Ailly-sur-Noye

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Ailly-sur-Noye est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

La petite ville picarde d'Ailly-sur-Noye est située à Modèle:Unité au sud de la préfecture Amiens dans le vallon de la Noye, l'une des brisures du Plateau picard, au sud du département de la Somme et à une dizaine de kilomètres de l'Oise.

Elle est traversée par le méridien de Paris.

Communes limitrophes

Modèle:Carte communes limitrophes Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

Fichier:Ailly-sur-Noye - La Noye WP 20170917 10 44 02 Pro.jpg
La Noye à Ailly.

Le bourg est baigné par la Noye, sous-affluent de la Somme par l'Avre. Modèle:Article connexe

Urbanisme

Typologie

Ailly-sur-Noye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ailly-sur-Noye, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,4 %), forêts (20,2 %), zones urbanisées (7 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (1,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Hameaux et écarts

La commune d'Ailly-sur-Noye est formée en 1965 par la fusion de trois anciennes communes : Ailly-sur-Noye, Berny-sur-Noye, au sud, et Merville-au-Bois, à l'est<ref name="Cassini"/>. Entre Ailly-sur-Noye et Merville-au-Bois se trouve le hameau l'Argilière.

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 336, alors qu'il était de 1 304 en 2013 et de 1 230 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.

Parmi ces logements, 90,5 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 8,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,8 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ailly-sur-Noye en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,4 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 66,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,8 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.

Le logement à Ailly-sur-Noye en 2018.
Typologie Ailly-sur-Noye<ref name="LogT2" group="I"/> Somme<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lienweb.</ref> France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>
Résidences principales (en %) 90,5 83,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,4 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 8,1 8,4 8,2

Voies de communication et transports

Fichier:Gare d'Ailly sur Noye.jpg
Gare d'Ailly-sur-Noye.

Ailly-sur-Noye est située au carrefour de l'ancienne route nationale 320 (actuelle RD 920) de Dieppe à Moreuil et notamment :

Elle est facilement accessible par la sortie no 17 de l'autoroute A16.

Elle est desservie par la gare d'Ailly-sur-Noye Modèle:TER/correspondances sur la ligne de Paris-Nord à Lille.

En 2019, la localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne Modèle:N°, Montdidier - Ailly-sur-Noye - Amiens)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Asli vers 1150, Ally et Alliacum en 1164<ref>Dans le cartulaire de l'abbaye de Saint-Laurent dont il ne reste que l'abbatiale à Saint-Paul-aux-Bois .</ref>.

Ailly en picard.

Ce toponyme dérive de l'anthroponyme romain Allius, ancien nom de domaine gallo-romain (suffixe -acum > -y).

La Noye est la rivière passant dans la commune. Prenant sa source au sud de Breteuil sur le territoire de Vendeuil-Caply, elle est un affluent de l'Avre.

Histoire

Lors de la reconstruction de l'église à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, un sarcophage, des poteries et verreries remontant de l'époque gallo-romaine furent découverts sur les lieux. L'archéologie aérienne réalisée notamment par Roger Agache a confirmé la présence de substructions préhistoriques ou antiques<ref>Modèle:Base Mémoire.</ref>,<ref>Modèle:Base Mémoire.</ref>,<ref>Modèle:Base Mémoire.</ref> et médiévales<ref>Modèle:Base Mémoire.</ref>.

Certains écrits relèvent qu'Ailly aurait d'abord appartenu aux comtes de Vermandois au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : Ébrard de Breteuil se qualifiait ainsi "seigneur de Tartigny et d'Ailly". La seigneurie fut cédée par succession, mariage ou vente tout au long du Moyen Âge jusqu'à l'époque révolutionnaire.

Notamment, elle passa par mariage des comtes de Breteuil aux Clermont-Nesle, puis aux Flandre-Dampierre-Termonde et aux Luxembourg-Ligny-St-Pol<ref group=Note>On trouvera le schéma généalogique aux articles Clermont-Nesle, Guillaume, Jean, Guy, Waléran III.</ref>.

Une maladrerie fut fondée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par Jean de Luxembourg (1400-1466), fils du connétable Waléran III, dit le Bâtard de Saint-Pol ou Hennequin, chevalier de la Toison d'or, et Jacqueline de la Trémoille, sa femme.

La suite des seigneurs est sans doute les Luxembourg-Ligny comtes de Saint-Pol, puisqu'on trouve Marie de Luxembourg comme dame d'Ailly-sur-Noye (femme du comte François de Bourbon-Vendôme : les arrière-grands-parents d'Henri IV).

En 1650, un ouragan terrible dévasta la contrée, en 1665, un incendie détruisit tout le village, seule l'église resta debout.

La contrée relevait de la prévôté de Montdidier et du bailliage de Vermandois jusqu'en 1749 ; à cette date, la prévôté de Montdidier fut supprimée et réunie au bailliage de Vermandois.

Un marché franc tous les mois et un marché ordinaire tous les jeudis furent établis par lettres patentes en 1750.

En 1757 Charles-François d'Hervilly se qualifiait comte de Canisy, seigneur de Deniécourt, Ailly-sur-Noye et autres lieux. Une foire ayant lieu le Modèle:Date- de chaque année fut créée par le comte. Son fils, Marc-Pierre-Antoine-Augustin-César d'Hervilly, mort en 1796, fut le dernier seigneur d'Ailly-sur-Noye<ref>Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie - Canton D'Ailly-sur-Noye</ref>.

Il y avait un notaire à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. À cette même époque, les habitants excellaient dans la serrurerie et on y remarquait aussi une manufacture de papier gris.

La commune bénéficie de l'arrivée du chemin de fer, avec la mise en service de la gare d'Ailly-sur-Noye le Modèle:Date- par la Compagnie des chemins de fer du Nord, lorsqu'elle ouvre à l'exploitation sa ligne de Paris à Lille et Valenciennes.

L'église actuelle date de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et remplace celle<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> dont le clocher du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle s'était effondré le Modèle:Date- à la suite des ébranlements provoqués par le passage des trains d'artillerie de l'armée prussienne pendant la guerre franco-allemande de 1870.

Première Guerre mondiale
Fichier:Ailly-sur-Noye - Monument aux morts - WP 20170917 10 48 46 Rich.jpg
Le monument aux morts.

Pendant la Première Guerre mondiale, le village était à l'arrière<ref>Modèle:Lien web.</ref> de la ligne de front, notamment lors de la bataille de la Somme.

L'attaque allemande de l'Offensive du printemps du Modèle:Date- sur le front Saint-Quentin-La Fère avait réussi à créer une poche de Modèle:Unité de profondeur dans le front anglo-français. Celui-ci était totalement rompu entre les rivières Avre et Luce. Le Modèle:Date-, général Foch, commandant en chef des troupes alliées, envoya des renforts et chargea la [[Ire Armée (France, Première Guerre mondiale)|Modèle:1re française]] du général Debeney d’étendre son front lors de la bataille d'Amiens et de maintenir à tout prix la liaison avec l'armée anglaise du général Gough qui reculait vers Villers-Bretonneux et Amiens. L'ordre fut donc donné aux français de résister jusqu'à la mort sur le plateau du Santerre, et les combats ont concerné le village<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le village était près de la ligne de front lors de l'offensive du Printemps et de la bataille d'Amiens (1918)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

À la fin de la guerre, le village a subi des destructions importantes<ref name="CSRD">Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le Modèle:Date-<ref>Journal officiel du 7 novembre 1920, Modèle:P..</ref>.

Modèle:Article détaillé

Deuxième Guerre mondiale

La commune est également décorée de la Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Après-guerre

En 1965, la commune absorbe celles de Berny-sur-Noye et de Merville-au-Bois<ref name="Cassini"/>.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton d'Ailly-sur-Noye<ref name="Cassini"/>, qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France et dont la ville est désormais le bureau centralisateur.

Intercommunalité

La commune était le siège de la communauté de communes du Val de Noye, créée par un arrêté préfectoral du Modèle:Date-<ref name="BANATIC">Modèle:Lien web.</ref>, et qui succèdait, conformément aux dispositions de la loi Chevènement, au district du Val de Noye, créé en 1994.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du Modèle:Date-, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Nombre, la préfète de la Somme propose en Modèle:Date- un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil<ref>Modèle:Article.</ref>, la préfète dévoile en Modèle:Date- son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de Modèle:Unité regroupant 49 communes<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités<ref>Modèle:Article.</ref> et de la commission départementale de coopération intercommunale en Modèle:Date-<ref>Modèle:Article.</ref> puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>, qui prend effet le Modèle:Date-.

La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

Tendances politiques et résultats

Modèle:… Modèle:Article connexe

Lors du second tour des élections municipales de 2020 la liste menée par Pierre Durand, avec laquelle avait fusionné celle menée par Nicolas Blin, a largement battu avec 57,36 % des suffrages exprimés et Modèle:Nombre, celle menée par la maire sortante Marie-Hélène Marcel (42,63 %, 573 voix), lors d'un scrutin marqué par 35,67 % d'abstention<ref>Modèle:Article.</ref>. Modèle:Article connexe

Politique locale

Le Modèle:Date-, le Conseil d'État annule les élections municipales de Modèle:Date-<ref name="CE2015">Modèle:Article.</ref> en raison d'un très faible écart de voix avec la liste concurrente<ref>Modèle:Article.</ref>, ce qui induit l'organisation d'élections municipales partielles remportées par la maire invalidée et réélue le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="CP03072015"/>. Celle-ci est néanmoins battue lors des élections municipales de 2020 et Pierre Durand lui a succédé comme maire pour la mandature 2020-2026.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel

Modèle:ÉluFin

Distinctions et labels

En 2021, la ville reçoit le Modèle:2e prix départemental d'honneur et le prix du développement durable pour ses efforts en matière de fleurissement<ref>Modèle:Article.</ref>.

Jumelages

La ville d’Ailly-sur-Noye est jumelée depuis 2000 avec la ville allemande d’Altforweiler, située en Sarre, à Modèle:Unité de la frontière française.

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section

Modèle:Article connexe

Activités associatives, culturelles et sportives

  • Depuis 1986, l'association Les Spectacles d'Ailly-sur-Noye organise un spectacle nocturne en plein air appelé Le Souffle de la Terre. Il raconte la vie du peuple picard depuis le paléolithique supérieur jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. En 2021, l'association, composée de plus de 800 bénévoles, célébrera ses Modèle:Nombre. Plus de Modèle:Nombre ont déjà vu le Souffle de la Terre.
  • Les sports nautiques sont pratiqués sur le plan d'eau de Berny-sur-Noye.
  • Le club de moto-cross dispose de deux terrains.
  • Le village est le siège d'une vie associative importante : environ Modèle:Nombre y exercent leurs activités.

Économie

La commune compte notamment une entreprise industrielle, Tubesca-Comabi, qui fabrique des échelles, échafaudages et escabeaux principalement en aluminium. Elle est la propriété du groupe familial français Frénéhard et Michaux qui emploie environ Modèle:Unité en 2017. C'est le plus gros employeur du secteur. L'unité est implantée depuis 2011<ref>Modèle:Article.</ref> dans la zone d'activité créée par l'ex -communauté de communes du Val de Noye. Ses dix lignes de production sont abritées par un bâtiment de Modèle:Unité. Un autre bâtiment assure le stockage sur Modèle:Unité<ref>Modèle:Article.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Église Saint-Martin :
    L'église Saint-Martin a été construite sur les plans de Paul Delefortrie en 1898 en styles néo-roman et néo-gothique en remplacement de l'édifice précédent. Elle a été restaurée après des dégradations lors de la Première Guerre mondiale<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et comprend des vitraux commémoratifs de la guerre, conçus et réalisés en 1954 par Gérard Ansart et l'atelier Cagnart<ref>Modèle:Article.</ref>.
Compte tenu du terrain disponible, la façade principale est orientée au nord, ce qui est compensé par la présence d'un grand portail et du clocher vers l'ouest, orienté vers la rue principale du bourg.
Le monument le plus remarquable de l'ancienne église a été conservé et replacé dans la nef actuelle : le tombeau en pierre bleue de Tournai de Jean de Luxembourg, qui trépassa le Modèle:Date-, et de sa femme Jacqueline de la Trémoille<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.
Elle contient la sépulture de Jean de Luxembourg et de son épouse, Jacqueline de la Tremoille du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, ainsi qu'un triptyque sculpté en bas-relief et un ecce homo également du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.

Modèle:Article détaillé

  • L'hôtel de ville, comprenant une vaste salle des fêtes, construit en style moderne en 1953, agrandi en 2017<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
  • Chapelles :
    • Chapelle Notre-Dame-de-la-Délivrance, rue Sadi-Carnot, de 1883<ref name=AG>Modèle:Ouvrage Modèle:ASIN.</ref>.
    • Chapelle Notre-Dame-de-Grâces, route de Boves, de 1814, restaurée en 2003<ref name=AG/>.
    • Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours à Merville-au-Bois, détruite en 1914, reconstruite en 1926<ref name=AG/>.
  • L'église du hameau de Merville<ref>Modèle:Lien web.</ref>, fermée et en mauvais état, nécessite une restauration<ref>Modèle:Article.</ref>
  • Patrimoine industriel : bâtiment situé 91 rue Sadi-Carnot, construit en 1872 par la Modèle:Cie Sucrière de Poix, reprise par la Modèle:Cie Sucrière d'Ailly, puis par la S.A. des Sucreries de Poix et d'Ailly, qui y réalisa d'importants travaux en 1892 avant sa transformation en laminoir métallurgique en 1909 par Rudolf Kronenberg, exploité en 1914 par la Société Métallurgique de Douai, puis par Fernand Gillet et devenant en 1924 la Société Métallurgique des Usines d'Ailly-sur-Noye. En 1945, les locaux sont repris par la S.A. des Hauts Fourneaux de la Chiers, puis les laminoirs de Thionvielle qui y font du laminage à froid de feuillard d'acier. Au Modèle:3e du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les locaux sont étendus par Mullca avant d'être transformés en usine de fabrication d'échelles en duralumin, acier et aluminium<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
  • Plan d'eau d'Ailly-sur-Noye, équipé depuis Modèle:Date- d'une passerelle permettant de relier les deux rives de l'étang<ref>Modèle:Article.</ref>.
  • Parc de loisirs Terrains d’Aventure, situé sur les hauteurs de la commune<ref>Modèle:Article.</ref>.
  • Monument aux morts

Modèle:Article connexe

Personnalités liées à la commune

Jean de Luxembourg (1400-1466), bâtard de Saint-Pol, chambellan du duc de Bourgogne Philippe le Bon, seigneur d'Ailly et de Hautbourdin en Flandre, chevalier de la Toison d'or en 1433, combattant célèbre de la guerre de Cent Ans, mort le Modèle:Date-. Il était marié avec Jacqueline de la Trémoille qui ne lui survécut que Modèle:Nobr. Leur monument funéraire en pierre de Tournai se trouve dans l'église Saint-Martin<ref>Source : affichette placée sur le côté de l'église.</ref>.

François Corbier (1944-2018, né Alain Roux), chansonnier, auteur-compositeur-interprète et animateur de télévision français y a passé sa petite enfance entre 1947 et 1952.

Héraldique

Modèle:Blason commune

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • René Boyenval, René Debrie, René Vaillant, Répertoire des Noms de Famille de la Somme en 1849, 232 pages, éd. Éklitra (Amiens, 1972)
  • François Poulain, Histoire d'Ailly-sur-Noye, éd. Res Universis (1993), Modèle:ISBN

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Bibliographie

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail