Quissac (Gard)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Quissac est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Vidourle, le ruisseau de Crieulon, le ruisseau de Banassou et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Quissac est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'unité urbaine de Quissac. Ses habitants sont appelés les Quissacois ou Quissacoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le temple protestant, inscrit en 2012. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
Hydrographie et relief
Quissac est un village gardois situé en bordure du fleuve le Vidourle, non loin de Nîmes et de Montpellier, dominé par le massif de Coutach dont la forêt se compose essentiellement de chênes verts et dont le point culminant, au sommet d'une grande colline (presque une montagne...) de forme pyramidale, atteint 472 mètres à Piecan. Entre mer et Cévennes, Quissac fait partie de ces villages pittoresques au riche passé, entouré de vignes et de garrigues.
Le Vidourle peut connaître des crues spectaculaires, les vidourlades<ref>Modèle:Lien web.</ref>, qui sont dans la mémoire de tous les Quissacois. Le reste de l'année, le Vidourle a un régime proche de celui des oueds. Son débit est souvent faible, en été, presque à sec, il n'est guère impressionnant.
La Garonette, rivière sachant se faire discrète, disparaît sous le village pour réapparaître au pied du temple et se jeter dans le Vidourle. Ce ruisseau est cependant redoutable en cas de fort orage, notamment en automne...
Le Crieulon, affluent du Vidourle avec un régime pluvial qui peut atteindre des débits importants, a nécessité la construction d'un barrage écrêteur de crues (le barrage de la Rouvière). L'édifice se situe sur les communes de Bragassargues (pour la rive gauche) et de Quissac (rive droite).
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : le « barrage de la Rouvière » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et les « collines marneuses du Banassou » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> :
- les « plaines de Pompignan et du Vidourle » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 9 dans le Gard et 3 dans l'Hérault<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- la « vallée du Vidourle de Sauve aux étangs » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 16 dans le Gard et 5 dans l'Hérault<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Quissac.
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Quissac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Quissac, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,6 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,5 %), cultures permanentes (9,3 %), terres arables (8,6 %), zones urbanisées (8,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Quissac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Vidourle et le ruisseau de Crieulon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1994, 1995, 2001, 2002, 2010, 2014 et 2021<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 88,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 1203 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Toponymie
Nommé Quintiacum dans un texte latin médiéval de 1274, ce nom signifie "le domaine de Quintus", nom romain de personne ("le Cinquième").
Histoire
La fondation de Quissac remonte au Moyen Âge, comme en témoigne le quartier de Vièle. Avec ses ruelles étroites et ses maisons en pierre, le vieux quartier de Quissac a gardé son authenticité. On trouve la première mention de Quissac en 1274 : son église dépend alors de l'abbaye de Sauve<ref>Dictionnaire topographique du Gard, Germer-Durand, 1868.</ref>. La paroisse devient ensuite le centre d'un des archiprêtrés mis en place à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle pour renforcer l’encadrement catholique de la région, l'église étant reconstruite et agrandie à la même période. La population est cependant majoritairement protestante. L’industrie textile et des peaux se développe : le bourg devient un centre de fabrication de chapeaux et de bas de soie, activité qui perdurera jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Le Gard de la préhistoire à nos jours, dir. Raymond Huard, éd. Bordessoules, 2003.</ref>.
Avec le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et l'essor économique de la vigne, le village se développe, aidé par l'arrivée du chemin de fer en 1872. L'existence de tanneries sur le Vidourle, mais également des activités plus traditionnelles comme le commerce de bestiaux et les traditionnelles magnaneries, participent à ce développement.
Autour du « Camp Neuf », un deuxième village se constitue.
À noter également, la construction au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle d'un canal d'irrigation à partir du Vidourle, allant de Quissac à Orthoux.
Héraldique
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Quissac appartient à l'arrondissement du Vigan et au canton de Quissac, dont elle est le chef-lieu depuis sa création. Le redécoupage cantonal de 2014 en a modifié sa composition.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la cinquième circonscription du Gard, représentée depuis Modèle:Date par Olivier Gaillard (SE, ex-LREM).
Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance et du conseil de prud’hommes d'Alès, du tribunal pour enfants, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Nîmes et de la cour administrative d'appel de Toulouse<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Intercommunalité
Depuis le Modèle:Date, date de sa création, la commune appartient à la communauté de communes du Piémont Cévenol, intercommunalité issue de la fusion de trois communautés de communes. Cette entité a succédé à la communauté de communes Coutach Vidourle fondée en 2003.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 2 500 et 3 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 23<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article détaillé Modèle:Article connexe Modèle:...
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>). 38 % des ménages fiscaux sont imposés<ref group=Note>La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.</ref> (43,9 % dans le département).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 74 % d'actifs (64,7 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs) et 26 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 1 139 en 2013 et 1 000 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 283, soit un indicateur de concentration d'emploi de 92,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,6 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 1 283 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 500 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 76,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,4 % les transports en commun, 6,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
359 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Quissac au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 359 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
28 | 7,8 % | (7,9 %) |
Construction | 55 | 15,3 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
95 | 26,5 % | (30 %) |
Information et communication | 9 | 2,5 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 6 | 1,7 % | (3 %) |
Activités immobilières | 10 | 2,8 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
51 | 14,2 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
70 | 19,5 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 35 | 9,7 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,5 % du nombre total d'établissements de la commune (95 sur les 359 entreprises implantées à Quissac), contre 30 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Bervavi, supermarchés (Modèle:Unité)
- David Vergnon Automobiles, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (Modèle:Unité)
- Sobefa, fabrication d'éléments en béton pour la construction (Modèle:Unité)
- Le Grand Bazar, autres commerces de détail spécialisés divers (Modèle:Unité)
- Medi.tel, autres activités de soutien aux entreprises n.c.a. (Modèle:Unité)
Agriculture
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 53 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 32 en 2000 puis à 19 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 18 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 66 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 14 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La Tour des Fées, ruinée, sur la rive droite du Vidourle
- Saint-Faustin-et-Saint-Jovite, restaurée entièrement au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle après les guerres de Religion, et qui possède un clocher surmonté d'un campanile en fer forgé de forme pyramidale qui abrite l'ancienne cloche des heures (fin Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).
- Temple protestant de Quissac : du plus pur style néoclassique des années 1830. La façade donnant sur le quai du Vidourle possède une remarquable et monumentale colonnade à cannelures (portique d'entrée) supportant un large fronton triangulaire (digne d'un palais de Justice...). L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2012<ref>Modèle:Lien web</ref>. Son clocher abrite une cloche des années 1840 de 440 kg issue des ateliers Jean Baptiste de Marseille.
- Hôtel de ville début Modèle:S mini, de style très « parisien » et qui possède une haute toiture à 4 pans en ardoises ; un cadran d'horloge y est présent au sein d'un œil-de-bœuf sculpté ; un petit campanile avec carillon supportant 3 cloches surmonte le tout.
- Vieux pont du Vidourle bien souvent mis à mal par les crues.
- « Château de Sabatier » en direction de Sauve (privé, ne se visite pas), domaine d'origine médiévale remanié au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; superbe et monumentale grille d'entrée, chef-d'œuvre de ferronnerie d'époque Louis XVI ; présence d'un gracieux petit campanile milieu Modèle:S mini en fer forgé ouvragé, abritant une cloche des heures de la même époque sur l'une des tours.
Cultes
- Église Protestante Unie de France<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Église évangélique A.D.D., route d'Anduze<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Jacques Jac (Modèle:Date - Quissac ✝ Modèle:Date - Sommières), député français.
- Pierre Coste (Modèle:Date - Quissac ✝ Modèle:Date - Nîmes), colonel du Premier Empire.
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Voir aussi
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes