Pale Rider, le cavalier solitaire
Modèle:Infobox V3/Début Modèle:Infobox V3/Image Modèle:Infobox V3/Séparateur Modèle:Infobox V3/Tableau début Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau fin {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} Modèle:Infobox V3/Séparateur
Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Modèle:Infobox V3/Fin Pale Rider, le cavalier solitaire (Pale Rider) est un film américain réalisé par Clint Eastwood et sorti en 1985.
Ce western est présenté en compétition officielle au festival de Cannes 1985. À sa sortie, le film reçoit des critiques positives et est un succès commercial.
Synopsis
Les derniers chercheurs d'or indépendants de LaHood, bourgade minière de Californie, sont harcelés par les hommes de main du puissant Coy LaHood. Ce dernier a fondé la ville qui porte son nom et exploite une mine qui s'épuise. Il cherche à récupérer les parcelles des indépendants. Les malfrats partis, la jeune Megan (Mélanie dans la version française) Wheeler enterre son chien, innocente victime, et prie. C'est à ce moment que surgit de la montagne un cavalier solitaire tout de noir vêtu. Il est pasteur, comme l'atteste son col blanc, mais nul ne connaît son passé ni même son nom. On l'appelle le Prédicateur (the Preacher en Modèle:VO). Hull Barret, opposé depuis longtemps à Coy LaHood, l'accueille sous son toit. Coy Lahood fait appel à des tueurs à gages. Le pasteur ne va pas tarder à prouver ses qualités de tireur, élimine ses ennemis — dont le chef est surpris de le reconnaître juste avant de mourir — et disparaît.
Fiche technique
- Titre français : Pale Rider, le cavalier solitaire
- Titre québécois : Le cavalier solitaire<ref name="releaseinfo" />
- Titre original : Pale Rider
- Réalisateur : Clint Eastwood
- Scénario : Michael Butler et Dennis Shryack
- Musique : Lennie Niehaus
- Décors : Edward C. Carfagno
- Photographie : Bruce Surtees
- Montage : Joel Cox
- Production : Clint Eastwood
- Producteur délégué : Fritz Manes
- Société de production : The Malpaso Company
- Société de distribution : Warner Bros.
- Budget : Modèle:Unité
- Langue originale : anglais
- Pays de production : Modèle:Nobr
- Format : 2.35:1 - 35 mm - Couleur - Son Dolby
- Genre : western, drame
- Durée : 115 minutes
- Dates de sortie<ref name="releaseinfo">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:releaseinfo|releaseinfo|reference}} {{#if:||Dates de sortie}} sur l’Modèle:Lang</ref> :
- France : Modèle:Date
Distribution
- Clint Eastwood (VF : Jean-Claude Michel) : le pasteur
- Michael Moriarty (VF : Claude Brosset) : Hull Barret (Henry Barret en Modèle:VF)
- Carrie Snodgress (VF : Annie Sinigalia) : Sarah Wheeler
- Chris Penn (VF : Éric Legrand) : Josh LaHood
- Richard A. Dysart (VF : Jacques Deschamps) : Coy LaHood
- Sydney Penny (VF : Séverine Morisot) : Mélanie Wheeler (Megan en VO)
- Doug McGrath (VF : Mario David) : Spider Conway
- Richard Kiel (VF : Georges Atlas) : Club
- John Russell (VF : Jacques Berthier) : Marshal Stockburn
- Charles Hallahan (VF : Henry Djanik) : MacGill
- Marvin J. McIntyre : Jagou
- Fran Ryan : Ma Blankenship
- Modèle:Lien : Jed Blankenship
- Chuck Lafont : Eddie Conway
- Jeffrey Weissman : Teddy Conway
- Billy Drago : l'adjoint Mather
- S.A. Griffin : l'adjoint Folke
- Jack Radosta : l'adjoint Grissom
- Robert Winley : l'adjoint Kobold
- Jeffrey Josephson : l'adjoint Sedge
- John Dennis Johnston : l'adjoint Tucker
- Fritz Manes (caméo)
Production
Genèse et développement
Pale Rider s'inspire fortement de L'Homme des vallées perdues (Shane), réalisé par George Stevens et sorti en 1953, avec Alan Ladd dans le rôle-titre. Clint Eastwood a modifié le contexte (des mineurs plutôt que des fermiers) et l'enfant qui admirait Shane est devenu une jeune femme qui exprimera son amour pour le justicier. Mais la trame est identique ainsi que l'aspect surnaturel du film qui entraîne le western du côté du mytheModèle:Réf nécessaire.
À l'origine, Lee Van Cleef devait interpréter Stockburn, avant que le rôle ne revienne à John RussellModèle:Réf nécessaire.
Tournage
Le tournage a lieu dans l'Idaho (zone protégée de la forêt nationale de Sawtooth, Sun Valley) ainsi qu'en Californie (Jamestown, Columbia)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:locations|locations|reference}} {{#if:||Locations}} sur l’Modèle:Lang.</ref>.
Lors d'une scène, Clint Eastwood tombe de cheval et se blesse à l'épaule, la pire blessure en tournage de sa carrière selon ses propres dires<ref name="trivia">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:trivia|trivia|reference}} {{#if:||Trivia}} sur l’Modèle:Lang.</ref>.
Accueil
Critique
Modèle:... Le film reçoit des critiques globalement positives à sa sortie. Sur l'agrégateur américain Rotten Tomatoes, il récolte 93 % d'opinions favorables pour 27 critiques et une note moyenne de Modèle:Frac<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de Modèle:Frac pour 13 critiques<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le célèbre critique américain Roger Ebert est élogieux envers le film<ref name="Ebert">Modèle:Lien web.</ref>. Vincent Canby de The New York Times vante les qualités de metteur en scène de Clint Eastwood, son intelligence et sa facilité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Gene Siskel du Chicago Tribune remarque que même si les westerns sont un peu démodés Modèle:Citation<ref name="chicagotribune">Modèle:Lien web.</ref>. Cependant, Rita Kemply du The Washington Post critique le manque d'originalité du film trop lié aux caractéristiques habituelles du genre<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le film est nommé dans la liste AFI's 10 Top 10 des meilleurs westerns de l'American Film Institute mais n'est finalement pas retenu dans le top 10 final<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Box-office
- Modèle:Nobr : Modèle:Unité<ref name="rider">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Box-office - Box Office Mojo.</ref>
- Modèle:Pays : Modèle:Unité<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} JP's box-office. Consulté le Modèle:Date.</ref>
Pale Rider, le cavalier solitaire est le meilleur western au box-office des années 1980<ref name="trivia" />.
Commentaires
Le film fait souvent référence à la Bible, comme l'a reconnu Clint Eastwood. Son titre vient des Cavaliers de l'Apocalypse, dont le quatrième et dernier monte un cheval pâle (blême) et se nomme « Mort ». Le pasteur apparaît précisément au moment où la jeune Mélanie lit ce passage de la Bible.
Le commentaire du pasteur après avoir rossé des malfrats est : Modèle:Citation. Lahood lui ayant proposé de construire une église pour qu'il y exerce son ministère, il lui répond : Modèle:Citation. Mammon signifie « argent »<ref name = Marsh>Clive Marsh, Gaye Ortiz, Explorations in theology and film: movies and meaning, Blackwell Publishers 1997 (reprint 2001), p. 68. </ref>.
Clint Eastwood incarne ici un personnage dont le nom n'est pas dévoilé, comme dans plusieurs autres westerns dans lesquels il a joué, notamment la « trilogie du dollar » de Sergio Leone<ref name="trivia" />.
On peut également trouver une analogie avec L'Homme des Hautes Plaines dans lequel Clint Eastwood jouait aussi le rôle d'un justicier fantôme anonyme semblant sorti de nulle part, et qui repart mystérieusement après avoir rempli sa mission.
Remake non officiel
Le film Missionary Man (2007), de et avec Dolph Lundgren, possède une intrigue très similaire à celle de Pale Rider, le cavalier solitaire, dont Dolph Lundgren est fan<ref name="trivia" />.