Romarin
Modèle:Sous-titre/Taxon Modèle:Autre Modèle:Taxobox début Modèle:Taxobox Modèle:Taxobox Modèle:Taxobox Modèle:Taxobox Modèle:Taxobox Modèle:Taxobox Modèle:Taxobox taxon Modèle:Taxobox synonymes
Le Romarin, Salvia rosmarinus, est une espèce d’arbrisseaux de la famille des Lamiacées (ou Labiées), poussant à l’état sauvage sur le pourtour méditerranéen, en particulier dans les garrigues arides et rocailleuses, sur terrains calcaires<ref name="Rameau2008">Jean-Claude Rameau et al., Flore forestière française: Région méditerranéenne, 2008</ref>.
Aussi connu sous le nom de Rosmarinus officinalis, ce nom est devenu synonyme quand l'espèce a été reclassée, en 2017, dans le genre Salvia<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Fraîche ou séchée, cette herbe condimentaire fait partie de la cuisine méditerranéenne, et une variété se cultive dans les jardins<ref name="Rameau2008" />. C'est une plante mellifère ; le miel de romarin, ou « miel de Narbonne » est réputé<ref name="Rameau2008" />. C'est également un produit fréquemment utilisé en parfumerie. Enfin, diverses vertus phytothérapeutiques ont été étudiées.
Le nom « romarin » viendrait du latin « ros marinus » (rosée de mer)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, ou bien du grec « rhops myrinos » (buisson aromatique)<ref>Helmut Genaust, Etymologisches Wörterbuch der botanischen Pflanzennamen, 1996</ref>, ou encore du latin « rhus marinus » (sumac de mer)<ref name="Rameau2008" />. On l'appelle également « herbe-aux-couronnes », et en provençal, « encensier »<ref>Huguette Max, La route des épices, 2008</ref>.
Le romarin est une des plantes recommandées dans les domaines royaux par Charlemagne dans le capitulaire De Villis (fin du Modèle:S mini- ou début du Modèle:S mini- siècle).
Caractéristiques
Description
Le romarin peut atteindre jusqu'à Modèle:Unité de hauteur, voire jusqu'à Modèle:Unité en culture. Il est reconnaissable en toute saison à ses feuilles persistantes sans pétiole, coriaces, beaucoup plus longues que larges, aux bords légèrement enroulés, vert sombre luisant sur le dessus, blanchâtres en dessous. Leur odeur, très camphrée, évoque aussi l'encens d'où il doit son nom « encensier » en provençal.
La floraison commence dès le mois de février, parfois en janvier, et se poursuit jusqu'en avril-mai. Certaines variétés peuvent fleurir une deuxième fois en début d’automne<ref>Jekka McVicar, Le grand livre des Herbes, 2006</ref>. La couleur des fleurs, qui se présentent en grappes assez semblables à des épis, varie du bleu pâle au violet. On trouve également, mais plus rarement, la variété à fleurs blanches R. officinalis albiflorus. Leur calice est velu, à dents bordées de blanc. Elles portent deux étamines ayant une petite dent vers leur base. La lèvre inférieure de la corolle est profondément divisée, faisant penser au labelle de certaines orchidées. Comme pour la plupart des Lamiacées, le fruit est un tétrakène. Ce dernier est de couleur brune.
Répartition géographique
Le romarin est originaire du bassin méditerranéen.
On le trouve principalement dans les terrains arides et ensoleillés, comme les garrigues, les maquis et les rocailles. Il n'apprécie pas une sécheresse trop importante mais se contente de l'humidité du littoral, d'où il pourrait tenir son nom (« rosée de mer » en latin).
Il est répandu entre le niveau de la mer et 650 mètres<ref name="Rameau2008" />, parfois jusqu'à 1 500 mètres d'altitude<ref name="Panda2009"/>.
Statuts de protection
L'espèce n'est pas considérée comme étant menacée en France. Elle est classée Espèce de préoccupation mineure (LC) par l'UICN.
Culture
Le romarin se cultive dans un endroit ensoleillé, dans un sol calcaire et bien drainé<ref name="culture_aromatiques">Jean-Marie Polese, La culture des plantes aromatiques, 2006</ref>. Bien que ce soit une plante aimant les climats chauds, il supporte les gelées si le sol ne conserve pas l'humidité. Idéalement, ce dernier doit avoir un pH compris entre 7 et 7,5<ref name="Farooqi2005"/>.
Une légère taille au printemps après sa floraison peut contribuer à lui conserver une forme harmonieuse. Son feuillage persistant et sa tenue rend propice l'utilisation de certaines variétés touffues à une utilisation en topiaire.
Il se multiplie facilement au printemps ou à l'automne par bouturage ou marcottage ; plus difficilement en été par semis car sa germination est lente<ref name="culture_aromatiques" />.
Le romarin est assez résistant aux nuisibles : il craint toutefois le rhizoctone brun en cas d'humidité trop importante<ref name="Panda2009"/>.
Sa zone de rusticité se situe entre 8 et 10<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Production mondiale
Le romarin est cultivé à large échelle en Espagne, en Tunisie, au Maroc, en Italie, en France, en Algérie et au Portugal, principalement pour en extraire de l'huile essentielle<ref name="Panda2009">H. Panda, Aromatic Plants Cultivation, Processing And Uses, 2009</ref>. La production mondiale d'huile essentielle de romarin atteint 200 à 300 tonnes en 2005<ref name="Farooqi2005">Azhar Ali Farooqi et al., Cultivation of Spice Crops, 2005</ref>.
En Inde, la CIMAP (Central Institute of Medicinal and Aromatic Plants) a introduit la production de romarin à la fin des années 80, qui s'est développée au cours des années 90<ref name="Panda2009"/>. Cette production est concentrée dans le sud, dans les Nîlgîri et autour de Bangalore<ref name="Farooqi2005"/>.
Utilisations
Modèle:Infobox Valeur nutritionnelle
Gastronomie
Les branches feuillues de romarin s'utilisent de préférence fraîches, mais peuvent également se conserver séchées. Les fleurs ont une saveur plus douce et se consomment crues, saupoudrées pour parfumer un plat ou un dessert.
Les branches s'emploient généralement comme aromate par infusion dans les ragoûts, les civets, les soupes et les sauces.
Le romarin est également utilisé pour parfumer les grillades. Quelques branches sont alors utilisées dans la confection d'une marinade ou une branche comme pinceau pour enduire la pièce à griller de marinade. Il est également possible de fumer la viande ou le poisson en déposant quelques branches sur les charbons, ou en petite quantité dans un fumoir<ref>Camille Knockaërt, Le fumage du poisson (Modèle:7e), 2002</ref>. On peut enfin se servir de branches pour embrocher des légumes avant leur cuisson.
Plus audacieux, le romarin est parfois utilisé en infusion pour parfumer des desserts comme les flans, les crèmes ou certaines confitures.
Parfumerie
L'utilisation du romarin en parfumerie est très ancienne. Le premier parfum alcoolique dont on connaisse l'existence est l'eau de Hongrie, alcoolat fréquemment utilisé au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et qui pourrait dater du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, dont le romarin était l'un des principaux composants<ref name="Belgique1862">La Belgique horticole: Annales de botanique et d’horticulture. Vol. 12. 1862</ref>.
L’essence est obtenue par la distillation des branches, de préférence en n’utilisant que les sommités fleuries. Elle contient notamment du bornéol<ref name="suisse2001">Revue suisse de viticulture, arboriculture, horticulture. 2001</ref>, du 1,8 cinéol<ref name="Akroum2006">Souâd Akroum, Étude des propriétés biochimiques des polyphénols et tannins issus de Rosmarinus officinalis et Vicia faba L., 2006</ref> (ou eucalyptol), du camphène<ref name="Rao">Rao et al., Rosemary (Rosmarinus officinalis L.): Impact of drying on its flavor quality, 1998</ref> et du pinène<ref name="suisse2001"/>. Le romarin entre dans la composition de parfums surtout masculins, hespéridés aromatiques (eaux de Cologne), boisés et fougères aromatiques.
Médecine et phytothérapie
Agents actifs
Modèle:Article connexe La plante contient plusieurs agents actifs parmi lesquels :
- Huiles essentielles : 1,8 cinéole<ref name="Akroum2006"/>, alpha-pinène<ref name="Akroum2006"/>, camphre de romarin<ref name="Akroum2006"/>, bornéol<ref>E. Ibanez et al., Supercritical fluid extraction and fractionation of different preprocessed rosemary plants, 1999</ref>, camphène<ref name="Rao"/>.
- Flavonoïdes : lutéoline<ref name="Akroum2008">Souâd Akroum, Inhibition de quelques bactéries pathogènes par les extraits éthanoliques de rosmarinus officinalis, Sept. 2008</ref>, apigénine<ref name="Akroum2008" />, quercétine<ref name="Akroum2008" />, diosmine<ref>H. Serra et al., Prediction of intestinal absorption and metabolism of pharmacologically active flavones and flavanones, 2008</ref>.
- Diterpènes : acide carnosique<ref name="Akroum2006"/>, rosmadial<ref name="Akroum2006"/>.
- Triterpènes et stéroïdes : acide oléanolique<ref name="Akroum2006"/>, acide ursolique<ref name="Akroum2006"/>.
- Tanins<ref name="Hui2010">Y. H. Hui et al., Handbook of Fruit and Vegetable Flavors, 2010</ref>
- Lipides : n-alcanes<ref name="Akroum2006"/> , isolalcanes<ref name="Akroum2006"/> , alcènes<ref name="Akroum2006"/>.
- Rosmaricine<ref name="Hui2010"/>
- Acide rosmarinique<ref name="Hui2010"/>
Effets
Le romarin fut longtemps utilisé empiriquement en phytothérapie. Le miel de romarin, aussi appelé « Miel de Narbonne » était un des multiples constituants de la thériaque de la pharmacopée maritime occidentale au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>D’après Maistral, in Yannick Romieux, De la hune au mortier, Éditions ACL, Nantes, 1986</ref>.
Des études modernes montrent les effets du romarin :
- cholérétique et hépatoprotecteur - le romarin a longtemps été utilisé empiriquement comme agent hépatoprotecteur et cholérétique. Ces effets ont été montrés expérimentalement<ref>Joyeux M, Rolland A, Fleurentin J, Mortier F & Dorfman P, Planta Med, 56 (1990) 171</ref>. Le romarin permet donc d'activer les fonctions digestives, en particulier le travail de la vésicule biliaire ;
- antimycosique<ref>Steinmetz M D, Moulin-Traffort J & Regli P, Mycoses, 31 (1988) 40.</ref>,<ref>Durakovic Z & Durakovic S, J Indian Med Assoc, 72 (1979) 175.</ref> et antibactérien<ref name="Akroum2008"/> - les substances du romarin limitent le développement de certains agents pathogènes ;
- effets sur le système nerveux<ref>Modèle:Article</ref> - l'administration d'huile de romarin, à la fois par inhalation et par voie orale, stimule l'activité du système nerveux central, respiratoire et locomotrice chez la souris<ref>Kovar K A, Gropper B, Friess D & Ammon H P T, Planta Med, 53 (1987) 315.</ref>. L'extrait alcoolique de R. officinalis a montré une activité antidépressive sur la nage forcée et les tests d'immobilité de la souris<ref>Matsunaga K, Lu X-C, Yasuda H et al, Nat Med, 5 (1997) 63.</ref>. Le romarin serait donc recommandé pour traiter les divers cas d’asthénie ;
- effets sur la circulation sanguine - l'utilisation d'huile de romarin dans un bain stimule la circulation dermique et améliore l'hémodynamique pour les problèmes d'occlusion artérielle<ref>Rulffs W, Munch Med Wochensch, 126 (1984) 207.</ref> ;
- effets sur les muscles lisses<ref name=":0">Modèle:Article</ref> - l'huile ou l'extrait aqueux de feuilles permettent d’inhiber certaines contractions induites chez les lapins et les cochons d’inde<ref>Aqel M B, J Ethnopharmacol, 33 (1991) 57.</ref>,<ref>Al-Sereiti M R & Said S A, First Medical Conference of Libya, 1992, 2.</ref>. Le romarin aurait donc des effets antispasmodiques ;
- antitumorigénique<ref name=":0" /> et antioxydant - de nombreuses études indiquent que le romarin permettrait de prévenir et de limiter la progression de certains types de cancers<ref>M R Al-Sereitia et al., « Pharmacology of rosemary (Rosmarinus officinalis Linn.) and its therapeutic potentials », Indian Journal of Experimental Biology, Vol. 37, February 1999, p. 124-131.</ref> ;
- antibactérienne<ref name=":0" /> - l'huile essentielle de romarin à cinéole permet de lutter contre le rhume, bronchites et sinusites<ref>Modèle:Lien web</ref> ;
- anticoagulante<ref name=":0" />- les extraits de la plante ont des activités anticoagulantes qui peuvent diminuer le risque de la formation de caillots dans les vaisseaux sanguins<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques
L'huile essentielle de romarin peut avoir des effets neurotoxiques, déclencher convulsions et crises d’épilepsie. Par voie orale, et à part l'utilisation en cuisine, il est déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes <ref>Modèle:Lien web</ref>.
Variétés
On dénombre plus de 150 variétés de romarin<ref>http://zipcodezoo.com/Plants/r/Rosmarinus_officinalis_lavandulaceus/</ref>. Elles se différencient par leur taille maximale (d'une dizaine de centimètres à deux mètres), leur tenue (vertical ou rampant), la couleur de leurs fleurs (violettes, bleues, blanches, roses) et de leurs feuilles, leur rusticité...
Variété | Nom | Caractéristiques |
---|---|---|
Rosmarinus officinalis Alba ou Albus | Romarin à fleurs blanches | Fleurs et bourgeons blancs. |
Rosmarinus officinalis Arp | Romarin "Arp" | Supporte particulièrement bien le froid (zones 6 à 10). Ses feuilles ont une odeur citronnée<ref name="Lanza04">Patricia Lanza. Lasagna Gardening with Herbs. 2004.</ref>. |
Rosmarinus officinalis Athens Blue Spire | Romarin "Athens Blue Spire" | Feuillage dense, arôme puissant<ref name="Rush10">Rush Creek Growers Catalog 2010</ref>. |
Rosmarinus officinalis Barbeque | Romarin "Barbeque" | Tiges bien droites, adaptées à l'usage des tiges comme brochettes<ref name="Rush10"/>. |
Rosmarinus officinalis Bennenden Blue | Romarin "Bennenden Blue" | Grandes fleurs bleu-ciel, feuilles étroites et foncées<ref name="Lanza04"/>. |
Rosmarinus officinalis Blaulippe | Romarin "Blaulippe" | Buisson compact, fleurs bleu tirant sur le violet. Sensible au froid. |
Rosmarinus officinalis Blue Lagoon | Romarin "Blue Lagoon" | Buisson compact. Sa floraison le couvre de petites fleurs bleues. |
Rosmarinus officinalis Corsican Blue | Romarin "Corsican Blue" | Rampant. Fleurs bleu soutenu. |
Rosmarinus officinalis Fota Blue | Romarin "Fota Blue" | Fleurs bleu foncé soutenu, feuillage vert foncé. |
Rosmarinus officinalis Gorizia | Romarin "Gorizia" | Grandes feuilles et grandes fleurs bleues. Saveur légèrement épicée rappelant le gingembre<ref name="Rush10"/>. |
Rosmarinus officinalis Haifa | Romarin "Haifa" | Rampant. Petit et fragile, adapté à la culture en pot en intérieur. |
Rosmarinus officinalis Jackmann's Blue | Romarin "Jackmann's Blue" | Fleurs bleu ciel, retombant. |
Rosmarinus officinalis Miss Jessop's Upright | Romarin "Miss Jessop's Upright" | Croissance verticale. Variété utilisée comme haie. |
Rosmarinus officinalis Pinkie | Romarin "Pinkie" | Fleurs roses, feuilles courtes et ternes<ref name="Lanza04"/>. |
Rosmarinus officinalis Primley Blue | Romarin "Primley Blue" | - |
Rosmarinus officinalis Prostratus | Romarin "Prostratus" | Feuilles brillantes. Croit en s'étalant, adapté aux topiaires<ref name="Rush10"/>. |
Rosmarinus officinalis Roseus | Romarin "Roseus" | Fleurs roses<ref name="Lanza04"/>. |
Rosmarinus officinalis Salem | Romarin "Salem" | - |
Rosmarinus officinalis Severn Sea | Romarin "Severn Sea" | Les branches sont retombantes. Fleurs bleues tendant vers le violet<ref name="Lanza04"/>. |
Rosmarinus officinalis Sudbury Blue | Romarin "Sudbury Blue" | Feuilles bleu-vert, fleurs bleues<ref name="Lanza04"/>. |
Rosmarinus officinalis Tarentinus | Romarin "Tarentinus" | Buissonnant. Fleurs bleu pâle à violettes. |
Rosmarinus officinalis Tuscan Blue | Romarin "Tuscan Blue" | Croissance rapide, peut atteindre 2 mètres dans de bonnes conditions. Fleurs bleu foncé, feuilles bleu-vert foncé et brillantes. Arôme apprécié pour la cuisine<ref name="Lanza04"/>. |
Rosmarinus officinalis Vicomte de Noailles | Romarin "Vicomte de Noailles" | - |
Rosmarinus officinalis f. repandens | Romarin retombant | - |
Rosmarinus officinalis Lavandulaceus | Romarin "Lavandulaceus" | Petite plante rampante, fleurs violettes. |
Légendes
Selon une légende, le romarin était à l'origine une plante à fleurs blanches. Avant de donner naissance à l'enfant Jésus, Marie, aurait déposé sa cape de couleur bleue sur un romarin planté devant l’étable. La cape aurait déteint sur l'arbrisseau et c'est ainsi que, depuis, le romarin fleurit bleu. Certains voient dans cette légende une autre origine possible au nom Romarin à savoir « Rose de Marie » (l'appellation anglaise étant d'ailleurs Rosemary).
L’eau de Hongrie, alcoolat à base de romarin pour se parfumer ou à boire, viendrait d'Élisabeth de Pologne, reine de Hongrie. Elle l’aurait utilisée en 1378 à l’âge de 72 ans.
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Romarin.
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Fleur de romarin.
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Détail de la fleur.
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Romarin fleuri.
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Feuilles de romarin.
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Culture.
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Romarins à Modèle:Lien.
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Spécimen de 2,2 m à Sébastopol.
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Plant de romarin à La Penne-sur-Huveaune.
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Rosmarinus officinalis passé au scanner en 1200ppp (cliquez pour agrandir et voir tous les détails de la feuille).
Calendrier
Le Modèle:6e du mois de messidor du calendrier républicain / révolutionnaire français est officiellement dénommé jour du romarin<ref>Ph. Fr. Na. Fabre d'Églantine, Rapport fait à la Convention nationale dans la séance du 3 du second mois de la seconde année de la République française, Modèle:P..</ref>, généralement chaque 24 juin du calendrier grégorien.
Notes et références
Références taxinomiques
Salvia rosmarinus Spenn., 1835
Salvia rosmarinus Schleid., 1852
Rosmarinus officinalis
- Modèle:Belles fleurs de France
- Modèle:BioLib
- Modèle:CatalogueofLife espèce
- Modèle:EFloras
- Modèle:EFloras
- Modèle:GRIN espèce
- Modèle:INPN
- Modèle:Fr+en Référence ITIS : Modèle:Trim Rosmarinus officinalis L.{{#ifeq:|nv| Non valide}}Modèle:Consulté le
- Modèle:Kew liste
- Modèle:NCBI
- Modèle:Tela-métro
- Modèle:ThePlantList espèce
- Modèle:Tropicos