Joëlle Ceccaldi-Raynaud
Modèle:Homon Modèle:Infobox Personnalité politique
Joëlle Ceccaldi-Raynaud, née le Modèle:Date de naissance à Alger, est une femme politique française.
Elle est maire de Puteaux depuis 2004, présidente de l'Établissement public territorial Paris Ouest La Défense et vice-présidente de l'Établissement public Paris La Défense (PLD). Elle a précédemment été députée de la sixième circonscription des Hauts-de-Seine et vice-présidente du conseil général des Hauts-de-Seine.
Biographie
Famille
Née le Modèle:Date de naissance- à Alger (Algérie française), Joëlle Ceccaldi-Raynaud est la fille de Charles Ceccaldi-Raynaud (1925-2019), avocat et homme politique, ancien maire de Puteaux, et de Jeannette Gianni (1925-1995), institutrice<ref name="WSW">Who's Who in France, éditions 2008, Modèle:P.496</ref>.
Elle est la mère de Vincent Franchi, devenu adjoint au maire de Puteaux en 2008 (réélu en 2014 et 2020), ce qui a rendu impossible le maintien au conseil municipal de Charles Ceccaldi-Raynaud, le code électoral limitant le nombre de membres d'une même famille au sein d'un conseil municipal<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. La première femme de Vincent Franchi, Paule-Eva Croutzet, est également candidate sur la liste de Joëlle Ceccaldi-Raynaud aux élections municipales de 2014<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Sa fille, Émilie Franchi, est mise en cause en 2017 dans l'enquête pour fraude fiscale visant Joëlle Ceccaldi-Raynaud dans l'affaire des lingots d'or retirés au Luxembourg<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Formation
Après des études secondaires au lycée La Folie Saint-James de Neuilly-sur-Seine, un échec au baccalauréat<ref>selon les propres déclarations de son père, en conflit avec sa fille</ref>, elle poursuit des études supérieures à l'Université Paris II, puis à l'École de notariat de Paris<ref name="WSW" />. Elle obtient le diplôme de clerc de notaire<ref> Modèle:Lien web</ref>.
Parcours politique
Elle est élue au conseil municipal de Puteaux en 1995, où elle est adjointe au maire jusqu'en 2004.
De 1998 à 2002, elle est administratrice du syndicat des transports parisiens devenu en 2000 syndicat des transports d'Île-de-France<ref name="WSW" />.
Suppléante de Nicolas Sarkozy dans la sixième circonscription des Hauts-de-Seine (Puteaux/Neuilly-sur-Seine, à la suite de son père), elle lui succède lorsqu'il est nommé au gouvernement, en 2002. Elle est alors membre du groupe UMP et membre de la commission des Affaires culturelles et de l’Éducation.
Elle succède à son père Charles Ceccaldi-Raynaud, malade, à la mairie de Puteaux, en Modèle:Date-.
Elle démissionne de son mandat de députée le Modèle:Date, à la suite du départ du gouvernement de Nicolas Sarkozy, qui vient d'accéder à la présidence de l'UMP. Celui-ci la choisit à nouveau comme suppléante lors de l'élection partielle qui s'ensuit. Ayant obtenu un siège au Conseil économique et social en 2005<ref name="WSW" />, elle retrouve son mandat de députée quelques mois plus tard, à la suite du référendum du 29 mai 2005, lorsque Nicolas Sarkozy est rappelé au gouvernement.
En Modèle:Date-, remis sur pied, Charles Ceccaldi-Raynaud demande à sa fille de démissionner pour se faire réélire maire. Cette dernière refuse considérant que son père n'a plus l'état mental et physique nécessaire pour assurer la fonction. Depuis, Charles Ceccaldi-Raynaud s'oppose à sa fille. Cette bataille entre le père et la fille est baptisée « Guerre des Ceccaldi » par la presse<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Nicolas Sarkozy ayant été élu président de la République, Joëlle Ceccaldi-Raynaud est la candidate de l'UMP à l'élection législative de 2007 dans la sixième circonscription des Hauts-de-Seine, qu'elle remporte dès le premier tour, avec 52,69 % des voix exprimées<ref>Élections législatives de 2007 - résultats dans la sixième circonscription des Hauts-de-Seine sur le site du ministère de l'Intérieur.</ref>. Son suppléant est Arnaud Teullé, candidat à la mairie de Neuilly l'année suivante.
