Verdun-en-Lauragais
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Verdun-en-Lauragais <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française située dans le nord-ouest du département de l'Aude en région Occitanie. Avant le décret du Modèle:Date, la commune s'appelait Verdun.
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Tenten, la Migaronne, Rec de Riplou, le ruisseau d'Ayguebelle. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Verdun-en-Lauragais est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1841. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary. Ses habitants sont appelés les Verdunois ou Verdunoises.
Géographie
La commune est limitrophe du département du Tarn.
Verdun-en-Lauragais est adossé au sud de la montagne noire, entre 195 et Modèle:Unité d'altitude.
Communes limitrophes
Modèle:Carte communes limitrophes
Climat
L'existence de deux stations météorologiques proches, à savoir celle de Castelnaudary et de Saissac, permet d'analyser de manière précise le climat de Verdun-en-Lauragais.
La station de Saissac, à Modèle:Unité d'altitude et sur le versant sud de la Montagne Noire, est représentative du climat de la partie nord de Verdun-Lauragais (Sanègre, le Raziguet), avec toutefois un caractère montagnard plus accentué : située au Lampy-Vieux, elle est plus à l'intérieur du massif de la Montagne Noire.
À l'opposé, la station de Castelnaudary à Modèle:Unité d'altitude est représentative du climat de l'extrémité sud de la commune. Les températures moyennes annuelles varient ainsi de Modèle:Unité (Saissac) à Modèle:Unité (Castelnaudary) avec un nombre de jours de gel respectivement de 52 et 25 jours par an<ref>Étude menée par "Études Conseils Environnements Paysages, 7 rue du Moulin 31450 Montgiscard</ref>
Les moyennes annuelles calculées sur 10 ans, de 1988 à 1997 permettent de caractériser les deux stations. On constate un contraste important : 3° de moins à Saissac par rapport à Castelnaudary et le double de jours de gel et de hauteur de précipitations.
Castelnaudary présente un climat à tendance méditerranéenne marquée, l'influence océanique se faisant toutefois encore sentir, notamment dans la répartition assez régulière des précipitations. La station est par ailleurs très ventée.
Saissac présente un climat à caractère montagnard, plus froid et humide. L'importance des précipitations s'explique par le fait que la Montagne Noire est le premier relief qui arrête les fronts humides venant de la Méditerranée ; elle se trouve également sous influence océanique, influence lointaine toutefois, qui lui amène occasionnellement un surcroît d'humidité. La station est beaucoup moins ventée que celle de Castelnaudary.
Le climat de Verdun-Lauragais est intermédiaire entre celui de ces deux stations. Le bourg de Verdun, tourné vers le Sud et dans la vallée du Tenten, bénéficie d'une situation particulièrement favorable, abritée des vents, avec un bon ensoleillement.
Géologie
La plus grande partie du territoire de la commune s'inscrit dans les terrains cristallins de la Montagne Noire.
Depuis la crête sommitale, au nord de la commune, le socle cristallin s'incline vers le sud avec une pente très régulière, de 7,5 % en moyenne. Le dénivelé total est de Modèle:Unité (616 à Modèle:Unité).
Le socle est entaillé par des vallées étroites et profondes, orientées nord-sud, dont les pentes moyennes atteignent 50-70 %.
Au nord de la crête sommitale se développe un versant beaucoup moins étendu et de pente plus forte (10-20 % en moyenne). Il présente un dénivelé de Modèle:Unité, de la crête jusqu'au Tenten
Hydrographie
Le territoire de la commune est drainé par 4 principaux cours d'eau<ref>(cf. carte de l'hydrologie)</ref> : le Ruisseau de Tenten et son affluent l'Ayguebelle, la Migaronne et le Riplou.
Le Tenten et l'Ayguebelle ont un cours permanent sur le territoire de la commune leur lit est de 2 à Modèle:Unité de large. Le Riplou et la Migaronne sont de plus faibles dimensions et n'ont un cours permanent que dans la partie basse.
L'écoulement des ruisseaux est très rapide, la pente générale du cours étant de l'ordre de 5 à 6 %, et la roche affleure partout dans le lit majeur.
En période de crue, les ruisseaux prennent un caractère torrentiel. Toutefois, les vallées étant très encaissées, les eaux ne sortent pas ou très peu de leur lit. Seuls les quelques prés en fond de vallée du Tenten, aux Trois Moulins et à l'Obit, peuvent être inondés.
La qualité des eaux du Tenten est excellente sur la commune, d'après la carte de l'agence de bassin.
Les rejets dans les ruisseaux sont limités à ceux de la station d'épuration qui traite les eaux usées du village ; il s'agit d'un décanteur-digesteur géré par la Compagnie Lyonnaise des Eaux.
Toutefois, la qualité des eaux, la faune et la flore aquatique ont pu être perturbées par la réalisation récente de nombreuses retenues d'eau destinées à l'irrigation.
Ces retenues contribuent au réchauffement de l'eau et diminuent son oxygénation. Leur utilisation représente des prélèvements importants en période d'étiage.
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : la « montagne Noire occidentale » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 25 dans l'Aude et 1 dans le Tarn<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Verdun-en-Lauragais est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,3 %), forêts (36,3 %), prairies (13,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Verdun-en-Lauragais est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 48,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 115 sont en aléa moyen ou fort, soit 50 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Verdun-en-Lauragais est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Le village doit son nom, d'origine gauloise, (Modèle:Douteux et Duno : colline), à son implantation sur un promontoire rocheux inscrit dans une boucle formée par deux ruisseaux : le Tenten (on prononce ici tout comme les Belges "tintin") et la Goutine.
Histoire
Le nom du village est d'origine gauloise, mais aucun document ne mentionne le village au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Le Modèle:Date-, les fils d’Hugues de Saissac, seigneur de Saissac, annoncent à leur suzerain, le vicomte Raymond de Trencavel, qu’ils vont construire au lieu de Verdun un castrum. Le castrum de Verdun est implanté sur un promontoire rocheux inscrit dans une boucle formée par deux ruisseaux, le Tenten et la Goutine permettant de voir toute la plaine jusqu'aux Pyrénées. Le village est ceinturé de remparts et accessible par deux portes, la porte d'aval et la porte du Cers.
Le Lauragais est un foyer du catharisme entraînant la croisade des albigeois. Après la conquête des possessions de la maison de Trencavel, la révolte des petits seigneurs locaux vers 1240 a conduit Louis IX à faire des restitutions partielles qui se sont étendus à un grand nombre de proscrits. Jourdain de Saissac a pu récuper la Modèle:4e partie de la seigneurie de Verdun. Le Modèle:Date-, il la vend à Guillaume Pia, sénéchal de Carcassonne entre 1248 et 1252, seigneur de Ferrals depuis son achat à l'abbaye de Saint-Papoul. Entre 1327 et 1329, Guillaume Pia, chevalier, est nommé seigneur de Verdun.
En 1305, toute la population de Verdun est déportée à Carcassonne pour interrogatoire. Parmi les 25 cathares brûlés à Toulouse entre 1308 à 1321, 5 sont originaires de Verdun.
Pendant la guerre de Cent Ans, le Lauragais souffre des ravages du Prince Noir entraînant de la famine et des épidémies. En 1370, Verdun était une judicature qui regroupait Modèle:Nombre. Le recensement du diocèse de Saint-Papoul, le Modèle:Date-, ne compte que de 12 feux imposables dans la communauté de Verdun.
Verdun faisait partie de la baronnie de Ferrals. Antoine de Toulouse-Lautrec est mentionné comme seigneur de Ferrals en 1457. Il a l'entière justice de Verdun et de nombreux droits sur les habitants.
En 1790, Verdun fait partie du district de Castelnaudary dans le département de l'Aude<ref>Marie de Verdun-en-Lauragais : Histoire</ref>.
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 81,2 % d'actifs (69,3 % ayant un emploi et 11,9 % de chômeurs) et 18,7 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castelnaudary, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 61 en 2013 et 52 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 128, soit un indicateur de concentration d'emploi de 47,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64,8 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 128 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 39 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 80,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 13,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
24 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Verdun-en-Lauragais au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 24 entreprises implantées à Verdun-en-Lauragais), contre 32,3 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Agriculture
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aude<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est l'élevage d'équidés et/oud' autres herbivores<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 24 en 2000 puis à 19 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 13 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 62 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 43 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Sainte-Marie-Madeleine de Verdun-en-Lauragais, église paroissiale construite entre 1300 et 1380. L'église est mentionnée en 1317 et dépendait alors de l'évêché de Saint-Papoul qui venait d'être formé aux dépens du diocèse de Pamiers. À la différence des églises de Lauragais, l'église n'a pas de clocher-mur. Son clocher surmonte un passage voûté, probablement une ancienne porte de la ville. L'église faisait partie de la première enceinte du castrum. L'église a été modifiée entre le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. L'église possède six chapelles latérales. Des changements ont été faits en 1898 avec le déplacement de l'entrée et la construction d'un porche latéral et de deux sacristies entre les contreforts, la restauration de la toiture et l'achat d'un harmonium. La cloche a été remplacée en 1944 et baptisée sous le vocable de Jeanne d'Arc<ref>Fondation du patrimoine : église Sainte-Marie-Madeleine de Verdun-en-Lauragais</ref>.
- D'autres églises ou chapelles existaient sur le territoire de la commune : Notre-Dame de Ferrals, Saint-Pierre de Rupe, Saint-Sauveur de l'Obit<ref>M.-C. Marandet, « Les lieux de culte du diocèse de Saint-Papoul à la fin du Moyen Âge », dans Archéologie du Midi Médiéval, 1990-1991, tome 8-9, Modèle:P. (lire en ligne)</ref>.
Personnalités liées à la commune
Paul Sibra (1889-1951), peintre et dessinateur.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Modèle:Autorité
- Modèle:Bases
- Site de la mairie
- Verdun-en-Lauragais sur le site de l'Institut géographique national
- Verdun-en-Lauragais sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes