Parti socialiste (Portugal)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox modulaire/Début Modèle:Infobox Parti politique Modèle:Infobox Parti politique/Représentation Modèle:Infobox modulaire/Fin
Le Parti socialiste (Modèle:En langue, PS) est un parti politique portugais de gauche et de centre gauche.
Histoire
Fondation (1973)
Le PS est créé lors d'un congrès de l'Action socialiste portugaise (ASP), alors en exil, le Modèle:Date à Bad Münstereifel, en Allemagne de l'Ouest. Les vingt-sept délégués présents décidèrent de fonder ce parti sur le socialisme et la liberté, en faisant explicitement référence à une société sans classes et au marxisme, repensé, comme source d'inspiration principale.
Retour de la démocratie (1974-1979)
En 1974, la révolution des Œillets fait chuter le régime autoritaire de l'État nouveau, instauré en 1933, et permet le retour à la démocratie. Le secrétaire général du PS, Mário Soares, rentre alors au Portugal, après un exil en France, et devient ministre des Affaires étrangères, tandis qu'António de Almeida Santos est nommé ministre de la Coordination interterritoriale. Aux élections constituantes du 25 avril 1975, le parti arrive en tête avec 37,9 % des voix, et continue de soutenir les gouvernements provisoires qui se succèdent.
Après l'adoption de la nouvelle Constitution, des élections législatives sont convoquées le Modèle:Date. Les socialistes s'imposent avec 34,9 % des suffrages exprimés, et Soares devient alors Premier ministre du Portugal. Il gouverne en minorité jusqu'en 1978, lorsqu'il élargit son gouvernement au Centre démocratique et social (CDS), avec qui il gouverne huit mois. À la suite de cet échec, le président António Ramalho Eanes désigne de lui-même trois gouvernements, qui ne conservent pas le soutien durable de l'Assemblée de la République.
Opposition à l'Alliance démocratique (1979-1983)
Le Modèle:Date, des élections législatives sont organisées et remportées par l'Alliance démocratique (AD), une coalition politique rassemblant trois partis de centre droit, dont le CDS. À l'occasion de ce scrutin, le PS recule fortement, à 27,3 % des voix. Pour les élections législatives du Modèle:Date, les socialistes s'allient avec l'Union de la gauche pour la démocratie socialiste (UEDS) et l'Action sociale-démocrate indépendante (ASDI) au sein du Front républicain et socialiste (FRS), qui n'obtient que 27,8 % des voix, sans aucune progression.
Grande coalition (1983-1985)
Le Parti social-démocrate (PPD/PSD) ayant perdu les élections locales de 1982, le Premier ministre Francisco Pinto Balsemão démissionne et convoque des élections législatives anticipées le Modèle:Date. Au cours de la campagne, le secrétaire général du PS, Mário Soares, propose « cent mesures en cent jours » et annonce qu'il sera contraint d'instaurer une politique de rigueur budgétaire. Il l'emporte, avec 36,1 % des voix, et décide de former une grande coalition, appelée Modèle:Lien, avec le PPD/PSD, qui obtient 27,2 % des suffrages. Le gouvernement fait alors appel au Fonds monétaire international (FMI) et met en place un plan d'austérité. Toutefois, à la suite de l'élection d'Aníbal Cavaco Silva à la présidence des sociaux-démocrates, ceux-ci ont mis fin à la coalition, ce qui a conduit à de nouvelles élections anticipées.
Dix ans d'opposition (1985-1995)
Avec 20,8 % des voix lors de ce scrutin, organisé le Modèle:Date, le PS obtient le plus faible score depuis sa fondation, dix ans auparavant. Mário Soares démissionne d'ailleurs du secrétariat général, au profit de Vítor Constâncio. Un an plus tard, en 1986, Soares se présente à l'élection présidentielle, et arrive deuxième du premier tour avec 25,1 % des voix, gêné par la dissidence de Modèle:Lien, soutenu par le Parti communiste portugais et qui remporte 20 % des voix, et derrière le chrétien-démocrate Diogo Freitas do Amaral, qui obtient 45,8 %. Il parvient toutefois à s'imposer au second tour, en remportant 51,2 % des suffrages exprimés.
À la suite du renversement du gouvernement minoritaire de Cavaco Silva, des élections législatives anticipées sont de nouveau convoquées le Modèle:Date. Les socialistes n'y obtiennent que 22,2 %, contre 50,2 % au PPD/PSD, qui inaugure ainsi huit ans de majorité absolue, un record. Deux ans plus tard, Jorge Sampaio remplace Constâncio à la tête du parti, sans parvenir à ramener les socialistes au pouvoir lors des élections législatives du 6 octobre 1991, lors desquelles le PS remporte 29,1 % des suffrages exprimés. Il est à son tour remplacé par António Guterres, en 1992. En Modèle:Date, le président Soares avait été très largement réélu dès le premier tour, avec 70,3 % des suffrages.
Ère Guterres (1995-2002)
Guterres conduit le parti aux [[Élections législatives portugaises de 1995|élections législatives du Modèle:1er octobre 1995]], et obtient 43,8 % des voix, ce qui constitue alors le meilleur score du PS depuis 1974. Il prend la tête d'un gouvernement minoritaire, dans un contexte de poussée sociale-démocrate sur l'Europe de l'Ouest. L'année suivante, le maire socialiste de Lisbonne, Jorge Sampaio, défait l'ancien Premier ministre Aníbal Cavaco Silva lors de l'élection présidentielle, avec 53,9 % des suffrages exprimés.
Candidat à sa succession lors des élections législatives du 10 octobre 1999, Guterres rate la majorité absolue avec 44,1 % des voix. Alors que les socialistes parviennent sans difficulté à conserver la présidence de la République en Modèle:Date, Sampaio étant réélu avec 55,5 % des voix au premier tour, ils perdent lourdement les élections locales de décembre, ce qui conduit Guterres à démissionner et convoquer des élections législatives anticipées le Modèle:Date, pour lesquels il est remplacé à la direction du PS par Eduardo Ferro Rodrigues.
Retour dans l'opposition (2002-2005)
Celui-ci parvient à limiter la chute du parti, avec 37,8 % des voix, ce qui en fait le meilleur résultat socialiste lors d'un passage dans l'opposition. Le social-démocrate José Manuel Durão Barroso parvient alors au pouvoir, en coalition avec le Parti populaire de Paulo Portas, et mène une politique libérale et atlantiste qui permet au PS de s'imposer largement aux élections européennes du 13 juin 2004 avec 46,3 % des voix. Durão Barroso est appelé peu après à diriger la Commission européenne, et Ferro Rodrigues demande alors au président Jorge Sampaio de dissoudre l'Assemblée de la République. Ce dernier décide de remplacer le Premier ministre par le nouveau président du PPD/PSD, Pedro Santana Lopes, ce qui amène le secrétaire général du PS à démissionner.
José Sócrates et la majorité absolue (2005-2011)
Trois personnes se présentent alors à sa succession, le vote étant remporté par l'ancien ministre de l'Environnement, José Sócrates, avec 80 % des voix. Sampaio dissout l'Assemblée de la République peu de temps après, et convoque des élections législatives anticipées le Modèle:Date. Surfant sur l'impopularité de Santana Lopes, le PS revient au pouvoir avec le meilleur score de son histoire, 45 % des voix, et la majorité absolue des sièges, ce qui ne lui était encore jamais arrivé.
Sócrates met alors en œuvre une politique de restrictions budgétaires, afin de ramener le déficit public dans les standards européens, et de réforme des services publics. Il décide, pour la présidentielle de Modèle:Date, de présenter la candidature de Mário Soares, le député et poète Manuel Alegre décidant alors de se déclarer candidat indépendant. Le scrutin est remporté de justesse au premier tour par Aníbal Cavaco Silva, Alegre arrivant deuxième avec 20,7 % des suffrages exprimés, contre 14,3 % pour Soares.
L'année suivante, le ministre de l'Intérieur, António Costa, reprend, lors d'une élection spéciale, la mairie de Lisbonne au centre droit. Ce dernier parvient cependant, à la surprise générale, à devancer le PS aux élections européennes du 7 juin 2009 avec 31,1 % des voix, contre 26,5 % aux socialistes. Ce score n'empêche pas Sócrates de conserver le pouvoir lors des élections législatives du 27 septembre suivant. Il n'y obtient cependant que 36,6 % des voix, perdant ainsi sa majorité absolue. La crise économique mondiale l'amène à davantage de rigueur, son quatrième plan étant rejeté par le Parlement le Modèle:Date, deux mois après la réélection de Cavaco Silva à la présidence avec 53,1 % des voix, devant Manuel Alegre, cette fois-ci soutenu par le PS mais qui n'obtient que 19,7 % des suffrages.
Défaite de 2011
Le Premier ministre démissionne alors et convoque des élections anticipées le Modèle:Date. Le PS y subit un cuisant revers, avec 28,1 % des voix, soit dix points de moins que le PPD/PSD de Pedro Passos Coelho, qui pourra s'associer au Parti populaire de Paulo Portas. Sócrates renonce alors à diriger le parti, l'élection de son successeur étant prévue pour le 23 juillet. Lors de ce scrutin, l'ancien ministre António José Seguro, perçu comme un critique de Sócrates, l'emporte avec presque 68 % des voix face à Francisco Assis, ancien président du groupe parlementaire. Six semaines plus tard, un nouveau congrès est organisé, portant l'ancienne ministre Maria de Belém Roseira à la présidence du parti.
Primaires de 2014
Après des résultats mitigés aux élections européennes du 25 mai 2014, le maire de Lisbonne António Costa conteste Seguro en tant que chef du parti. Ce dernier réplique par la convocation de primaires ouvertes pour la désignation du chef de file aux prochaines législatives ; le scrutin, qui se tient le Modèle:Date- suivant et mobilise Modèle:Nombre en plus des Modèle:Nombre, consacre une écrasante victoire de Costa par 67,7 % des exprimés. António José Seguro, assumant cette lourde défaite, annonce aussitôt sa démission. Environ deux mois plus tard, les 21 et Modèle:Date-, António Costa est élu secrétaire général par les adhérents avec 95,8 % des voix, étant le seul candidat en lice. La semaine suivante se tient le {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XXe{{#if:| }} }} congrès du PS, qui fait de l'ancien président du gouvernement des Açores Carlos César le nouveau président des socialistes.
2015 : élections législatives et renversement d'alliance
Arrivé deuxième lors des élections de 2015, alors que la gauche dans son ensemble a gagné une majorité au parlement, le PS décide de s'allier au Bloc de gauche (BE) et à la Coalition démocratique unitaire (CDU) pour renverser le gouvernement minoritaire de Pedro Passos Coelho. Ce dernier, étant arrivé en tête aux élections législatives, avait néanmoins perdu sa majorité absolue mais avait été reconduit par le président de la république, Aníbal Cavaco Silva. L'accord prévoit un soutien sans participation du BE et de la CDU<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le PS met ainsi fin à près de quarante années de désunion avec le reste de la gauche portugaise. En échange de ce soutien, le PS accepte d'abandonner trois mesures-phares de son programme : la libéralisation des licenciements, le gel des pensions et la réduction des contributions patronales à la Sécurité sociale<ref>Modèle:Article.</ref>.
Lors d'une réunion de la commission politique nationale le Modèle:Date, la députée Modèle:Lien est élue secrétaire générale adjointe du PS par Modèle:Nombre pour, 2 contre et 3 abstentions, conformément à un engagement pris par Costa lors de son élection à la tête du parti. Au cours du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XXIe{{#if:| }} }} congrès, célébré en Modèle:Date-, l'ancien ministre des Affaires sociales António Arnaut est fait président d'honneur du parti, un titre laissé vacant depuis le décès d'António de Almeida Santos.
Idéologie
Dirigeants
Secrétaires généraux
Nom | Mandat | Remarques |
---|---|---|
Mário Soares | Modèle:Date – Modèle:Date (Modèle:Durée) |
Ministre des Affaires étrangères (1974-1975) Premier ministre (1976-1978 ; 1983-1985) Président de la République (1986-1996) Député européen (1999-2004) |
Vítor Constâncio | Modèle:Date – Modèle:Date (Modèle:Durée) |
Ministre des Finances (1978) Gouverneur de la Banque de Portugal (1985-1986 ; 2000-2010) Vice-président de la Banque centrale européenne (depuis 2010) |
Jorge Sampaio | Modèle:Date – Modèle:Date (Modèle:Durée) |
Maire de Lisbonne (1990-1995) Président de la République (1996-2006) |
António Guterres | Modèle:Date – Modèle:Date (Modèle:Durée) |
Premier ministre (1995-2002) Président de l'Internationale socialiste (1999-2005) Haut commissaire des Nations unies pour les Réfugiés (2005-2015) |
Eduardo Ferro Rodrigues | Modèle:Date – Modèle:Date (Modèle:Durée) |
Ministre de la Solidarité (1995-1997) Ministre du Travail (1997-2001) Ministre de l'Équipement (2001-2002) Président de l'Assemblée de la République (depuis 2015) |
José Sócrates | Modèle:Date – Modèle:Date (Modèle:Durée) |
Ministre adjoint du Premier ministre (1997-1999) Ministre de l'Environnement (1999-2002) Premier ministre (2005-2011) |
António José Seguro | Modèle:Date – Modèle:Date (Modèle:Durée) |
Ministre adjoint du Premier ministre (2001-2002) |
António Costa | Depuis le Modèle:Date (Modèle:Durée) |
