Pépi Ier
Modèle:Titre mis en forme Modèle:Infobox Personnalité de l'Égypte antique
Modèle:Souverain- est un roi d'Égypte de la [[VIe dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIe{{#if:| }} }} dynastie]] qui connaît un long règne de -2289 à -2255<ref>D'après James Peter Allen et Jacques Kinnaer
Autres avis de spécialistes : -2310 à -2260 (Modèle:Beckerath), -2295 à -2250 (Detlef Franke) et Thomas Schneider, -2280 à -2243 (Jaromír Málek), -2354 à -2310 (Modèle:Redford).</ref>. Cependant, comme pour tous les rois de la [[VIe dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIe{{#if:| }} }} dynastie]], nous sommes loin d'un consensus entre les spécialistes en ce qui concerne cette durée de règne. Les appréciations vont de vingt ans pour certains spécialistes, comme Hans Wolfgang Helck, jusqu'à soixante-six ans pour d'autres, comme Ian Shaw.
Généalogie
Il est le fils du roi Téti et de la reine Modèle:MonarqueModèle:Sfn.
Il a eu plusieurs épouses, dont beaucoup ne nous sont connues que par leur tombe près de la pyramide du roi :
- Modèle:Monarque (aussi nommée Modèle:Souverain-)Modèle:Sfn,Modèle:Sfn, mère du roi Modèle:Monarque ;
- Modèle:Monarque (aussi nommée Modèle:Souverain-)Modèle:Sfn,Modèle:Sfn ;
- NoubounetModèle:Sfn,Modèle:Sfn ;
- Inenek IntiModèle:Sfn ;
- Méhaa, mère d'Horneterikhet ;
- peut-être NedjeftetModèle:Sfn,Modèle:Sfn ;
- peut-être BéhénouModèle:Sfn.
Il a eu plusieurs enfants, dont son successeur Modèle:Monarque, les princes HorneterikhetModèle:Sfn et Téti-ÂnkhModèle:Sfn, la reine NeithModèle:Sfn et peut-être la reine Modèle:MonarqueModèle:Sfn (ou bien fille de Modèle:Souverain-).
Longueur du règne
La date la plus haute trouvée pour ce roi est l'inscription Modèle:N° à Hatnoub indiquant Année du Modèle:25e, Modèle:1er d'Akhet, {{#ifeq:jour | s | Modèle:Siècle | Xe{{#if:jour| jour }} }}Modèle:Sfn. Une analyse de la Pierre de Saqqarah Sud atteste également d'un Modèle:25e de bétail, le plus élevé, sous le règne de Modèle:Souverain-. Les preuves indiquent que sous les règnes de Modèle:Souverain- et Modèle:Monarque, le comptage de bétail était effectué tous les deux ans, ce qui suggère une durée de règne de quarante-neuf ou cinquante ans. Cependant, on ne peut pas exclure une cinquantième année de règne en raison d'un fragment manquant de l'inscription suivanteModèle:Sfn. Le canon royal de Turin semble indiquer que Modèle:Souverain- a un règne de vingt ans, tandis que son successeur Modèle:Monarque est accrédité pour un règne de quarante-quatre ans. Ceci contredit les preuves contemporaines de la pierre dont la plus haute attestation pour ce roi est le Modèle:5e de bétail. L'égyptologue Kim Ryholt suggère que les deux lignes pourraient avoir été échangéesModèle:Sfn.
Il y a eu quelques doutes quant à savoir si la fréquence des recensements du bétail était strictement bisannuelle ou légèrement plus irrégulière. Que cette dernière situation semble être le cas est suggéré par l'inscription Modèle:N° Année après le Modèle:18e, Modèle:3e de Chémou, Modèle:27e du Ouadi Hammamat qui mentionne la première fête-Sed cette année-là pour Modèle:Souverain-Modèle:Sfn ; ainsi qu'une date Année après le Modèle:18e, Modèle:4e de Chémou, Modèle:5e dans le graffiti Modèle:N° du Sinaï, comme l'a noté l'égyptologue français Michel Baud dans un ouvrage de 2006 sur la chronologie égyptienneModèle:Sfn. Ce serait l'année 36 si le système bisannuel de datation était utilisé. Cette information est importante car la fête-Sed est considérée comme étant célébrée en l'an 30 d'un règne. Si Modèle:Souverain- utilisait un système de comptage bisannuel pendant son règne, ces inscriptions parlant de la fête-Sed auraient dû être datées de l'année suivant le Modèle:15e à la place. Cela pourrait signifier que le recensement du bétail pendant la [[VIe dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIe{{#if:| }} }} dynastie]] n'était pas régulièrement bisannuel. Michel Baud, cependant, souligne que l'année du Modèle:18e est conservée dans la Pierre de Saqqarah Sud et indique que la case correspondant à l'année entre les Modèle:18e et Modèle:19e fait la moitié de la taille moyenne des cases. Il explique donc qu'un espace aussi réduit pour une année célébrant la fête-Sed du roi est difficile à croireModèle:Sfn. Baud note qu'il y avait une tendance, pendant l'administration de ce souverain, à mentionner le premier jubilé à plusieurs reprises dans les années suivant sa célébration. De plus, Baud et Raffaele notent que la case-année la plus longue correspond à l'année 30 ou 31, ce qui correspondrait bien à la célébration de la fête-Sed, et impliquerait donc également une fréquence de recensement strictement bisannuelle durant son règneModèle:Sfn.
Règne
Accession au trône
L'accession de Modèle:Souverain- au trône pourrait avoir eu lieu en période de troubles, puisque son père Téti aurait été assassiné par ses propres gardes du corps, selon ManéthonModèle:Sfn,Modèle:Sfn. Naguib Kanawati a soutenu la thèse de Manéthon, en faisant remarquer par exemple que le règne de Téti a vu une augmentation importante du nombre de gardes à la cour égyptienne, ceux-ci devenant responsables des soins quotidiens du roiModèle:Sfn. La tentative de damnatio memoriaeModèle:Sfn visait en particulier trois hommes, le vizir HériModèle:Efn, le responsable des armes Méréri et le médecin en chef Seânkhuuiptah, qui pourraient donc être derrière le meurtreModèle:Sfn.
Le successeur de Téti fut le roi Ouserkarê. L'identité de ce roi et sa relation avec la famille royale restent incertaines. L'hypothèse d'une régence, formulée par certainsModèle:Sfn,Modèle:Sfn, dans l'hypothèse que Pépi était trop jeune à la mort de Téti, est à exclure du fait qu'un régent ne prendrait pas une titulature royale complète, qu'il ne serait pas considéré comme un roi légitime par ses successeurs (présence dans les listes royales postérieures) et que le règne d'Ouserkarê est trop court pour une régenceModèle:Sfn.
Peu importe l'identité du roi Ouserkarê, Modèle:Souverain- lui succède. Il prend comme nom d'Horus Méritaouy, signifiant « L'aimé des deux Terres », ce que Nicolas Grimal considère comme une indication qu'il souhaitait un apaisement politiqueModèle:Sfn. De même, Modèle:Souverain- a choisi le nom de Nesout-bity Néfersahor, qui signifie « La protection d'Horus est parfaite », qu'il n'a changé que plus tard en Mérirê, signifiant « L'aimé de Rê ». Bien qu'il ne semble pas y avoir de relation directe entre, la conspiration ayant mis fin au règne de Téti, le bref règne d'Ouserkarê et la conspiration ultérieure dans le harem de Modèle:Souverain-, ces événements suggèrent une certaine forme d'instabilité politique à l'époqueModèle:Sfn.
Politique intérieure
Dans une longue tendance qui a commencé au début de la [[Ve dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:| }} }} dynastie]], l'État égyptien de l'Ancien Empire a fait l'objet d'une décentralisation et d'une régionalisation croissantesModèle:Sfn. Ce processus, bien entamé sous le règne de Modèle:Souverain-, affaiblit progressivement la primauté et l'ascendant du roi sur sa propre administration et aboutira finalement aux principautés de la Première Période intermédiaireModèle:Sfn. Modèle:Souverain- semble avoir développé plusieurs politiques pour contrecarrer cette tendance, notamment avec la construction de chapelles du Ka royalModèle:Efn dans toute l'ÉgypteModèle:Sfn,Modèle:Sfn, pour renforcer la présence royale dans les provincesModèle:Sfn.
Plus tard au cours de ce règne, peut-être vers sa Modèle:44e sur le trôneModèle:Sfn, Modèle:Souverain- a été confronté à une conspiration mise au point par l'une de ses reines du harem, Ouéret-Yamtès. Bien que la nature précise de son crime ne soit pas rapportée par Ouni, qui a servi de juge lors du procès qui a suivi, cela montre au moins que la personne du roi n'était plus intouchableModèle:Sfn. Selon Hans Goedicke, Ouéret-Yamtès était peut-être la mère de Modèle:MonarqueModèle:Sfn, alors que Nicolas Grimal considère que cela est très improbable, car le fils de Ouéret-Yamtès aurait été puni avec elleModèle:Sfn. Vers la fin de son règne, Modèle:Souverain- épousa deux filles de Khoui, nomarque d'AbydosModèle:Sfn, peut-être pour contrer l'affaiblissement de l'autorité du roi sur la Moyenne et la Haute-Égypte en s'assurant l'allégeance d'une famille puissanteModèle:Sfn. L'importance politique de ce mariage est démontrée par le fait que, pour la première et dernière fois jusqu'à la [[XXVIe dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XXVIe{{#if:| }} }} dynastie]], quelque 1800 ans plus tard, la femme de Khoui, Nebet, a été rendue vizir de la Haute ÉgypteModèle:Sfn. Plus tard, le fils de Khoui et Nebet, Djaou, a également été rendu vizir. Cette tendance a commencéModèle:Sfn et s'est poursuivie au cours des [[VIe dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIe{{#if:| }} }}]] et [[VIIIe dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIIIe{{#if:| }} }} dynastie]]s suivantes, où le temple de Min à Coptos a fait l'objet d'un important patronage royalModèle:Sfn, comme en témoignent les décrets de Coptos, qui enregistrent les décrets de plusieurs rois successifs de la [[VIIIe dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIIIe{{#if:| }} }} dynastie]] accordant des exonérations fiscales au temple ainsi que des honneurs officiels à la famille dirigeante locale alors que la société de l'Ancien Empire s'effondraitModèle:Sfn.
Cette partie du règne de Modèle:Souverain- n'a peut-être pas été moins troublée qu'au début de son règne, car Kanawati conjecture que Modèle:Souverain- a fait face à une autre conspiration contre lui, dans laquelle son vizir Raouer pourrait avoir été impliqué. Pour étayer sa théorie, Kanawati observe que l'image de Raouer dans sa tombe a été profanée, son nom, ses mains et ses pieds ayant été ciselés, alors que cette même tombe est datée de la seconde moitié du règne de Modèle:Souverain- pour des raisons stylistiquesModèle:Sfn. Kanawati avance en outre que le complot visait peut-être à faire désigner un autre héritier du trône aux dépens de Modèle:Monarque. En conséquence de l'échec de cette conspiration, Modèle:Souverain- aurait pris la mesure drastiqueModèle:Efn de couronner Modèle:Monarque pendant son propre règneModèle:Sfn, créant ainsi la plus ancienne corégence documentée de l'histoire de l'ÉgypteModèle:Sfn. Le fait qu'une telle corégence ait eu lieu est indirectement étayé par un pendentif en or portant les noms de Modèle:Souverain- et de Modèle:Monarque en tant que roisModèle:Sfn,Modèle:Sfn, une inscription mentionnant le roi Modèle:Monarque à Hatnoub qui suggère qu'il a compté ses années de règne à partir d'un certain moment du règne de son père et les statues en cuivre de Nekhen, dont il est question ci-dessousModèle:Sfn.
Activités architecturales
Modèle:Souverain- a construit de nombreux bâtiments dans toute l'ÉgypteModèle:Sfn,Modèle:Sfn, consacrant la plupart de ses efforts de construction aux cultes locauxModèle:Sfn et aux chapelles dédiées au Ka du roiModèle:Sfn. À Dendérah, où une statue fragmentaire d'un Modèle:Souverain- assis a été découverte<ref>ifao.egnet.net</ref>,Modèle:Sfn, Modèle:Souverain- a restauré le complexe du temple à la déesse HathorModèle:Sfn. À AbydosModèle:Sfn, il a construit une petite chapelle creusée dans le roc et dédiée au dieu local Khentamentiou, où il est appelé Pépi, fils d'Hathor de DendérahModèle:Sfn. Dans la même localité, Modèle:Souverain- a peut-être aussi fait construire une petite chapelle dédiée à son propre KaModèle:Sfn,Modèle:Sfn. Ces chapelles comprenaient une ou plusieurs chambres pour l'apport d'offrandes dédiées au culte du Ka du défuntModèle:Sfn. Comme son père Téti, Pépi fit construire une telle chapelle à BubastisModèle:Sfn, dans la région du delta du Nil, ainsi qu'une autre à NekhenModèle:Sfn,Modèle:Sfn, en Haute-Égypte et peut-être aussi à El Kab où des inscriptions rupestres font référence à son culte funéraireModèle:Sfn. D'autres chapelles dédiées au Ka de Modèle:Souverain- ont été trouvées à Memphis, Zaouiet el-Meytin, Assiout et NagadaModèle:Sfn. Toutes ces chapelles étaient probablement périphériques à de grands temples abritant des activités cultuelles importantesModèle:Sfn,Modèle:Sfn, par exemple celle de Bubastis était périphérique au principal temple de l'Ancien Empire dédié à la déesse BastetModèle:Sfn, tandis que celle d'Abydos était probablement à côté du temple de KhentamentiouModèle:Sfn.
