Union des nations sud-américaines

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Mettre à jour Modèle:Infobox Union

L’Union des nations sud-américaines, abrégée en UNASUR (Modèle:Lang-es - UNASUR ; Modèle:Lang-pt - UNASUL ; Modèle:Lang-nl<templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} - UZAN ; Modèle:Lang-en - USAN), anciennement connue sous le nom de Communauté sud-américaine des Nations ou CSN, est une organisation intergouvernementale intégrant deux unions douanières présentes en Amérique du Sud, le Marché commun du Sud (Mercosur) et la Communauté andine (CAN), dans le cadre d'une intégration continue de l'Amérique du Sud. L'UNASUR s'inspire de l'Union européenne. Son objectif est de « construire une identité et une citoyenneté sud-américaine et [de] développer un espace régional intégré »<ref>Tratado Constitutivo de la Unión de Naciones Suramericanas (UNASUR)</ref>,<ref>Modèle:Lien brisé</ref>,<ref>Preámbulo Tratado Constitutivo de la Unión de Naciones Suramericandas</ref>. En 2021, seuls cinq États d'Amérique du Sud en font partie.

Modèle:Sommaire

Histoire

Origine

Simón Bolívar, à l'origine de l'indépendance de certains États sud-américains, avait pour objectif de créer une fédération des nations de l'Amérique hispanique pour assurer la prospérité et la sécurité après l'indépendance et pour contrer l'impérialisme brésilien. Cependant, Bolívar n'a jamais atteint son but et est mort impopulaire à cause de ses tentatives d'établissement de gouvernements centraux forts dans les États nouvellement indépendants.

Dans les années 1990, le projet a pris naissance dans un contexte d'opposition à la zone de libre-échange des Amériques (ZLEA), « Initiatives pour les Amériques », lancé par le président américain George Bush puis concrétisé en 1994 au Sommet des Amériques, et donc dans un contexte d'opposition à l'ingérence nord-américaine dans les affaires politiques et économiques latino-américaines. À court terme, il vise notamment à contourner le recours à l'Organisation des États américains (OEA), dont les États-Unis sont parties prenantes, lors du traitement de problèmes spécifiquement sud-américains.

Formation

Fichier:UNASUR (Ecuador).jpg
Le siège de l'UNASUR est situé à 14 km de Quito et a été inauguré en décembre 2014.

Les douze États concernés ont signé le Modèle:Date la Déclaration de Cuzco, une lettre d'intention de deux pages, visant à la réunion du Mercosur, de la Communauté andine, du Chili, du Guyana et du Suriname en une seule communauté supranationale, la Communauté sud-américaine des nations (CSN), sur le modèle de l'Union européenne. Le Panama et le Mexique ont assisté à la cérémonie de signature et ont obtenu la qualité d'observateur.

Les dirigeants ont annoncé leur intention de modeler la nouvelle communauté sur l'exemple de l'UE, avec notamment la mise en place d'un Parlement, d'une citoyenneté, d'un passeport commun et à terme d'une monnaie commune. Selon Allan Wagner, secrétaire général de la Communauté andine, une union similaire à celle de l'Union européenne (en date de 2004) devrait être possible dans les 15 prochaines années.

Néstor Kirchner a été nommé au poste de secrétaire général de l'Union des nations sud-américaines le Modèle:Date. À cette date, le siège de l'UNASUR, prévu pour être installé en Équateur de même qu'un Parlement en Bolivie, sont encore à l'état de projets<ref>Modèle:Article</ref>. Néstor Kirchner, 59 ans, époux de la chef de l'État argentin Cristina Kirchner, est décédé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Article</ref>.

Changement de nom

Le Modèle:Date, l'ancien ministre de l'extérieur chilien, Ignacio Walker, a proposé que le nom de la Communauté soit changé en Union sud-américaine<ref group="N">Soit en anglais : South American Union, en espagnol : Unión Sudamericana, en néerlandais : Zuid-Amerikaanse Unie et en portugais : União Sul-Americana.</ref>. Cependant, cette proposition fut rejetée par plusieurs membres pour éviter qu'il y ait confusion entre son sigle et celui des États-Unis.

L'ancienne dénomination de l'Union, « Communauté sud-américaine des Nations »<ref group="N">Soit en anglais : South American Community of Nations, en espagnol : Comunidad Sudamericana de Naciones, en néerlandais : Zuid-Amerikaanse Statengemeenschap et en portugais : Comunidade Sul-Americana de Nações.</ref> fut abandonnée le Modèle:Date, lors de la première réunion sud-américaine sur l'énergie à Margarita (Venezuela). La dénomination « Union des nations sud-américaines »<ref group="N">Soit en anglais : Union of South American Nations, en espagnol : Unión de Naciones Suramericanas, en néerlandais : Zuid-Amerikaanse Statengemeenschap et en portugais : União de Nações Sul-Americanas.</ref>, ainsi que les sigles Unasur et Unasul, furent approuvées par tous les États membres durant la rencontre<ref name="tercera">Chávez: Presidentes acordaron llamar Unasur a integración política regional. La Tercera (16/04/07). Retirado em 22 de setembro de 2007.</ref>.

Ces dernières années, l’Amérique latine a connu une nouvelle impulsion dans leur processus d’intégration, scénario dans lequel l’UNASUR a la possibilité de se positionner comme le nouveau moteur de ces processus d’intégration de l’Amérique latine<ref>Modèle:Lien web, Modèle:ISSN</ref>.

Crise, suspension et retrait

Le traité constitutif de l'UNASUR a été signé le Modèle:Date lors du troisième sommet des chefs d’État qui s'est tenu à Brasilia (Brésil)<ref>Modèle:Article</ref>. Le traité constitutif prévoit l'installation du siège de l'Union à Quito (Équateur). Le Parlement sud-américain devrait être installé à Cochabamba (Bolivie), tandis que le siège de la banque, la Banque du Sud, se trouverait à Caracas, au Venezuela<ref>Modèle:Article</ref>.

Le Modèle:Date-, lors du sommet extraordinaire de Campana (Province de Buenos Aires), les chefs d’État ont élu à l'unanimité l'ancien président argentin Néstor Kirchner premier secrétaire général de l'Union des nations sud-américaines pour une période de deux ans. Ceci permit à l'UNASUR d'avoir un visage politique à l'international. Cette fonction a été conçue comme première étape vers la création d'un corps administratif permanent visant à mettre en place une union supranationale qui remplacera les organes politiques du Mercosur et de la CAN.

L'Unasur est notamment intervenue dans des crises politiques en Bolivie en 2008, en Équateur en 2010, et au Paraguay en 2012. Elle s'est également engagée dans la résolution de conflits internationaux comme en 2010 entre la Colombie et le Venezuela<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le Modèle:Date-, l'Union des Nations sud-américaines obtint le statut de membre observateur à l’Assemblée générale de l’ONU après que la commission des affaires juridiques eut approuvé à l'unanimité la demande d'adhésion à l'organisation<ref>Objetivos de la Unasur</ref>.

Après l'Argentine, la Bolivie, le Chili, l'Équateur, le Guyana, le Pérou, le Suriname et le Venezuela, l'Uruguay est devenu, le Modèle:Date, le neuvième État à ratifier le traité constitutif de l'organisation, atteignant ainsi le nombre de ratifications minimum nécessaire à l'entrée en vigueur du traité. Celui-ci est finalement entré en vigueur le Modèle:Date-<ref>Ministério das Relações Exteriores. UNASUL Modèle:Lien archive</ref>,<ref name=buenosairesherald1>Modèle:Article</ref>,<ref name=MercoPress2>Modèle:Article</ref>. Avec l'entrée en vigueur du traité constitutif, l'UNASUR a acquis la personnalité juridique au sommet des ministres des affaires étrangères de Mitad del mundo, en Équateur, où la première pierre du siège du Secrétariat général de l'Union a été posée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Segun el chanceler uruguayo, Luis Almagro: Unasur, un factor de “estabilidad, democracia y paz” en la región. Abc, 2 décembre 2010.</ref>. Cependant, en Modèle:Date-, l'Argentine, le Brésil, le Chili, la Colombie, le Paraguay et le Pérou ont décidé de suspendre leur participation à UNASUR pour une durée indéterminée, faute de Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>. Trois pays ont annoncé leur retrait définitif : la Colombie en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>, l'Équateur en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>, et l'Argentine<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Chronologie

Modèle:Chronologie UNASUR

États membres de l'Union des nations sud-américaines

États membres

États membres de l'UNASUR
Nom français
(forme courte)
Code Nom local
(forme courte)
Capitale Langue(s) officielle(s) Monnaie
Membres de la Communauté andine (CAN)<ref group="Note" name="CAN">Ces pays sont également considérés comme membres associés du Mercosur.</ref>
Modèle:Pays CO Colombia Bogota espagnol (es) Peso colombien
Modèle:Pays EC Ecuador Quito espagnol (es)
kichwa et shuar<ref group="Note">Ces langues ont le statut de langues officielles de relation interculturelle.</ref>
Dollar américain
Modèle:Pays PE Perú Lima espagnol, quechua et aymara<ref group="Note">Selon l'article 48 de la Constitution, « sont langues officielles l'espagnol et, dans les zones où ils prédominent, le sont également le quechua, l'aymara et les autres langues indigènes, selon la loi. »</ref> Nuevo sol
Modèle:Pays BO Bolivia Sucre (capitale constitutionnelle)<ref group="Note" name="Bolivie capitale">La Paz est la ville où siège le gouvernement, souvent considérée comme la capitale administrative de facto de la Bolivie. Sucre est la capitale inscrite dans la Constitution ; la Cour Suprême s'y trouve toujours.</ref>
La Paz (capitale administrative)<ref group="Note" name="Bolivie capitale"/>
espagnol et 36 autres langues<ref group="Note">Selon l'article 5-I de la Constitution bolivienne, « Sont langues officielles de l’État l'espagnol et toutes les autres langues des nations et peuples indigènes que sont l'aymara, araona, baure, bésiro, canichana, cavineña, cayubaba, chácobo, chimane, ese 'ejja, espagnol, guarani,guarasu’we, guarayu, itonama, kallawaya, leko, machineri, maropa, mojeño-trinitario, mojeño-ignaciano, moré, mosetén, movima, pacahuara, puquina, quechua, sirionó, tacana, tapiete, toromona, uru-chipaya, wichi, yaminahua, yuki, yuracaré et zamuco ».</ref> Boliviano
Membres du Mercosur<ref group="Note" name="Mercosur">Ces pays sont également considérés comme membres associés de la Communauté andine.</ref>
Modèle:Pays AR Argentina Buenos Aires espagnol Peso argentin
Modèle:Pays BR Brasil Brasilia portugais Réal brésilien
Modèle:Pays PY Paraguay {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}
Paraguái {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}
Asuncion espagnol et guarani Guaraní
Modèle:Pays UY Uruguay Montevideo espagnol Peso uruguayen
Modèle:Pays VE Venezuela Caracas espagnol Bolívar vénézuélien
Autres États
Modèle:Pays<ref group="Note" name="CAN"/> CL Chile Santiago espagnol Peso chilien
Modèle:Pays<ref group="Note" name="CARICOM">La Guyana et le Suriname sont actuellement membres du Caricom ; ils participent à son marché unique depuis 2006.</ref> GY Guyana Georgetown anglais Dollar guyanien
Modèle:Pays<ref group="Note" name="CARICOM"/> SR Suriname Paramaribo néerlandais Dollar surinamien
Modèle:Références

États observateurs

Contrairement à l'Union européenne et à l'Union africaine, l'Union des nations sud-américaines admet des membres observateurs. Elle a octroyé le statut d'observateur à un État d'Amérique centrale, le Panamá, et un État d'Amérique du Nord, le Mexique.

Territoires non membres

Les régions sud-américaines ne participant pas à l'UNASUR sont :

Statut et gouvernance de l'Union

Fichier:Presidentes unasur.jpg
Les chefs d'État sud-américains au sommet de Brasília qui donna naissance à l'UNASUR en mai 2008.

Statut

Symboles

Institutions

L'UNASUR possède plusieurs institutions. Celles-ci sont toutefois encore en formation. Celles-ci sont :

  • La présidence pro tempore est exercée successivement par chacun des États membres pour une période d'une année. Le président est chargé de préparer, convoquer, et présider les réunions des institutions. De plus, il représente l'Union dans les évènements internationaux, recherche les compromis et de signe des déclarations avec les tiers (avec le consentement des institutions de l'Union)<ref name="constitucion" />.
  • Le Conseil des chefs d’État et de gouvernement est la principale institution de l'Union. Il se charge d'établir les objectifs politiques, les programmes d'action et les projets du processus d'intégration sud-américaine. Il décide les priorités de sa mise en œuvre par la convocation de réunions ministérielles sectorielles. Enfin, il valide ou rejette les propositions présentées par le Conseil des ministres des relations extérieures<ref name="constitucion">Constitución de la Unión de Naciones Suramericanas</ref>.
  • Le Conseil des ministres des relations extérieures se réunit chaque semestre. Le président pro tempore peut convoquer des réunions extraordinaires à la demande de la moitié des États membres.
  • Le Conseil des délégués a pour fonction la publication des décisions du Conseil des chefs d’État et de gouvernement et des résolutions du Conseil des ministres avec le soutien de la présidence pro tempore et du secrétaire général. Le Conseil doit coordonner les initiatives de l'Union avec les autres processus d'intégration régional et sous-régional existant afin de promouvoir la complémentarité des efforts et la création d'un espace de dialogue qui favorise la participation citoyenne dans le processus d'intégration sud-américain<ref name="constitucion" />.
  • Le secrétariat général, sous la direction du secrétaire général, est l'institution qui exécute les mandats que lui confient les organes de l'Union et exerce leur représentation par délégation de ces derniers. Le secrétariat siège à Quito (Équateur). Le secrétariat doit soutenir les autres organes de l'Union dans l'exercice de leurs fonctions ainsi que proposer des initiatives et effectuer le suivi des directives prises par ces organes. Le secrétaire est également responsable de la coordination avec les autres organisations d'intégration et de coopération d'Amérique latine et des Caraïbes pour le développement des activités de l'Union<ref name="constitucion" />. Le secrétaire général est désigné par le Conseil des chefs d’État et de gouvernement sur proposition du Conseil des ministres des relations extérieures pour une période de deux ans renouvelable une fois. Son successeur ne pourra pas être de la même nationalité.
  • Le Parlement sud-américain est l'instance délibérante où sont représentés les douze États membres de l'Union des nations sud-américaines. Son siège est dans la ville de Cochabamba en Bolivie.

Grands axes et politiques menée

Marché unique

Modèle:...

Développement économique

Modèle:...

Coopération en matière de défense

Le Conseil de défense de l'Amérique du Sud (CDS) a été proposé par le Venezuela et le Brésil pour servir de mécanisme de sécurité régional qui vise à promouvoir la coopération militaire et la défense régionale. L'Argentine, le Brésil, le Chili et la Colombie sont considérés comme les meilleures forces armées d'Amérique du Sud. Le Conseil de défense n'est pas une alliance militaire conventionnelle comme l'OTAN, mais elle assure une certaine coordination militaire régionale<ref>Site officiel du Conseil de Défense de l'Amérique du Sud.</ref>.

À l'origine, la Colombie ne souhaitait pas y prendre parti du fait de ses forts liens militaires avec les États-Unis via le Plan Colombie. Cependant la Colombie finit par adhérer au Conseil le Modèle:Date-. Peu après la signature d'adhésion du président colombien, la présidente du Chili Michelle Bachelet mis en place un groupe de travail afin d'enquêter et de préparer une ébauche organisationnelle du Conseil. Finalement, le Modèle:Date-, les 12 États membres organisèrent la première réunion du Conseil.

Coopération en matière d'infrastructure

Modèle:Article connexe L'Union des nations sud-américaines a commencé ses plans d'intégration par la construction de l'autoroute inter-océan qui a pour but de relier les États de la côte Pacifique, notamment le Chili et le Pérou, avec le Brésil et l'Argentine par des autoroutes traversant le continent et connectant la Bolivie, l'intérieur de l'Argentine, du Pérou, et du Chili aux ports. La construction du premier corridor, connectant le Pérou au Brésil, commença en Modèle:Date-. Elle fut financée à 60 % par le Brésil et à 40 % par le Pérou<ref name="carretera">Modèle:Article</ref>. Inauguration de l'autoroute en 2013.

Coopération en matière énergétique

En matière de coopération énergétique, il y a notamment le projet d'anneau énergétique sud-américain pour que l'Argentine, le Brésil, le Paraguay et l'Uruguay soient alimentés en gaz de Camisea (Pérou) et en gaz de Tarija (Bolivie). Bien que ce projet ait été signé et ratifié en 2006, les difficultés économiques et politiques en Argentine et en Bolivie ont retardé l'initiative<ref name="anillo">Modèle:Lien web</ref>. L'accord reste donc plus un protocole qu'un réel projet puisque le Chili et le Brésil ont construit des terminaux pour l'importation de gaz naturel liquéfié de fournisseurs extérieurs. La Guyane française a voulu rejoindre le conseil énergétique d'Amérique du Sud mais à la suite de l'opposition d'altermondialistes (ATTAC) et de défenseurs de l'environnement, le gouvernement a préféré reculer. Cependant, Emmanuel Macron souhaite un accord avec le Brésil pour importer de l'électricité à partir du barrage de Belo Monte<ref name="anillo" />.

Le Gazoduc trans-caribéen est un projet d'intégration énergétique entre la Colombie et le Venezuela. Sa construction commença le Modèle:Date- et dura 24 mois. Le gazoduc est géré par les sociétés PDVSA et Ecopetrol, respectivement du Venezuela et de Colombie. Son coût de construction est de 300 millions de dollars<ref name="gasoducto">Unidos por el Gas</ref>.

Libre circulation des personnes

Tout citoyen Sud-Américain peut visiter un pays d'Amérique du Sud (hormis la Guyane française et le Suriname) autre que le sien pendant au plus 90 jours en n'ayant besoin de ne présenter que ses papiers nationaux d'identité. Depuis le Modèle:Date-, le passeport n'est désormais plus requis.

Coopération en matière d'éducation

Le ministre de l'éducation du Paraguay, Víctor Ríos, a déclaré que la création d'une Université de l'Union des nations sud-américaines était l'une des priorités de la présidence paraguayenne<ref>[1] Estrategia y negocios, 1 Noviembre de 2011</ref>.

Monnaie unique sud-américaine

Après la constitution de l'UNASUR, les discussions ont porté sur la création d'une union monétaire entre les États de la région, de la même façon que l'euro pour l'Union européenne. Cette monnaie devait être émise au cours des années 2010 par la Banque du Sud<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>. Cette dernière a été créée en 2007.

Notes

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Références

Modèle:Références

Compléments

Modèle:Autres projets

Articles connexes

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Liens externes

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