Ronsenac

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Modèle:Infobox Commune de France

Ronsenac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Ronsenacois et les Ronsenacoises<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Géographie

Localisation et accès

Fichier:Ronsenac Carrefour.jpg
La D 16 et la D 22 au centre du bourg.

Ronsenac est une commune située à Modèle:Unité au sud d'Angoulême et à Modèle:Unité à l'ouest de Villebois-Lavalette.

Le bourg est aussi à Modèle:Unité au nord-est de Montmoreau, Modèle:Unité à l'est de Blanzac, Modèle:Unité au nord d'Aubeterre<ref>Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper</ref>.

La commune est traversée par les routes départementales D 16, route de Villebois à Montmoreau et la D 81, route de Gurat à Angoulême par Torsac, qui passent dans le bourg. Elle est aussi traversée à l'est par la D 17, route de Villebois à Saint-Séverin et Aubeterre, et à l'ouest par la D 19 qui passe sur la ligne de crête.

La D 5, route de Villebois à Blanzac, Châteauneuf et Barbezieux passe au nord de la commune. La D 674, route d'Angoulême à Libourne, passe à Modèle:Unité à l'ouest, et la D 939, route d'Angoulême à Périgueux, passe à Modèle:Unité au nord-est<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref>.

Hameaux et lieux-dits

La commune compte surtout plus de nombreuses fermes que de véritables hameaux. On peut cependant citer Charbonnier, la Michelie, Périchou et l'Étang au sud, la Barre, les Bordes et Chez le Faure près du bourg, etc.<ref name="ign"/>.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Géologiquement, la commune de Ronsenac est dans le calcaire crétacé du Bassin aquitain.

On trouve le Coniacien, un bar . à l'est de la vallée du Ronsenac, puis le Santonien à l'ouest et sur une petite zone en limite de Villebois. Le sud-ouest de la commune est occupé par le Campanien, et une cuesta par paliers faisant face au nord-est marque un dénivelé sensible. On peut suivre cet escarpement dans tout le sud de la Charente, entre Gurat et le sud de Cognac, par Juillaguet, Jurignac et Bouteville.

La crête à l'ouest de la commune est recouverte de dépôts du Tertiaire (Lutétien), composé de galets, grès et argiles. Ces dépôts ont été altérés lors du Quaternaire, ainsi que le calcaire sur les flancs (sables bruns, zones aussi boisées)<ref>Visualisateur Infoterre, site du BRGM</ref>,<ref>Carte du BRGM sous Géoportail</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Article connexe

Sur la ligne de crête boisée à l'ouest de la commune se trouve son point culminant (Modèle:Unité). Le point le plus bas est à Modèle:Unité, situé en limite sud au bord du Ronsenac. Le bourg est à Modèle:Unité d'altitude<ref name="ign"/>.

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Ronsenac.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Tude, le Roncenac, le ruisseau de la Font Longue, le ruisseau de Landuraud et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

Le Ronsenac, ruisseau qui prend sa source au bourg à la Fontaine légendaire (appelée autrefois Grande fontaine de Ronsenac<ref name=mb/>), est un affluent de la Lizonne, sous-affluent de la Dronne, et se dirige vers le sud. De petits ruisseaux y affluent, comme le ruisseau de Font Longue en limite sud.

La Tude, qui prend sa source à Juillaguet, limite la commune au sud-ouest.

La commune compte aussi de nombreuses petites retenues d'eau servant à l'irrigation<ref name="ign"/>.

Gestion des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Climat

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain. Modèle:Article connexe

Milieux naturels et biodiversité

Natura 2000

Bordé à l'ouest par la Tude et arrosé par son affluent le ruisseau de Landuraud, le territoire communal est concerné par le site Vallée de la Tude, identifié dans le réseau Natura 2000 comme important pour la conservation d'espèces animales européennes menacées<ref name="fiche">Modèle:Pdf - FR5400419 - Vallée de la Tude, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref name="carte">Carte du site « Vallée de la Tude », INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>.

Seize espèces animales inscrites à [[Directive habitats#Annexe II|Modèle:Nobr]] de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées<ref name="fiche"/>.

Vingt-six autres espèces animales importantes y ont été recensées dont quatorze sont concernées par [[Directive habitats#Annexe IV|Modèle:Nobr]] de la directive habitats.

ZNIEFF

À Ronsenac, sur un périmètre quasi identique à celui du site Natura 2000 ci-dessus, les vallées de la Tude et du ruisseau de Landuraud font partie de la ZNIEFF de Modèle:Nobr nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »<ref name="Vallées">Modèle:Pdf - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref>Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>.

Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées<ref name="Vallées"/> :

Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées<ref name="Vallées"/>.

Urbanisme

Typologie

Ronsenac est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,5 %), forêts (27,4 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), prairies (5,7 %), zones urbanisées (1,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Ronsenac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par ruissellement et coulée de boue, notamment la Tude. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2007<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:16283-Ronsenac-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Ronsenac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 66,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 180 sont en aléa moyen ou fort, soit 56 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

Toponymie

Les formes ancienne sont Roscenaco en 1090, Roncenaco en 1143<ref>Modèle:Ref-Ang-Pouillé 3</ref>, Rocenaco au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ref-Ang-Livre des fiefs</ref>

L'origine du nom de Roncenac remonterait à un nom de personne gallo-romain Ruscinius, dérivé de Roscius, ou Ronsinus, dérivé de Ronsus, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Rosciniacum, « domaine de Roscinius »<ref>Modèle:Dic-Dauzat-1989</ref>.

Limite dialectale

La commune marque la limite entre la langue d'oïl (domaine du saintongeais) à l'ouest, et le domaine occitan (dialecte limousin) à l'est<ref>Modèle:Ref-Charente-Michon</ref>. Modèle:Article connexe

Histoire

Préhistoire

Grotte de la Chauverie

La grotte de la Chauverie est à environ Modèle:Unité sud-sud-est de Ronsenac, dans la vallée d'un affluent du ruisseau de Ronsenac<ref name="geoprtl">Modèle:Géoportail.</ref>. D'origine karstique, elle est faite d'un réseau de petits conduits creusés dans les calcaires du Coniacien moyen. En 1998 C. Marteau et sa fille découvrent des vestiges osseux mis au jour par un terrier de blaireau ; en 1999 J.-F. Tournepiche y fait les premières fouilles, continuées de 2003 à 2006<ref name="2011discamps86">Modèle:Ouvrage.</ref>. Plusieurs niveaux fossilifères se rapportent tous au MIS 3<ref name="2011discamps88">Modèle:Harvsp.</ref>, plus précisément au début de cette période (~Modèle:Nb ans)<ref name="2011discamps90">Modèle:Harvsp.</ref>.
La base du remplissage (couche C2) correspond à une fréquentation par les hyènes.
Dans la partie centrale de l'ensemble, la couche C2 est surmontée d'une couche (SJC) pratiquement stérile, puis de deux couches (ABN et CJS) d'occupation par l'hyène en environnement plus froid.
Dans le secteur nord la couche C2 est surmontée d'une couche (CCI) de cailloutis qui a livré un squelette d'auroch presque complet et un squelette de bison : ces animaux auraient été piégés par le petit aven formé par le couloir. Au-dessus, une couche de limon brun épaisse de Modèle:Unité a livré seulement quelques outils lithiques, dont des bifaces<ref name="2011discamps88"/>. Les 136 éléments lithiques recueillis datent essentiellement du Moustérien, sauf une portion distale de pointe de Châtelperron et quelques lames ou fragments de lames<ref name="2011discamps89">Modèle:Harvsp.</ref>.

Fichier:Ronsenac Chez Vinaigre 2004.JPG
Dolmen de Chez Vinaigre.
Dolmen de Chez Vinaigre

Le dolmen de Chez Vinaigre près de Bernac et Périchou, à ~Modèle:Unité au sud du bourg<ref name="geoprtl"/>, daterait de Modèle:Nombre.

Antiquité

La voie romaine de Saintes à Périgueux, appelée en Charente le chemin Boisné, passait au nord-est de la commune<ref>Modèle:Ref-Charente-Michon</ref>. Les archéologues pensent localiser sur cette voie et pas loin de la commune la mansion (village-étape romain) de Sarrum qui figure sur la carte de Peutinger, même si aucune trace décisive n'a encore été trouvée à ce jour<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

On a retrouvé récemment une tombe gallo-romaine dans un champ à l'Étang. On a aussi retrouvé des vestiges de l'époque mérovingienne près du cimetière (sarcophages wisigoths ou francs)<ref>Modèle:Ref-Charente-Vernou.</ref>.

Moyen-Âge

La paroisse était située à la limite entre les diocèses d'Angoulême et de Périgueux.

Entre le {{#switch: XVIII

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}}, Ronsenac est le siège d'une viguerie, alors dans le diocèse de Périgueux, rattachée ensuite avec les six autres vigueries du comté d'Angoulême, qui en compte une vingtaine à la suite de son extension au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>André Debord, Modèle:Ref-Charente-Bordessoules.</ref>.

Sous l'Ancien Régime, l'ancien château de Ronsenac, situé près de l'église, était le siège d'une importante seigneurie qui appartenait à la famille Arnaud, dont une branche était à Bouëx et l'autre à Champniers. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Pierre Arnaud est plusieurs fois maire d'Angoulême. Son fils, André, seigneur de Ronsenac, conseiller au présidial, meurt en 1782 à l'âge de 82 ans.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Pendant la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la commune est desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant de Blanzac à Villebois-Lavalette appelée le Petit Mairat. La gare était au nord du bourg.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Au début de ce siècle, la commune produisait des truffes assez renommées. Le lait des vaches était recueilli par une importante laiterie coopérative<ref name=mb>Modèle:Ref-Charente-MB</ref>.

Administration

Fichier:Ronsenac Mairieb2.jpg
Mairie de Ronsenac.

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 35,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 52,01 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Économie

Agriculture

La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Équipements, services et vie locale

Enseignement

L'école est un RPI entre Charmant et Ronsenac. Ronsenac accueille l'école primaire, et Charmant l'école élémentaire. L'école de Ronsenac accueille deux classes de maternelle et une classe d'élémentaire. Le secteur du collège est Villebois-Lavalette<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Lieux et monuments

  • Le prieuré Saint-Jean-Baptiste. La fondation de ce monastère se situe entre 1081 et 1101 à la suite de la donation de l'église de Ronsenac par l'évêque de Périgueux à Hugues, abbé de Cluny. Situé à quelques centaines de mètres hors du diocèse d'Angoulême, il sera l'un des seuls prieurés clunisiens en Périgord avec celui de La Rochebeaucourt. Pendant la guerre de Cent Ans, la région est très éprouvée le prieuré est alors remanié. En 1684 le prieuré est donné pour partie aux bénédictins anglais chassés de leur pays. Vendu comme bien national après la Révolution, il est séparé de l'église qui devient paroissiale<ref name="hron">Modèle:Lien web</ref>. Il sert alors de ferme et sort de l'abandon en 1987. Il est rapidement classé monument historique depuis 1990<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. Des travaux importants de recherches archéologiques et de restauration y sont entrepris depuis lors.
  • En bas du bourg, on peut trouver la Fontaine légendaire, source dont l'eau limpide et fraîche est fort bienvenue en été. C'est la source du Ronsenac.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Portail