Vladimir Maïakovski

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Modèle:Confusion Modèle:Infobox Écrivain

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Tombe du poète au cimetière de Novodiévitchi (Moscou, septembre 2019).
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Statue sur la tombe de Maïakovski (Moscou, septembre 2019).

Vladimir Vladimirovitch Maïakovski (en Modèle:Lang-ru), né le Modèle:Date à Baghdati (gouvernement de Koutaïssi, Empire russe) et mort le Modèle:Date à Moscou, est un poète et dramaturge futuriste soviétique.

Biographie

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Famille Maïakovski.
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Vladimir Maïakovski à Modèle:Nobr, en 1910.

Poète, dramaturge, acteur, théoricien, peintre, éditeur, affichiste et scénariste, Maïakovski naît à Baghdati (Géorgie) en 1893. Issu d’une famille modeste, il s’installe à Moscou en 1906, après la mort de son père.

Maïakovski adhère au Parti ouvrier social-démocrate de Russie (faction bolchévique) à Modèle:Nobr et participe aux manifestations révolutionnaires de 1905. Arrêté trois fois pour conspiration, il s'initie à la poésie alors qu'il est emprisonné à Boutyrskaïa en 1909.

En 1911, il entre à l'École de peinture, sculpture et architecture de Moscou<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Владимир Маяковский: в помощь преподавателям, старшеклассникам и абитуриентам par Сергей Иванович Кормилов, Ирина Юрьевна Искржицкая, édité par Изд-во Московского университета, 1999 - page 28 Modèle:ISBN.</ref>.

Il commence sa carrière littéraire à l'âge de Modèle:Nobr par une tragédie provocante intitulée Vladimir Maïakovski, montée au Luna Park à Saint-Pétersbourg en 1913. Elle sera copieusement sifflée « à y percer des trous »<ref>Vladimir Maïakovski, Elsa Triolet, Vers et proses, Les Éditeurs français réunis, 1974, Modèle:Nobr, Modèle:P. « À Moscou, je vivais le plus souvent sur les boulevards. Cette époque s'acheva par la tragédie Vladimir Maïakovski. Jouée à Pétersbourg. Au Luna-Park. Sifflée à y percer des trous... ».</ref>,<ref>Vladimir Vladimirovitch Maïakovski, Autobiographie.</ref>, dira-t-il.

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Lili Brik et Vladimir Maïakovski.

Il devient rapidement l'un des meneurs du mouvement futuriste après sa rencontre avec le poète et peintre David Bourliouk qu'il a connu en 1911 et qui lui a mis « le pied à l'étrier ». Il fonde avec Bourliouk l'association Queue d'âne qui regroupe plusieurs poètes se réclamant du futurisme, dont Velimir Khlebnikov, Vassili Kamenski et Alexeï Kroutchenykh. Le premier manifeste du mouvement, Une gifle au goût public, est publié en 1912.

Tout en exploitant cette nouvelle poésie, il en révolutionne les codes dans La Flûte en colonne vertébrale (aussi connue sous le nom de La Flûte des vertèbres, 1915) ou dans son Nuage en pantalon (1915), véritable manifeste du futurisme, qui est le fruit de sa relation troublée avec Lili Brik qu'il a rencontrée en 1915 alors qu'il entretient une relation avec sa jeune sœur Elsa Triolet.

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Maïakovski et Lili Brik en 1918 revus par la censure dans les années 1960.

Il lui écrit et lui dédie sa vie durant ses plus belles poésies. Lili est déjà mariée avec Ossip Brik qui devient l'ami et l'éditeur du poète. Un complice ménage à trois s'instaure. Avec Serge Tretiakov, il fonde le journal LEF (1923-1925), qui influencera toute une génération d'écrivains.

De retour à Moscou et après la révolution d'Octobre 1917, qu’il accueille d’abord favorablement, Maïakovski utilise sincèrement son talent au service du pouvoir politique, notamment dans le poème « Lénine » (1924-1925). En Modèle:Date, il participe avec Ossip Brik à des discussions de l'école du Parti communiste de Russie du district de Vyborg afin de mettre en place une organisation futuriste affiliée au parti. Baptisée Komfut, l'organisation est officiellement créée en janvier 1919 mais est rapidement dissoute à la suite de l'intervention d'Anatoli Lounatcharski<ref name="Jangfeldt">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Maïakovski est attiré par le cinéma. Il écrit des scénarios, joue et réalise un film en 1918, La Demoiselle et le Voyou.

Il écrit également deux pièces satiriques, La Punaise (1928) et Les Bains publics (1929), où il « lave » les bureaucrates<ref>Note de Maïakovski à propos de Les Bains.</ref>. Son Mystère-Bouffe (1918, 1921) est une pièce qui traite de la Révolution d'une façon épique : « Mystère, c’est ce que la Révolution a de grand. Bouffe, ce qu’elle a de comique ». Il se heurte une fois encore au conformisme des critiques et du Parti.

Il sillonne pourtant l'Europe en ambassadeur et visite Berlin et Paris. De 1923 à 1925, il prend les commandes de la revue LEF, à l'avant garde du futurisme (комфут). Partout on écoute ce géant à la voix de stentor célébrer la révolution dont il est le chantre. Il se met au service de l'Agence télégraphique russe (ROSTA) et conçoit les images et les textes des posters satiriques Agitprop. Après une série de ruptures et de réconciliations, il se sépare définitivement de Lili en 1924<ref name=1vo>Modèle:Lien web.</ref>. Il part pour une tournée de conférences à New York (1925) où il rencontre Elly Jones, une jeune émigrée russe. De leur passion brève (trois mois) naît une fille, Modèle:Lien<ref>Modèle:Lien archive.</ref>. Il ne la reverra qu'en 1929.

Lili ne le supporte guère et les relations se dégradent avec les Brik, plus tumultueuses que jamais après son retour à Moscou sous le feu des télégrammes.

Il entretient une brève relation avec Modèle:Lien, nièce d'Alexandre Iacovleff, et lui dédie un poème<ref>Lettre à Tatiana Iacovleva" (Письмо Татьяне Яковлевой, 1928).</ref>, que Lili tente d'éclipser.

Alors que la famine gronde, le cri torturé du Treizième apôtre plus désespéré que jamais résonne : « À bas votre amour, à bas votre art, à bas votre société, à bas votre religion. »

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Affiche Agitprop réalisée par Maïakovski:
1. Vous voulez surmonter le froid?
2. Vous voulez vaincre la faim?
3. Vous avez envie de manger?
4. Vous voulez boire?

Dépêchez vous de rejoindre les brigades de choc !

Le Modèle:Date à Modèle:Heure, le poète harassé qui, par défi, jouait aussi à la roulette russe, se tire une balle dans le cœur. Le dernier acte de la vie de Maïakovski s'est déroulé à Moscou, au Modèle:Nobr du Loubianskyi Prospekt, Modèle:Nobr. La thèse du suicide semble évidente alors que le poète exhortait la jeunesse à vivre<ref>Poème à Essénine : « Fuir cette vie est facile, Faire la vie est plus difficile ».</ref> à la mort d'Essenine.

Il rédigea sa propre épitaphe deux jours avant sa mort : Modèle:Citation.

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La dernière lettre de Maïakovski :
Le canot de l’amour
S’est brisé contre la vie courante.
Je suis quitte avec la vie.
Inutile de passer en revue
Les douleurs,
Les malheurs,
Et les torts réciproques.
Soyez heureux.
(Vladimir Maïakovski, Lettre à Lili Brik, trad. du russe par Andrée Robel, Paris, Gallimard, « L'Imaginaire », 1999).

On trouvera aussi ce mot : Modèle:Citation.

Staline ordonne des funérailles nationales pour celui qu'il qualifie plus tard de « poète de la Révolution ». L'urne avec ses cendres est inhumée au cimetière Donskoe. Modèle:Pas clair Trotsky critique immédiatement la version officielle selon laquelle le suicide de Maïakovski n'aurait Modèle:Citation.

Il est après sa mort tour à tour déconsidéré, oublié, réhabilité par Staline sur l'insistance des Brik - Modèle:Citation dira Boris Pasternak, mis à l'index à nouveau et, finalement, redécouvert au fil des révolutions.

Futurisme et constructivisme

Vladimir Maïakovski fut le premier poète russe à utiliser le terme de « futuriste » le Modèle:Date à l’occasion d’un débat sur l’art contemporain, même si le néologisme slave de boudetlianine (homme de l’avenir), qu’introduit le poète Velimir Khlebnikov, eut plus de succès.

Modèle:Citation, écrit David Bourliouk, l’artiste ukrainien qui, en 1911, figure parmi les fondateurs du cercle Guileïa, dont s’est inspiré le futurisme russe ; l'expérience se poursuivit, avec des résultats alternes, jusqu’en 1930, année de la mort de Maïakovski et de la fin de l’élan novateur.

Dès 1921, Lénine, conservateur dans ses choix artistiques, s'oppose formellement à Anatoli Lounatcharski qui favorise l'émergence de nouveaux courants et, en particulier, la diffusion du poème 150,000,000 de Maïakovski<ref>https://www.marxists.org/archive/lenin/works/1921/may/06.htm Lenin Collected Works, Progress Publishers, 1976, Moscow, Volume 45, pages 138c-139a: Modèle:Citation</ref>. Dans un courrier adressé à Mikhaïl Pokrovski, Lénine l'exhorte à combattre le futurisme<ref>https://www.marxists.org/archive/lenin/works/1921/may/06b.htm Lenin Collected Works, Progress Publishers, 1976, Moscow, Volume 45, page 139b: Modèle:Citation</ref>.

Modèle:Référence nécessaire.

Fichier:Mayakovsky - Kak delat stikhi.png
Как делать стихи (Comment faire de la poésie).

Dans le domaine des arts appliqués, le constructivisme révolutionne les principes décoratifs avec une esthétique du « fonctionnel » tendant à simplifier à l'extrême les formes.

Dès 1923, Alexandre Rodtchenko collabore à des travaux de mise en pages pour plusieurs éditeurs. Il réalise un portrait de Maïakovski ainsi que les couvertures de la revue LEF, jusqu'en 1925 puis, plus tard, celles de Novy LEF (1927-1928). Il commence sa collaboration avec le poète, pour lequel il illustre de ses premiers photomontages le recueil Pro Eto (1923)<ref>Modèle:Lien web. Couverture avec un portrait de Lili Brik exposée au MoMA.</ref>.

Fichier:RIAN archive 674327 Premiere poster of "Bug" play based on Vladimir Mayakovsky's work.jpg
Reproduction de la première affiche de la pièce La Punaise réalisée par le collectif Koukryniksy et Alexandre Rodtchenko. La pièce a été mise en scène au théâtre Meyerhold en 1929 avec des décors et des costumes de ces mêmes artistes et sur une musique composée par Dmitri Chostakovitch<ref name="theBedbug"> Modèle:Lien web.</ref>.

La même année, Lazar Lissitzky participe à la réalisation du recueil de poèmes de Maïakovski intitulé Dlja golosa (Pour la voix). Il intègre des illustrations et des onglets pour faciliter la recherche de poèmes et une lecture à haute voix, comme le souhaitait le poète<ref>Modèle:Lien archive Modèle:Pdf Bibliothèque Kandinsky au Centre Pompidou édition originale (1923).</ref>.

Il s’agit d’inscrire l’art dans la vie et de poser partout les bases d'une nouvelle culture de l'expression visuelle.

Dziga Vertov, dont l'engagement futuriste précéda le travail à la caméra, a déclaré : Modèle:Citation

La figure de Maïakovski demeure emblématique de l'avant-garde russe et du mouvement de renouveau artistique qui accompagna la révolution d'Octobre.

Quelques traductions françaises

  • La Nue empantalonnée, trad. Armand Robin in Quatre Poètes russes, Maïakovsky, Pasternak, Blok, Essenine, Éditions du Seuil, 1949.
  • Vers et Proses, traduction Elsa Triolet, Éditeurs Français Réunis, 1952 ; rééd. Le Temps des cerises, 2014.
  • La Punaise, comédie féerique, trad. André Barsacq, Paris-Théâtre, Modèle:N°, 1959.
  • Lettres à Lili Brik (1917-1930), trad. Andrée Robel, présentation de Claude Frioux, Gallimard, 1969.
  • Poèmes 1913-1917, trad. Claude Frioux, Messidor, 1984, rééd. « Poètes des cinq continents », L'Harmattan, 2000.
  • Poèmes 1918-1921, trad. Claude Frioux, Messidor, 1985, rééd. « Poètes des cinq continents », L'Harmattan, 2000.
  • Poèmes 1922-1923, trad. Claude Frioux, Messidor, 1986, rééd. « Poètes des cinq continents », L'Harmattan, 2000.
  • Poèmes 1924-1930, trad. Claude Frioux, Messidor, 1987, rééd. « Poèmes 1924-1926 et Poèmes 1927-1930, « Poètes des cinq continents », L'Harmattan, 2000. [traduction de référence]
  • Théâtre, trad. Michel Wassiltchikov, Grasset, 1989.
  • Comment ça va ? Au secours !, poème cinématographique et article, éd. et trad. Régis Gayraud, Clémence-Hiver, 1989.
  • Poèmes, trad. Claude Frioux, « L'Œil du poète », Textuel, 1997.
  • Du monde j'ai fait le tour, traduction Claude Frioux, « Voyager avec », Louis Vitton/La Quinzaine Littéraire, 1997.
  • Le Nuage en pantalon, traduction Wladimir Berelowitch, Mille et une nuits, 1998.
  • Le Nuage en pantalon, traduction Charles Dobzynski, bilingue, Le Temps des cerises / Trois-Rivières, Écrits des forges, Pantin, 1998.
  • L'Universel reportage, traduction Henri Deluy, Farrago, 2002.
  • À pleine voix, Anthologie poétique 1915-1930, traduction Christian David, préface de Claude Frioux, « Poésie », Gallimard, 2005.
  • Écoutez si on allume les étoiles..., choix et traduction Simone Pirez et Francis Combes, préface de Francis Combes, Le Temps des cerises, 2005.
  • De ça (1923), ouverture, traduction et notes d'Henri Deluy, Inventaire/Invention, 2008 (repris dans L'amour, la poésie, la révolution).
  • L'amour, la poésie, la révolution (« La Flûte des ténèbres », « J'aime », « De ça » et « Vladimir Ilitch Lénine »), traductions et présentation Henri Deluy, illustrations d'Alexandre Rodtchenko, Le Temps des cerises, 2011, traduction qui remporte une Mention Spéciale au Prix Russophonie 2012.
  • Théâtre, traduction et présentation Claude Frioux, Le Temps des cerises, 2013.
  • Comment écrire des vers, adaptation Philippe Blanchon, Éditions de la Nerthe, 2014.
  • Ma découverte de l'Amérique, 1925, traduit par Laurence Foulon, préface de Colum McCann (2005), Les Éditions du Sonneur, 2017.
  • Un nuage en pantalon, traduit par Elena Bagno et Valentina Chepiga, préface d'Elena Truuts, avant-propos de Florian Voutev, illustration de Vladimir Khvostik, Vibration éditions, 2019. Bilingue.

Filmographie partielle

Comme scénariste

Comme acteur

Bibliographie et spectacles

Biographies

  • Claude Frioux, Maïakovski par lui-même, Seuil, coll. « Écrivains de toujours », Paris, 1961.
  • Elsa Triolet, Maïakovski, poète russe - Souvenirs, Les Éditions Sociales Internationales, 1939.
  • Bengt Jangfeldt, La Vie en jeu, Une biographie de Vladimir Maïakovski, trad. Rémi Cassaigne, Albin Michel, 2010 Modèle:ISBN.

Études

Théâtre contemporain

Lectures

Postérité

Musées

Un musée Vladimir Maïakovski est créé dans la kommounalka de Moscou où il finit sa vie et se suicide, ainsi que dans sa maison natale à Baghdati<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Références dans la musique

Modèle:Vers

  • Le rappeur Georgio, dans son album Héra, fait référence au poète dans sa chanson Svetlana et Maïakovski.
  • Le groupe de cold wave Complot Bronswick a consacré un drame musical sur Maïakovski à partir de ses textes en 1984 intitulé Maïakovski.
  • Le rappeur Dooz Kawa, dans le titre Le temps des assassins de l'album Contes Cruels fait allusion au suicide du poète ainsi qu'à son égérie Lili Brik :

Modèle:Vers

Références dans les autres arts

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Panorama de la station de métro Maïakovskaïa à Moscou.
  • Maïakovski apparaît par deux fois dans le premier tome de la série de bande dessinée intitulée en français Les Aventures de Giuseppe Bergman écrite et dessinée par Milo Manara. Son nom y est également prononcé par un perroquet.
  • Dans Les Carabiniers, de Jean-Luc Godard, une résistante communiste récite une fable de Maïakovski avant d'être exécutée par les soldats du Roi.
  • « Lili aime moi ! » est une phrase répétée par Rufus dans le film de Maurice Dugowson, Lily aime-moi, sorti en 1975, avec Patrick Dewaere et Jean-Michel Folon.
  • Dans le livre Le tag en Corse de Pierre Bertoncini, un pochoir représentant Vladimir Maïakovski de Sylvie Bracconi est mentionné.
  • Robert Littell, dans son roman Vladimir M. (éd. Baker Street, 2016, trad. de The Mayakovsky Tapes), imagine une rencontre, en 1953, entre quatre des maîtresses du poète (Lili Brik, Elli Jones, mère de sa fille Patricia Thompson, Tatiana Yakovleva et Veronika Polonskaya dite Vera) devant le dictaphone de l'étudiant américain R. Litzky, pour raconter leurs souvenirs du disparu.
  • Le théâtre Maïakovski, à Moscou, s'appelle ainsi depuis 1954, après avoir porté trois autres noms depuis sa fondation en 1920.
  • Des stations de métros dont la plus connue est la station Maïakovskaïa du métro de Moscou, des statues et des timbres à son effigie entretiennent toujours la mémoire du poète disparu.
  • Nous danserons pour toi, Volodia !, Pier Lampás, Abrüpt, 2021.

Autres références

  • La Cellule Maïakovski est une organisation, travaillant à l'action culturelle et éducationnelle, du mouvement sandiniste au Nicaragua, qui exista brièvement, un peu plus d'une dizaine d'années avant la première arrivée au pouvoir de ce mouvement en 1979<ref name="ComResPopNic">Lionel Bar, Communication et résistance populaire au Nicaragua, L'Harmattan, 2004, Modèle:ISBN, pages dans l'édition papier : 237 et 238.</ref>.
  • La ville de Baghdati, où il est né, s'est appelée Mayakovski de 1940 à 1991.
  • La ville de Mayakovski (Arménie), anciennement Shahab, et le village de Maïakovskoïe (District de Kaliningrad), anciennement Nemmersdorf (Prusse orientale) ont également été rebaptisés en son honneur.
  • Le métro de Moscou et celui de Saint-Pétersbourg comportent chacun une station Maïakovskaïa.
  • Le Majakowskiring, une rue de Berlin (Allemagne).
  • L'astéroïde (2931) Mayakovsky.
  • Le vapeur Maïakovski a coulé le Modèle:Date à Riga.
  • Une statue du poète est érigée en 1958, place Triomphalnaïa, à Moscou<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Galerie de timbres-poste

Notes et références

Modèle:Références

Liens externes

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