En Modèle:Date-, elle est condamnée avec son père pour diffamation par la Modèle:14e correctionnelle du tribunal de Nanterre à l'encontre de Christophe Grébert, l'auteur d'un blog critique sur la gestion de la municipalité de Puteaux. Ils doivent payer une amende de 2 500 euros chacun, ainsi que 3 000 euros de dommages-intérêts pour avoir insinué que leur opposant avait des penchants pédophiles<ref> Modèle:Lien web</ref>. Christophe Grébert devient par la suite un de ses principaux rivaux politiques, représentant le Modem et plusieurs fois attaqué par la suite pour diffamation par le maire et son entourage<ref>Eric Nunès et Alexandre Piquard, « Cantonales : pas de sanction pour le candidat qui avait tweeté lors du Modèle:1er tour », Le Monde, 25 mars 2011</ref>. Il est relaxé sur toutes les procédures déjà terminées<ref>Frédérique Roussel, « Nouvelle victoire pour le blogueur-candidat de Monputeaux.com », Libération/Écrans, 8 juin 2007</ref>,<ref>« Le blogeur Christophe Grébert gagne un nouveau procès », Le Parisien, 25 septembre 2008</ref>, d'autres étant en cours<ref>récapitulatif sur le site de Christophe Grebert</ref>.
Candidate aux élections municipales de 2008 dans sa ville de Puteaux, la liste qu'elle conduit manque de peu de l'emporter au premier tour. Elle s'impose finalement au second avec 52,98 % des suffrages, dans une quadrangulaire, face notamment à une liste divers droite conduite par son père<ref>Élections municipales de 2008 - résultats à Puteaux sur le site du Figaro.</ref>. Le fils de Joëlle Ceccaldi-Raynaud, Vincent Franchi, ayant également été élu conseiller municipal, Charles Ceccaldi-Raynaud ne peut siéger au conseil, une disposition du code électoral l'interdisant<ref>Charles Ceccaldi se plie à la loi, Le Parisien, 22 mars 2008</ref>.
Le Modèle:Date, après le retrait de Jean Sarkozy, Joëlle Ceccaldi-Raynaud est élue présidente du conseil d'administration de l'Établissement public d'aménagement de la Défense<ref>« Joëlle Ceccaldi-Raynaud élue présidente de l'Epad », Le Figaro, 4 décembre 2009.</ref>. L'EPAD fusionne le Modèle:Date au sein de l'Établissement public d'aménagement de la Défense Seine Arche (EPADESA), dont Joëlle Ceccaldi-Raynaud devient présidente du conseil d'administration.
Joëlle Ceccaldi-Raynaud n'est pas candidate à sa réélection comme députée de la sixième circonscription des Hauts-de-Seine en 2012<ref>Modèle:Lien web</ref>, circonscription qui vient d'ailleurs alors d'être agrandie de quelques quartiers de Courbevoie. L'UMP n'investit aucun candidat face au favori, le maire divers-droite de Neuilly Jean-Christophe Fromantin. Alors que celui-ci prend comme candidate suppléante Sylvie Cancelloni, conseillère municipale d'opposition à Puteaux, Joëlle Ceccaldi-Reynaud soutient un autre candidat divers-droite, Bernard Lepidi<ref>Catherine Rougerie, « L'UMP n'a pas investi de candidat dans la Modèle:6e circonscription des Hauts-de-Seine », francetv.fr, 5-6 juin 2012</ref>. Au second tour, qui l'oppose à celui-ci et à une candidate du Parti Socialiste, Jean-Christophe Fromantin emporte l'élection<ref>Résultats des élections legislatives 2012</ref>.
Le Modèle:Date-, la liste menée par Joëlle Ceccaldi-Raynaud et soutenue par l'UMP et l'UDI gagne les élections municipales au premier tour, avec 55,93 % des suffrages exprimés. Le Modèle:Date- suivant, elle est réélue maire de Puteaux par le conseil municipal<ref>Modèle:Article.</ref>.
Les élections municipales de 2014 sont annulées l’année suivante par le Conseil d'État, qui soupçonne une manœuvre dans l'enregistrement des listes de candidature<ref>Modèle:Lien web</ref>. Une nouvelle élection a lieu le Modèle:Date- ; la liste de Joëlle Ceccaldi-Raynaud l’emporte dès le premier tour<ref>« Municipales à Puteaux : Joëlle Ceccaldi-Raynaud élue au premier tour », leparisien.fr, 14 juin 2015.</ref> en augmentant sa majorité de trois sièges. Elle est ensuite réélue par le conseil municipal<ref>Modèle:Article.</ref>.
La liste qu'elle conduit arrive en tête du premier tour des élections municipales de 2020, avec 65,03 % des voix. Le 25 mai, elle est élue maire pour la cinquième fois par le conseil municipal.
Controverses et affaires
Soupçons d'affairisme
Joëlle Ceccaldi-Raynaud est accusée d'affairisme, notamment par Christophe Grébert (auteur du site MonPuteaux.com, puis opposant politique)<ref>Articles du blog de Christophe Grébert mettant en accusation le maire de Puteaux, Monputeaux.com.</ref>, et par Noël Pons et Jean-Paul Philippe dans leur livre, 92 Connection<ref>Guy Konopnicki, « Révélations : l'affairisme dans le 92 » (« bonnes feuilles » de 92 Connection), Marianne.net, 5 mai 2013.</ref>.
En Modèle:Date-, la presse rapporte que la mairie de Puteaux a fait acheter par le personnel municipal, dans les kiosques de la ville, la quasi-totalité des exemplaires du Canard enchaîné en date du Modèle:Date-, et ce après que l'hebdomadaire satirique a publié un article révélant que Joëlle Ceccaldi-Raynaud possédait dans le paradis fiscal des îles Vierges britanniques un compte bancaire de 4 millions d'euros, ouvert en 1996 dans une banque du Luxembourg<ref>« Mise en cause par le "Canard enchaîné", la maire de Puteaux fait acheter tous les exemplaires de l'hebdomadaire », Le Monde.fr avec AFP, 21 octobre 2011.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
En marge de l'affaire du Canard enchaîné, Joëlle Ceccaldi-Raynaud porte plainte contre Christophe Grébert pour diffamation. Il est condamné en première instance, puis relaxé par la cour d'appel, laquelle condamne Joëlle Ceccaldi-Raynaud à verser Modèle:Unité de dommages et intérêts à son opposant pour procédure abusive. Cette condamnation seule est cassée et renvoyée en cour d'appel, qui annule la condamnation de la maire, Christophe Grébert devant restituer la somme<ref>Thibault Chaffotte, « Puteaux : la cour d’appel annule la condamnation de la maire », Le Parisien.fr, 4 novembre 2015.</ref>,<ref>Modèle:Pdf Arrêt de la Cour d'appel du 4 novembre 2015.</ref>.
Affaire de la chaufferie de La Défense
En Modèle:Date-, Mediapart révèle, à l'appui de documents bancaires luxembourgeois remis à la justice française, que Joëlle Ceccaldi-Raynaud a retiré durant plusieurs années 102 lingots d'or d'un kilo, ainsi que des espèces d'un montant total de Modèle:Unité depuis ce même compte bancaire caché au Luxembourg<ref>« Puteaux : la maire cachait des lingots d'or au Luxembourg », Le Point.fr, 18 septembre 2015.</ref>. La presse relate les accusations du père de Joëlle Ceccaldi-Raynaud, Charles Ceccaldi-Raynaud qui, devant le juge chargé d’instruire son propre dossier pour « favoritisme, recel d’abus de biens sociaux et corruption passive » dans le cadre de l'Affaire de la chaufferie de La Défense, avait chargé sa fille, l’accusant d’avoir elle-même empoché des centaines de milliers d’euros de bakchich dans cette affaire<ref name=parisien_236/>,<ref name=20min_331/> ; la presse soupçonne que ce compte luxembourgeois a été alimenté par des commissions illégales liées à ce marché et touchées par la maire. Pour sa défense, Joëlle Ceccaldi-Raynaud avait affirmé qu’il s’agissait d’un héritage d’une grand-mère corse<ref name=20min_331/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans un article de Mediapart paru le Modèle:Date-<ref>« La police se lance à la poursuite des 102 lingots de la maire de Puteaux », Yann Philippin, Mediapart.fr, 30 mars 2017 (article payant).</ref>, on apprend que l’Office central de lutte contre les infractions financières et fiscales (OCLIFF) est saisi depuis Modèle:Date- de ce dossier. Les enquêteurs de l'OCLIFF s'intéressent aussi à la fille de Joëlle Ceccaldi-Raynaud, Émilie Franchi<ref name=parisien_236/>, soupçonnée d’avoir touché des fonds non déclarés de la part de sa mère<ref name=20min_331>« Puteaux : La fille de la maire sous le coup d'une enquête pour fraude fiscale », 20 minutes.fr avec agences, 31 mars 2017.</ref>. Selon le journal, les enquêteurs du parquet de Nanterre ont ouvert une enquête préliminaire<ref name=20min_331/> en Modèle:Date- pour « blanchiment de fraude fiscale », élargie à la « fraude fiscale » en Modèle:Date- à la suite d'un dépôt de plainte de la commission des infractions fiscales de Bercy<ref name=20min_331/>,<ref name=europe1_109>« Lingots d'or : enquête ouverte contre la fille de la maire de Puteaux », Europe 1.fr, 31 mars 2017.</ref>. Au début de Modèle:Date-<ref name=europe1_109/>, les enquêteurs perquisitionnent le domicile de Joëlle Ceccaldi-Raynaud, ainsi que celui de sa fille<ref name=20min_331/>,<ref name=parisien_236>« Affaire des lingots d’or : la maire (LR) de Puteaux au cœur d’une enquête », Valérie Mahaut et David Livois, Le Parisien.fr, 30 mars 2017.</ref>.
En Modèle:Date-, elle est citée en tant que témoin assisté pour des faits présumés de corruption dans l’affaire de la chaufferie de La Défense. Son père, décédé en Modèle:Date- et suspecté d’être au centre de cette affaire, l'avait accusé d'avoir elle-même perçu des pots-de-vin<ref>Modèle:Article</ref>.
Le 2 décembre 2020, elle est mise en examen pour « blanchiment de fraude fiscale aggravée » après 48 heures de garde à vue<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Cinq de ses proches, dont ses deux enfants et son gendre, sont mis en examen pour les mêmes faits en octobre 2022<ref>Modèle:Lien web</ref>. La justice soupçonne Joëlle Ceccaldi-Raynaud d'avoir dissimulé au fisc la somme de 2,6 millions d'euros<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le parquet de Nanterre annonce son placement sous contrôle judiciaire.
Diffamation envers Christophe Grébert
En Modèle:Date-, Joëlle Ceccaldi-Raynaud est condamnée par la Modèle:14e correctionnelle du tribunal de grande instance de Nanterre pour diffamation contre Christophe Grébert<ref>Jugement du TGI de Nanterre du 5 septembre 2006</ref>, pour avoir insinué sur le site officiel de la municipalité que le blogueur avait des « penchants pédophiles ». Elle doit payer 2 500 euros d'amende et 3 000 euros de dommages et intérêts au blogueur. Elle est par ailleurs condamnée à faire paraître un communiqué judiciaire sur le site municipal, ainsi que dans Le Parisien. Cette condamnation est confirmée par un arrêt de la cour d'appel de Versailles, le Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Église classée repeinte
En Modèle:Date-, à la suite de la rénovation pendant les vacances scolaires de Modèle:Date- de l'église Notre-Dame-de-la-Pitié<ref name=parisien029/> (propriété de la municipalité), sise quai De Dion-Bouton, pour Modèle:Citation, on apprend que la mairie a fait repeindre Modèle:Citation. Des meubles et des statues auraient été aussi enlevés et d'autres meubles rajoutés<ref name=figaro280>« Une église classée repeinte façon Valérie Damidot », Claire Courbet, Le Figaro.fr, 23 janvier 2015.</ref>,<ref>« Puteaux : La mairie relooke la vieille église sans prévenir les paroissiens », Fabrice Pouliquen, 20 minutes.fr, 20 janvier 2015.</ref>.
La direction régionale des Affaires culturelles (DRAC) d'Île-de-France, dépendant du ministère de la Culture, ouvre alors une enquête pour éclaircir ces choix, faits sans la validation de la Conservation régionale des monuments historiques et sans la consultation du préfet ou du curé de la paroisse, comme cela aurait dû être le cas pour un édifice construit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et classé monument historique depuis 1975<ref name=figaro280/>,<ref name=parisien029>« Puteaux : l'église peinte en rouge va être restaurée », Le Parisien.fr, 24 décembre 2015.</ref>. À la suite de l'inspection de la DRAC en janvier, où la mairie a Modèle:Citation, des travaux sont entrepris par la mairie en Modèle:Date- pour restaurer l'église. Ces travaux de réfection (comprenant le nettoyage des murs et des meubles), d'une durée d'un an, sont estimés pour un montant de Modèle:Unité<ref name=parisien029/>.
Accusations de clientélisme
Le Modèle:Date-, un article publié dans Challenges fait état d’un système clientéliste créé par Charles Ceccaldi-Raynaud et continué par sa fille<ref>Modèle:Lien web</ref>. Laurent Telo du Monde souligne que la mairie offre de nombreux cadeaux aux citoyens (enceinte connectée, aspirateur…) et note que les opposants à la maire de Puteaux semblent subir un traitement défavorable de la part des services municipaux, l'un d'entre eux ayant fait condamner la mairie à ce titre par la justice administrative<ref>Modèle:Article</ref>.
Détail des mandats et fonctions
Anciens mandats
- Modèle:Date – Modèle:Date : membre du conseil général des Hauts-de-Seine
- Modèle:Date – Modèle:Date : vice-présidente du conseil général des Hauts-de-Seine
- Modèle:Date – Modèle:Date : adjointe au maire de Puteaux
- Modèle:Date – Modèle:Date : membre du conseil régional d'Île-de-France
- Modèle:Date – Modèle:Date : députée de la sixième circonscription des Hauts-de-Seine (élue suppléante le Modèle:Date)
- Modèle:Date – Modèle:Date : députée de la sixième circonscription des Hauts-de-Seine
- Modèle:Date – Modèle:Date : députée de la sixième circonscription des Hauts-de-Seine
- Modèle:Date – Modèle:Date : présidente de l'EPAD puis de l'EPADESA
- Modèle:Date – Modèle:Date : Modèle:1ère vice-présidente de Defacto
- Modèle:Date – Modèle:Date : Modèle:1ère vice-présidente de la Communauté d'agglomération Seine-Défense
- Modèle:Date – Modèle:Date : Modèle:2ème vice-présidente de l'Établissement public d'aménagement de la Défense Seine Arche (EPADESA)
Mandats en cours
- depuis le Modèle:Date : maire de Puteaux
- depuis le 28 juin 2022 : présidente de l'Établissement public territorial Paris Ouest La Défense
Décoration
Joëlle Ceccaldi-Raynaud est chevalier de l'ordre national du Mérite (1996)<ref>https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000193235.</ref>.