Ministre des Affaires parlementaires (1997-1999) Ministre de la Justice (1999-2002) Président du groupe parlementaire (2002-2004) Député européen (2004-2005) Ministre de l'Intérieur (2005-2007) Maire de Lisbonne (2007-2014) Premier ministre (depuis 2015) |
Présidents
Résultats électoraux
Élections législatives
Année | Chef de file | Voix | % | Sièges | Rang | Gouvernement |
---|---|---|---|---|---|---|
1975 | Mário Soares | 2 162 972 | 37,87 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:1er | |
1976 | 1 912 921 | 34,89 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:1er | [[Ier gouvernement constitutionnel portugais|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] (1976-1978) et [[IIe gouvernement constitutionnel portugais|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIe{{#if:| }} }}]] (1978) | |
1979 | 1 642 136 | 27,33 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:2e | Opposition | |
1980 | au sein de l'FRS | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:2e | Opposition | ||
1983 | 2 061 309 | 36,11 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:1er | [[IXe gouvernement constitutionnel portugais|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IXe{{#if:| }} }}]] | |
1985 | António de Almeida Santos | 1 204 321 | 20,77 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:2e | Opposition |
1987 | Vítor Constâncio | 1 262 506 | 22,24 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:2e | Opposition |
1991 | Jorge Sampaio | 1 670 758 | 29,13 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:2e | Opposition |
1995 | António Guterres | 2 583 755 | 43,76 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:1er | [[XIIIe gouvernement constitutionnel portugais|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIIe{{#if:| }} }}]] |
1999 | 2 385 922 | 44,06 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:1er | [[XIVe gouvernement constitutionnel portugais|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIVe{{#if:| }} }}]] | |
2002 | Eduardo Ferro Rodrigues | 2 068 584 | 37,79 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:2e | Opposition |
2005 | José Sócrates | 2 588 312 | 45,03 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:1er | [[XVIIe gouvernement constitutionnel portugais|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XVIIe{{#if:| }} }}]] |
2009 | 2 077 238 | 36,56 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:1er | [[XVIIIe gouvernement constitutionnel portugais|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XVIIIe{{#if:| }} }}]] | |
2011 | 1 566 347 | 28,08 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:2e | Opposition | |
2015 | António Costa | 1 747 685 | 32,31 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:2e | Opposition (2015) et [[XXIe gouvernement constitutionnel portugais|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XXIe{{#if:| }} }}]] (2015-2019) |
2019 | 1 908 036 | 36,34 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:1er | [[XXIIe gouvernement constitutionnel portugais|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XXIIe{{#if:| }} }}]] | |
2022 | 2 302 601 | 41,38 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | Modèle:1er | [[XXIIIe gouvernement constitutionnel portugais|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XXIIIe{{#if:| }} }}]] |
Élections présidentielles
Année | Candidat | Modèle:1er | Modèle:2nd | ||
---|---|---|---|---|---|
% | Rang | % | Rang | ||
1976 | António Ramalho Eanes | 61,6 | Modèle:1er | ||
1980 | Ramalho Eanes | 56,4 | Modèle:1er | ||
1986 | Mário Soares | 25,4 | Modèle:2e | 51,2 | Modèle:1er |
1991 | Mário Soares | 70,4 | Modèle:1er | ||
1996 | Jorge Sampaio | 53,9 | Modèle:1er | ||
2001 | Jorge Sampaio | 55,6 | Modèle:1er | ||
2006 | Mário Soares | 14,3 | Modèle:3e | ||
2011 | Manuel Alegre | 19,3 | Modèle:2e |
Élections européennes
Année | Voix | % | Sièges |
---|---|---|---|
1987 | 1 267 672 | 22,48 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges |
1989 | 1 184 380 | 28,54 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges |
1994 | 1 061 560 | 34,87 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges |
1999 | 1 493 146 | 43,07 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges |
2004 | 1 516 001 | 44,52 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges |
2009 | 946 818 | 26,53 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges |
2014 | 1 032 252 | 31,45 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges |
2019 | 1 106 328 | 33,38 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges |
Élections municipales
Notes et références
Voir aussi
Articles connexes
- Partis politiques portugais
- Union de la gauche pour la démocratie socialiste
- Action sociale-démocrate indépendante
- Front républicain et socialiste