Puteaux
Modèle:Voir homonymes Modèle:Confusion Modèle:Infobox Commune de France
Puteaux est une commune française sur la rive gauche de la Seine, dans le département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France.
Sur le nord du territoire de la commune est implantée une large part du quartier d'affaires de la Défense (qui s'étend aussi sur celui de Courbevoie, Nanterre et, depuis 2010, La Garenne-Colombes) : certains des édifices les plus emblématiques de la Défense Modèle:Incise sont à Puteaux. Modèle:Sommaire
Géographie
Modèle:Carte communes limitrophes
Localisation
Située sur la rive gauche de la Seine, la ville de Puteaux est limitrophe de Neuilly-sur-Seine et de Paris (Bois de Boulogne) côté Seine, de Courbevoie au nord (la séparation se faisant sur le quartier d'affaires de La Défense), de Nanterre à l'ouest et de Suresnes au sud. Le territoire de cette commune comprend la totalité de l'île de Puteaux (traversée par le pont de Puteaux et accessible également par la passerelle François Coty), île qui depuis 1935 est mitoyenne (par comblement d'un bras de la Seine) de l'île du Pont appartenant à Neuilly-sur-Seine (île traversée par le pont de Neuilly emprunté par la ligne 1 du métro).
Géologie et relief
La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; l'altitude varie de Modèle:Unité/2<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Climat
Voies de communication et transports
Voies routières
La ville de Puteaux est desservie par la route nationale 13, qui lui donne un accès direct à Paris (Porte Maillot), via Neuilly-sur-Seine. Sur les berges de la Seine, la route départementale 7 permet de connecter Puteaux aux communes du nord et du sud des Hauts-de-Seine.
Le pont de Puteaux, qui traverse la Seine permet un accès direct au bois de Boulogne.
Pistes cyclables
Peu de pistes cyclables sont disponibles dans la ville<ref>Carte des aménagements existants et prévus à court et moyen terme (juillet 2008)</ref>. La ville compte trois stations du système de vélos en libre service Vélib'.
Transports en commun
La commune de Puteaux est desservie par :
- Modèle:Métro de Paris/correspondances avec intitulé : stations La Défense et Esplanade de la Défense.
- Modèle:RER/correspondances avec intitulé : station La Défense
- Modèle:Tramway d'Île-de-France/correspondances avec intitulé : stations La Défense et Puteaux
- Lignes Modèle:Transilien/correspondances avec intitulé et Modèle:Transilien/correspondances avec intitulé du Transilien : gares de la Défense et de Puteaux
- Lignes Modèle:Bus RATP/correspondances avec intitulé du réseau de bus RATP
La ligne 1 du métro permet de relier Puteaux au quartier des Champs-Élysées en un quart d'heure et au centre de Paris (hôtel de ville) en une demi-heure. Il est accessible à partir du centre-ville de Puteaux :
- soit directement, à pied, en rejoignant le quartier d'affaires par une des passerelles ou passages qui relient Puteaux à La Défense (par exemple la passerelle des Terres Blanches ou la passerelle de l'Orme, par la rue Arago, la passerelle des Vignes, par la rue Roque-de-Fillol, ou l'escalier en haut de la rue Édouard-Vaillant),
- soit en correspondance tram ou train depuis la gare de Puteaux,
- soit en correspondance bus, notamment avec les lignes de bus RATP 141, 144, 158 et 157 qui permettent de rejoindre soit la station La Défense soit la station Pont de Neuilly.
Le Transilien L et le RER A relient, eux, le quartier autour de la gare Saint-Lazare et d'Opéra.
La commune est également bien reliée à plusieurs grands pôles régionaux tels que Versailles-Chantiers et Saint-Quentin-en-Yvelines par le Transilien U, Issy - Val de Seine par le Tramway T2 ou Marne-la-Vallée et Cergy-Pontoise par le RER A, et bien connectée à ses plus proches voisines :
- Neuilly-sur-Seine par les lignes de bus RATP Modèle:Bus RATP/correspondances avec intitulé et la Modèle:Métro de Paris/correspondances avec intitulé du métro
- Suresnes par les bus RATP Modèle:Bus RATP/correspondances avec intitulé, Modèle:Tramway d'Île-de-France/correspondances avec intitulé et les Transilien Modèle:Transilien/correspondances avec intitulé
- Nanterre par les bus RATP Modèle:Bus RATP/correspondances avec intitulé et le Modèle:RER/correspondances avec intitulé
- Courbevoie par le Modèle:Transilien/correspondances avec intitulé et les bus RATP Modèle:Bus RATP/correspondances avec intitulé et par le Modèle:Tramway d'Île-de-France/correspondances avec intitulé
- Mantes-la-Jolie par la ligne Modèle:Bus RATP/correspondances avec intitulé Mantes du réseau de bus du Mantois.
Enfin, la desserte locale est assurée par les bus gratuits (Buséolien 1 (541a) et Buséolien 2 (541b)) disposant d'une information voyageurs en temps-réel, ainsi que par un petit train municipal pendant la saison d'été.
Depuis Modèle:Date-, la ville compte trois stations Vélib' dans le bas de Puteaux : une première à l'angle de la rue Jean-Jaurès et du boulevard Richard-Wallace, une deuxième en bas du boulevard Richard-Wallace, et une troisième boulevard Alexandre-Soljenitsyne. Le conseil général des Hauts-de-Seine envisage la mise en place sur son territoire d'un système similaire.
Urbanisme
Typologie
Puteaux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Morphologie urbaine
L’Insee découpe la commune en quatre « grands quartiers » soit Défense, Bergères, Mairie, Centre, eux-mêmes découpés en Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
On peut distinguer plusieurs grandes zones géographiques à Puteaux :
Le « Bas de Puteaux », compris entre la ligne de chemin de fer et la Seine, est le quartier le plus anciennement urbanisé. Dans le quartier populaire du Vieux Puteaux, autour de la vieille église et du Théâtre des Hauts-de-Seine (rue Henri-Martin), plusieurs immeubles anciens privés et HLM ont fait l'objet d'opérations de rénovation (rue Benoît-Malon, rue Voltaire et rue Gerhard notamment). Dans le Bas de Puteaux se trouve également l'hôtel de ville et une zone commerçante aux alentours des rues Jean-Jaurès, Eichenberger et Chantecoq. L'hôtel de ville de Puteaux a été construit en 1934, et présente une architecture typique de cette époque (voir photo). Le boulevard Richard-Wallace se veut quant à lui une sorte de « Champs-Élysées » putéolien.
Le « Haut de Puteaux » se situe à l'ouest de la ligne de chemin de fer, sur un plateau qui a accueilli, dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, un certain nombre d'usines et de manufactures. Ces dernières ayant été démantelées à la suite du déclin industriel de la commune, le quartier a été massivement urbanisé au Modèle:S mini- siècle. Ainsi se côtoient des formes architecturales variées composant un paysage urbain contrasté : maisons de ville (en régression), parc social composé de bâtiments de brique typique des années 1950, résidences des années 1960-1970 et enfin copropriétés de standing édifiées après les années 1990 en lieu et place d'anciens pavillons. Les immeubles remplacent peu à peu les pavillons de banlieue et le visage de la ville a radicalement changé depuis ces quinze dernières années. La résidence HLM Lorilleux illustre bien l'histoire de ce quartier, ayant ainsi été construite à l'emplacement des anciennes usines de fabrication d'encre homonymes. Les résidences HLM des rosiers, Cartault, Marcellin-Berthelot, Bernard-Palissy ont été édifiées suivant un schéma similaire.
Le « quartier de la Défense » se situe au nord, son cœur est séparé des autres quartiers de Puteaux par le boulevard circulaire. Il constitue l'un des principaux quartiers d'affaires d'Europe, s'étend quasiment aux deux tiers sur le territoire de Puteaux (le reste étant partagé entre Courbevoie, Nanterre et, depuis 2010, La Garenne-Colombes). Il s'est développé depuis la fin des années 1950, un peu à l'écart du reste de la ville. Il comprend des bureaux, mais aussi des habitations (Tour Défense 2000, résidence Boieldieu, Tour Ève…). Le CNIT, l'Arche de la Défense et le centre commercial des Quatre Temps se trouvent à Puteaux.
Enfin, l'« île de Puteaux » sur laquelle il n'y a pas d'habitation, à part quelques péniches, abrite de nombreuses structures sportives (terrains de tennis, de football, gymnase, piscine intérieure et extérieure chauffée). Sur cette île se situe aussi le parc Lebaudy, connu pour sa roseraie.
Noms des voies
Modèle:Article connexe Plusieurs voies de la commune ont changé de nomModèle:Quand : rue Bernard-Palissy (anciennement rue Modèle:Nobr), rue du Bicentenaire (rue du Centenaire), quai de Dion-Bouton (quai National), rue Jean-Jaurès (rue de Paris), rue Roque-de-Fillol (rue des Coutures), place Stalingrad (place du Marché), rue Lucien-Voilin (rue des Damattes), rue Marius-Jacotot (rue de la Croix), rue de Verdun (rue de Neuilly), et avenue du Général-de-Gaulle (avenue du Président-Wilson).
Habitat
Logements<ref>Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2016, document mentionné en liens externes.</ref> | Nombre en 2016 | % en 2016 | nombre en 2011 | % en 2011 |
---|---|---|---|---|
Total | 23 542 | 100 % | 22 960 | 100 % |
Résidences principales | 20 722 | 88,0 % | 20 829 | 90,7 % |
→ Dont HLM | 5 865 | 28,3 % | 5 394 | 25,9 % |
Résidences secondaires et logements occasionnels |
838 | 3,6 % | 774 | 3,4 % |
Logements vacants<ref group="Note">Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations</ref> | 1 982 | 8,4 % | 1 356 | 5,9 % |
Dont : | ||||
→ maisons | 688 | 2,9 % | 759 | 3,3 % |
→ appartements | 22 631 | 96,1 % | 21 849 | 95,2 % |
Projets d'aménagements
Les projets sont nombreuxModèle:Quoi.
OutreModèle:Quand un important programme de rénovation de son centre ancien (OPAH), la ville est engagéeModèle:Quand dans l'aménagement de plusieurs ZAC (du théâtre, Cœur de ville, Pressensé, Charcot, des Bergères).
En outre, plusieurs projets concernent la zone de La Défense située sur le territoire de Puteaux, en particulier des opérations liées au recalibrageModèle:Quoi du boulevard circulaire SudModèle:Quand.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme puteoli en 1113<ref>Dans la charte de Châlons en Champagne créant l'abbaye de Saint Victor (de Paris)</ref>Modèle:Référence à confirmer ou Puteolis au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Dauzat Rostaing">Modèle:Ouvrage.</ref>, Putiaus (sans date).
Deux interprétations principales du toponyme Puteaux se dégagent. Il s'agit peut-être d'un latin *Putid-ellum<ref name="Dauzat Rostaing" /> (comprendre le gallo-roman *PUTIDELLOS au pluriel), dérivant du latin putidum, « puant »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, qui a donné l'ancien français putel « bourbier, mare »<ref name="Dauzat Rostaing" />, à savoir au pluriel putiaus « les bourbiers » ou « les mares ». On peut y voir également un latin *Puteolos « petit puits » (comprendre le gallo-roman *PUTEOLOS) avec attraction de l'ancien français puteal « qui appartient à un puits » ou « profond comme un puits »<ref name=negre>Modèle:Ouvrage.</ref> pour justifier du maintien du t sonore qui normalement aurait dû s'amuïr à l'intervocalique, cf. les Modèle:Page h' et autres Modèle:Page h', etc. dont certains ont des formes anciennes du type Puteolis<ref name=negre/>.
L'astérisque (*) utilisée devant les deux mots cités par ces deux sources indiquent qu'il n'existe aucun document ancien mentionnant ces noms communs.
Histoire
Le roi de France Louis VI le Gros dote largement l'abbaye de Saint-Victor et lui donne en particulier le territoire de « Puteoli proximit nantonensi » (Puteaux à proximité de Nanterre).
En 1147 (avant de partir en croisade), le roi Louis VII le Jeune confirme par une charte cette dotation et par une autre donne à l'abbé Suger, futur régent, l'ordre de continuer son œuvre de défrichement.
En 1148, Suger crée un domaine agricole dénommé Putiauz, qui deviendra le village de Puteaux.
Le propriétaire du territoire (l'abbaye de Saint-Victor) connaît très rapidement des vicissitudes, et en 1633 elle est absorbée par la congrégation de France, avant d'être dissoute en 1790.
Les différentes interactions entre les abbayes ne permettent pas de suivre ce territoire mais on peut certifier qu'il n'appartient pas à l'abbaye de Saint-Denis car :
- lors de la résolution d'un problème d'excommunication, l'abbé de Saint-Denis est absent,
- lors de l'autorisation de la construction de l'église Notre-Dame-de-Pitié, l'abbé de Saint-Denis est absent,
- en 1691, lorsque Louis XIV s'empara de la manse de Saint-Denis pour la transférer à la maison royale de Saint Louis, il est fait allusion à une donation de [[Dagobert Ier|Dagobert {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]], qui est un faux grotesque.
En 1698, Antoine-Charles, duc de Gramont construit une demeure à Puteaux pour s'éloigner de la Cour.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, période où Puteaux s'industrialise fortement, comme toute la banlieue parisienne, on y cultive encore les roses. Sur l'île de Puteaux il y a une ferme modèle appartenant à M. de Rothschild<ref name="D">Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti</ref> ; son frère Salomon possède pour sa part un château juste à côté, à Suresnes.
Durant la crue de la Seine de 1910, Puteaux est inondée comme les villes voisines situées le long du fleuve. Le Modèle:Date-, le quotidien Le Matin écrit : Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Durant la Seconde Guerre mondiale, Puteaux est la cible de bombardements aériens alliés, visant notamment les usines fournissant du matériel militaire aux forces armées de l'occupant allemand.
Sous son mandat de maire entre 1969 et 2004, Charles Ceccaldi-Raynaud transforme profondément Puteaux. Après avoir été une banlieue ouvrière, celle-ci devient, comme de nombreuses communes du département à la même période, l'une des plus aisées de l'ouest de Paris, notamment grâce aux taxes perçues sur le nouveau quartier de La Défense. Cela lui permet de bénéficier d'un grand nombre d'employés municipaux et de logements sociaux, alimentant les soupçons de clientélisme<ref name="Le Monde">Modèle:Article.</ref>.
-
La cité-jardin des Hauts de Puteaux, au début des années 1930.
-
Plaque 30 rue Cartault en hommage à Camille Georget, fusillé par les Allemands le Modèle:Date-<ref>Daniel Grason, « GEORGET Camille, Eugène », maitron-fusilles-40-44.univ-paris1.fr, consulté le 24 juillet 2018.</ref>.
-
Plaque 4 rue Cartault en hommage à Maurice Volant, fusillé par les Allemands le Modèle:Date-.
-
Au 43, rue Paul-Bert, une plaque commémore le résistant Bernard Courtault mort fusillé à 20 ans.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du Modèle:Date-<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la commune faisait partie du département de la Seine. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Hauts-de-Seine et son arrondissement de Nanterre après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-.
Elle faisait partie de 1793 à 1893 du Canton de Courbevoie, année où elle devient le chef-lieu du canton de Puteaux du département de la Seine puis des Hauts-de-Seine. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Courbevoie-2.
Puteaux relève du conseil de prud'hommes de Nanterre, de la cour administrative d'appel de Versailles, de la cour d'appel de Versailles, de la cour d'assises des Hauts-de-Seine, du tribunal administratif de Cergy-Pontoise, du tribunal d'instance de Puteaux, du tribunal de commerce de Nanterre, du tribunal de grande instance et du tribunal pour enfants de Nanterre<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Intercommunalité
Puteaux et Courbevoie ont créé, au Modèle:Date-, la communauté d'agglomération Seine-Défense.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le Modèle:Date-, la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre<ref name="D2015-1212">Modèle:Légifrance, sur Légifrance</ref>.
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du Modèle:Date- prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de Modèle:Unité habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).
La commune a donc également été intégrée le Modèle:Date- à l'établissement public territorial Paris Ouest La Défense, qui succède à la communauté d'agglomération Seine-Défense<ref name="Périmètre">Modèle:Légifrance sur Légifrance.</ref>.
Tendances politiques et résultats
La ville est dirigée de 1948 à 1969 par Georges Dardel (SFIO), puis de 1969 à 2004 par Charles Ceccaldi-Raynaud (SFIO puis RPR puis UMP). En 2004, ce dernier démissionne pour raisons de santé. Sa fille, Joëlle Ceccaldi-Raynaud (UMP), première adjointe, est élue à sa place par le conseil municipal. Après avoir été la députée suppléante de Nicolas Sarkozy pour la [[sixième circonscription des Hauts-de-Seine|Modèle:6e des Hauts-de-Seine]] (Puteaux / Neuilly-sur-Seine), Joëlle Ceccaldi-Raynaud en est devenue la titulaire aux élections législatives de Modèle:Nobr.
La gestion de la ville par Charles, puis par Joëlle Ceccaldi-Raynaud est considérée par certains Modèle:Incise comme autoritaire et clientéliste. Cette critique a régulièrement des échos dans les médias<ref>Comme les quotidiens Libération, Le Monde, Le Parisien (édition des Hauts-de-Seine) et la magazine d'actualité L'Express, qui en a fait sa couverture le 20 octobre 2005.</ref>.
En Modèle:Nobr, Charles Ceccaldi-Raynaud annonce son intention de redevenir maire à la place de sa fille, mais celle-ci refuse de démissionner. Ceci donne lieu à plusieurs « accrochages » lors d'un conseil municipal<ref>Relatés dans une dépêche de l'AFP du Modèle:Nobr.</ref>. Charles Ceccaldi-Raynaud se présente sans succès contre sa fille à l'élection municipale de Modèle:Nobr : élu conseiller municipal, il démissionne depuis compte tenu de l'illégalité de la présence simultanée de trois conseillers municipaux en lien de famille direct : Vincent Franchi, fils de Joëlle Ceccaldi-Raynaud et petit-fils de Charles Ceccaldi-Raynaud, est en effet conseiller municipal depuis les élections de 2008.
En Modèle:Nobr, Joëlle Ceccaldi-Raynaud est réélue lors des élections municipales. Néanmoins, le Modèle:Nobr, le Conseil d'État annule ces élections ainsi que pour les villes de Asnières-sur-Seine et Clichy, deux autres villes du département des Hauts-de-Seine<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. Le Modèle:Nobr, le préfet nomme alors une « délégation spéciale » présidée par Gérard Payet<ref name="Annul">Modèle:Lien web.</ref>. À la suite des élections municipales qui ont suivi, la liste « Union pour Puteaux » conduite par Joëlle Ceccaldi-Raynaud est élue dès le premier tour, le Modèle:Nobr, avec 60,77 % des suffrages exprimés<ref name="LP19062015" />.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 40 000 et 49 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 43<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
Au Modèle:Nobr, Puteaux est jumelée avec<ref name="JUMEL">Modèle:Lien web.</ref> :
- Modèle:Jumelage ;
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Établissements publics
Les sièges du Bureau d'enquêtes sur les événements de mer (BEAmer<ref>[1]Bureau d'enquêtes sur les événements de mer. Consulté le Modèle:Date-. ([https://www.webcitation.org/65UJZr30w Archif).</ref> et du Bureau d'enquêtes sur les accidents de transport terrestre (BEA-TT)<ref>Modèle:Lien web - "Tour Voltaire, Modèle:2e étage, 92055 LA DEFENSE Cedex"</ref> sont situés dans la tour Voltaire à Puteaux.
Controverses
Affaire de la « fusillade de Puteaux »
En 1971 à Puteaux pendant la campagne municipale, un colleur d'affiches socialiste, Salah Kaced, 31 ans, est tué par un ou des partisans de Charles Ceccaldi-Raynaud, alors maire. Un procès a lieu en 1974, qui fait la une des journaux (Le Figaro, L'Aurore, Le Monde). Comme des employés de la mairie se trouvaient impliqués, Charles Ceccaldi-Raynaud est jugé au civil responsable de la fusillade et est condamné à verser plus de Modèle:Nombre de dommages et intérêts à la partie civile<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} "Revue de Presse de l'affaire de la fusillade", sur le site du Parti socialiste</ref>.
Ce fait divers a inspiré les cinéastes Pierre Granier-Deferre pour son film Adieu poulet (1975) avec Lino Ventura et Patrick Dewaere et André Cayatte pour Il n'y a pas de fumée sans feu (1973) avec Annie Girardot.
Affaire MonPuteaux.com
En 2004, la mairie de Puteaux a porté plainte pour diffamation contre Christophe Grébert, un Putéolien auteur d'un blog<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} MonPuteaux.com</ref> critique sur la gestion municipale. En Modèle:Date-, après deux ans de procédure, le blogueur a été relaxé par la Modèle:17e du tribunal correctionnel de Paris, qui juge les affaires de presse. La mairie a fait appel et un nouveau procès a eu lieu le Modèle:Date devant la Modèle:11e de la cour d'appel de Paris. L'arrêt du Modèle:Date a confirmé la relaxe en se fondant sur la bonne foi du blogueur<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette affaire a été très commentée sur la blogosphère, ainsi que par les médias traditionnels, popularisant en France le phénomène des blogs locaux ou blogs dits citoyens.
En Modèle:Date-, Joëlle Ceccaldi-Raynaud et Charles Ceccaldi-Raynaud ont par ailleurs été condamnés par la Modèle:14e correctionnelle du tribunal de Nanterre pour diffamation contre Christophe Grébert<ref>http://www.puteaux2014.fr/?rel=author</ref>, pour avoir insinué sur le site officiel de la municipalité que le blogueur avait des « penchants pédophiles ». Joëlle et Charles Ceccaldi-Raynaud devront payer chacun Modèle:Unité d'amende et solidairement Modèle:Unité de dommages et intérêts au blogueur. Ils ont par ailleurs été condamnés à faire paraître un communiqué judiciaire sur le site municipal, ainsi que dans Le Parisien. Cette condamnation a été confirmée par un arrêt de la cour d'appel de Versailles, le Modèle:Date. Enfin, le Modèle:Date-, la Cour de Cassation a rejeté le pourvoi de Charles et Joëlle Ceccaldi-Raynaud<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 38,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,4 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 17,5 % la même année, alors qu'il est de 20,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 52,24 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Enseignement
Puteaux est située dans l'académie de Versailles.
Établissements scolaires
La ville administre dix écoles maternelles<ref group="Note">Les dix écoles maternelles ont pour nom : Ancien Couvent, Marius-Jacotot, République, Benoît-Malon, Parmentier, Félix-Pyat, Défense 2000, Les deux Coupoles, La Rotonde et Pyramide.</ref>, sept écoles élémentaires<ref group="Note">Les sept écoles élémentaires ont pour nom Marius-Jacotot, République, Benoît-Malon, Jean-Jaurès, Eugène-Petitot, La Rotonde et Pyramide.</ref> et dispose d'un établissement privé (école maternelle et école élémentaire)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le département gère deux collèges : « Les Bouvets » et « Maréchal-Leclerc »<ref>Modèle:Lien web.</ref> ; Le bâtiment de ce dernier collège a été édifié en 2001, en remplacement du collège Anatole-France autrefois situé dans le même quartier dans le bas de Puteaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et la région Île-de-France deux lycées<ref>Modèle:Lien web.</ref> : le lycée Agora et le lycée professionnel Vollin (dont le nom est celui du maire durant la période 1912-1925).
Le lycée Agora, situé dans le bas de Puteaux, est connu pour avoir un des faibles taux de réussite au bac de France et classé plusieurs fois dernier des Hauts-de-Seine. Cependant ce taux est depuis trois ans en constante augmentation, ce qui est encourageant pour ce lycée à difficultés sociales<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Vie universitaire
Manifestations culturelles et festivités
Forte de ses cinquante tournages en à peine quarante ans, Puteaux est apprécié de nombreux cinéastes.Modèle:Référence souhaitée
Santé
Le centre hospitalier de Puteaux dispose de cent lits<ref>Sur le site Hopital.fr</ref>. Il est équipé de scanner, et propose les consultations externes en radiologie, échographie et Doppler. L'hôpital de Puteaux possède un service de soins palliatifs à la pointe en matière de traitement de la douleur et d'accompagnement de fin de vie<ref>Sur le site de la mairie de Puteaux</ref>.
Sports
Le club sportif municipal de Puteaux est un club omnisports.
Rugby à XV
La section du CSM Puteaux, créée en 1955 puis devenue Puteaux rugby XV en 2003, a été :
- [[Championnat de France de rugby à XV de 3e série|vice-champion de France de Modèle:3e en 2007]] ;
- champion Île-de-France Honneur en 1994 ;
- vice champion de France Honneur en 1973 ;
- champion Île-de-France Honneur en 1973.
Boxe thaï
- Puteaux Scorp Thaï
Cultes
Les Putéoliens disposent de lieux de culte catholique, évangélique, israélite et musulman.
Culte catholique
Modèle:Article connexe Depuis Modèle:Date-, la commune de Puteaux fait partie du doyenné de la Boucle-Nord, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Au sein de ce doyenné, les cinq lieux de culte catholique sont la « maison d'église » Notre-Dame-de-Pentecôte et les quatre lieux de culte qui relèvent de la paroisse de Puteaux<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref> : l'église Notre-Dame-de-Pitié, la chapelle L’Œuvre-du-Sacré-Cœur, l'église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours et l'église Sainte-Mathilde.
Culte évangélique
Depuis les années 1970, l'Église évangélique de Puteaux-La Défense<ref>Modèle:Lien web</ref>, appartenant au mouvement des Assemblées de Dieu de France, pratique le culte évangélique.
Culte israélite
L'association cultuelle et culturelle israélite de Puteaux administre la synagogue Beth AaronModèle:Refnec.
Culte musulman
L'association solidarité islamique de Puteaux administre la mosquée Er-Rahma<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Euro, ce qui plaçait Puteaux au 6 340e rang parmi les Modèle:Nombre de plus de 39 ménages en métropole<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Emploi
Entreprises et commerces
La ville de Puteaux a un long passé industriel, en particulier dans les domaines de l'automobile (De Dion-Bouton, mais aussi Unic, Saurer et Daimler-Benz), de l'aéronautique (Zodiac Aerospace), de l'armement (les Ateliers de Puteaux étaient désignés par les initiales APX), de la radio (Sonora-Radio), des encres (Charles Lorilleux), des parfums (Coty), etc.
Mais la ville s'est aujourd'hui reconvertie et son économie dépend essentiellement du secteur des services, en particulier avec le quartier d'affaires de La Défense situé pour les deux tiers sur le territoire de la commune. Aux bureaux (dont un nombre important de sièges sociaux) s'ajoute notamment l'activité commerciale générée par Les Quatre Temps et par les commerces du CNIT, tous deux situés sur le territoire de Puteaux.
Cette activité, et les rentrées de taxe professionnelle qu'elle suscite (la taxe professionnelle provenant des entreprises du quartier d'affaires de La Défense et situées sur le territoire communal lui rapporte une trentaine de millions d'euros par an<ref>http://www.senat.fr/bulletin/20080715/finc.html</ref>), contribuent à faire de Puteaux une des communes les plus riches de France en termes de budget municipal rapporté au nombre d'habitants : le budget de la ville prévu pour 2008<ref>Conseil municipal du 8 avril 2008</ref> s'élève à Modèle:Nombre d'euros (budget de fonctionnement) pour seulement Modèle:Nombre. En cela, la situation de la commune est proche de celle d'autres communes telles que Courbevoie, Gennevilliers, Roissy-en-France ou Rungis qui perçoivent également d'importantes rentrées de taxe professionnelle. Cette manne a permis à la ville de ne pas s'endetter, et même de constituer des réserves dont le montant est estimé à plus de Modèle:Nombre d'euros (elles avaient même atteint jusqu'à Modèle:Nombre d'euros). Faisant partie des Modèle:Nombre les plus favorisées fiscalement de la Région, la commune contribue au FSRIF (le Fonds de solidarité de la région Ile-de-France), créé en 1991. En 2007, ces communes ont versé Modèle:Nombre d'euros aux Modèle:Nombre dont le niveau de vie de la population est le plus faible. Puteaux a versé Modèle:Nombre. À titre de comparaison, Paris a versé Modèle:Nombre d'euros et Courbevoie 14 millions.
Culture locale et patrimoine
Gravé dans « le marbre », on trouve au-dessus de l'entrée principale de la mairie la formule suivante : « La ville de PUTEAUX, sous l'égide des vertus républicaines favorise l'essor du travail, des sciences, des lettres et des arts ». C'est dans cette optique qu'elle honore ses artistes.
Lieux et monuments
La commune comprend de nombreux monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
L'église Notre-Dame-de-Pitié est classée monument historique par arrêté du Modèle:Date-.
Le cimetière ancien se trouve 40, rue des Bas-Rogers et le nouveau cimetière 467, boulevard Aimé-Césaire à Nanterre, sur un terrain concédé par cette commune<ref>« Cimetière ancien de Puteaux », gescimenet.com, consulté le 16 novembre 2019.</ref>.
Puteaux et les arts
Théâtre et opéra
C'est à Puteaux qu'en 1835 Vincenzo Bellini composa son dernier chef-d’œuvre, I puritani, qui était d'autre part l'opéra favori de la future reine Victoria<ref>La jeune princesse fait fréquemment référence à l'opéra dans son journal à partir de mai-juillet 1835, deux ans avant d'être couronnée reine du Royaume-Uni. Voir The girlhood of Queen Victoria; a selection from Her Majesty's diaries between the years 1832 and 1840.</ref>.
Cinéma
En 1895 est construite 3 bis rue Gerhard une salle de spectacle, qui prend le nom de « Casino ». Dès le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, des séances de cinéma y ont lieu : les premières auraient commencé en 1905 (ce qui en ferait un des plus anciens cinémas du monde) et les dernières dans les années 1960. Occupé par la suite par une entreprise, il revient propriété de la mairie à la fin des années 2010 pour être réhabilité afin d'agrandir l'école maternelle Parmentier, qui la jouxte. Le bâtiment n'est pas classé monument historique<ref>Florence Hubin, « Le plus vieux cinéma de Puteaux sera transfomé en école », leparisien.fr, 15 janvier 2017.</ref>.
De nombreuses scènes de film ont été tournées à Puteaux (liste détaillée).
Espaces verts
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Jardin du sud.
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Square Rouget-de-Lisle et viaduc des Bas-Rogers, à la limite avec Suresnes.
Peinture
Puteaux a servi de modèle dans un tableau de Maurice de Vlaminck de 1915.
Personnalités liées à la commune
- Yannick Alléno (1968), grand chef cuisinier triplement étoilé au Guide Michelin depuis 2007, né à Puteaux.
- Arletty (1898-1992), actrice et chanteuse, a vécu dans son enfance au 5-7, rue de Paris (aujourd’hui rue Jean-Jaurès), puis au 55 et 33, quai National (devenu quai De Dion-Bouton)<ref>Modèle:Lien web.</ref> et y a effectué une partie de sa scolarité, à l'institution Martinois.
- Chimène Badi (1982), chanteuse, a vécu rue de la République.
- Nathalie Baye (1948), actrice, a vécu rue Saulnier.
- Vincenzo Bellini (1801-1835), compositeur italien de musique romantique, mort à Puteaux.
- Jean Barraqué (1928-1973), compositeur né à Puteaux.
- Jean-Claude Bobin (1943-2021) peintre né à Puteaux ; a peint de nombreux tableaux de Puteaux.
- Alexandre Brasseur (1971), acteur, habite Puteaux.
- Gérard Cousin (1961-2005), animateur de radio, né à Puteaux.
- Jean Davy (1911-2001), comédien, né à Puteaux.
- Michel Delpech (1946-2016) chanteur, y est mort.
- Garra Dembélé (1986), footballeur professionnel, a vécu à Puteaux, a été scolarisé à l'école primaire Marius-Jacotot mais également apprenti footballeur à l'INF avec la promotion 1986-1987 qui sera médiatisée au début des années 2000 par le programme de Canal+ À la Clairefontaine.
- Emmanuelle Devos (1964), actrice, née à Puteaux.
- Jean Dubois, membre de la bande à Bonnot a été employé aux usines De Dion-Bouton et Darracq.
- Jean Ducret (1887-1975), international de football.
- André Durst (1895-1983), dessinateur, musicien et scénariste de bandes dessinées français, fils du suivant.
- Auguste Durst (1842-1930), artiste peintre né et mort à Puteaux.
- Nicolas Fillon (1986), athlète spécialiste du Modèle:Unité, habite à Puteaux.
- Gustave Guillaumet (1840-1887), peintre orientaliste, né à Puteaux.
- Helenio Herrera (1910-1997), footballeur, a entraîné le club de Puteaux en 1944-1945.
- Félix Stanislas Jasinski (1862-1901), graveur polonais, mort à Puteaux.
- Gérard Jugnot (1951), acteur, réalisateur, scénariste et producteur. Il est venu habiter la commune avec ses parents à neuf ans.
- František Kupka (1871-1957), peintre tchèque, mort à Puteaux.
- Georges Legagneux (1882-1914), pionnier de l'aviation, y est né.
- Stéphane Le Garrec (1969-), footballeur professionnel, est né à Puteaux.
- Léon Levavasseur (1863-1922), pionnier de l'aviation et des canots de course à moteur, mort à Puteaux.
- Charles Lorilleux (1827-1893), industriel, ancien maire de Puteaux.
- Louis Michaud (1912-1991), homme politique, né à Puteaux.
- Georges Milton (1886-1970), chanteur et acteur, né 32, rue Arago.
- Isabelle Morini-Bosc (1956), journaliste, habite Puteaux.
- Alain Mosconi (1949-), nageur, médaillé olympique et recordman du monde, né à Puteaux.
- Alexandre Raineau (1986), footballeur professionnel, a vécu rue Bernard-Palissy, a été scolarisé à l'école maternelle de l'ancien couvent, à l'école primaire Marius-Jacotot et au collège Les Bouvets mais également apprenti footballeur à l'INF avec la promotion 1986-1987, médiatisée au début des années 2000 par le programme de Canal+ À la Clairefontaine.
- Henri Sannier (1947), journaliste et animateur de télévision, né à Puteaux.
- Norbert Tarayre (1982), chef cuisinier, possède le restaurant Saperlipopette ! à Puteaux.
- Jan Vakowskaï (1932-2006), artiste peintre, a vécu à Puteaux et y est mort.
- Connu sous le pseudonyme Jacques Villon, Gaston Émile Duchamp (1875-1963), peintre, dessinateur et graveur, ayant longtemps vécu et travaillé à Puteaux, est mort dans la commune. Un groupe de peintres, poètes et mathématiciens constitué vers 1911 à l’occasion de réunions régulières, qui entre autres lieux étaient organisées chez les Duchamp, est passé à la postérité pour cette dernière raison en tant que groupe de Puteaux (il est aussi connu sous l'appellation Section d'or).
- Maurice Schilles (1888-1957), coureur cycliste, champion olympique en tandem en 1908, est né à Puteaux.
Héraldique, logotype et devise
Pour approfondir
Bibliographie
- Pascal Anziani, Puteaux, entre tradition et modernité, ville de Puteaux, 2010.
- Jean-Émile Denis, Puteaux, chroniques du temps des puits, ville de Puteaux, 1969.
- Pierre Gaudin et Roland Colas, Histoire des rues de Puteaux, ville de Puteaux, 1987.
- Roland Colas, Puteaux se penche sur son passé, ville de Puteaux, 1989.
- Puteaux, terre d'aviation, ville de Puteaux, 2001, 250 p.
- Michel Hébert, Puteaux, Modèle:Coll., deux tomes, éd. Alan Sutton, 2005.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
Références
Insee
- Dossier relatif à la commune, Modèle:Lire en ligne