Alain Claeys

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique

Alain Claeys, né le Modèle:Date à Poitiers (Vienne), est un homme politique français, membre du Parti socialiste.

Biographie

Il a reçu une partie de sa formation à l'université de Poitiers, où il a obtenu le grade de maître assistant à la faculté de sciences économiques<ref>Article de L'Étudiant</ref>.

Dès 1977, il devient directeur de cabinet de Jacques Santrot, tout juste élu maire de Poitiers. Il conserve cette fonction jusqu'en 1992.

Il est élu député le Modèle:Date, pour la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIe{{#if:|  }} }} législature (1997-2002), dans la première circonscription de la Vienne. Il fait partie du groupe socialiste. Il a succédé à Jacques Santrot comme maire de Poitiers aux municipales de 2008 en étant élu dès le premier tour avec 54,52 % des voix. Il est avec lui l'un des soutiens les plus actifs de Laurent Fabius<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il a été le trésorier du Parti Socialiste entre 1994 et 2003. Alain Claeys a également été membre du conseil général de la Vienne de 1982 à 2008, et du conseil régional de Poitou-Charentes entre 1986 et 1997.

Il est réélu député en juin 2002, juin 2007 puis en juin 2012 en frôlant l'élection dès le premier tour avec 48,44 % des suffrages exprimés, en battant finalement Jacqueline Daigre (UMP) avec 65,64 % des suffrages exprimés.

Alain Claeys est un spécialiste de la bioéthique. Il est également responsable du volet enseignement supérieur au sein de l'équipe de Vincent Peillon, responsable éducation auprès de François Hollande durant la campagne présidentielle de 2012, puis sous le Modèle:Page h'. Spécialiste au sein du Parti socialiste de l'enseignement supérieur, il fut l'animateur de son groupe parlementaire lors du débat à l'Assemblée nationale sur la [[Loi relative aux libertés et responsabilités des universités|loi Modèle:N° du 10 août 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités]] (LRU), dite loi Pécresse. Le Modèle:Date-, il est nommé au Comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé sur désignation du ministre chargé des solidarités et de la santé<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En Modèle:Date-, il est rapporteur de la Commission d'enquête parlementaire formée à la suite de l'affaire Cahuzac.

Dans le cadre de la future loi sur le non-cumul des mandats, Alain Claeys a annoncé qu'il serait candidat aux municipales de 2014, et qu'il ne briguerait pas de nouveau mandat de député<ref>[1]</ref>. Il est réélu à la mairie de Poitiers avec 41,08 % des voix lors d'un second tour en « quadrangulaire » face à Jacqueline Daigre (UMP-UDI), Christiane Fraysse (EELV) et Alain Verdin (FN).

Le mercredi Modèle:Date-, la loi Claeys-Leonetti relative à l'autorisation de la sédation profonde et continue pour les patients en phase terminale est adoptée par le Parlement français<ref>Modèle:Article</ref>.

En 2016, il est rapporteur au nom de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques sur les « enjeux et les perspectives de l'épigénétique dans le domaine de la santé », dont le comité de pilotage comprend Bernard Bihain.

Pour respecter la loi sur le cumul des mandats, il renonce à se présenter aux élections législatives de 2017<ref>« Ces barons locaux qui renoncent au Palais-Bourbon », lexpress.fr, 28 avril 2017.</ref>. Candidat de nouveau à la mairie de Poitiers en 2020, il est battu au second tour par la candidate écologiste Léonore Moncond'huy.

Mandats

Distinctions

Notes et références

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Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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