Sous le sol de la chapelle de Nekhen, dans un magasin souterrain, James Quibell a découvert une statue du roi Khâsekhemoui de la [[IIe dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIe{{#if:| }} }} dynastie]], un lionceau en terre cuite fabriqué à la période thiniteModèle:Sfn, un masque en or représentant Horus et deux statues en cuivreModèle:Sfn. Ces statues, à l'origine façonnées par martelage de plaques de cuivre sur un socle en boisModèle:Sfn,Modèle:Sfn, avaient été démontées et placées l'une dans l'autre puis scellées avec une fine couche de cuivre gravé portant les titres et les noms de Modèle:Souverain-Modèle:Sfn. Les deux statues piétinaient symboliquement les Neuf Arcs - les ennemis de l'Égypte - une représentation stylisée des sujets étrangers conquis par l'ÉgypteModèle:Sfn. Alors que l'identité de la plus grande figure adulte est révélée par l'inscription comme étant Modèle:Souverain-, l'identité de la plus petite statue montrant une personne plus jeune reste non résolueModèle:Sfn. L'hypothèse la plus courante parmi les égyptologues est que le jeune homme représenté est Modèle:MonarqueModèle:Sfn qui a été publiquement associé comme le successeur de son père à l'occasion du Jubilé. Le placement de son effigie en cuivre à l'intérieur de celle de son père refléterait donc la continuité de la succession royale et le passage du sceptre royal de père en fils avant la mort du père afin qu'elle ne puisse provoquer une scission dynastiqueModèle:Sfn. Par ailleurs, Bongioanni et Croce ont également proposé que la plus petite statue puisse représenter un Modèle:Souverain- plus jeune, revigoré par la célébration des cérémonies du JubiléModèle:Sfn.
Modèle:Souverain- a décrété une exonération fiscale pour la chapelle dédiée au culte du Ka de sa mère et située à CoptosModèle:Sfn,Modèle:Efn. Un décret similaire a survécu sur une stèle découverte près de la pyramide rhomboïdale à Dahchour, par lequel, durant sa Modèle:21e de règne, Modèle:Souverain- accorda des exonérations aux personnes servant dans les deux pyramides de SnéfrouModèle:Sfn : Modèle:Citation.
À la frontière sud de l'Égypte, à Éléphantine, plusieurs plaques de faïence ainsi qu'une statue en albâtre d'un singe avec sa progéniture portent le cartouche de Modèle:Souverain-Modèle:Sfn et témoignent de l'intérêt local pour le culte royalModèle:Sfn. Dans le temple de Satet, Modèle:Souverain- a construit un sanctuaire en granit pour la statue de la déesse qui existe encore aujourd'huiModèle:Sfn. Plus au sud, en Nubie, Ouni a supervisé la construction d'un grand canal à la Première Cataracte pour le roi.
Activités hors d'Égypte
Commerce et expéditions minières
Une grande partie du commerce qui avait existé sous la [[Ve dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:| }} }} dynastie]] s'est poursuivie sous Modèle:Souverain-, avec des colonies le long de la côte levantine, en particulier à Byblos, et indirectement de làModèle:Sfn avec la ville d'Ebla dans la Syrie actuelleModèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Efn. Cette dernière est établie par des navires en albâtreModèle:Sfn portant le nom de Modèle:Souverain-, trouvés près du palais royal G d'EblaModèle:Sfn,Modèle:Efn détruit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avant J.-C.Modèle:Sfn. À la même époque, un vaste réseau de routes caravanières traversait le désert occidental d'Égypte, par exemple d'Abydos à l'oasis de Kharga et de là aux oasis de Dakhla et de SelimaModèle:Sfn.
Les expéditions et les activités minières qui avaient déjà lieu durant la [[Ve dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:| }} }} dynastie]] et au début de la [[VIe dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIe{{#if:| }} }} dynastie]] se poursuivirent sans relâche. Elles comprennent au moins une expédition dans les mines de turquoise et de cuivre de l'Ouadi Maghara, dans le SinaïModèle:Sfn, vers la Modèle:36e du règne de Modèle:Souverain-Modèle:Sfn,Modèle:Efn, une expédition à Hatnoub, où l'albâtre a été extraitModèle:Sfn, au moins une fois au cours de la Modèle:49e du règneModèle:Sfn, ainsi que des visites au Gebel SilsilehModèle:Sfn et à l'île de SehelModèle:Sfn. La grauwacke et la siltite pour les projets de construction provenaient des carrières de l'Ouadi HammamatModèle:Sfn, où Modèle:Souverain- est mentionné dans environ quatre-vingts graffitisModèle:Sfn.
Expéditions militaires
Militairement, le règne de Modèle:Souverain- est marqué par une expansion agressive en NubieModèle:Sfn,Modèle:Sfn, comme en témoignent les murs des tombes des nomarques contemporains d'ÉléphantineModèle:Sfn, les vases en albâtre portant le cartouche de Modèle:Souverain- trouvés à KermaModèle:Sfn et les inscriptions à ToumasModèle:Sfn. Au nord-est de l'Égypte, Modèle:Souverain- lance au moins cinq expéditions militaires contre le Peuple des sablesModèle:Efn du Sinaï et du sud de la PalestineModèle:Sfn,Modèle:Sfn. Ces campagnes sont relatées sur les murs du tombeau de Ouni, alors officiellement Surintendant du palais mais chargé de la tâche de chef des arméesModèle:Sfn. Ouni raconte qu'il ordonna aux nomarques de Haute-Égypte et de la région du delta du Nil de Modèle:Citation. Pendant ce temps, des mercenaires nubiens étaient également recrutésModèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Efn, si bien qu'au total des dizaines de milliers d'hommes étaient à la disposition de OuniModèle:Sfn. C'est le seul texte relatant la levée d'une armée égyptienne pendant la période de l'Ancien EmpireModèle:Sfn, et il révèle aussi indirectement l'absence d'une armée permanente à l'époqueModèle:Sfn. Ces troupes étaient utilisées pour repousser et repousser les bédouins rebellesModèle:Sfn,Modèle:Efn, avant d'envahir leurs terres jusqu'à ce qui pourrait être le mont CarmelModèle:Sfn au nord, tout en débarquant des troupes directement sur les côtes palestiniennes grâce à la marine égyptienneModèle:Sfn,Modèle:Sfn.
Sépulture
Modèle:Souverain- s'est fait construire une pyramide dans le sud de SaqqarahModèle:Sfn, qu'il a baptisée Men-nefer-Pepi, ce qui se traduit par la splendeur de Pépi est durableModèle:Sfn, la perfection de Pépi est établieModèle:Sfn, la beauté de Pépi est durableModèle:Sfn, la perfection de Pépi est durableModèle:Sfn ou encore Pépi est durable et parfait. Le nom diminutif de Men-néfer pour le complexe de la pyramide a donné naissance à une nouvelle désignation pour la capitale voisine de l'Égypte, initialement appelée Ineb-Hedj, désignation qui a finalement donné Memphis en grecModèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Efn
Le complexe pyramidal
La ville pyramidale de Modèle:Souverain- et le temple de la vallée de sa pyramide n'ont pas encore été fouillés. Seuls les derniers mètres de la chaussée précédant immédiatement le temple mortuaire ont été explorés. La chaussée n'est plus visible sauf sur son tracé qui obliquant depuis le temple funéraire, pointe vers le nord-est de la vallée, indiquant l'emplacement perdu du temple d'accueil qui n'a pas été encore retrouvé et dégagé et qu'il convient donc de rechercher sous les cultures qui bordent la ville moderne de Saqqarah.
Le temple funéraire ou temple haut est à présent mieux connu et bien qu’en ruine permet d'identifier clairement sa composition. Il comprend tous les éléments classiques s’inspirant en cela du complexe voisin de Djedkarê Isési. Il se développe sur un axe est-ouest avec une longueur de plus de quatre-vingt-dix mètres pour une largeur en façade de plus de cinquante. La partie d’accueil du temple est très développée partant depuis le débouché de la chaussée à l’est jusqu'au péribole de la pyramide à l’ouest qui contient la partie intime du temple et la pyramide-satellite du complexe. Une fois sorti du long couloir formé par la chaussée ascendante on pénétrait dans un premier vestibule distribuant au nord et au sud deux pièces annexes occupant toute la largeur de l'édifice. Par le côté ouest du vestibule, on accédait à un grand corridor, la Chambre des Grands dont les parois étaient décorées de scènes représentant la famille royale et les courtisans du royaume s'avançant vers le roi divinisé et qui ouvrait sur une grande cour à portiques soutenus par dix-huit piliers. De cette cour cérémonielle destinée à la présentation des offrandes et aux rites de purification d'usage on accédait à la partie intime du temple qui contenait outre la salle à cinq niches qui abritait les statues du culte, une salle oblongue située juste derrière et jouxtant la face orientale de la pyramide. C'est dans cette salle que se trouvait la stèle fausse porte du sanctuaire qui a été retrouvée dans les décombres du temple et redressée à la place qu'elle occupait originellement.
De part et d'autre de cet ensemble se trouvaient des magasins disposés en dents de peigne et enserrant la totalité du temple. Ces magasins étaient destinés à conserver les offrandes une fois purifiées dans la grande courModèle:Efn. Ils prennent ici une ampleur importante et occupent la plupart de l'espace du temple funéraire.
Le péribole de la pyramide est délimité par un mur d'enceinte encadrant la pyramide royale et s'arrêtant au niveau du temple funéraire. Il est conservé dans sa partie sud sur ses quatre premières assises et sur une longueur de quarante mètres et accusait un fruit de quatre à cinq degrés. Il était couronné par un parapet arrondi et son élévation est restituée à environ sept mètres de hauteur pour une épaisseur à sa base d'un peu plus de quatre mètres. Des blocs de ses assises hautes ont pu être retrouvés sur place, abandonnés là par les carriers, et présentent une décoration inédite et sans précédent pour un complexe pyramidal de l'Ancien Empire. Constituée d'une frise de grands hiéroglyphes gravés en relief dans le creux, interrompue par des panneaux d'angles développant la titulature royale, elle courait sur toute la longueur du mur d'enceinte et se poursuivait sur celui du temple haut.
Le péribole dispose également de canalisations des eaux très développées, aménagées dans le dallage tout autour de la pyramide. Ce dallage présente en effet une légère pente qui converge vers des bassins où des petits récipients d'où partent des rigoles qui le traversant et passant au-dessous du mur d'enceinte déversaient les eaux à l'extérieur dans des puits perdus. Ce dispositif de recueil et d'écoulement des eaux de ruissellement est interprété comme ayant tout à la fois une fonction utilitaire et rituelle.
La pyramide de culte est située à l'angle sud-est de la pyramide royale Modèle:Incise. Elle est dans un état de conservation légèrement meilleur que le temple mortuaire. La base faisait Modèle:Unité de côté et la hauteur était de Modèle:Unité également. Son angle d'inclinaison est de 63°26′. Elle a conservé une partie de son revêtement en calcaire de Tourah et comprenait un dispositif souterrain accessible depuis sa face nord, copie anépigraphe, simplifiée et miniature des appartements funéraires du roi.
La pyramide
La pyramide principale de Modèle:Souverain- a été construite de la même manière que les autres depuis Djedkarê IsésiModèle:Sfn : un noyau à six degrés construit à partir de petits blocs de calcaire grossièrement taillés et liés entre eux à l'aide de mortier d'argile enrobé de blocs de calcaire fin Modèle:Sfn. La pyramide, aujourd'hui détruite, avait une base carrée de Modèle:Unité de côté, soit Modèle:Unité, convergeant vers le sommet à ~ 53° et mesurait autrefois Modèle:Unité, soit Modèle:Unité de haut Modèle:Sfn. Ses restes forment aujourd'hui un petit monticule de Modèle:Unité Modèle:Sfn,Modèle:Sfn contenant en son centre une fosse creusée par des voleurs de pierreModèle:Sfn.
On accédait aux infrastructures de la pyramide par la chapelle nord, aujourd'hui disparue. Depuis l'entrée, un couloir descendant donne accès à un vestibule qui mène au passage horizontal. À mi-chemin du passage, trois herses en granit gardent les chambres. Comme dans les pyramides précédentes, l'infrastructure contient trois chambres : une antichambre sur l'axe vertical des pyramides, un serdab à trois cavités à l'est, et une chambre funéraire contenant le sarcophage du roi à l'ouestModèle:Sfn. Extraordinairement, le coffre canope en granit rose qui était enfoncé dans le sol au pied du sarcophage est resté intactModèle:Sfn,Modèle:Sfn. On a découvert à côté des restes de viscères dont on présume qu'ils appartiennent au roiModèle:Sfn. On ignore la provenance d'un fragment de momie et des enveloppes de lin fin découverts dans la chambre funéraire, mais on suppose qu'ils appartiennent à Modèle:Souverain-Modèle:Sfn.
Les murs de l'antichambre de Modèle:Souverain-, la chambre funéraire et une grande partie du couloirModèle:Efn sont couverts de colonnes verticales de texte hiéroglyphique inscrit, les fameux Textes des pyramidesModèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Sfn, peint en vert avec de la malachite moulue et de la gomme arabique, une couleur symbolisant le renouveauModèle:Sfn. Son sarcophage porte également sur son côté est les titres et les noms du roi, dans le cadre d'un ensemble de sorts plus vaste qui comprend des textes au bas des murs nord et sud opposés au sarcophage, et sur une ligne traversant le haut des murs nord, ouest et sud de la chambreModèle:Sfn. L'écriture comprend Modèle:Unité et lignes de texte, ce qui en fait le plus vaste corpus de textes des pyramides de l'Ancien EmpireModèle:Sfn. La tradition d'inscrire des textes à l'intérieur de la pyramide a été initiée par Ounas à la fin de la [[Ve dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:| }} }} dynastie]]Modèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Sfn mais a été découverte à l'origine dans la pyramide de Modèle:Souverain- en 1880Modèle:Sfn,Modèle:Sfn. Leur fonction était de permettre la réunion des Ba et Ka du souverain conduisant à la transformation en AkhModèle:Sfn,Modèle:Sfn, et d'assurer la vie éternelle parmi les dieux du cielModèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Sfn.
Les pyramides de reines
Au sud et au sud-est de sa propre pyramide, Modèle:Souverain- a fait construire plusieurs complexes pyramidaux à l'extérieur du mur d'enceinte pour ses épouses Modèle:Monarque, Noubounet, Inenek Inti et Méhaa ainsi que pour d'autres reines Modèle:Monarque, Béhénou et Modèle:Monarque. S'ajoutent trois autres pyramides ou tombeaux dont l'une a été identifiée comme étant celle du prince royal Horneterikhet, fils de Modèle:Souverain- et de Méhaa ainsi que celle plus tardive du Chef des scelleurs Rêhéryshefnakht et enfin une dernière pyramide restée anonyme pour l'instant. Comme des fragments de relief ont été trouvés à proximité de ces bâtiments, sur lesquels sont mentionnés les noms de deux autres épouses de Modèle:Souverain-, Modèle:Monarque et Nedjeftet, on suppose que des pyramides ont été construites pour elles aussi. Cependant, elles restent encore à découvrir.
La pyramide de Noubounet
La pyramide royale la plus à l'est connue jusqu'à présent appartenait à Noubounet, une épouse de Modèle:Souverain-. La base carrée faisait Modèle:Unité de côté et la hauteur était de Modèle:Unité également. Sur le côté est, il y avait un petit temple mortuaire. L'entrée des infrastructures se trouvait sur le côté nord de la pyramide. Il y avait une petite chapelle en briques crues, dans laquelle on a également trouvé un autel en pierre calcaire brisée. De là, un couloir descendant menait d'abord dans une petite chambre, puis le couloir continuait horizontalement. La chambre funéraire est située légèrement au sud du centre de la pyramide. On y a trouvé les restes d'un sarcophage en granit rose et des plaques d'inscription en albâtre, mais leur fonction n'est pas claire. À l'est de la chambre funéraire se trouve un serdab où l'on a trouvé les restes de l'équipement funéraireModèle:Sfn.
La pyramide d'Inenek Inti
À l'ouest de la pyramide de Noubounet se trouve la pyramide d'une autre épouse de Modèle:Souverain-, Inenek, également appelée Inti. La base carrée faisait Modèle:Unité de côté et la hauteur était de Modèle:Unité également, la pyramide est donc en grande partie identique à celle de Noubounet. La seule différence significative est que la chambre funéraire se trouve ici directement sous le centre de la pyramide. Plus important encore, la pyramide d'Inenek possède un temple mortuaire beaucoup plus grand, qui, faute de place, se trouve non seulement du côté est de la pyramide, mais l'entoure du nord, de l'est et du sud. Dans l'angle sud-est, il y a une petite pyramide culte dont la base carrée faisait Modèle:Unité de côté et dont la hauteur était de Modèle:UnitéModèle:Sfn. Deux obélisques de calcaire de Modèle:Unité de haut ont été trouvés à la porte d'entrée du mur d'enceinte. Ils sont inscrits et peints avec de la peinture rouge, qui devrait imiter le coûteux granit roseModèle:Sfn. Un sarcophage fait de grauwacke, de la vaisselle en pierre et quelques récipients ont été trouvés.
La pyramide de l'Ouest
À l'ouest de la tombe d'Inenek, une troisième pyramide a été trouvée en 1988, qui a été appelée "pyramide de l'Ouest" ou "pyramide de la reine de l'Ouest", car son propriétaire est inconnu jusqu'à aujourd'hui. Cependant, ces noms sont devenus quelque peu inappropriés entre-temps, car elle se trouve maintenant plutôt au centre des pyramides des pyramides de reines. La base carrée faisait Modèle:Unité Modèle:Sfn de côté et la hauteur était de Modèle:Unité. Ses dimensions sont les mêmes que celles de Noubounet et d'Inenek, mais les infrastructures sont agencées différemment. Le serdab se trouve ici non pas à l'est mais au sud de la chambre funéraireModèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Sfn. De nombreux objets provenant de l'équipement original de la tombe ont pu être retrouvés. Parmi eux se trouvaient les restes d'un sarcophage en granit rose, une sandale dorée, des ustensiles en cuivre, des récipients en argile et des objets en bois Modèle:Sfn. Le temple mortuaire a été construit à la hâte à partir de briques de boue du Nil. Il n'a été réalisé que sous le règne de Modèle:Monarque. Il était extrêmement étroit et décoré de reliefs représentant des processions de la cour et des offrandes.
La pyramide de Modèle:Souverain-
Au sud de la "pyramide de l'Ouest", la pyramide de la reine Modèle:Monarque, parente (fille ?) de Modèle:Souverain- et probable épouse de Modèle:Monarque, a été découverte en 1995. La base carrée faisait Modèle:Unité de côté et la hauteur était de Modèle:Unité également. La pyramide a été construite sur une colline naturelle de sable et de nodules de silex. La chambre funéraire est très endommagée par l’affaissement des poutres du plafond, mais certains objets funéraires ont pu être retrouvés, dont un appui-tête et quelques fragments de bois, qui appartenaient probablement à une boîte.
La pyramide d'Modèle:Souverain-
En 1998, la pyramide d'Modèle:Monarque, épouse de Modèle:Souverain- et de Modèle:Monarque, a été retrouvée au sud-ouest du tombeau de Modèle:Souverain- Modèle:Sfn. La base carrée faisait Modèle:Unité de côté et la hauteur était de Modèle:Unité, c'était la plus grande pyramide de reines du complexe de Modèle:Souverain- Modèle:Sfn, mais aujourd'hui elle est presque complètement érodée. Sur le côté nord, on a découvert les restes d'une chapelle, d'où un couloir décoré de reliefs mène à la chambre funéraire. Ses murs portaient des textes des pyramides. En 2001, un sarcophage en pierre noire a été découvert Modèle:Sfn. À l'est de la chambre funéraire se trouve un serdab non décoré. Au nord de la pyramide se trouvent vingt magasins, mais aucune découverte importante n'y a été faite. Plus révélateur, cependant, est une cour à l'est des magasins, dans laquelle on a trouvé des reliefs peints, dont le portrait de la reine. Une autre découverte importante est un bloc qui nomme les pyramides de Modèle:Souverain-, de Modèle:Monarque et de Modèle:Monarque. Elle représente une découverte importante pour la reconstruction de l'histoire de la famille royale de la [[VIe dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIe{{#if:| }} }} dynastie]]. Sur le côté est de la pyramide se trouve le temple mortuaire, qui a une forme assez inhabituelle et qui s'étend vers le nord. En 2017, un pyramidion et des fragments d'obélisque ont été trouvés près de la tombe.
La pyramide d'Modèle:Souverain-
Au nord des magasins d'Modèle:Monarque, la pyramide d'Modèle:Monarque, fille de Modèle:Monarque et épouse de Modèle:Monarque, a été découverte en 2001. La base carrée faisait Modèle:Unité de côté et la hauteur était de Modèle:Unité. La chambre funéraire est décorée d'une bande de hiéroglyphes qui indique le nom et le titre de la reine. Le temple funéraire d'Modèle:Souverain- se trouve à l'est de la pyramide et est inclus dans l'enceinte où se trouve aussi la pyramide d'Modèle:Souverain-. Il est tout petit et n'est composé que de trois salles. Au sud-est du bâtiment se trouve une petite pyramide de culte dont la base carrée faisait Modèle:Unité de côté et la hauteur était de Modèle:Unité également.
La pyramide de Méhaa
Au nord-ouest de la pyramide de l'Ouest se trouve la pyramide de Méhaa, fortement détruite. Elle n'est documentée qu'une seule fois, dans un bâtiment qui serait la chambre funéraire de son fils Horneterikhet, mais des restes de la décoration murale dans le style d'une façade de palais et quelques inscriptions ont été trouvés. La base carrée faisait Modèle:Unité de côté. La chambre funéraire est presque entièrement détruite.
La pyramide de Béhénou
En 2007, les restes d'une huitième pyramide de reine ont été fouillés au nord-ouest de la pyramide de Méhaa. Le nom de sa propriétaire est Béhénou. Sur le côté sud du bâtiment se trouve le temple mortuaire, sur le côté sud-est il y a aussi une petite pyramide de culte. Dans les restes du tombeau, on a également trouvé des fragments de textes de pyramides et la tête d'une statuette de la reine Béhénou. La chambre funéraire a été fouillée au début de l'année 2010. Elle mesure Modèle:Dunité Modèle:Sfn et contenait des restes de la décoration murale et du sarcophage de Béhénou.
Tombeau de la prêtresse d'Hathor Ânkhésen
Dans l’enceinte du monument funéraire d'Modèle:Monarque, enfouie à l’ouest dans un puits, est apparue une jolie petite tombe peinte de couleurs fraîches, au nom de la prêtresse d’Hathor répondant au nom d'Ânkhésen. Aucun lien familial n’est indiqué avec Modèle:Souverain-, la petite tombe étant toutefois antérieure à la pyramide qui l’abrite. La momie y était encore en place, accompagnée de son chevet ; une statuette en bois de Modèle:Unité représentant la défunte y fut aussi retrouvée.
Pyramide de Rêhéryshefnakht
Juste au nord du complexe pyramidal d'Modèle:Monarque se trouve une petite pyramide, qui n'a été construite qu'à la fin de la [[XIe dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIe{{#if:| }} }}]] ou au début de la [[XIIe dynastie égyptienne|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:| }} }} dynastie]]. Son propriétaire était un fonctionnaire, Chef des scelleurs plus particulièrement, du nom de Rêhérychefnakht. C'est donc la plus ancienne pyramide égyptienne connue qui n'ait pas été construite pour un membre de la famille royale. Le bâtiment se compose principalement de fragments réutilisés, qui provenaient à l'origine d'autres bâtiments de la zone.
Titulature
Notes et références
Notes
Références
Bibliographie
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Lien web
- Modèle:Article
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Lien web
- Modèle:Article
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Lien web
- Modèle:Lien web
- Modèle:Lien web
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Lien web
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Lien web
- Modèle:Article
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Article
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Article
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Lien web
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Article
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Article
- Modèle:Article
- Jean Leclant, Nouvelles recherches et découvertes dans le nécropole de Modèle:Souverain- et ses reines au Sud de Saqqarah, Universitätsverlag, Leipzig, 1997.
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Article
- Modèle:Lien web
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Lien web
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Article
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Lien web
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Lien web
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article
- Modèle:Lien web
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Lien web
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Lien web
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article
- Modèle:Chapitre
Liens externes
- Quelques grands rois d'Égypte : Modèle:Souverain-
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Datations, titulatures, cartouches, translittérations, etc.