Philosophie des sciences

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Ampère, Essai sur la philosophie des sciences, 1838.

Modèle:Infobox Discipline

La philosophie des sciences est la branche de la philosophie qui étudie les fondements philosophiques, les méthodes et les implications de la science, qu'il s'agisse de sciences naturelles ou de sciences sociales.

La philosophie des sciences a pour objet la définition de la science, son but et la fiabilité des théories. Dans cette optique, elle s'appuie sur la philosophie (métaphysique, ontologie, éthique) et l'histoire des sciences. Elle regroupe de multiples courants de pensée selon les spécialités scientifiques qu'elle traite comme les mathématiques, la physique ou la biologie.

Les questions majeures de la philosophie des sciences sont les mêmes depuis les origines de la philosophie occidentale. On y aborde traditionnellement la manière de définir la connaissance et de distinguer la science de la pseudo-science ainsi que les questions de l'existence d'une méthode scientifique et du rapport entre science et société.

Elle se distingue de l'épistémologie qui traite plus particulièrement de la méthodologie scientifique et de l'étude critique de la science. Elle se distingue également de la théorie de la connaissance qui porte sur la connaissance en général et non spécifiquement sur la connaissance scientifique.

Histoire

La distinction entre la théorie de la connaissance et la philosophie des sciences est récente et est due à l'apparition de la science moderne et à la constitution de la « science » comme un champ différent de la « philosophie ».Modèle:Sfn Cette distinction n'a véritablement émergé qu'à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècleModèle:Sfn, bien que des ouvrages relevant de la philosophie des sciences aient été publiés au XIXe siècle.

L'émergence de la science moderne

Modèle:Article détaillé Depuis la fin du XIXe siècle, un important débat historiographique a opposé deux camps : d'un côté, ceux qui mettaient en avant la rupture marquant les débuts de la science moderne, incarnée au milieu du 20ème siècle par la théorie de la révolution scientifique. De l'autre, une minorité soulignait plutôt les continuités entre la science scolastique, ainsi que la science arabe et antique, tel que Pierre Duhem.Modèle:Sfn

L'héritage antique et médiéval

La traduction humaniste de la Renaissance font remonté l'origine de la science aux penseurs présocratique tel que Pythagore ou Thalès. Aristote quant à lui met en avant l'importance de l'observation empirique et de la classification des êtres vivants dans la biologie.Modèle:Sfn

La Renaissance rejettera au contraire l'héritage intellectuel de la période moyenâgeuse, bien que cette dernière soit également héritière de l'Antiquité classique. Les savants médiévaux avaient réalisé, avec la scolastique, une synthèse entre la philosophie d'Aristote et le christianisme.Modèle:Sfn Les penseurs médiévaux comme Thomas d'Aquin, s'appuient sur la philosophie aristotélicienne pour développer une théologie rationnelle, qui influencera à son tour la pensée moderne. Ils s'intéressent également à la physique et à l'astronomie.Modèle:Sfn

En somme, la science antique et médiévale est marquée par une forte interconnexion entre les différentes disciplines, ainsi qu'une recherche constante de principes unificateurs et d'explications causales. Elle pose les bases de la pensée scientifique moderne, en faisant appel à l'observation, la mesure et la logique, tout en cherchant à concilier la raison et la foi.Modèle:Sfn

Mais la production de savoir reste contrôlé par l'église jusqu'au début du XVIe siècle. L'Église exerce son plein contrôle sur les lettrés, qui appartiennent majoritairement à l'univers des clercs. Les sciences sont intégrées dans l'édifice scolastique, couronné par la théologie.Modèle:Sfn

La constitution de la science en tant que discipline à part

Modèle:Section vide ou incomplète Modèle:Article détaillé L'avènement de la science en tant que discipline distincte est généralement lié à celui de l'astronomie à travers les découvertes de Nicolas Copernic ou de Galilée.

L'émergence de la philosophie des sciences : une recherche de classification et d'unité

Les premières occurrences de l'expression "philosophie des sciences" sont liées à des tentatives de classification des sciences qui en respectent la diversité tout en affirmant leur unité, avec une vocation pédagogique accentuée et soutenant le discours du progrès.Modèle:Sfn

Le terme "scientist" fut ainsi été inventé en 1833Modèle:Sfn, et le terme « philosophie des sciences » à proprement parler fut utilisé pour la première fois par André-Marie Ampère dans son Essai sur la philosophie des sciencesModèle:Note en 1834, où il envisage les sciences comme autant de faits, et la philosophie des sciences consiste à découvrir l'ordre naturel de ces groupes.Modèle:Sfn Au même moment, Auguste Comte propose une classification plus ample sous l'appellation de "philosophie des sciences", qui va des mathématiques aux sciences biologiques, et à ce qui deviendra la sociologie.

