Piège de cristal

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Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Modèle:Infobox V3/Fin Piège de cristal (Modèle:Langue) est un film d'action américain réalisé par John McTiernan, sorti en 1988.

Écrit par Jeb Stuart et Steven E. de Souza, le film est librement adapté du roman Modèle:Lien<ref name=thorp>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata|^%a%a||plain=false}}/{{#if:|}} Roderick Thorp sur l’Modèle:Lang.</ref> de Roderick Thorp publié en 1979. Le film met en scène un officier de la police de New York, John McClane (Bruce Willis).

Le style du film mêle action, suspense et humour. Le film sort en salles le Modèle:Date aux États-Unis et le Modèle:Date en France. Son succès entraîne quatre suites : 58 minutes pour vivre en 1990, Une journée en enfer en 1995, Die Hard 4 : Retour en enfer en 2007, Die Hard : Belle journée pour mourir en 2013.

Synopsis détaillé

La veille de Noël, l'inspecteur de police new-yorkais John McClane arrive à Los Angeles avec l'intention de se réconcilier avec son épouse, Holly, dont il est séparé depuis six mois lorsqu'elle s'est installée ici pour son travail. Il est conduit par le chauffeur engagé par la compagnie, Argyle, pour assister à une fête de Noël organisée par l'employeur de Holly, la Nakatomi Corporation. Argyle attend McClane dans le parking au cas où la réconciliation avec Holly échouerait. Le policier retrouve Holly. Alors que McClane se rafraichit dans la salle de bain du bureau de cette dernière, au même moment la tour est attaquée par un criminel allemand, Hans Gruber, et son équipe lourdement armée, composée de Karl et son frère Tony, Theo, Alexander, Heinrich, Marco, Eddie, Uli, Franco, Kristoff, Fritz et James. Ceux qui se trouvent à l'intérieur de la tour sont pris en otage, à l'exception de McClane, qui s'enfuit après avoir entendu des détonations et des cris. Gruber interroge le dirigeant de la branche américaine de Nakatomi, Joseph Takagi, pour obtenir le code du coffre-fort du bâtiment. Gruber révèle qu'il prévoit de voler 640 millions de dollars en obligations au porteur et que son groupe et lui se font passer pour des terroristes pour dissimuler le vol. Takagi refuse de coopérer et est exécuté d'une balle dans la tête sous les yeux de McClane, caché non loin. Theo est chargé de pénétrer dans le coffre-fort. McClane, qui surveille secrètement les évènements, déclenche une alarme incendie dans une tentative infructueuse d'attirer les autorités. Tony est envoyé pour retrouver McClane. Après une confrontation, McClane le tue, obtenant son arme et sa radio, qu'il utilise pour contacter le département de police de Los Angeles. Le sergent Al Powell est dépêché sur place pour vérification.

McClane tue Marco et Heinrich, envoyés par Gruber pour le neutraliser, récupérant le sac d'explosifs et de détonateurs C-4 de ce dernier. Ne voyant rien d'anormal, Powell s'apprête à partir lorsque McClane jette le corps de Marco sur sa voiture de patrouille. Powell appelle des renforts qui arrivent à toute vitesse, une équipe SWAT assiège le bâtiment mais est neutralisée par des tirs au rez-de-chaussée et un tir de lance-roquettes par James et Alexander. McClane parvient à communiquer avec Powell via la radio prise aux assaillants. Afin d'empêcher les terroristes de faire davantage de morts, McClane jette du C-4 dans une cage d'ascenseur, tuant le duo et mettant fin à l'assaut de la police. Pendant ce temps, le collègue de Holly, Harry Ellis, tente de servir de médiateur entre Gruber et McClane pour la reddition de ce dernier. McClane refuse et Ellis est tué d'une balle dans la tête par Gruber, qui décide de vérifier les explosifs installés sur le toit. Durant le contrôle, il rencontre McClane. Il se présente à lui comme un otage évadé. McClane lui confie une arme à feu et Gruber tente de lui tirer dessus, mais l'arme est vide car McClane avait compris qu'il s'agit de Gruber. Karl, Franco et Fritz surgissent et se mettent à tirer sur McClane. Le policier parvient à tuer Fritz et Franco, mais est grièvement blessé au pied gauche par le verre brisé des fenêtres des bureaux et est contraint de fuir, abandonnant les détonateurs.

À l'extérieur, des agents du FBI prennent en main la situation et font couper l'électricité de l'immeuble. Comme Gruber l'avait anticipé, la coupure de courant désactive le verrou final du coffre-fort où se trouve le butin, son équipe dérobe les obligations. Gruber demande qu'un hélicoptère soit transporté sur le toit. Le FBI est d'accord, avec l'intention d'envoyer des hélicoptères de combat pour éliminer le groupe, indépendamment des dommages collatéraux aux otages. Un McClane découragé contacte Powell, avec lequel un début d'amitié s'installe. Powell dit à McClane qu'il a accidentellement tiré sur un enfant lors d'une patrouille et qu'il n'a plus utilisé son arme depuis. McClane comprend ensuite que Gruber a l'intention de faire exploser le toit — tuant les otages et les agents du FBI — pour simuler la mort de son équipe. Karl affronte McClane et ils se battent. Gruber, qui regarde les informations télévisées, voit un reportage du journaliste Richard Thornburg sur les enfants de McClane et comprend qu'il est le mari de Holly. Les otages sont escortés jusqu'au toit, tandis que Gruber garde Holly avec lui. Pendant le long combat, McClane neutralise Karl, le laissant pour mort. Il se rend sur le toit, tue Uli et sauve les otages juste avant que Gruber ne fasse exploser le toit, détruisant les hélicoptères du FBI. Pendant ce temps, Theo récupère leur véhicule d'évasion dans le parking mais est neutralisé par Argyle, qui suivait les évènements sur sa radio.

Un McClane fatigué et blessé trouve Holly avec Gruber et ses hommes restants, Eddie et Kristoff. Après avoir assommé Kristoff, McClane affronte Gruber qui lui ordonne de poser son arme à feu. McClane le fait pour épargner Holly mais distrait Gruber et Eddie en riant, saisit un pistolet caché dans son dos, qui contient deux balles. McClane blesse Gruber et tue Eddie. Gruber tombe par une fenêtre mais s'accroche au poignet de Holly. Il fait une dernière tentative pour tuer le couple, mais McClane détache la montre-bracelet de Holly auquel Gruber s'était accroché, ce dernier faisant une chute mortelle du haut de l'immeuble.

Le bâtiment est évacué. McClane et Holly, à l'extérieur, rencontrent Powell. Soudain, Karl, qui a feint sa mort, surgit et tente de tirer sur McClane mais est tué de plusieurs balles de revolver par Powell. Thornburg arrive et essaie d'interviewer les McClane, mais Holly frappe le journaliste. Argyle conduit la limousine hors du parking et emmène McClane et Holly.

Fiche technique

Modèle:Source Allociné et Imdb

Distribution

Modèle:Début de colonnes

Modèle:Fin de colonnes

Source et légende : version française (VF) sur Voxofilm<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web.</ref> et RS Doublage<ref>Modèle:Lien web.</ref>

Production

Fichier:Fox Plaza HD.jpg
Le Nakatomi Plaza, en réalité le Fox Plaza, le décor principal du film.

Genèse du projet

En 1985, la 20th Century Fox et Joel Silver projettent d'adapter le roman Nothing Lasts Forever pour produire une suite au film Commando. Mais Arnold Schwarzenegger refuse finalement de reprendre son rôle de John Matrix. L'idée scénaristique est donc recyclée par la Fox et le producteur Joel Silver pour un nouveau projet, Die Hard<ref name="dossierallocine">Dossier (Presque) tout sur Die Hard ! - page 1 - AlloCiné.</ref>.

Après le succès de Predator, John McTiernan a gagné la confiance des producteurs (Lawrence Gordon et Joel Silver) pour son film suivant et dispose désormais d'une plus grande liberté d'action. À l'origine, le scénario était plus sombre, à l'image du roman d'origine, et les preneurs d'otages étaient de véritables terroristes. Mais comme il s'agissait avant tout d'un divertissement d'été, le scénario a été édulcoré et les terroristes sont devenus des braqueurs.

Distribution des rôles

Par contrat avec la Fox, Frank Sinatra était lié au projet, car il avait joué dans l'adaptation du roman précédant Nothing Lasts Forever, Le Détective, mais était trop âgé pour le rôle<ref name="dossierallocine" />.

Le rôle de John McClane a d'abord été proposé à divers acteurs de films d'action comme Sylvester Stallone ou à des acteurs en pleine gloire comme Richard Gere, Mel Gibson, Al Pacino et Burt Reynolds<ref name="dossierallocine" />. Les producteurs se tournent donc vers des acteurs de télévision : Don Johnson (Deux flics à Miami), Richard Dean Anderson (MacGyver) et Bruce Willis, alors en plein succès grâce à la série télévisée comique Clair de lune<ref name="dossierallocine" />. L'acteur n'est pas très connu à l'international à cette époque. Il ne sera même pas présent sur les affiches internationales du film.

Tournage

Le tournage débute le Modèle:Date- et se termine au début du mois de Modèle:Date-. La tour-vedette du film, le Nakatomi Plaza, est en fait le Fox Plaza le siège de la 20th Century Fox, où l'équipe du film a bénéficié de huit semaines de tournage. Le reste du tournage a eu lieu dans les studios de la Fox à Los Angeles<ref>Lieux de tournage - Internet Movie Database.</ref>. La tour américaine était encore en construction à l'époque du tournage.

Durant presque tout le tournage, Bruce Willis portait des chaussures en plastique en forme de pieds nus qui avaient été conçues spécialement pour ses pieds<ref>Modèle:Article</ref>.

Hans Buhringer, l'interprète de Fritz, le braqueur aux longs cheveux blonds, n'a pas été appelé pour tourner la scène où son personnage meurt abattu en sortant de l'ascenseur. L'équipe du film a donc décidé de remplacer Buhringer par le cascadeur américain Henry Kingi tout en lui mettant une perruque. La scène a été tournée en une seule prise de la manière suivante : Kingi avait des pétards sur lui afin de simuler sa mort. Buhringer plaisante donc en disant que son personnage n'est pas vraiment mortModèle:Réf nécessaire.

Musique

Modèle:Infobox Musique (œuvre) La musique du film est composée par Michael Kamen. On peut également entendre dans le film la Symphonie nº 9 de Ludwig van Beethoven, notamment l'Ode à la joie. Michael Kamen l'incorpore également dans certaines de ses compositions. Il utilise également des éléments de Singin' in the Rain pour le thème du personnage incarné par Clarence Gilyard Jr., Theo<ref>Modèle:Lien web</ref>. On peut par ailleurs entendre le Concertos brandebourgeois n°3 de Johann Sebastian Bach durant la fête au début du film. Dans sa limousine, Argyle écoute notamment Skeletons de Stevie Wonder.

Pour la scène où Karl réapparait avec son fusil, John McTiernan n'est pas satisfait par la composition fournie par Michael Kamen. Il utilise alors un morceau déjà existant dans le catalogue de la Fox. Il s'agit d'une composition de James Horner pour Aliens, le retour (1986)<ref name="DevMisc">Modèle:Lien web</ref>.

La bande originale n'est pas commercialisée avant Modèle:Date-, en édition limitée à Modèle:Nombre chez Varèse Sarabande<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'album est ensuite réédité par La-La Land Records en Modèle:Date-, dans une version 2CD pressée à 3 500 copies<ref>Modèle:Lien web</ref>. En plus des compositions originales de Michael Kamen, cette version contient Let It Snow! Let It Snow! Let It Snow! de Vaughn Monroe, Christmas in Hollis de Run-DMC ainsi qu'une composition de John Scott pour Man on Fire (utilisée quand McClane et Powell se voient pour la première fois)<ref>Piège de cristal - Cinézik</ref>.

Liste des titres

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Accueil

Accueil critique

Modèle:Infobox Critique presse Piège de cristal reçoit à sa sortie un accueil mitigé de la presse française. Si France-Soir le qualifie de Modèle:Citation et lui alloue la note maximale, Positif, Télérama, Les Échos et L'Événement du jeudi retiennent d'abord son côté Modèle:Citation sinon Modèle:Citation, en l'affublant tous d'un timide 2/5. La donne change cependant au fil du temps, le film gagnant un statut culte traduit par des critiques devenues très positives près de trente ans plus tard. Les Inrockuptibles et Metro, entre autres, y voient finalement un précurseur majeur du cinéma d'action, l'honorant chacun d'un Modèle:Frac<ref name="allopresse">Modèle:Lien web</ref>. Même tendance à l'étranger : l'agrégateur Metacritic recense plusieurs retours tièdes datant de 1988, mais retient finalement une moyenne honorable de Modèle:Frac pour 14 critiques<ref name="metacritic">Modèle:Lien web</ref>.

À l'étranger, le recueil de critiques Rotten Tomatoes rapporte que 93 % des 76 critiques ont donné un avis positif au film, qui hérite globalement d'une excellente moyenne de Modèle:Frac<ref name="rottentomatoes">Modèle:Lien web</ref>. De même, le site IMDB affiche une très bonne moyenne de Modèle:Frac sur Modèle:Nombre avis collectés<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Box-office

Modèle:Box-office

Piège de cristal sort aux États-Unis à la mi-juillet 1988 dans un circuit limité de 21 salles et rapporte Modèle:Unité lors de son premier week-end d'exploitation<ref name="Mojo"/>. Largement distribué la semaine suivante (dans 1 276 salles), le film se hisse en troisième position du box-office avec Modèle:Unité en week-end, portant le total à Modèle:Unité depuis sa sortie<ref name="Mojo"/>. N'étant pas diffusé au-delà de 1 713 salles, Piège de cristal parvient à se maintenir au box-office, restant dix semaines de suite dans le top 10 hebdomadaire et atteint la seconde place des meilleures recettes deux mois après sa sortie<ref name="Mojo"/>. Il finit son exploitation avec Modèle:Unité, devenant ainsi le septième plus grand succès commercial aux États-Unis en 1988<ref>Box-office annuel 1988 USA.</ref>.

Ce succès surprise<ref name="BOPN">Le Box-office pour les nuls.</ref> se confirme à l'international avec 57,8 millions $ de recettes, portant le total à Modèle:Unité, ce qui est rentable pour un budget de 28 millions $<ref name="Mojo"/>.

En France, le succès est relativement plus modeste en salles avec Modèle:Unité<ref name="BOPN"/> mais connaîtra un triomphe en vidéo<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Distinctions

Entre 1989 et 2019, le film Piège de cristal a été sélectionné dans diverses catégories et a remporté plusieurs récompenses<ref name="imdb Awards">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:awards|awards|reference}} {{#if:||« Piège de cristal - Distinctions »}} sur l’Modèle:Lang Modèle:Consulté le.</ref>,<ref name="Allociné palmares">Modèle:Lien web.</ref>.

Récompenses

1989
1990

Nominations

1989

Sélection

Autre

Conservation

En 2017, le film est sélectionné par le National Film Preservation Board pour conservation au National Film Registry de la Bibliothèque du Congrès, en raison de son apport « culturel, historique ou esthétique » à la culture américaine<ref name="National Film Registry">Modèle:Lien web.</ref>.

Commentaires

Modèle:Anecdotes

Différences avec le roman d'origine

Modèle:...

  • Le personnage principal se nomme Joe Leland dans le roman.
  • Dans le roman original Modèle:Lien<ref name=thorp/> de Roderick Thorp, l'action de l'intrigue se déroule en trois jours. Cependant, la majeure partie du film se déroule en une seule nuit.

Anecdote

Lorsque de l'interview du professeur spécialisé dans le terrorisme, celui-ci se trompe en parlant du syndrome d'Helsinki au lieu du syndrome de Stockholm sans que personne le remarque. C'est alors que le présentateur dit "Helsinki en Suède". Celui-ci passe pour un idiot dans le studio alors qu'il est plus proche de la vérité que le professeur.

Erreurs et faux raccords

  • Certains acteurs du film n'ont pu contrôler leurs réflexes pour jouer certaines scènes. Ainsi :
    • Au moment où Hans Gruber fait tourner la tête de Tony (mort), on peut apercevoir qu'Andreas Wisniewski cligne des yeux pile au moment où Alan Rickman le touche avec sa main.
    • Lorsque Hans découvre que Holly n'est autre que Mme John McClane, il tire au plafond. On peut apercevoir qu'Alan Rickman cligne aussi des yeux au moment où le pétard claque.
  • L'ambulance que Theo utilise pour s'échapper prend quasiment toute la place dans le camion. Il est donc impossible que les malfaiteurs puissent tenir à l'intérieur avec. Cette erreur est due au fait que le script n'était pas finalisé lorsque le tournage a débuté. John McTiernan s'en était rendu compte au moment de la postproduction. Une autre erreur pour cette même raison a lieu juste après que Theo soit neutralisé par Argyle. Pourtant ce dernier sort seul avec sa limousine du sous-sol pour récupérer les McLaine sans informer la présence du terroriste hors d'état de nuire.
  • Lorsque McClane s'abrite dans un coin du toit pour esquiver les tirs de l'hélicoptère des agents fédéraux (disant Modèle:Citation), on peut apercevoir qu'il porte des chaussettes alors qu'il est censé avoir les pieds nus et pansés.
  • Au début du film, lorsque McClane utilise l'ordinateur, à l'entrée de la tour, pour trouver sa femme le nom "Gennaro" apparaît à la fin de sa recherche, puis lorsqu'il pose le doigt dessus, le nom devient "Gennero" (qui est le nom exact)
  • Lorsque Karl sort du sac et se relève bien vivant, il brandit sa mitraillette Steyr AUG en direction de McClane avant d'être abattu par Powell. Or, bien qu'il ait survécu à sa pendaison et se soit fait passer pour mort, il n'est pas logique qu'il ait gardé son arme avec lui avant de se faire embarquer dans le sac car les policiers auraient pu la récupérer avant de l'emmener.

Références dans d'autres œuvres

Traduction allemande

Dans la version allemande du film, les prénoms des braqueurs allemands ont été changés par des prénoms américains. Ainsi Hans Gruber devient Jack Gruber, Karl devient Charlie, Heinrich devient Henry. Quand John écrit le nom des braqueurs sur son bras, une voix-off précise : Modèle:Citation. Par ailleurs, les références à leurs revendications par rapport à leur pays sont atténuées<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Schnittberichte — Stirb Langsam.</ref>.

Par ailleurs, dans la version originale, les braqueurs allemands disent n'importe quoi lorsqu'ils parlent entre eux. Les germanophones peuvent remarquer qu'ils font de nombreuses fautes de conjugaison et de syntaxe. C'est peut-être dû au fait que les acteurs qui incarnent les braqueurs avaient été sélectionnés pour leur air menaçant et non pour leur capacité à parler l'allemand.

Notes et références

Notes

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Références

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Liens externes

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