Plate-forme civique
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La Plate-forme civique ou Plateforme civique (Modèle:En lang, abrégé en PO), est un parti politique polonais de type libéral-conservateur, démocrate-chrétien et pro-européen, situé entre le centre et le centre droit.
Créée le Modèle:Date à partir de scissions de l'Alliance électorale Solidarité (AWS) et de l'Union pour la liberté (UW), et enregistrée officiellement en tant que parti le Modèle:Date-, elle est dirigée à ses débuts par Andrzej Olechowski, candidat à l'élection présidentielle de 2000, Maciej Płażyński, maréchal de la Diète de 1997 à 2001, et Donald Tusk, chef du gouvernement de 2007 jusqu'en septembre 2014. On surnomme parfois ces hommes « les trois ténors de la politique polonaise »<ref name="ténors">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Maturation libérale sur le site de la Rzeczpospolita, le Modèle:Date-.</ref>.
Elle est membre du Parti populaire européen, « famille se situant au centre droit de l'échiquier politique, dont les racines puisent dans l'histoire et la civilisation du continent européen et qui a, dès l'origine, œuvré pour le projet européen ».
Idéologie
Questions sociales
La Plate-forme civique a une position conservatrice dans le domaine social. Selon son programme de 2007, édité et diffusé à l'occasion des élections législatives, le « décalogue est la base de la civilisation occidentale, et le parti doit donc maintenir son soutien envers les familles traditionnelles polonaises et leurs normes morales, pour leur stabilité et leur développement »<ref name="programme2007">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien brisé Modèle:Pdf sur le site du parti. Consulté le Modèle:Date-.</ref>. PO s'oppose donc au mariage homosexuel<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Nous ne sommes pas en faveur de la légalisation des unions homosexuelles sur wprost.pl, le Modèle:Date-.</ref> et à l'euthanasie<ref name="programme2007" />. Concernant l'avortement, elle ne s'y montre pas favorable, comme la majorité des partis politiques polonais<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Tusk : Nous avons réussi à obtenir un compromis sur gazeta.pl, le Modèle:Date-.</ref>, sauf en cas de viol et lorsque la grossesse peut entraîner des risques vitaux pour la femme, des maladies mentales ou des malformations sur l'enfant<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Loi du Modèle:Date- sur la protection du fœtus humain et les conditions de licéité de l'avortement Modèle:Pdf sur isap.sejm.gov.pl, le Modèle:Date-.</ref>. Jusqu'à présent, PO n'a pas exprimé de position unifiée sur la fécondation in vitro<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Le temps s'améliore pour les conservateurs de la Plate-forme sur le site de la Rzeczpospolita, le Modèle:Date-.</ref>.
Programme économique
Le parti est plus modéré sur les questions économiques. En effet, il est le seul à s'opposer, en 2004, à l'augmentation des impôts sur le revenu pour les personnes les plus riches (dont le revenu annuel est supérieur à six-cent mille złotys), jugée inconstitutionnelle deux ans plus tard<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} L'impôt sur le revenu à 50 % est mort sur gospodarka.gazeta.pl, le Modèle:Date-.</ref>. Dans son programme, il préconise la création d'un impôt à taux unique, fondé sur l'activité et le déficit budgétaires<ref name="programme2007" />. Avant d'entrer dans l'Union européenne, Jan Rokita, l'un des hommes forts de PO, s'active pour faire adopter l'euro à son pays. Toutefois, ce sujet est repoussé par le gouvernement en place, mené par Marek Belka<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien brisé sur gazeta.pl, le Modèle:Date-.</ref>. Avec son entrée au gouvernement, Donald Tusk milite pour l'entrée dans la zone euro de la Pologne, qui annonça par la voix de son ministre des Finances Jacek Rostowski vouloir l'intégrer le Modèle:Date<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Kotecki pousse la Pologne vers l'euro sur le site de la Rzeczpospolita, le Modèle:Date-.</ref>.
La Plate-forme civique veut également réduire le coin fiscal, déjà diminué en 2007 par le gouvernement de coalition<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Le vote sur l'adoption du projet de loi modifiant le système d'assurance sociale sur sejm.gov.pl. Consulté le Modèle:1er juillet 2010.</ref>, et terminer les privatisations<ref name="programme2007" />. Cette dernière mesure est même lancée avec le Plan de privatisation 2008-2011, établi par Aleksander Grad et le ministère des Finances<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Le plan de privatisation pour la période 2008-2011 sur msp.gov.pl, le Modèle:Date-.</ref>. PO a annoncé sa volonté d'améliorer la situation des petites et moyennes entreprises, notamment en éliminant les obstacles administratifs à l'entrepreneuriat<ref name="programme2007" />. Elle est allée dans ce sens en 2009 en réduisant la bureaucratie fiscale<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Révolution sur les PIT : de nouvelles déclarations d'impôts sur podatki.gazetaprawna.pl, le Modèle:Date-.</ref>, comme souhaité par la Commission européenne<ref>Bruxelles veut moins de bureaucratie dans les États membres sur le site de La Tribune, le Modèle:Date-.</ref>, et en proposant de déclarer ses impôts sur internet.
PO a aussi entrepris le changement du système de retraites, avec la restriction des prépensions en 2008<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Trois vétos présidentiels rejetés sur le site de la Rzeczpospolita, le Modèle:Date-.</ref>.
Politique étrangère
Dès ses débuts, PO se déclare en faveur de l'entrée de la Pologne dans l'Union européenne. Il s'agit alors du deuxième parti à prendre cette position, après l'Union pour la liberté de Władysław Frasyniuk<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} À cinq minutes du référendum sur wiadomosci.polska.pl, le Modèle:Date-.</ref>. La Plate-forme civique lutte donc pour organiser un référendum, qu'elle obtient en 2003 et qui voit les Polonais se prononcer très largement – à plus de 77 % – pour l'entrée du pays dans l'UE. Selon PO, cette adhésion, qui succède à celle de l'OTAN, est un outil essentiel pour satisfaire les intérêts nationaux<ref name="programme2007" />. Le parti est aussi en faveur du Traité de Lisbonne, et réussit à faire signer le « protocole britannique », version abrégée de la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, à Lech Kaczyński<ref>Donald Tusk renoue avec l'Union européenne sur le site du Courrier international, le Modèle:Date-.</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Lisez ce qui est dans le traité de Lisbonne sur dziennik.pl, le Modèle:Date-.</ref>. Dans son programme de 2007, la Plate-forme se dit disposée à approfondir la coopération énergétique et la politique étrangère commune de l'Union<ref name="programme2007" />. Le Modèle:Date-, l'alliance PO-PSL, soutenue par le gouvernement suédois de Fredrik Reinfeldt, présente à Prague par l'intermédiaire de son ministre des Affaires étrangères Radosław Sikorski le Partenariat oriental, accord d'association entre l'Union européenne et l'Arménie, l'Azerbaïdjan, la Géorgie, la Moldavie, l'Ukraine et la Biélorussie<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Le succès de la diplomatie polonaise : l'UE a adopté le projet de Partenariat oriental sur gazeta.pl, le Modèle:Date-.</ref>. Contrairement à de nombreux partis européens majoritaires, comme l'UMP française<ref>Entrée de la Turquie dans l'UE : ceux qui sont pour, ceux qui sont contre sur le site du Monde, le Modèle:Date-.</ref> ou la CDU allemande<ref>« En Europe, plusieurs partis conservateurs se mobilisent contre l'adhésion de la Turquie » dans Le Monde, le Modèle:Date-.</ref>, PO est favorable à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne<ref>Varsovie s'engage en faveur de l'adhésion turque à l'UE sur le site de RIA Novosti, le Modèle:Date-.</ref>.
Vis-à-vis des États-Unis, PO désire maintenir des liens étroits entre les deux pays, mais veut changer la nature du partenariat pour qu'il devienne plus équilibré<ref name="programme2007" />. Cette idée est appliquée en 2008, lorsque Donald Tusk, arrivé au pouvoir un an plus tôt, durcit les négociations concernant l'installation d'un bouclier antimissile américain sur le sol polonais, pour exiger une assistance militaire américaine afin d'améliorer la défense de l'espace aérien de son pays<ref>Bouclier antimissile : la Pologne sous pression sur le site de RFI, le Modèle:Date-.</ref>. En froid avec la Russie à ce moment, PO désire entretenir de bonnes relations avec ses voisins européens, et améliorer lentement les échanges polono-russes. Elle veut également relancer le Triangle de Weimar<ref name="programme2007" />, et soutenir la position pro-occidentale de l'Ukraine<ref name="programme2007" />.
Histoire
Modèle:Date- : la fondation du parti
La Plate-forme civique est fondée le Modèle:Date-, à partir entre autres de scissions de l'Union pour la liberté (UW) et de l'Alliance électorale Solidarité (AWS), à la suite des mauvais résultats de cette dernière à l'élection présidentielle de 2000, où son candidat Marian Krzaklewski ne récolte que 15,57 % des voix. Le nouveau parti est lancé officiellement à la Hala Olivia de Gdańsk par trois hommes<ref name="gdansk">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} La Plate-forme vient de Gdansk sur le site de la Rzeczpospolita, le Modèle:Date-.</ref>, surnommés par la suite « les trois ténors de la politique<ref name="ténors" /> » : Donald Tusk, ancien de l'UW, Maciej Płażyński, député de l'Alliance et Andrzej Olechowski, qui s'est présenté à la présidentielle sous la mention « sans étiquette »<ref name="histoire">Modèle:Ouvrage</ref>.
De nombreux membres de l'Union pour la liberté et de l'Alliance électorale Solidarité rejoignent le parti dès sa fondation, et sont imités par la majorité des dirigeants du Parti conservateur-populaire, comme son fondateur Bronisław Komorowski ou l'un de ses leaders Jan Rokita<ref name="histoire" />. À la mi-mars 2001, la Plate-forme civique est créditée de 15 à 20 % des intentions de vote avant les législatives, ce qui le place à la deuxième place, derrière l'alliance SLD-UP (45 % des intentions de vote)<ref name="histoire" />. De plus, PO reçoit un soutien de poids avec le « ralliement » de Lech Wałęsa, ancien président de la Pologne et fondateur du mouvement Solidarność<ref name="gdansk" />.
2001-2005 : les premières élections
2005-2007 : progressions successives, mais marquées par les défaites
Depuis 2007 : le gouvernement Donald Tusk
Le résultat des élections législatives de 2007 s'avère être clairement positif pour la Plate-forme. En effet, avec 41,51 % des voix, elle compte environ dix points d'avance sur le parti Droit et justice, qui totalise 32,11 % des votes<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Élections 2007 sur wybory2007.pkw.gov.pl. Consulté le Modèle:Date-.</ref>. Le Modèle:Date-, Bronisław Komorowski est élu à la présidence de la Diète polonaise, par Modèle:Nombre contre 160 pour son adversaire du PiS Krzysztof Putra<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Komorowski, maréchal de la Diète sur le site de la Rzeczpospolita, le Modèle:Date-.</ref>.
Cependant, l'absence d'une majorité absolue au Parlement oblige PO à former un gouvernement de coalition. Son choix se porte sur le PSL, parti paysan démocrate-chrétien<ref name="le point">Donald Tusk, le tombeur des jumeaux sur le site du Point, le Modèle:Date-.</ref>. Le nouveau gouvernement est alors dirigé par Donald Tusk, secondé par Waldemar Pawlak du PSL et Grzegorz Schetyna de PO<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Toute la composition du gouvernement Tusk est connue sur gazeta.pl, le Modèle:Date-.</ref>. Dès le début de la cohabitation, le principal parti d'opposition se place pour contrer la Plate-forme<ref name="le point" />. Cette dernière garde néanmoins la confiance de la population polonaise, qui lui réaffirme son soutien lors des élections européennes de 2009. PO y améliore même son score de 2007, et se place en tête avec 44,43 % des voix<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Élections européennes de 2009 sur wybory2007.pkw.gov.pl. Consulté le Modèle:Date-.</ref>. Elle gagne dix sièges par rapport aux européennes de 2004, portant ainsi son total à vingt-cinq, soit la moitié de ce qui est alloué à la Pologne, et améliore la position du Parti populaire européen. La Plate-forme civique réussit également à obtenir le soutien des députés concernant la candidature de Jerzy Buzek, élu finalement président du Parlement européen le Modèle:Date-<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Buzek a annoncé son programme sur le site de la Rzeczpospolita, le Modèle:Date-.</ref>, avec Modèle:Nombre pour sur Modèle:Nombre, le plus haut pourcentage jamais enregistré dans cette élection<ref>Jerzy Buzek, premier homme de l'Est à la tête du Parlement européen sur le site du Monde, le Modèle:Date-.</ref>.
2010 : victoire à l'élection présidentielle
En janvier 2010, après que Donald Tusk a annoncé renoncer officiellement à l'élection présidentielle de 2010, PO commence à se préparer pour cet évènement majeur<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Tusk n'est pas candidat à la présidentielle sur gazeta.pl, le Modèle:Date-.</ref>, et prend par l'intermédiaire de sa direction la décision d'organiser des primaires. Deux candidats se présentent : Bronisław Komorowski, président du Sejm, et Radosław Sikorski, ministre des Affaires étrangères. En mars 2010, les militants, qui se mobilisent à moins de 50 %, désignent Komorowski avec 68,5 % des voix<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Komorowski au sommet de PO sur le site de la Rzeczpospolita, le Modèle:Date-.</ref>.
Le Tupolev 154 transportant le président polonais Lech Kaczyński s'écrase lors d'une tentative d'atterrissage sur l'aéroport de Smolensk-nord, le Modèle:Date, ne laissant aucun survivant parmi les Modèle:Nombre à bord<ref>Le président polonais meurt dans un accident d'avion sur le site du Monde, le Modèle:Date-.</ref>. Plusieurs personnalités de PO se trouvent alors dans l'avion, comme Krystyna Bochenek, vice-présidente du Sénat, ou Maciej Płażyński, cofondateur et premier président du parti<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Morts sur le site de la Rzeczpospolita, le Modèle:Date-.</ref>. Comme prévu par la Constitution polonaise, Bronisław Komorowski devient aussitôt président de la Pologne par intérim, et fixe, après concertations avec les autres partis politiques, le premier tour de l'élection présidentielle anticipée au 20 juin suivant<ref>Modèle:Lien brisé sur le site du Nouvel Observateur, le Modèle:Date-.</ref>.
Avec 41,54 % des voix, Bronisław Komorowski arrive en tête du premier tour et dans toute la moitié ouest du pays, ainsi qu'en Varmie-Mazurie, tandis que Jarosław Kaczyński le devance dans les sept voïvodies les plus orientales. Au niveau national, le président par intérim devance le candidat conservateur de Modèle:Nombre, un écart plus faible que ce que prédisaient les enquêtes d'opinion. Le second tour, le Modèle:Date, voit la victoire de Komorowski, qui recueille 53,01 % des suffrages exprimés. Le 8 juillet, le natif d'Oborniki Śląskie laisse son poste de président de la Diète à Grzegorz Schetyna, ancien président du groupe parlementaire de PO et élu avec plus de Modèle:Nombre d'écart. Ce dernier devient aussitôt président de la République de Pologne par intérim, jusqu'au 6 août, date de l'investiture de Bronisław Komorowski, et est remplacé par Tomasz Tomczykiewicz à la tête du groupe parlementaire.
Cependant, certaines controverses viennent troubler le parti, comme les propos du député Janusz Palikot, président du groupe PO de la voïvodie de Lublin, sur l'accident d'avion de Smolensk<ref name="palikot">Janusz Palikot, l'enfant terrible sur lepetitjournal.com, le Modèle:Date-.</ref>. Le 6 octobre, Palikot et plusieurs de ses alliés décident de claquer la porte, pour fonder leur propre parti<ref name="palikot" />, Ruch Poparcia. En décembre, un évènement historique marque la fin de l'année de la Plate-forme civique. En effet, John Abraham Godson, originaire du Nigeria, est nommé à la Diète, en remplacement de Hanna Zdanowska (élue maire de Łódź), et devient le premier Noir à siéger au Parlement polonais<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Le Parlement polonais accueille le premier député noir sur le site du Daily Telegraph, le Modèle:Date-.</ref>,<ref>Un premier député noir à Varsovie sur le site du Courrier international, le Modèle:Date-.</ref>.
2015 : élection présidentielle et élections législatives
Le parti est ébranlé en 2014 par le scandale du « Waitergate ». Des serveurs de restaurants chics de la capitale ont enregistré les conversations d'hommes politiques membres du parti, mettant en avant la corruption installée au PO. Ces enregistrements ont une influence majeure sur les élections puisqu'ils permettent au PiS de convaincre que « toute l'élite politique et économique était corrompue et siphonnait le pays jusqu'à le rendre exsangue », d'après le cercle de réflexion Polityka Insight<ref>Modèle:Article</ref>.
En mai 2015 se déroulent les élections présidentielles en Pologne. Le parti PO est représenté par le président sortant Bronisław Komorowski, opposé au candidat du parti PiS Andrzej Duda.
Lors du premier tour des élections le Modèle:Date- Bronisław Komorowski ne recueille que 33,76 % des voix alors que 34,77 % des votants accordent leur confiance à Duda.
Lors du second tour le Modèle:Date-, Komorowski perd la course à la présidentielle avec seulement 48,45 % des voix, laissant alors la victoire à son adversaire Andrzej Duda qui devient président de la République de Pologne.
Le 26 janvier 2016, Grzegorz Schetyna<ref>Modèle:Lien web</ref> succède à Ewa Kopacz, la cheffe du gouvernement qui avait succédé à Donald Tusk lors de la nomination de celui-ci à la présidence du Conseil européen.
Le PO mené par Donald Tusk remporte les élections législatives du 16 octobre 2023, appuyé par la Troisième Voie et la gauche<ref>Modèle:Article</ref>. Les formations réunissent ensemble 53,5 % des suffrages, devant les 35,5 % obtenus par le PiS, qui se positionne néanmoins comme le premier parti de Pologne.
Présidents
Modèle:Liste des dirigeants successifs
Résultats électoraux
Élections parlementaires
Année | Diète | Sénat | Position | Gouvernement | ||
---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Députés | Sénateurs | |||
2001 | 1 651 099 | 12,7 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:2e | Modèle:No2 |
2005 | 2 849 259 | 24,1 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:2e | Modèle:No2 |
2007 | 6 701 010 | 41,5 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:1er | Modèle:Yes2 |
2011 | 5 629 773 | 39,2 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:1er | Modèle:Yes2 |
2015 | 3 661 474 | 24,1 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:2e | Modèle:No2 |
2019 | Au sein de la Coalition civique | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:2e | Modèle:No2 | |
2023 | Au sein de la Coalition civique | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:2e | En cours |
Élections présidentielles
Année | Candidat | Modèle:1er | Modèle:2d tour | Résultat | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Position | Voix | % | Position | |||
2005 | Donald Tusk | 5 429 666 | 36,3 | Modèle:1er | 7 022 319 | 46 | Modèle:2e | Modèle:No2 |
2010 | Bronisław Komorowski | 6 981 319 | 41,5 | Modèle:1er | 8 933 887 | 53 | Modèle:1er | Modèle:Yes2 |
2015 | Bronisław Komorowski | 5 031 060 | 33,8 | Modèle:2e | 8 112 311 | 48,4 | Modèle:2e | Modèle:No2 |
2020 | Rafał Trzaskowski | 5 917 340 | 30,5 | Modèle:2e | 10 018 263 | 49 | Modèle:2e | Modèle:No2 |
Élections européennes
Année | Voix | % | Rang | Sièges | Groupe |
---|---|---|---|---|---|
2004 | 1 467 775 | 24,1 | Modèle:1er | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | PPE |
2009 | 3 271 852 | 44,4 | Modèle:1er | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | PPE |
2014 | 2 271 215 | 32,1 | Modèle:1er | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | PPE |
2019 | Au sein de la Modèle:Lien | Modèle:2e | <ref>Modèle:Lien web</ref>Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | PPE |
Élections régionales
Année | % | Sièges |
---|---|---|
2002<ref>En coalition avec Droit et justice.</ref> | 16,02 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges |
2006 | 27,18 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges |
2010 | 30,89 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges |
2014 | 26,29 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges |
2018<ref>En coalition avec .Moderne.</ref> | 26,97 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges |
Notes et références
Modèle:Traduction/Référence Modèle:Références nombreuses