Saint-Chély-d'Apcher
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Chély-d'Apcher (Modèle:MSAPI) est une commune française située dans le nord-ouest du département de la Lozère, en région Occitanie.
Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Chapouillet, le ruisseau de Malagazagne, le ruisseau de Chandaison et par deux autres cours d'eau.
Saint-Chély-d'Apcher est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année. Elle est dans l'unité urbaine de Saint-Chély-d'Apcher et fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher. Ses habitants sont appelés les Barrabands ou Barrabandes.
Située en Margeride, ancienne place forte de la baronnie d'Apcher, elle est la Modèle:3e du département par sa population et la première par son activité industrielle. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
Commune située dans le nord du département de la Lozère, entre Mende et Saint-Flour. Modèle:Carte communes limitrophes
Géologie et relief
Saint-Chély-d'Apcher se situe dans l'ouest de la Margeride. C'est une région montagneuse d'altitude moyenne, couverte de forêts de pins sylvestres et de hêtres ainsi que de pâturages pour les élevages de vaches et de moutons.
Hydrographie
La ville est traversée par le Chapouillet et ses affluents, les ruisseaux de Malagazagne, Cros et Sarroul.
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Chély-d'Apcher est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Chély-d'Apcher, une unité urbaine monocommunale<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, constituant une ville isolée<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, dont elle est la commune-centre<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (54,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,2 %), prairies (30,6 %), forêts (20,3 %), zones urbanisées (9,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Lieux-dits, hameaux et écarts
Outre le bourg, la commune comprend plusieurs hameaux : Espouzolles, Civergols, les Clauzes, Saroul.
Voies de communication et transports
Routes
Rail
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Chély-d'Apcher est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Chapouillet et le ruisseau de Malagazagne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1994 et 2003<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Saint-Chély-d'Apcher est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023<ref name=Feux>Modèle:Lien web</ref>. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de Modèle:Unité de celles-ci. L’arrêté du Modèle:Date-, complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du Modèle:Date-, abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit<ref group=Note>Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de Modèle:Unité (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de Modèle:Unité de part et d’autre des voies privées y donnant accès.</ref>,<ref name=Feux/>,<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 0,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Chély-d'Apcher est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Le toponyme est documenté sous les formes S. Ilari (vers 1109), Saint Chélir (1230-1231), S. Ylero (1235), S. Eler (1256), Sainh Ele (1257)…
Le nom Saint-Chély provient d'une mécoupure de l'occitan Sanch Eler, à savoir Saint Hilaire. En effet, le nom se prononce localement Modèle:Langue et est devenu Saint-Chély à la Révolution.
Le village s'appelait, avant la Révolution, en version latinisée, Modèle:Langue, ce qui donnerait aujourd'hui Saint-Hilaire-du-Chapouillet. Le Hilaire qui a donné son nom au village est Ilère de Mende, évêque du Gévaudan. Le Chapouillet est la rivière qui baigne le village. Ce terme a été remplacé par celui d'Apcher. Apcher ou Apchier est le nom de l'une des huit baronnies du Gévaudan, dont le château principal se trouve à quelques kilomètres de Saint-Chély, sur la commune de Prunières.
Histoire
Préhistoire
Antiquité
Moyen Âge
La ville est un fief de la baronnie d'Apcher, une des huit baronnies du comté de Gévaudan. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Guérin IV d'Apchier fonde le premier hôpital de la ville<ref>Modèle:Buffière, tome II, p. 1434.</ref>.
En 1363, pendant la guerre de Cent Ans, le bourg est attaqué par les « Anglais »<ref>Terme désignant aussi bien les armées anglaises que les routiers qui terrorisent le Gévaudan en cette période</ref>. Selon la légende, c'est sous les ordres du baron d'Apcher, que les habitants vont devoir livrer bataille. Le baron d'Apchier, Guérin VI, et son fils, Guérin VII, reviennent du siège de Saugues, à la frontière du Gévaudan et du Velay, où les habitants ont combattu les routiers. C'est durant cet épisode que les habitants auraient acquis leur gentilé. Le cri de Guérin VI pour encourager son peuple au combat aurait été « d'Apchier, Notre-Dame, barres en avant ». Le barres en avant, prononcé barra in abon en occitan, est devenu le barraban qui désigne les habitants. Les Anglais vaincus ont été enterrés au lieu-dit la Croix des Anglais situé au nord de la ville. Cette croix représente un mouton et un étendard avec dessus une croix de Malte<ref>Modèle:Buffière, tome I, p. 751.</ref>.
Cette version n'est assise cependant sur aucun document historique, mis à la part la Croix des Anglais, érigée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (d'après l'Inventaire général) dont une autre hypothèse fait un panneau indicateur sur la route du pèlerinage de Saint-Gilles du Gard, dont la croix porte l'emblème<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Temps modernes
Le territoire de Saint-Chély et ses alentours sont touchés par la bête du Gévaudan, entre 1764 et 1767. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, une statue a été érigée à son effigie dans le parc du Péchaud, ce qui témoigne de l'importance culturelle locale de cette histoire encore aujourd'hui.
Révolution française et Empire
En 1789, M. Brun, curé de Saint-Chély, est élu député du clergé pour les états généraux de 1789 à Versailles.
À la Révolution française, deux communes distinctes sont créées, Saint-Chély-Ville qui portera un temps le nom de Roche-Libre<ref name=Cassini/> et Saint-Chély-Forain. Cet état de fait durera jusqu'en 1851, date à laquelle ces deux communes fusionnent.
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Époque contemporaine
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Après avoir été gérée de 1965 à 1983 par une municipalité de gauche, la commune a été depuis gérée par des municipalités de droite.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin
Intercommunalité
Le Modèle:Date, la commune de Saint-Chély-d'Apcher s'est associée à celles de Blavignac et de Rimeize pour former la communauté de communes Apcher-Margeride-Aubrac. Cette communauté s'est associée avec la communauté de communes des Terres d'Apcher pour constituer, à partir du Modèle:Date-, la communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac.
Découpage administratif
La ville est le bureau centralisateur du canton de Saint-Chély-d'Apcher pour l'élection départementale de la Lozère.
Jumelages
La ville de Saint-Chély-d'Apcher est jumelée avec la ville de :
Équipements et services publics
Enseignement
- Modèle:Refnec.
- Saint-Chély-d'Apcher possède, sur le site de Civergols, un LEGTA où il est possible de suivre une formation en BTSA "Gestion et Protection de la Nature" avec pour spécialité "Animation nature". Le LEGTA propose également quelques formations équines de type BEPA, et propose aussi une formation STAV.
- À quelques kilomètres, une antenne de l'ISEM de l'Université Montpellier 1 (commune Albaret-Sainte-Marie) propose des formations de "management hôtellerie-tourisme".
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Santé
Tourisme
La ville est dotée d'un office de tourisme intercommunal, Monts du Midi Tourisme, basé à Saint-Chély-d'Apcher en Lozère, qui œuvre au développement touristique de la destination Haute Lozère, en valorisant la pratique des sports nature sur l'Aubrac et la Margeride, en développant l'image et la communication de la Haute Lozère et en proposant tout au long de l'année un programme d'animations, d'expositions et d'événements variés.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est plus jeune que celle du département. En 2020, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 33,3 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (29,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (31 %) est inférieur au taux départemental (33,1 %).
En 2020, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 50,36 % de femmes, supérieur au taux départemental (50,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Manifestations culturelles et festivités
Sports et loisirs
Le club phare du sport barraban est l'Entente Nord Lozère (football), entente entre plusieurs clubs des différentes communes du nord du département (notamment avec Saint-Alban-sur-Limagnole). Le club a évolué quelques années en Modèle:4e au début des années 1990. Il a la particularité de jouer dans le district du Cantal (ligue Auvergne) et non avec le Languedoc-Roussillon, pour des raisons de proximité géographique.
Vie associative
Le Ciné-théâtre de Saint-Chély-d'Apcher est un lieu culturel proposant à la fois une programmation cinématographique et de spectacles vivants pour tous les publics. Entre Modèle:Unité sont proposés chaque semaine, ainsi qu'entre Modèle:Unité par saison culturelle (théâtre, humour, musique, danse, marionnettes, chanson).
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>). 46 % des ménages fiscaux sont imposés<ref group=Note>La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.</ref> (43,2 % dans le département).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 66,9 % d'actifs (59,8 % ayant un emploi et 7 % de chômeurs) et 33,1 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est la commune-centre de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 2 731 en 2013 et 2 801 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 626, soit un indicateur de concentration d'emploi de 169,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,1 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 1 626 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 158 travaillent dans la commune, soit 71 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 74,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7 % les transports en commun, 16,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités
Industrie
Une usine métallurgique, appartenant au groupe ArcelorMittal, y est implantée depuis 1916. Elle comporte des lignes de décapage, laminage, recuit, refendage, emballage et fabrique des aciers dits électriques car destinés à la production de moteurs et de transformateurs électriques. La ligne de production a été entièrement rénovée en 2013 et emploie plus de Modèle:Nobr.
L'industrie du bois est historique : des scieries sont exploitées sur le territoire de la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Bâtiments et lieux publics remarquables
- Château de Billières : bâti aux alentours de 1450 pour et par une branche cadette de la famille d'Apcher, il a été acquis en 1714 par Guy Bouniol, marchand de drap de Saint-Chély, profitant de la vente générale de la baronnie d'Apcher par le duc d'Uzès, héritier de sa grand-mère Marguerite d'Apcher. Ce bâtiment appartient toujours aux descendants de Guy Bouniol<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Ancien hôpital, reconstruit en 1894 à l'initiative du sénateur Théophile Roussel<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il abrite aujourd'hui le musée de la métallurgie.
- Le clocher de la paroisse est situé dans la tour dite du donjon, l'un des rares vestiges de l'enceinte fortifiée de la ville. Le clocher lui-même comme le crénelage sont récents. Les barons d'Apcher, seigneurs du lieu, avaient leur forteresse au village d'Apcher, à six kilomètres de Saint-Chély. Ils eurent ensuite une résidence au bas de la ville de Saint-Chély. Ce bâtiment, bâti sans doute au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et connu sous le nom du château à Saint-Chély, existe toujours et est actuellement occupé par l'école des sœurs de la présentation de Marie, selon le legs fait par Marguerite d'Apcher (1619-1708), dernière de cette famille à y avoir résidé.
- Le monument aux morts est une œuvre du sculpteur Maxime Real del Sarte<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- La fontaine des Asniers, au bas de la ville, a été érigée entre les {{#switch: XIV
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Bâtiments religieux
- Donjon et clocher de la ville.
- Église Notre-Dame de Saint-Chély-d'Apcher.
- Église Saint-Hilaire de Saint-Chély-d'Apcher.
- Chapelle Notre-Dame-de-Lourdes de Saint-Chély-d'Apcher.
-
Le monument aux morts, oeuvre de Maxime Real del Sarte.
-
L'église Notre-Dame.
-
Le foirail.
-
La tour du donjon (clocher).
-
La Fontaine des Asniers.
-
Ancien hôpital, aujourd'hui musée de la métallurgie.
Musées
- Le Musée de la métallurgie, témoignant de l'implantation industrielle de la région : présentation des outils de travail, des événements sociaux et de l'usine moderne.
- Le Musée des épouvantails est une curiosité locale, fruit de l'imaginaire d'une agricultrice qui a créé un monde onirique, drôle et touchant. Pour les amateurs d'insolite et d'art brut.
Personnalités liées à la commune
- Garin d'Apchier, troubadour, Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, mort entre 1156 et 1174, est réputé inventeur du descort, genre de poème amoureux nostalgique.
- Cardinal Dominique de La Rochefoucauld, (1712-1800), archevêque de Rouen.
- Joseph Monteil du Teil (1760-1826), soldat, maréchal de camp en 1814<ref>Courte biographie</ref>.
- Emmanuel Chazot (1760-1802) homme politique.
- Émile-Augustin Chazot (1805-1854), homme politique français, y est né.
- Théophile Roussel (1816-1903), médecin et politicien. La rue principale et un lycée sur la commune portent son nom.
- Joseph Dominique Aldebert de Chambrun (1821-1899), homme politique français.
- Antoinette Drohojowska, née Symon de Latreiche (1822-1890), femme de lettres, y est née.
- Francis Vallès (1959-), dessinateur de bande dessinée, y est né.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes