Aubas
Modèle:Confusion Modèle:Infobox Commune de France
Aubas Modèle:API-fr est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Modèle:Sommaire
Géographie
Généralités
Dans l'est du département de la Dordogne et traversée par la Vézère, la commune d'Aubas est située en Périgord noir.
Le bourg d'Aubas est situé, en distances orthodromiques, trois kilomètres au nord-est de Montignac-Lascaux, et dix kilomètres au sud-ouest de Terrasson-Lavilledieu.
La route départementale 704 (l'ancienne route nationale 704) est la principale voie de communication de la commune, également desservie au nord-ouest par la route départementale 46.
Au sud, le sentier de grande randonnée GR 461 traverse le territoire communal, sur un peu plus d'un kilomètre, entre Montignac et Saint-Amand-de-Coly.
Communes limitrophes
En 2019, Aubas est limitrophe de six autres communes.
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Aubas est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle est dans le causse de Terrasson qui concerne quelques communes, au sud de Terrasson-Lavilledieu, sur les coteaux en rive gauche de la Vézère.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j3b, date du Bathonien moyen, composée de calcaire oolithique blanc bioclastique avec parfois un calcaire fin à bancs marneux au sommet. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites indifférenciées. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « Modèle:N° - Terrasson » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref> et 14 sous-unités<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Vézère et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Vézère, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source en Corrèze dans la commune de Meymac et se jette dans la Dordogne Modèle:Incise en rive droite, à Limeuil, face à Alles-sur-Dordogne<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle traverse le territoire communal sur plus de six kilomètres du nord au sud-ouest et, lui servant de limite naturelle sur plus de trois kilomètres et demi en deux tronçons, face à Condat-sur-Vézère, Les Farges et Montignac-Lascaux.
-
La Vézère au pont de la Valade, entre Aubas (à gauche) et Condat-sur-Vézère.
-
La Vézère vue vers l'aval depuis le coteau de l'Escaleyrou. À gauche Aubas, à droite Condat-sur-Vézère.
-
Crue de la Vézère à Aubas (janvier 2018). Le lit normal de la rivière se situe au-delà du rideau d'arbres.
-
Réseaux hydrographique et routier d'Aubas.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de Modèle:Unité est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Aubas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,2 %), terres arables (22,4 %), zones agricoles hétérogènes (18,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %), prairies (3,1 %), zones urbanisées (2,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg d'Aubas proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits<ref>Modèle:Géoportail.</ref> : Modèle:Liste horizontale
Prévention des risques
Le territoire de la commune d'Aubas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vézère. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1989, 1993, 1999 et 2001<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Vézère », couvrant Modèle:Nobr et Modèle:Date-, puis révisé le Modèle:Date-, pour les crues de la Vézère. La crue historique la plus forte sur le secteur du PPRI pour laquelle des informations sont disponibles est la crue d’octobre 1960. Le débit de pointe de cette crue a été défini à Modèle:Unité à Montignac, soit une période de retour d’environ Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web, liste des risques par communes, pages 111-133.</ref>,<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>.
Aubas est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 15,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risque technologique
La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe AModèle:Note situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Ambas au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Aubas en 1365<ref>Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Page 641 - Modèle:ISBN.</ref>, Albacium en 1479.
Le nom d'Aubas se référerait à un personnage d'origine gallo-romaine : Albatius ou Albasius<ref name=lieux>Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>,<ref>A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Modèle:2e, Librairie Guénégaud, 1989, Modèle:1re en 1963, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>. Selon Bénédicte Fénié, l'explication pourrait provenir d'aubars, correspondant aux saules blancs en occitan<ref name=OC/> ou du peuplier blancs, Populus alba en latin, Aubars en occitan que l'on retrouve aussi sous l'appellation Aube en français.
En occitan, la commune porte le nom d'Modèle:Langue<ref name=OC>Le nom occitan des communes du Périgord - Aubàs sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Histoire
Plusieurs gisements préhistoriques ont été découverts sur le territoire communal<ref name=lieux/>.
L'église a été bâtie au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name=PA00082325>Modèle:Base Mérimée, consultée le 14 mai 2015.</ref>.
La première mention écrite connue du lieu apparait au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle sous sa forme actuelle : « Aubas »<ref name=lieux/>.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune d'Aubas a été rattachée au canton de Montignac qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton dépend de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)<ref name=Cassini/>.
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015<ref name="Décret2014">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est alors rattachée au canton de la Vallée de l'Homme.
Intercommunalité
Fin 2001, Aubas intègre dès sa création la communauté de communes de la Vallée de la Vézère. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au Modèle:1er janvier 2014 par la communauté de communes de la Vallée de l'Homme.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et Modèle:Unité au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 28 août 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 22 octobre 2020.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Équipements et services publics
Justice
Dans le domaine judiciaire, Aubas relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Périgueux ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Les habitants d'Aubas se nomment les Aubasins<ref>Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 4 décembre 2016.</ref>.
Modèle:Population de France/section
Manifestations culturelles et festivités
Au printemps, Fête des plantes, des fleurs, des savoir faire et de la culture occitane (Modèle:7e en 2023<ref>Virginie Jouany, « Deux événements en soutien à la félibrée de Montignac-Lascaux », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>).
Économie
Emploi
En 2015<ref>Dossier complet - Commune d’Aubas (24014) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 5 août 2018.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 46,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (41) a augmentéé par rapport à 2010 (37) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,7 %.
Établissements
Au Modèle:Date-, la commune compte cinquante-quatre établissements<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont vingt au niveau des commerces, transports ou services, seize dans la construction, neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et quatre dans l'industrie<ref>Dossier complet - Commune d’Aubas (24014) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 5 août 2018.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Sauvebœuf, des {{#switch: e
| e | er | = {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
| Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleXIX
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècle
| Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
}}
}}, inscrit au titre des monuments historiques en 1987 et 2009<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 14 mai 2015.</ref>, visitable<ref>Site du château de Sauvebœuf, consulté le 14 mai 2015.</ref>.
- Château de Brégedelle, Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.
- Manoir de Féletz du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, avec logis et chapelle, transformé en métairie<ref>Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>,<ref>Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Repaire noble de La Dauradie, autrement appelé "de Féletz", puis "château", puis ferme</ref>. La première mention du fief date de 1502 : « il y a un autre gentilhomme, nommé Dauradie, qui tient belle metayrie ». Le gentilhomme dont il est question est Étienne de Féletz qui a rendu hommage au comte de Périgord pour la seigneurie de « La Daurandie ». Étienne de Féletz est à l'origine de la fortune foncière de la famille. La famille de Féletz a conservé le domaine de la Dauradie jusqu'à la Révolution. Elle possède aussi une maison à Montignac. Étienne de Féletz rend aveu de tous ses domaines au comte de Périgord le Modèle:Date-<ref>Modèle:Article</ref> et établit son testament en 1542 au repaire de la Dauradie. C'est la première mention de la demeure.
- Ferme, Borie de Féletz, située à Modèle:Nombre du manoir de Féletz, date peut-être de l'origine du domaine de Féletz, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, mais sa première mention remonte à 1724, dans l'inventaire fait après décès de Charles de Féletz<ref>Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Ancienne métairie de Féletz, appelée "la Borie de Féletz", aujourd'hui maison et ferme</ref>.
- Église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte, {{#switch: e
| e | er | = {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
| Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleXV
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècle
| Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
}}
}}, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1970<ref name=PA00082325/>. Elle doit son nom à saint Cyr et à sa mère sainte Julitte, deux martyrs chrétiens du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
- Belvédère et table d'orientation du coteau de l'Escaleyrou, avec vue sur la vallée de la Vézère et sur trois châteaux : Sauvebœuf, la Petite Filolie et la Fleunie.
- Ancien repaire noble de Bigord<ref>Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Ancien repaire noble de Bigord, aujourd'hui maison et ferme</ref>. La première mention remonte à 1324.
-
Le pigeonnier du château de Sauvebœuf.
Personnalités liées à la commune
- Louis Chassaignac de Latrade (1811-1883), est un homme politique né à Sauvebœuf (commune d'Aubas).
Pour approfondir
Articles connexes
- Dordogne (département)
- Périgord
- Liste des communes de la Dordogne
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Liste des demeures de la Dordogne
- Sentier de grande randonnée GR 461
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes