Sion (Valais)
- REDIRECT Modèle:Voir homonymes
Modèle:Infobox Commune de Suisse
Sion (Modèle:En langue) est une ville et une commune de Suisse, chef-lieu et ville la plus peuplée du canton du Valais et du district homonyme.
Géographie
Situation
La commune de Sion se trouve dans le district de Sion, dans le canton du Valais, desquels elle est le chef-lieu. La ville de Sion est établie principalement sur la rive droite du Rhône, dans la partie centrale de la vallée du Rhône, sur le cône de la Sionne ; la commune y est délimitée à l'est par la Lienne et à l'ouest par la Morge de Conthey, à Modèle:Unité de sa limite orientale. Les vignobles sous le plateau de Savièse servent quant à eux de frontière septentrionale. Enfin, au sud, la commune s'étend sur la rive gauche du Rhône du débouché du val d'Hérens à celui du val de NendazModèle:Sfn.
Le territoire de Sion mesure Modèle:Superficie suisseModèle:Référence superficie suisse. Lors du relevé de Modèle:Période relevé superficie suisse, les surfaces d'habitations et d'infrastructures représentaient Modèle:Utilisation sol suisse de sa superficie, les surfaces agricoles Modèle:Utilisation sol suisse, les surfaces boisées Modèle:Utilisation sol suisse et les surfaces improductives Modèle:Utilisation sol suisseModèle:Référence superficie suisse par domaine.
La commune comprend comme localités Pont-de-la-Morge, Châteauneuf, Montorge, La Muraz, Molignon et Uvrier en rive droite et Arvillard, Turin, Pravidondaz, Salins, Les Agettes, Chandoline, la Crête, Maragnénaz, Pont-de-Bramois et Bramois en rive gaucheModèle:Sfn,Modèle:Sfn,<ref name="ref_auto_1">Modèle:Swisstopo</ref>. Le pont du Rhône se trouve à Modèle:Unité d'altitude, la place de La Planta à Modèle:Unité et le château de Tourbillon à Modèle:Unité. Le point le plus haut de la commune se situe à proximité de Thyon, à Modèle:UnitéModèle:Sfn,<ref name="ref_auto_1" />,<ref>Modèle:Article.</ref>.
Climat
On compte Modèle:Nombre par an de gel à Sion. La température maximale y est inférieure à Modèle:Tmp Modèle:Nombre par an. Elle y est supérieure à +Modèle:Tmp Modèle:Nobr par an et supérieure à +Modèle:Tmp Modèle:Nombre par an. La durée d'ensoleillement moyen est de Modèle:Nombre par année<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les chutes de neige sont fréquentes en hiver, mais le manteau neigeux disparaît rapidement. Il persiste rarement plus de deux semaines. Les fréquents épisodes de foehn mettent souvent à mal le manteau neigeux. Les quantités de neige et le nombre de jours de neige gisante sont en nette diminution depuis le début des années 1990<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
D'intenses chutes de neige se produisent parfois jusqu'en plaine grâce à la présence d'un lac d'air froid. Cela, se produit souvent après une période anticyclonique relativement froide. À l'arrivée d'un front chaud humide, les vents balaient les masses d'air froides dans le Jura et sur le Plateau suisse, tandis que le Valais se retrouve protégé par les Alpes. Et tant que le brassage d'air se fait au-dessus de la limite pluie/neige, il neige jusqu'en plaine. Lors du brassage, il se peut qu'il pleuve par des températures négatives, ce qui donne lieu à des pluies verglaçantes qui durent rarement longtemps, le vent atteignant rapidement les basses couches<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les Modèle:Unité de neige tombés durant la journée du Modèle:Date- constitue un record journalier pour la ville<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Transport
Sion est un nœud intermodal (gare CFF et gare routière). La gare ferroviaire se trouve sur la ligne du Simplon (Lausanne-Milan). L'Modèle:Autoroute suisse y correspond à la route européenne 62, sorties : Modèle:Autoroute suisse et Modèle:Autoroute suisse. Un aérodrome est présent mais aucune desserte lointaine n'est disponible.
Histoire
La ville de Sion fut occupée dès le néolithique (nécropole du Petit-Chasseur<ref>La nécropole du Petit-Chasseur</ref>), mais celle-ci semble avoir pris son essor surtout à l'époque celte.
Elle tire son nom actuel du latin Sedunum, lui-même dérivé de celui du peuple celte qui vivait là, les Sédunes (en latin : Sedunii). Ceux-ci construisirent sur le site de Sion un oppidum habituellement identifié avec le Drousomagos, signifiant peut-être marché de Drusus ou marché des buissons, cité par Ptolémée et qu'il situe en amont de Martigny.
Jusqu'à la fin de l'époque romaine, Sion reste dans l'ombre de Massongex puis de Martigny, alors appelée Octodure, qui ont l'avantage de se trouver sur la route stratégique du Grand-Saint-Bernard. Ce n'est qu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, lorsque l'évêque y déplace le siège épiscopal, que la ville devient le centre socio-culturel de la région.
Dès 999, l'évêque de Sion devint comte du Valais. En 1032, le comté est intégré au Saint-Empire romain germanique. À partir de 1189, le comté devient la principauté épiscopale de Sion. Le Moyen Âge et la Renaissance voient s'affronter, sur le terrain de l'unification du Valais et de la lutte de pouvoir, l'évêque et la Diète, qui siège aussi à Sion.
La ville de Sion fut détruite et pillée à plusieurs reprises jusqu'en 1475, date à laquelle les troupes savoyardes furent repoussées à ses portes lors de la bataille de la Planta.
La ville croît alors lentement jusqu'au terrible incendie de 1788. Elle est reconstruite, mais ses remparts sont abattus au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (il n'en reste aujourd'hui plus guère que la Tour des Sorciers et la Tour de Guet).
Elle connaît un essor important avec l'arrivée du train.
En 1968, la commune et le village de Bramois ont fusionné avec la municipalité de Sion, tout comme celles de Salins en 2013 et des Agettes en 2017. En 2020, la commune de Sion annonce un projet de « capitale suisse des Alpes » qui prévoit la fusion avec toutes les communes environnantes, de Saint-Léonard à Ardon et d'Evolène à Ayent, pour 2050<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le projet connaît un premier coup dur lorsque Vex, après votation, annonce préférer une fusion avec les communes du val d'Hérens<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Sion tenta à trois reprises d'obtenir les Jeux olympiques d'hiver, mais fut trois fois le dauphin du vainqueur (Denver qui finalement refusa en 1976 au profit d'Innsbruck, Salt Lake City en 2002 et Turin en 2006).
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La ville de Sion en 1572.
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Vue générale de Sion au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
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Photo aérienne (1955).
Politique
Conseil municipal
Le Conseil municipal est le pouvoir exécutif de la commune. Ses neuf membres, non permanents à l'exception du Président, sont élus tous les quatre ans par le peuple.
Le Modèle:Date-, lors des élections, le libéral-radical Marcel Maurer est élu à la présidence de la ville de Sion avec Modèle:Nombre, devenant le premier président non démocrate-chrétien de la ville. Le Modèle:Date-, c'est Philippe Varone qui est élu à ce poste avec Modèle:Nombre.
Liste des présidents de la ville de Sion
Conseil général
Le Conseil général est le pouvoir législatif de la commune. Ses Modèle:Nobr sont élus tous les quatre ans par le peuple.
Bourgeoisie
La commune de Sion comporte aussi une corporation de droit public issue de la commune médiévale : la Bourgeoisie. Le Conseil bourgeoisial compte sept personnes : un président, un vice-président et cinq conseillers ; un chancelier les assiste<ref>Site officiel de la Bourgeoisie de la ville de Sion en valais, Suisse</ref>.
Économie
Le secteur tertiaire est la principale activité de la ville, en raison notamment de la présence de l'administration cantonale, du parlement valaisan, et du tribunal cantonal. Le tourisme (nombreux châteaux et musées) est également une activité importante.
Le secteur secondaire est peu représenté, même si une certaine activité horlogère existe (sous-traitance).
Le secteur primaire, bien que marginalisé, n'est pas négligeable : Sion est la troisième commune viticole de Suisse, la culture maraîchère y est également notable. Néanmoins, les surfaces consacrées à l'agriculture et à la viticulture sont en constante régression, à mesure que l'urbanisation progresse.
Finalement, il convient de signaler la présence d'un important site médical, l'hôpital de Sion-Région, qui regroupe les disciplines médicales de pointe. Il est membre du Réseau Santé Valais, et collabore avec le Centre hospitalier universitaire vaudois de Lausanne.
Toujours dans le secteur médical, on trouve à Sion l'Institut central des Hôpitaux valaisans (ICHV), la Clinique romande de réadaptation physique de la SUVA<ref>Modèle:Lien web</ref>, et l'Institut de recherche en ophtalmologie (IRO - laboratoires en optique, biophysique et oculogénétique)<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune abrite une usine d'incinération des déchets qui dessert 44 communes avoisinantesModèle:Ref nec. Cette usine est équipée d'un catalyseur qui ramène les émissions de [[Oxyde d'azote|Modèle:Fchim]] au-dessous des valeurs limites toléréesModèle:Ref nec. Demeurent néanmoins les résidus solides de l'incinérationModèle:Ref nec. La chaleur de combustion est convertie en énergie électrique qui est injectée dans le réseau localModèle:Ref nec.
Jumelages
- Modèle:ARG-d Colón (Entre Ríos)
- Modèle:USA-d Philippi (Virginie-Occidentale)
- Modèle:FRA-d Selles-sur-Cher (Loir-et-Cher)
Population et société
Gentilé et surnom
Les habitants de la commune se nomment les SédunoisModèle:Ref sou.
Ils sont surnommés les Bordzés, soit les bourgeois en patois valaisan<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Démographie
Evolution de la population
Modèle:Section démographie commune suisse
Pyramide des âges
Modèle:Section pyramide des âges commune suisse
Éducation
Enseignement secondaire
La ville de Sion possède deux écoles de maturité pour la formation des étudiants :
- le lycée-collège de la Planta (LCP) ;
- le lycée-collège des Creusets (LCC).
L'École des métiers du Valais est également implantée à Sion (ainsi qu'à Viège).
- Autres écoles
- l'École cantonale d'agriculture, située à Châteauneuf / Sion<ref>Modèle:Lien web</ref> ;
- l'École de Commerce (EC), de Culture Générale (ECG) et Préprofessionnelle (EPP) ;
- l'École de Cirque de Sion sous son chapiteau rouge et jaune<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Enseignement professionnel
La ville de Sion possède deux écoles professionnelles :
- l'École professionnelle technique et des métiers (EPTM) ;
- l'École professionnelle commerciale et artisanale (EPCA).
Enseignement supérieur et recherche
- Haute École spécialisée de Suisse occidentale Valais (HES-SO Valais/Wallis)
- Sciences de l'ingénieur
- Systèmes industriels, Technologies du vivant
- Économie et services
- Informatique de gestion, Économie d'entreprise
- Santé-Social
- Mobilité et réhabilitation, Travail social, Soins et éducation à la santé
- Sciences de l'ingénieur
- École supérieure de Commerce de Sion.
- Haute école de Musique (HEM-Vs) (également connue sous le nom de Conservatoire supérieur et Académie de musique Tibor Varga)<ref>Haute École Musique Valais Tibor Varga</ref>
- Conservatoire cantonal de musique de Sion
- IRO, Institut de Recherche en Ophtalmologie (www.irovision.ch)
- UNIL Valais Campus<ref>Modèle:Lien web</ref>
- UNIGE Valais Campus<ref>Modèle:Lien web</ref>
Sports
Athlétisme
Chaque deuxième samedi de décembre a lieu la Course de Noël, une course populaire à travers les rues de la vieille-ville qui comprend également un plateau élites.
Basketball
Le club de la ville est Sion Basket et évolue en LNB féminine (Modèle:2e suisse).
Escrime
La Société d'escrime de Sion existe depuis 1945. Fondée par Michel Evéquoz, elle a formé plusieurs escrimeurs qui ont obtenu des médailles lors de la tenue des Jeux olympiques :
- 2000 - JO de Sydney : Sophie Lamon, Modèle:2e par équipe, épée dame ;
- 1976 - JO de Montréal : Jean-Blaise Evéquoz, Modèle:3e par équipe, épée ;
- 1972 - JO de Munich : Guy Evéquoz, Modèle:2e par équipe, épée homme ;
- 2011 - Championnats d'Europe : Tiffany Géroudet, Modèle:1re en individuel, épée dame.
Elle a également remporté 9 fois le championnat suisse à l'épée masculine, 3 fois à l'épée féminine, et 4 fois au fleuret masculin.
La ville de Sion a posé sa candidature pour les Jeux olympiques d'hiver de 2002 et de 2006 mais a perdu contre Salt Lake City (Utah, USA) et contre Turin (Italie).
Football
Les clubs de la ville sont le FC Sion, le FC Bramois et le FC Châteauneuf. Le FC Sion possédait la particularité d'avoir remporté 13 finales de la Coupe de Suisse sur 13 participations, dont la dernière en 2015 contre le FC Bâle. Cependant, le FC Sion fut battu par le FC Bâle 3 à 0 lors de la finale de la Coupe de Suisse 2017. Ce nombre est symbolique, représentant ainsi les 13 étoiles du drapeau du Valais.
Le club évolue actuellement en Challenge League (deuxième division) et joue ses matches au stade de Tourbillon.
Hockey sur glace
Le club de la ville est la deuxième équipe du Hockey Club Valais-Chablais (fusion entre le HC Sion et le HC Nendaz en 2013 puis avec le HC Martigny Red Ice en 2018). Il évolue dans le championnat de Suisse de hockey sur glace D3. Il dispute ses rencontres à domicile à la patinoire de l'Ancien Stand (près de Modèle:Unité).
Montagne
- Club alpin suisse (CAS) Sion section Monte Rosa
Pétanque
Le club de Sion Pétanque organise chaque année le Grand Prix du Valais.
Médias
- Le Nouvelliste est le quotidien valaisan édité à Sion ;
- Canal 9, (Sierre) télévision régionale valaisanne ;
- Rhône FM, radio privée valaisanne ;
- RTS Valais région, la rédaction valaisanne de la télévision publique suisse ;
- Le Journal de Sion, publié mensuellement.
Culture et patrimoine
Patrimoine bâti
La basilique (mineure) ou château de Valère (ancienne résidence des chanoines du chapitre) et le château de Tourbillon surplombent la ville.
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Les châteaux de Valère et Tourbillon.
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Notre-Dame du Glarier.
La Vieille-ville est un bourg médiéval particulièrement bien conservé : outre les châteaux sis sur les deux collines, de nombreux bâtiments importants s'y trouvent. On peut citer : le château de la Majorie, l'hôtel de ville, la Maison Supersaxo, le casino de Sion abritant le parlement cantonal valaisan, la cathédrale Notre-Dame (ou du Glarier) de Sion avec en face l'Évêché qui est le siège du diocèse de Sion, la Maison du Chapitre, l'église Saint-Théodule, le palais du gouvernement valaisan, la maison de la Diète et la Tour des Sorciers, un des rares vestiges du dernier mur d'enceinte avec la Tour du Guet située au pied du rocher de Valère.
Espaces d'exposition
La Ville de Sion abrite les musées cantonaux<ref>Modèle:Lien web</ref> - musée d'histoire, musée de la nature et musée d'art - ainsi que la Maison de la nature de Montorge<ref name="webMaisonNature">Modèle:Lien web</ref>. Le centre artistique et culturel de la Ferme-Asile<ref>Modèle:Lien web</ref>, la Fondation Fellini pour le cinéma<ref>Modèle:Lien web</ref> et la Galerie de la Grenette<ref name="webGrenette">Modèle:Lien web</ref> complètent l'offre en arts visuels. Le Théâtre de Valère et le Petithéâtre occupent la Place des Théâtres sur la colline de Valère.
Musique
Le chœur Novantiqua de Sion s'est fait connaître en Suisse et à l'étranger, interprétant les grandes pages du répertoire classique, mais également de la musique contemporaine<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Festivals et évènements
Divers festivals de musique y ont lieu, dont le Sion Festival et le concours international de violon Tibor Varga, le Sion sous les étoiles, le Guinness Irish Festival, le PALP Festival ou encore le Festival de l'orgue ancien, dédié au plus vieil orgue jouable du monde (c. 1390-1430) qui se trouve dans la Basilique de Valère.
Depuis Modèle:Date-, la vieille ville de Sion est également dotée d'un marché traditionnel tous les vendredis de 8 h à 14 h<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le carnaval de Sion est le plus grand carnaval du Valais central, attirant chaque année près de Modèle:Nombre.
Personnalités
- Paul Maurice de Torrenté (1690-1749), ecclésiastique et juriste sédunois.
- Joseph François Ignace Maximilien Schiner (1761-1845), général de division de la Révolution et de l'Empire né à Sion.
- Roger Bonvin, président de Sion en 1955, conseiller national puis conseiller fédéral de 1962 à 1973
- Fernand Dubuis (1908-1991), peintre-dessinateur
- Hermann Geiger, pilote des glaciers et chef de place à l'aérodrome civil de Sion, mort accidentellement en 1966
- Arnaud Jacquemet (1988-), joueur de hockey
- Frédéric Recrosio (1975-), humoriste, comédien et écrivain
- Shlomo Mintz, violoniste virtuose, directeur artistique du Festival international de musique de Sion Valais et président du jury du Concours international de violon de Sion Valais
- Henri Schwery, cardinal, membre de la Congrégation pour la Cause des Saints. Il est également grand-prieur de l'ordre équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem en Suisse.
- Tibor Varga, violoniste qui fonda le Festival international de musique Tibor Varga, mort à Sion en 2003
- Maurice Zermatten, écrivain valaisan
- Gilberte Favre (1945-), écrivain suisse
- Alain Geiger, footballeur le deuxième joueur suisse le plus capé de tous les temps (112 sélections).
- André Filippini (1924-2013), bobeur, médaillé olympique de bronze en bobsleigh aux Jeux olympiques de 1952 et ancien président du FC Sion de 1971 à 1977.
- Guy Evéquoz (1952-), escrimeur vice-champion olympique par équipe en escrime aux Jeux olympiques d'été de 1972.
- Jean-Blaise Evéquoz (1953-), escrimeur, médaillé olympique de bronze par équipe en escrime aux Jeux olympiques d'été de 1976.
- Jonathan Fumeaux (1988-), coureur cycliste suisse, membre de l'équipe Roth-Akros.
- Sophie Lamon (1985-), champion d'escrime, médaillée olympique de bronze par équipe en escrime aux Jeux olympiques d'été de 2000.
- Steve Locher (1967-), champion de ski, médaillé olympique de bronze, il sauve l’honneur en obtenant la seule médaille suisse en ski alpin aux Jeux olympiques de 1992.
- Sylviane Berthod, championne de ski
- Samael, groupe de black metal fondé en 1987
- Noémie Schmidt (1990-), actrice
- Suzanne Chappaz-Wirthner, ethnologue suisse
- Edmée Buclin-Favre (1927-), femme politique et féministe valaisanne
- Johanna Rittiner Sermier y est née en 1980.
- Nathalie Luyet Girardet (1966-), architecte urbaniste est née à Sion.
- Colette Mars, actrice française est morte à Sion.