été créée sur le territoire de la commune.

Au Modèle:1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2020», consultée le 8 février 2021</ref>.

Agriculture

Ormesson est dans la petite région agricole dénommée le « Gâtinais », à l'extrême sud-ouest du département, s'étendant sur un large territoire entre la Seine et la Loire sur les départements du Loiret, de Seine-et-Marne, de l'Essonne et de l'Yonne<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)<ref name="AgriGéné"/>.

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 4 en 1988 à 1 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles d'Ormesson, observées sur une période de Modèle:Unité :

Évolution de l’agriculture à Ormesson entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref>
Nombre d’exploitations (u) 4 3 1
Travail (UTA) 8 2 1
Surface agricole utilisée (ha) 229 308 218
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web.</ref>
Terres labourables (ha) 229 308 s
Céréales (ha) 212 201 s
dont blé tendre (ha) 113 152 s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 74 s s
Tournesol (ha) s s s
Colza et navette (ha) 0
Élevage<ref name="AgriGéné"/>
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) 0 0 0

Culture locale et patrimoine

Fichier:Ormesson Eglise Notre-Dame de l’Assomption.jpg
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Modèle:…

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Lien externe

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail