Armand du Cambout

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Armand du Cambout, duc de Coislin, né le 2 septembre 1635 à Paris et mort le 16 septembre 1702 est un militaire français.

Il est le plus jeune académicien de l'histoire, il est en effet élu, à l'âge de 16 ans.

Biographie

Armand du Cambout naît le 2 septembre 1635 à Paris, et est baptisé le 14 Février 1638<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fils de Marie Séguier, comtesse de Crécy et de César du Cambout, marquis de Coislin, colonel général des gardes suisses, il suit également la carrière des armes : il est mestre de camp général de la cavalerie légère de France, lieutenant-général en Basse-Bretagne, et lieutenant-général des armées du roi.

Armand, marquis de Coislin, obtient que les baronnies de Pontchâteau et les seigneuries de La Roche-Bernard fussent unies en sa faveur au marquisat de Coislin, lors de son élection en duché-pairie au mois de Modèle:Date-.

Il est élu membre de l'Académie française en 1652, à l'âge de 16 ans et demi<ref>« Académie française : un candidat de 15 ans », in lefigaro.fr, 10 décembre 2013.</ref>,<ref group=n>À sa suite, deux mineurs Modèle:Incise sont, dans les années 2010, candidats à l'Académie (cf. Modèle:Lien web).</ref>. Il reste le plus jeune académicien de l'histoire<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Il est l'un des quatre seigneurs otages de la Sainte Ampoule, lors du sacre du roi Louis XIV, le Modèle:Date-.

Nommé prévôt de Paris le Modèle:Date-, il obtient les provisions de cette charge le Modèle:Date-, n'en prend pas possession et s'en démet en 1685.

Il est fait chevalier des ordres du roi à la promotion du Modèle:Date-, et meurt le Modèle:Date-, alors doyen de l'Académie. Son fauteuil est, par la suite, occupé successivement par ses deux fils, Pierre et Henri-Charles.

Son corps est porté dans l'église des Récollets de Saint-Denis en France, ainsi que, le Modèle:Date-, celui de sa femme, Madeleine du Halgouët.

Membre de la famille du cardinal de Richelieu, il résidait à Paris en l'hôtel de Coislin<ref>Ne pas confondre avec l'hôtel de Coislin, situé place de la Concorde.</ref>, qui jouxtait celui de Louvois.

Postérité

Dans ses Mémoires, Saint-Simon a écrit : Modèle:Citation

Notes et références

Notes

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Références

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Annexes

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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