Adolphe Adam

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Musique classique (personnalité) Adolphe-Charles Adam est un compositeur français né le Modèle:Date de naissance à Paris, et mort dans la même ville le Modèle:Date.

Biographie

Adolphe Adam est né en 1803 à Paris<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Son père, Jean-Louis Adam était un pianiste et compositeur alsacien, professeur de piano au Conservatoire de musique à Paris, sa mère, Élisabeth-Charlotte-Jeanne (dite Élisa) Coste, la fille d'un médecin. Mauvais élève, Adam désertait les cours avec un cancre de la même envergure, Eugène Sue. Après avoir commencé à étudier la musique en cachette de son père, il entra à l'École royale de musique et de déclamation en 1817, fut élève de François-Adrien Boieldieu mais n'hésita pas à user de subterfuges pour se faire connaître : il travaillait le soir à l'orchestre du Gymnase, allant jusqu'à reverser ses cachets à ceux qui acceptaient de se faire remplacer et écrivait des chansons et musiques de circonstance pour autrui. Malgré ces facéties, il acquit assez de métier pour devenir lauréat du second prix de Rome en 1825.

Adolphe Adam choisit la carrière qui conduisait alors le plus sûrement à la renommée et à la fortune : celle de compositeur lyrique. Son maître, Boieldieu, l'orienta vers l'opéra-comique, genre alors en pleine mutation. En 1834, il connut son premier succès important, avec son opéra-comique Le Chalet, considéré depuis comme le point de départ de l'opérette à la française, et qui influença Offenbach à ses débuts. En 1836, l'opéra-comique Le Postillon de Lonjumeau obtint un succès phénoménal qui gagna l'Europe, même si l'ouvrage se joue de moins en moins aujourd'hui. Peu à peu, la renommée d'Adam s'accrut. Les critiques élogieuses du Brasseur de Preston parvinrent aux oreilles du tsar [[Nicolas Ier de Russie|Nicolas {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] et Adam gagna Saint-Pétersbourg en 1839, où il fut accueilli par son propre ballet La Fille du Danube. Il composa alors un nouveau ballet, L'Écumeur des mers (Morskoï Rasbonick). Considéré comme le digne successeur de Boieldieu, qui fut maître de chapelle à Saint-Pétersbourg, il se vit proposer la même fonction, mais la déclina.

Il composa une Marche funèbre pour le retour des cendres de l'empereur [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] et leur inhumation aux Invalides le Modèle:Date-. 1841 vit la naissance du succès le plus durable d'Adolphe Adam, son ballet Giselle, ou les Wilis, sur un livret de Théophile Gautier, inspiré d'un poème extrait de De l'Allemagne de Heinrich Heine.

En 1844, il fut nommé membre de l'Académie des beaux-arts en composition musicale. En 1845, il obtint à nouveau un grand succès avec son ballet Le Diable à quatre. En 1847, à la suite d'une dispute avec la direction de l'Opéra-Comique, il fut l'instigateur de la création du Théâtre-National, installé dans la salle du Cirque-Olympique ; ce théâtre avait pour premier but, fort louable, d'accueillir les jeunes compositeurs ne parvenant pas à faire jouer leurs ouvrages ailleurs. Le premier à en bénéficier fut Louis-Aimé Maillart, dont l'opéra Gastibelza ouvrit le premier rideau de cette nouvelle scène lyrique (seul son opéra-comique Les Dragons de Villars est aujourd'hui connu). Mais la révolution ruina cette tentative : le Théâtre-National fut fermé en 1848 et, afin d'apurer les dettes, Adam dut trouver d'autres sources de revenus et se mit à écrire des articles.

L'année suivante, il succéda à son père comme professeur de piano au Conservatoire de musique et de déclamation. Les trois derniers succès notoires d'Adolphe Adam furent les opéras-comiques Le Toréador en 1849 (l'air de bravoure Ah ! Vous dirai-je, Maman ? est toujours en vogue auprès des sopranos coloratures) et Si j'étais roi en 1852 et le ballet Le Corsaire en 1856. Bien qu'Adam ne fût plus endetté à partir de 1853, il continua d'écrire ses articles jusqu'à sa mort, survenue quelques jours après la création aux Bouffes-Parisiens de son opérette, Les Pantins de Violette.

Adolphe Adam épousa en 1829 l'actrice Sara Lescot, avec laquelle il eut un fils, Adrien-Léopold Adam (1832-1851). À la mort de sa femme en 1851, il épousa Chérie-Louise Couraud, auprès de laquelle il vécut jusqu'à sa mort.

À Paris, une rue est baptisée Rue Adolphe-Adam en 1864. Elle a été ouverte lors des travaux commencés en 1854 pour l'aménagement de la place du Châtelet et de ses abords. Elle se situe dans le IVe arrondissement, juste derrière le Théâtre de la Ville (ex-théâtre Sarah-Bernhardt), commençant au 14 quai de Gesvres, finissant au 13 avenue Victoria.

À Longjumeau, le théâtre municipal est baptisé "Théâtre Adolphe Adam". De plus, un ensemble statuaire est érigé place de la Mairie : il comporte un buste du compositeur surplombant la liste de ses principaux ouvrages et une statue symbolique du fameux Postillon.


Fichier:Tombe de Adolphe Adam (division 5).JPG
Tombeau d'Adolphe Adam (cimetière de Montmartre, division 5)

Ses œuvres

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Adolphe Adam vers 1855.

La majorité des œuvres d'Adam n'eurent qu'un succès éphémère, notamment ses nombreuses chansons, pièces pour piano, cantates scéniques et autres œuvres vocales profanes et sacrées. Il réalisa également des arrangements et orchestrations d'œuvres d'autres compositeurs (Grétry, Monsigny, Dalayrac), parfois à la demande de Louis-Philippe lui-même. Si le Cantique de Noël, sur des paroles de Placide Cappeau, demeure célèbre aujourd'hui sous le titre de « Minuit, Chrétiens », Adam, peu attaché à la religion, ne semble pas y avoir accordé une grande importance, car il n'en dit pas un mot dans ses deux volumes de souvenirs.

Adam doit avant tout sa notoriété à ses compositions lyriques, dont quarante-six opéras ou opéras-comiques, quatorze ballets et de nombreuses opérettes et vaudevilles. Pour l'Opéra de Paris, il composa Richard en Palestine, La Bouquetière et Le Fanal, qui ne remportèrent pas un grand succès. Ses opéras les plus célèbres sont Le Roi d'Yvetot, Giralda ou la Nouvelle Psyché, Si j'étais roi, Le Chalet (son œuvre la plus populaire en France et à propos de laquelle Boieldieu écrivit « Je voudrais que cette musique fût de moi »<ref>Arthur Pougin, Adolphe Adam, sa vie, sa carrière, ses mémoires artistiques, G. Charpentier, Paris, 1877 (rééd. Minkoff, Genève, 1973)</ref>) et Le Postillon de Lonjumeau. Cette dernière œuvre, pratiquement plus jouée en France, mais qui conserve un indéniable engouement en Allemagne sous le titre Der Postillon von Lonjumeau, fut souvent copiée mais pas toujours avec bonheur : en Italie, Il Postiglione di Lonjumeau de Pietro Antonio Coppola fut un four et dut être retiré dès le troisième soir ; à Madrid, la zarzuela de Cristobal Oudrid, El Postillon de la Rioja, n'obtint qu'un succès d'estime.

Parmi ses quatorze ballets, (en réalité 13 + 1, puisque "Les Hamadryades", de 1840, est un opéra-ballet), La Fille du Danube (1836) eut son heure de gloire ; néanmoins, les plus connus sont Le Diable à quatre, La Jolie Fille de Gand, La Filleule des fées, Le Corsaire et surtout Giselle, ou les Wilis (1841), qui met en scène les amours malheureuses de la jeune paysanne Giselle et du duc Albrecht. Musicalement, Giselle introduit le principe, encore timide mais bien réel, du leitmotiv. C'est le premier ballet à établir et maintenir une ambiance, une atmosphère, dégageant la partition de son rôle unique jusqu'alors de « fournisseuse de rythmes fonctionnels », comme l'étaient La Sylphide de Jean Schneitzhoeffer, Don Quichotte ainsi que La Bayadère de Léon Minkus, La Fille du Pharaon ou le Pas de quatre de Cesare Pugni<ref>À noter que le pas de deux de l'acte I, le Pas des jeunes paysans, n'est pas d'Adam, mais de Johann Friedrich Burgmüller, compositeur oublié aujourd'hui et auteur l'année suivante d'un autre ballet sur un argument de Théophile Gautier, La Péri.</ref>.

Par leurs qualités, les ballets d'Adam amorcent le renouveau de la musique de ballet où brilleront plus tard Léo Delibes, Édouard Lalo, André Messager et tant d'autres. Tchaïkovski lui-même relisait toujours la partition de Giselle avant d'écrire un nouveau ballet et disait de cette œuvre : Modèle:Citation. Camille Saint-Saëns, quant à lui, déclarait au sujet de Giselle : Modèle:Citation. Plus loin, dans le même ouvrage : Modèle:Citation

En revanche, Richard Wagner, jeune critique alors inconnu, se borna lors de la création de Giselle à railler la frivolité des Français si amateurs de ballet …

Principales œuvres

Opéras-comiques

Ballets

Publications

Discographie

Modèle:Infobox Liste de fichiers

Ballets

Intégrales

Sélections

  • Le Corsaire, Orchestre philharmonique de Nice, dir. Klaus Weise - Accord, 1995 (1 CD) (+ ext. Glazounov, Raymonda et Minkus, Don Quichotte)
  • Le Corsaire, pas-de-deux supplémentaire composé par Riccardo Drigo à la demande du chorégraphe Marius Petipa, Orchestre symphonique de Londres, dir. Richard Bonynge - Decca, 1964 (coffret 10 CD Fête du Ballet)
  • Giselle :
    • Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire de Paris, dir. Albert Wolff - RCA LSC 2301 / Decca ECS 677, enregistré en 1957 salle de la Mutualité à Paris.
    • Orchestre du Conservatoire de Paris, dir. Jean Martinon - Decca, 1958 - Orchestration d'Henri Büsser, longtemps en vogue à l'Opéra de Paris dans les années 1950.
    • Orchestre Philharmonique de Vienne, dir. Herbert von Karajan - Decca, 1961
    • Philharmonia Orchestra, dir. Robert Irving - Royal Classics (EMI), 1962 (+ Chopin, Les Sylphides)
    • Orchestre des Concerts de Paris, dir. Gianfranco Rivoli - Guilde internationale du disque, 1965 (+ Massenet, Le Cid)
    • Orchestre du Royal Opera House, dir. Mark Ermler - Conifer, 1993 (1 CD)
    • Academy of St Martin in the Fields, dir. Sir Neville Marriner - Capriccio, 1994 (1 CD)
    • Orchestre Symphonique de Londres, dir. Michael Tilson Thomas - Sony, 1996 (1 CD)
    • Pas de deux de l'acte II dans Insolite : L'Opéra en duo, Emmanuel Ceysson (harpe), Laurent Verney (alto) - XXI-21 Productions, 2009 (+ Delibes, Tchaïkovski, Wagner…)

Opéras-comiques

Intégrales

  • Le Chalet avec Nadine Sautereau, Paul Gianotti, Giovanetti, orchestre non précisé, dir. Jules Gressier - Malibran, 1954 (1 CD) - couplé avec plusieurs extraits du Chalet par divers interprètes
  • Le Chalet avec Jodie Devos, Sébastien Droy, Ugo Rabec, Chœur et Orchestre de l'Opéra de Toulon, dir. Guillaume Tourniaire - Timpani, 2017 (1 CD)
  • Le Farfadet avec Janine Capdérou, Lina Dachary, Joseph Peyron, Bernard Plantey, Bernard Demigny, dir. Robert Benedetti - Gaîté-Lyrique, 1970 (1 CD) - couplé avec Le Chalet (ext.)
  • Le Postillon de Lonjumeau :
    • John Aler, François Le Roux, Jean-Philippe Lafont, June Anderson, Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, dir. Thomas Fulton - EMI, 1985 (2 CD)
    • Pamela Coburn, Peter Lika, Jurgen Linn, Florian Prey, Robert Swensen, SWR Radio Orchestra Kaiserslaute, dir. Klaus Arp - Capriccio Records, 1992 (en allemand)
    • VIDEO : Michael Spyres, Franck Leguérinel, Laurent Kubla, Florie Valiquette, Chœur Accentus, Orchestre de l'Opéra de Rouen Normandie, dir. Sébastien Rouland, mise en scène de Michel Fau - Naxos 2019, DVD et Blu-Ray
  • La Poupée de Nuremberg avec Walter Berry, Friedrich Berger, Franz Fuschs, Elizabeth Roon, dir. Kurt Tenner - Modèle:Lang, 1951 (1 CD / en allemand)
  • Si j'étais roi avec Olga Moll, Franz Fehringer, Kurt Gester, Orchestre des Hessischen Rundfunks Frankfurt, dir. Wolfgang Sawallisch - Line Music, 1953 (2 CD / en allemand)
  • Si j'étais roi avec Liliane Berton, André Mallabrera, René Bianco, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire, dir. Richard Blareau - Accord, 1960 (2 CD)
  • Le Toréador :
    • Mady Mesplé, Raymond Amade, Charles Clavensy, Orchestre lyrique de l'ORTF, dir. Eugène Bigot - Gaîté-Lyrique, 1963 (1 CD)
    • Sumi Jo, John Aler, Michel Trempont, Orchestre de l'Opéra national gallois, dir. Richard Bonynge - Decca, 1998 (1 CD)
    • Ghyslaine Raphanel, Matthieu Lécroart, Franck Cassard, Orchestre Albéric Magnard, dir. Jean-Luc Tingaud - Mandala, 2005 (1 CD)

Sélections

  • Le Chalet (ext.) avec Denise Boursin, Joseph Peyron, Stanislas Staskiewicz, dir. Albert Wolff - Gaité-Lyrique, 1965 (1 CD) - couplé avec Le Farfadet
  • Danilowa (ouverture), dir. Guennadi Rojdestvenski, dans le coffret Brilliant (10 CD) consacré à ce chef d'orchestre.
  • Der Postillon von Lonjumeau avec Nicolai Gedda, Ruth-Margret Pütz, Franz Crass, Franz Klarwein, dir. Fritz Lehan - EMI (en allemand)
  • Giralda / La Poupée de Nuremberg (ouvertures), New Philharmonia Orchestra, dir. Richard Bonynge - Decca
  • La Poupée de Nuremberg / Si j'étais roi (ouvertures), Orchestre radio-symphonique de Munich, Kurt Redel (dir.) - Pierre Vérany
  • Si j'étais roi (ouverture), Orchestre symphonique de Detroit, dir. Paul Paray - Mercury
  • Variations sur Ah ! vous dirai-je, maman, extraites du Toréador : voir récitals de Mado Robin, Mady Mesplé, Edita Gruberová, etc.
  • Air de Toinon "Pour rester en cette demeure", extrait du Bijou perdu, Jodie Devos, Flemish Radio Choir, Brussels Philharmonic, Pierre Bleuse (dir.), Alpha Classics, 2022, + Auber, Halévy, Massé, Meyerbeer, Thomas
  • Chanson du canari, extraite des Pantins de Violette, et grand air « De vos nobles aïeux », extrait de Si j'étais roi dans Carnaval, Sumi Jo, English Chamber Orchestra, Richard Bonynge (dir.), Decca, 1994

Divers

  • Marche funèbre pour les funérailles de l'empereur Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} dans Napoléon-Bonaparte, Musique des Gardiens de la Paix, Désiré Dondeyne (dir.) - Accord, 1962
  • Mariquita, mélodie par Joan Sutherland et Richard Bonynge (piano), Decca, 1978
  • Minuit, Chrétiens dans Chants sacrés, Roberto Alagna, chœurs et orchestre du Capitole de Toulouse, Michel Plasson - EMI, 1996

Notes et références

Modèle:Références

Annexes

Bibliographie

  • Léon et Marie Escudier, La France musicale, 4 et Modèle:Date- (lire en ligne sur Gallica) Modèle:Plume
  • Jacques-Fromental Halévy, Funérailles de M. Adolphe Adam : Discours de M. F. Halévy prononcé le lundi Modèle:Date-, Institut impérial de France, Paris, 1856 (lire en ligne)
  • Serge Lifar, Giselle, apothéose du ballet romantique, Collection Les Introuvables, Editions d'Aujourd'hui, Modèle:Date-.
  • Arthur Pougin, Adolphe Adam, sa vie, sa carrière, ses mémoires artistiques, G. Charpentier, Paris, 1877 (rééd. Minkoff, Genève, 1973).
  • Edwin Binney, 3rd, Les ballets de Théophile Gautier, Librairie Nizet, Paris, 1965.
  • Raphaëlle Legrand, Nicole Wild, Regards sur l'Opéra-Comique : Trois siècles de vie théâtrale, coll. « Sciences de la musique », CNRS éditions, Paris, 2002. Modèle:ISBN Modèle:Plume
  • France-Yvonne Bril, « Adolphe-Charles Adam » dans Joël-Marie Fauquet (dir.), Dictionnaire de la musique en France au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Fayard, Paris, 2003 Modèle:ISBN Modèle:Plume
  • Nicole Wild, David Charlton, Théâtre de l'Opéra-Comique, Paris : Répertoire 1762-1972, coll. Musique/musicologie, Mardaga, Liège, 2005 Modèle:ISBN
  • Revue L'Avant-Scène Ballet n°1 Giselle, 1996 (EAN 265-0005335140 / ISBN F005335140)
  • Giselle, ballet présenté aux enfants : écrit par Théophile Gautier, illustré par Victoria Fomina, adapté par Pascale de Bourgoing. éditions Calligram (1 livre + 1 CD d'extraits du ballet)
  • Ballet, une histoire illustrée, Editions Flammarion, octobre 2019 : sur Adolphe Adam = pages 54 & 55 ; sur Giselle = pages 48 à 53 ; sur Le Corsaire = pages 70 à 73Modèle:Plume
  • A PARAITRE : Jean-Philippe Biojout, Adolphe Adam, Bleu Nuit Editeur, collection Horizons, 2024

Iconographie

Liens externes et partitions

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