En Angleterre, William Whewell introduit l'expression "The philosophy of science" dans le vocabulaire philosophique anglais en 1840 dans son grand livre The philosophy of inductive sciences, founded upon their history, qui présente cette philosophie des sciences comme "une vue complète de l'essence et des conditions de tout savoir réel".Modèle:Sfn

Domaines

Philosophie générale des sciences

Modèle:Refnec

Philosophie des sciences spéciales

Le précis de philosophie des sciences détaille le tronc commun à toutes les sciences et les spécificités des sciences spéciales suivantes :

Aspect sociétaux

Besoin de philosophie et utilité

Modèle:Crédit d'auteurs Modèle:Loupe Modèle:Refnec

Modèle:Refnec.

Aurel David explique ainsi que Modèle:Citation<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Pour le prix Nobel de physique Steven Weinberg, auteur de Le Rêve d'une théorie ultime (1997)<ref>Steven Weinberg, Le Rêve d'une théorie ultime, 1997, Odile Jacob.</ref> la philosophie des sciences est inutile car elle n'a jamais aidé la connaissance scientifique à avancer.

Critiques de la science

Paul Feyerabend dans son ouvrage<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> a voulu montrer qu'il n'y a pas une seule description de la méthode scientifique qui puisse être suffisamment large et générale pour englober l'ensemble des méthodes et approches utilisées par les scientifiques. Il a critiqué l'établissement d'une méthode scientifique normative, au titre qu'un tel procédé ne pourrait que ralentir, voire réprimer le progrès scientifique. Pour lui, le seul principe qui ne gêne pas l'activité scientifique est le laisser-faire. En effet aucune méthodologie (ni l'inductivisme, ni le réfutationnisme) ne s'accorde avec l'histoire de la physique.

Toutes les méthodologies ayant leurs limites, une seule règle survit, c'est « Tout est bon ». Mais cette affirmation ne veut pas dire faire n'importe quoi ! La méthodologie selon lui « peut » fournir des critères d'évaluation qui permettent aux scientifiques de prendre des décisions (ie: les Programmes de recherches chez Imre Lakatos)Modèle:Refins, mais, en général, ils ne contiennent pas de règles qui leur disent ce qu'il « faut faire ».

L'infaillibilité scientifique

Modèle:Refnec

Responsabilité sociétale

Le philosophe Hans Jonas (Le Principe responsabilité, 1979) pointe la responsabilité que portent toutes les personnes de la société vis-à-vis des conditions d'application technique des sciencesModèle:Refins. Modèle:Refnec

Modèle:Refnec

Modèle:Article détaillé

Les incidences de la science sur la société incitent la philosophe Isabelle Stengers à poser la question de la pertinence des savoirs scientifiques. Pour elle la réponse ne peut émaner que d’un débat démocratique<ref>Isabelle Stengers, Sciences et pouvoirs, La Découverte, 1997, Modèle:P. et 107</ref>.

Modèle:Refnec

Modèle:Article détaillé Pierre Bourdieu : "Puisque les savants sont censés produire de la vérité sur le monde [… il leur faut] restituer les acquis de la science dans les domaines où ces acquis pourraient contribuer de manière positive à résoudre des problèmes qui ont accédé à la conscience publique. Mais la fonction la plus utile, en plus d'un cas, serait de dissoudre les faux problèmes ou les problèmes mal posés. [… À la télévision], les faux philosophes [… prennent] au sérieux les faux problèmes [scientifiques proposés dans l'émission]. [… ⇒] il faudrait des commandos d'intervention philosophique rapide pour détruire les faux problèmes [scientifiques], pour faire du Wittgenstein dans la vie de tous les jours et spécialement dans les médias" <ref>Modèle:Harvsp.</ref>. La sociologie ? un sport de combat ? ! "Face à la TV, il faudrait une sorte de mouvement de résistance civique […] contre l'imposition généralisée de problématiques [aller voir directement les qualificatifs évoqués !]<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Guillaume Lecointre pense utile de rappeler : Les connaissances empiriques, universellement testables, constituent la partie de nos savoirs qui unissent les hommes, et c'est pour cela qu'elles sont politiquement publiques (Modèle:P.). "On peut mettre cette posture [les options métaphysiques sont personnelles et politiquement privées : la laïcité au sens français du terme] au nom d'une priorité donnée dans le champ public au droit à l'indifférence (ici métaphysique) sur le droit à la différence selon une formule présentée par Caroline Fourest (Modèle:P.)<ref name=":1" /> " (Modèle:P.). "Sur un plan plus politique qu'épistémologique, la meilleure arme contre le créationnisme reste la laïcité française [… + ] les différentes sphères de contraintes et de libertés […] (Modèle:P. ). En conclusion : "Expliciter vers le public le périmètre des méthodes qui caractérisent le[.] métier [de chercheur], et écrire vers le public pour expliquer pourquoi et comment les créationnistes philosophiques utilisent les sciences à d'autres fins que les leurs (Modèle:P.)<ref name="Lecointre114" />.

Contrat tacite du chercheur en sciences

Guillaume Lecointre, reprenant les travaux de Pierre Bourdieu<ref>Modèle:Harvsp.</ref> : "La profession des scientifiques a pour but collectif de produire des connaissances objectives sur le monde réel"<ref name="Lecointre102">Modèle:Harvsp.</ref>. Une nouvelle connaissance, dûment éditée, publiée dans un journal spécialisé à comité de relecture, doit être corroborée par au moins une équipe indépendante pour pouvoir faire partie du corpus des connaissances objectives. "Ce principe est valide pour toutes les sciences, histoire, sociologie, psychologie comprises. Toutes sont appelées à produire des discours à portée universelle parce qu'ils sont vérifiables." <ref name="Lecointre102" />.

Guillaume Lecointre<ref>Modèle:Harvsp</ref> juge nécessaire de rappeler les termes du contrat tacite qui conditionne la possibilité de reproductibilité des expériences scientifiques :

  1. Scepticisme initial sur les faits,
  2. Réalisme de principe,
  3. Matérialisme méthodologique
  4. Rationalité [et logique].

Science face aux créationnismes

Modèle:Article détaillé Guillaume Lecointre affirme Modèle:Citation<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Modèle:Citation <ref>Modèle:Harvsp</ref>. Modèle:Citation<ref name="Lecointre125">Modèle:Harvsp.</ref>

Beaucoup de personnes ignorent que : Modèle:Citation<ref name="Lecointre125" />. Modèle:Citation<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

B. Latour confie que Modèle:Citation (Modèle:P.)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Guillaume Lecointre pense qu'Modèle:Citation<ref name="Lecointre129">Modèle:Harvsp.</ref>.

Guillaume Lecointre appelle de ses vœux une évolution de la notion de distinction-séparation entre les sphères publique et privée<ref name="Lecointre125" />,<ref name=":1" /> : les sphères de sens.

Écoles de pensée

Réalisme scientifique et instrumentalisme

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Contrairement au réalisme, l'instrumentalisme avance que nos perceptions, les idées et théories scientifiques ne reflètent pas nécessairement la parfaite réalité du monde, mais qu'ils sont d'utiles moyens pour expliquer, prévoir et contrôler nos expériences. Selon le point de vue d'un instrumentaliste, les électrons et les champs magnétiques sont des idées commodes, dont l'existence est contingente. L'instrumentalisme vient Modèle:Pas clair du pragmatisme selon John DeweyModèle:Refins.

Modèle:Pas clair la science utilise des "hypothèses explicatives", autrement dit des théories qui ont permis "jusqu'à présent" de prévoir les observations.

Prenons un exemple :
Modèle:Refnec

Constructivisme

Modèle:Article détaillé

Modèle:Refnec

Pierre Bourdieu réfute l'analyse de la science faite par des constructivistes qu'il considère comme étant idéalistes, et hors du réel : Modèle:Citation<ref>Modèle:Harvsp.</ref>

Constructivisme social

Modèle:Article détaillé

En sociologie, le constructivisme social est au croisement de différents courants de pensée et fut présenté par Peter L. Berger et Thomas Luckmann dans leur livre The Social Construction of Reality (1966). Il cherche à découvrir la manière dont la réalité sociale et les phénomènes sociaux sont « construits » c’est-à-dire la manière dont ces phénomènes sont créés, institutionnalisés et transformés en traditionsModèle:Refins.

Analyse et réductionnisme

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Modèle:Pas clair

  • "[…] Réductionnisme : Pour rendre compte des données connues, tout savant doit fournir l’explication la plus simple possible, la plus économique et (généralement) la plus élégante possible. Mais le réductionnisme devient un défaut si l’on accorde une importance excessive au principe que l’explication la plus simple est la seule possible. Il arrive qu’on doive envisager les données dans une Gestalt plus grande". (Gregory Bateson, Modèle:P., La Nature et la Pensée, Seuil, Paris, 1984).

Daniel Dennett a montré qu'un réductionnisme total était possible, tout en soulignant qu'il s'agirait d'une « mauvaise science », cherchant à démontrer trop à partir de trop peu. Les arguments avancés à l'encontre d'un tel réductionnisme reposent sur l'idée que des systèmes auto-référencés contiennent en effet plus d'information pouvant être décrite par des comportements individuels, ou participants à celui d'un groupe, que les autres systèmes. Des exemples concrets sont les organisations fractales ou les systèmes auto-évolutifs découverts en chimie. Mais l'analyse de telles organisations est nécessairement destructive d'informations, parce que l'observateur doit d'abord sélectionner un échantillon du système étudié, qui peut être partiellement représentatif de l'ensemble cohérent. La théorie de l'information peut être mise à profit pour calculer l'ampleur de la perte d'information ; c'est d'ailleurs une des techniques appliquées dans la théorie du chaosModèle:Refins.

Réalisme scientifique et métaphysique des sciences

La métaphysique des sciences est le projet de développer une vision cohérente et complète de la nature sur la base des théories scientifiques<ref name= "Précis141">Modèle:Harvsp.</ref>. La science ne se construit pas sur un socle fondationnaliste - un point de vue absolu - mais elle est en perpétuelle constitution (le bateau de Neurath)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

La métaphysique des sciences, qui appartient à la philosophie analytique, ne consiste plus uniquement en l'analyse du langage mais plus largement en un discours systématique et argumentatif visant à la compréhension du monde et la position que l'être humain y occupe. Poursuivant ainsi Platon et Aristote elle développe des catégories générales qui cherchent à saisir l'être du monde empirique (cf. Aristote, Métaphysique, livre 4) à partir d'un ancrage puissant dans les sciences<ref name= "Précis141"/>.

Ce projet est une forme de réalisme scientifique caractérisé par :

  • une proposition métaphysique : L'existence et la construction de la nature sont indépendantes (ontologie et causalité) des théories scientifiques.
  • une proposition sémantique : la constitution de la nature dit lesquelles des théories scientifiques sont fiables (terme préféré à "vraies" car la science est en perpétuelle construction) et donc lesquelles ne sont pas vraies (ici le terme est opportun).
  • une proposition épistémique : Les sciences sont, en principe, capables de donner un accès cognitif à la constitution de la nature. Il existe deux discussions : une relative à la sous détermination de la théorie par l'expérience (Pierre Duhem, 1906, Willard Van Orman Quine, 1951). L'autre relative aux bonds cognitifs liés aux grandes avancées que l'on a constaté dans l'histoire des sciences (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Ce projet de métaphysique des sciences a à sa disposition les théories universelles et fondamentales acquises depuis Newton dont certaines sont déterministes et d'autres probabilistes (position privilégiée de la physique). Les théories des sciences spéciales ne sont pas universelles et dépendent de la théorie de la physique fondamentale. Contrairement à la théorie de la physique fondamentale pour laquelle un principe de complétude causale, nomologique et explicative s'applique, les théories des sciences spéciales ne sont pas complètes<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Quatre positions métaphysiques sont possibles liées à 2 distinctions (David Lewis)<ref>Modèle:Harvsp.</ref> :

  • Propriétés intrinsèques (atomisme) ou relations dans une structure (holisme).
  • Propriétés catégoriques (purement qualitatives) ou Propriétés causales (engendrant par leur nature même certains effets)

Deux autres distinctions ont été aussi examinéesModèle:Qui? : propriétés comme universaux et propriétés comme modes.

Après avoir examiné les distinctions, les sciences spéciales comme la mécanique quantique et la biologie notamment ainsi que les courants philosophiques des sciences comme le réalisme scientifique, Michael Esfeld conclut en prenant soin de rappeler Modèle:Pas clair<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

La justification des résultats scientifiques

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Rasoir d'Ockham

Le rasoir d'Ockham est une pierre de touche en philosophie des sciences. Guillaume d'Occam énonça qu'il faut toujours préférer la manière la plus simple d'expliquer un phénomène si on a le choix entre plusieurs possibilités valides. Lui-même ne dit rien sur la véracité intrinsèque d'un tel énoncé, mais souvent la manière la plus simple d'expliquer parfaitement un phénomène s'est révélée être finalement plus exacte que les propositions plus « complexes ».

Modèle:Refnec

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Guillaume Lecointre<ref name="Lecointre114">Modèle:Harvsp.</ref> juge nécessaire de rappeler : « le principe de parcimonie ou principe d'économie d'hypothèses, implique que lorsque nous faisons une inférence sur le monde réel, le meilleur scénario ou la meilleure théorie sont ceux qui font intervenir le plus petit nombre d'hypothèses ad hoc, c'est-à-dire non documentées ».

Induction

Modèle:Article détaillé

Modèle:Refnec

Réfutabilité

Modèle:Article détaillé Karl Popper, dans Conjectures et réfutations, utilise la réfutabilité comme critère de scientificité. Une théorie qui n'est pas réfutable, c'est-à-dire dont les prédictions ne peuvent être prises en défaut par l'expérimentation, n'est pas scientifique. Une science indépassable ne prouve rienModèle:Refins.

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Cohérence

Modèle:Refnec


Notes et références

Notes

Modèle:Notes

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Sources utilisées dans cet article

Sources complémentaires

Français

Anglais

Liens internes

Notions Modèle:Colonnes

Théoriciens Modèle:Colonnes

Liens externes

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