Trois Hommes à abattre

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Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Modèle:Infobox V3/Fin Trois Hommes à abattre est un film français réalisé par Jacques Deray et sorti en 1980. C'est une adaptation très libre du roman Le Petit Bleu de la côte ouest de Jean-Patrick Manchette.

Résumé détaillé

Un joueur de poker professionnel, Michel Gerfaut (Alain Delon), découvre en pleine nuit un blessé à bord d'une voiture encastrée dans des arbres, sur une route de campagne. Il l'emmène à l'hôpital et, ayant trop attendu, part finalement sans faire de déclaration.

Alors qu'il passe un week-end avec Béa (Dalila Di Lazzaro), sa maîtresse, à Trouville-sur-Mer, Gerfaut vit une série d'incidents qui le convainquent d'une chose : quelqu'un en veut à sa vie, sans qu'il comprenne pourquoi. En même temps, il apprend par la presse que trois cadres supérieurs d'une puissante société d'armement, le groupe Emmerich, ont été assassinés. Surtout, il reconnaît sur une photo le visage de l'homme qu'il avait amené à l'hôpital.

Gerfaut rentre à Paris pour se précipiter chez son ami Liéthard (Christian Barbier), un inspecteur des Renseignements généraux. Celui-ci ne cache pas son inquiétude et lui dit qu'il a « mis les pieds où il ne fallait pas ». Les deux hommes se rendent alors au domicile de Gerfaut. Liéthard y est abattu sous ses yeux. Gerfaut prend en chasse les tueurs. Au terme d'une folle poursuite, il les affronte et tue l'un d'entre eux. Mais il est blessé. Il parvient toutefois à rejoindre l'appartement de Béa.

Hospitalisé pour ses blessures, Gerfaut apprend que la police le soupçonne désormais du meurtre de son ami Liéthard. En même temps, les tueurs ne lui laissent aucun répit. Il doit s'échapper de l'hôpital en éliminant un autre d'entre eux et envoie Béa se mettre à l'abri à la campagne.

Pendant qu'il enquête sur les raisons de ce qui lui arrive, Gerfaut est contacté par Emmerich (Pierre Dux) et va le rencontrer. En effet, celui-ci est convaincu que Gerfaut est un « professionnel » redoutable, et a décidé de l'« acheter ». Gerfaut continue à clamer qu'il ne connaît rien aux affaires dont il est question. Au cours de l'entretien, Emmerich décède d'une crise cardiaque. Son adjoint, Leprince (Michel Auclair), qui prend immédiatement sa succession, lui demande de travailler pour lui. Devant son refus, il le laisse partir, en lui laissant comprendre qu'il n'a pas le choix, et que sinon ce sera « n'importe où, n'importe qui ». Croyant l'affaire close, Gerfault récupère Béa et repart avec elle à Paris mais n'empêchera pas Leprince de le faire assassiner en pleine rue par deux tueurs alors qu'il se promenait avec Béa.

Fiche technique

Distribution

Production

En 1980, Alain Delon entame cette décennie après avoir multiplié des projets cinématographiques variés, alternant projets commerciaux ou risqués, durant les années 1970 avec pas moins de vingt-huit films entre 1970 et 1979, dont plus de la moitié ont été produits par lui-même et dont certains n'ont pas connu le succès public escompté<ref name="DVDClassik">Modèle:Lien web.</ref>. Après le succès de Mort d'un pourri (1977), il connaît un sérieux revers commercial avec Attention, les enfants regardent<ref name="DVDClassik"/> (1978) et son dernier film en date, le drame d'anticipation Le Toubib (1979), connaît un score correct au box-office, mais assez juste au regard de son budget<ref name="DVDClassik"/>. Il décide de s'inspirer de la méthode de son ami Jean-Paul Belmondo qui est de tourner un film par an suivi d'une campagne marketing imposante organisée au millimètre, ce qui entraîne un gros succès<ref name="DVDClassik"/>. Pour cela, il achète les droits du roman Le Petit Bleu de la côte ouest de Jean-Patrick Manchette, qui narre l'histoire d'un antihéros, cadre commercial et paisible père de famille, qui se retrouve mêlé accidentellement à une sombre histoire de meurtre<ref name="Arte">Modèle:Lien web.</ref>.

Delon fait appel aux services du réalisateur Jacques Deray, qui a collaboré à de nombreuses reprises avec lui. Le duo écrit également le scénario en compagnie de Christopher Frank, autre collaborateur de l'acteur-producteur. Dans le script, le personnage principal devient un joueur de poker solitaire, sans attaches sociales ou humaines hormis une relation sentimentale<ref name="Arte"/>. Dans une interview à la presse, Delon dira : Modèle:Citation<ref name="Anecdotes">Modèle:Lien web.</ref>.

Le tournage du film s'est déroulé du 15 juin au Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>, essentiellement dans la région Île-de-France<ref name="locations">Modèle:Lien web.</ref>. Les scènes de la course-poursuite en voiture ont été tournés dans le 16e et le 18e arrondissement de Paris<ref name="locations"/>. D'autres scènes du film ont été tournées à Trouville-sur-Mer, dans le Calvados<ref name="locations"/>.

Sortie et accueil

Trois Hommes à abattre sort fin octobre 1980 dans les salles françaises. Dans sa critique pour Le Monde, Jean de Baroncelli note que Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Il prend directement la première place du box-office avec Modèle:Unité la semaine de sa sortie<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont Modèle:Unité sur Paris<ref name="BOStory">Modèle:Lien web.</ref>. La semaine suivante, le film reste en tête et perd peu d'entrées avec Modèle:Unité<ref name="BOArchives">Modèle:Lien web.</ref>, portant le cumul à Modèle:Unité<ref name="BOArchives"/>. En troisième semaine, le film est toujours en tête du box-office, avec Modèle:Unité, pour un total de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il rétrograde en seconde place, qu'il occupe pendant deux semaines, tout en ayant totalisé Modèle:Unité depuis sa sortie<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Au Modèle:Date-, le film a cumulé Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le film passe le cap des deux millions d'entrées la semaine du Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il quitte le top 30 la semaine du Modèle:Date-, où il occupait la 25e place et en ayant totalisé Modèle:Unité depuis sa sortie<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En fin d'exploitation, le long-métrage finit avec Modèle:Unité, dont Modèle:Unité sur Paris<ref name="BOStory"/>, un seuil qu'Alain Delon n'avait plus atteint depuis Deux hommes dans la ville en 1973, malgré les bons scores de Flic Story (1975) et Mort d'un pourri (1977), qui ont frôlé les 2 millions d'entrées<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Autour du film

Tournage

Le film a été tourné :

Notes et références

Notes

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Références

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Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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