Baudre

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Modèle:Infobox Commune de France

Baudre est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année.</ref>.

Géographie

Localisation

La commune est en pays saint-lois. Son bourg est à Modèle:Unité au sud de Saint-Lô, à Modèle:Unité au nord-ouest de Condé-sur-Vire et à Modèle:Unité à l'est de Canisy<ref>Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.</ref>. Son territoire s'étend de la Vire à l'ouest jusqu'à l'est de la route nationale no 174 de Saint-Lô à Vire.

C'est une petite commune de Modèle:Nobr à l'aspect rural. Néanmoins, Baudre vit beaucoup avec la ville proche et sa population de Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année est très loin de trouver son activité sur place.

Baudre est dans le bassin de la Vire qui délimite le territoire à l'ouest. Deux de ses affluents parcourent le territoire communal dont le Fumichon, ou ruisseau de Baudre, qui passe au sud du bourg après avoir marqué la limite avec Saint-Lô au nord-est. La partie originelle de la commune est constituée par la vallée du Fumichon jusqu'à son confluent avec la Vire ainsi que les hauteurs qui la dominent. Par contre, la partie communale rattachée à Baudre en 1793 (Fumichon, sur l'ancienne route nationale 174) est formée par une pente orientée sud-nord qui trouve sa limite nord sur le Fumichon lui-même.

Le point culminant (Modèle:Unité) se situe en limite nord, près du bourg. Le point le plus bas (Modèle:Unité) correspond à la sortie de la Vire du territoire, à l'ouest. La commune est bocagère.

Modèle:Communes limitrophes

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 1,3 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Condé-sur-Vire_sapc », sur la commune de Condé-sur-Vire, mise en service en 1968<ref>Modèle:Lien web.</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Baudre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Lô, une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (81,8 %), terres arables (11,4 %), zones urbanisées (6,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Baldra en 1056<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> et Saint-Ouen-de-Baudre en 1801<ref name="Cassini"/>.

Albert Dauzat y perçoit la racine prélatine baudr-, « boue »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Il est suivi avec réserve par René Lepelley qui quant à lui cite une racine baldr-<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

L'abbé Bernard, dans son Histoire de la ville de Saint-Lô et de ses environs, émet l'opinion que l'on pourrait voir dans l'étymologie de ce toponyme « Baldéricus », transformé en Baudry puis en Baudre. Jean Adigard des Gautries a lui conclu à une origine inconnue. C'est la seule commune de ce nom en France, mais il faut en rapprocher la commune de Baudres dans l'Indre.

Le gentilé est Baudrion.

Histoire

Il semble ne pas y avoir de documents décrivant les premiers peuplements de ce territoire. La configuration du terrain, et le fait même que le hameau qui porte le nom de Baudre soit proche de la Vire, laissent penser que c'est par cette dernière et sur ses bords que les circulations se faisaient et probablement depuis des temps très lointains.

Moyen Âge

Le château, dont il ne reste rien d'intéressant, a été construit au pied du hameau de Baudre, au milieu des prés traversés par le Fumichon et qui étaient autrefois assez marécageux. On voit encore des douves au nord et à l'ouest des bâtiments. Il était bien situé pour commander au passage de la vallée de la Vire, mais aucune indication sur l'état ancien de ce château ne peut être fournie. Mais il est certain que, dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il abritait les seigneurs du lieu.

Avant la création du duché de Normandie, on ne trouve pas trace du nom de Baudre. Certes, on sait que Laud, qui était de noble origine et fort riche, possédait le domaine de l'ex-Briovera gallo-romaine qui devait devenir plus tard la seigneurie de Saint-Lô. Baudre, avec Le Mesnil-Rouxelin, Saint-Thomas, Sainte-Croix et Saint-Georges, faisait partie de ce domaine. Laud, devenu évêque de Coutances en 525, donnera ses biens à son église, comme c'est l'usage à cette époque. L'église de Baudre se trouva aumônée à l'abbaye de Saint-Lô.

Pour la première fois, il est fait explicitement mention de Baldra en 1056 dans la notice de confirmation par Guillaume le Bâtard, duc de Normandie, des biens de la cathédrale de Coutances, à laquelle ils avaient été apportés par Laud. Dans ce texte est également cité Folmucen, dont le toponyme subit au cours du temps des transformations en Folmuçon, puis Folmichon ou Fouinichon avant de devenir enfin Fumichon.

Modèle:Noble, duc de Normandie, qui régnera de 1100 à 1135, mentionne dans un texte adressé à Richard de Brix, évêque de Coutances depuis 1123, l'église de « Saint-Ouen de Baudre sur la Vire » (Ecclesiam de Santo Audœno de Super Viram).

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il n'y avait pas de chapelle dans la paroisse de Baudre. C'est plus tard que l'église fut bâtie sur le sommet du coteau au pied duquel coule le Fumichon. Dans ses parties les plus anciennes (le chœur), on trouve la trace du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle a subi depuis de nombreuses transformations.

La paroisse Saint-Ouen de Baudre a-t-elle eu comme fondateurs des Saint-Ouen ou des de Baudre ? On ne le sait pas. Mais l'abbé Bernard a relevé qu'en 1196 on voit un Nicolas de Saint-Ouen, prêtre, témoin à la charte de donation de l'église du Mesnil-Eury à l'abbaye de Saint-Lô ; et en 1210, un Guillaume de Saint-Ouen tenait à Baudre, de l'évêque de Coutances, le tiers d'un fief de chevalier. Les de Baudre n'auraient donc pas été les premiers, ou du moins les seuls seigneurs de cette paroisse. Les Saint-Ouen étaient une famille très ancienne dans la province d'après de Magny, mais rien ne prouve qu'elle se soit primitivement établie à Baudre, car elle avait en effet d'autres fiefs seigneuriaux. A-t-on voulu en prenant saint Ouen comme patron de la paroisse rappeler le patronyme de cette famille ? Ceci n'est pas exclu.

Le premier de Baudre qui soit connu est Guillaume de Baudre qui, en 1236, aumôna à l'abbaye de Saint-Lô un demi-acre de terre « dans la campagne de Chantepie ». La même charte rappelait qu'il avait fait auparavant une donation à l'Hôtel-Dieu de Saint-Lô pour le « Salut de son âme et celles de ses ancêtres ». En 1278, son fils Guillaume de Baudre confirme cette donation et en fit de nouvelles à ladite abbaye.

En 1319, Guillaume de Thieuville, évêque de Coutances, demanda au roi Modèle:Noble confirmation de certaines donations faites à l'église de Coutances. Parmi les lieux cités figurent Modèle:Citation<ref name="toustain">D'après Toustain de Billy.</ref>). En 1327, un Jehan de Baudre était procureur de l'abbé de Saint-Lô dans un procès jugé à Bayeux entre ledit abbé et Roger Bacon au sujet du patronage de Rampan.

Le Modèle:Date-, Guillaume Paynel, seigneur de Hambye, l'un des deux capitaines pour le roi du pays de Normandie, certifie par lettres données à Carentan, Modèle:Citation. En 1389, Guillaume de Crèvecœur étant évêque, Renon de Rampan lui rend aveu du fief de Rampan dépendant de la baronnie de Saint-Lô : Modèle:Citation. Le Modèle:Date-, Jean de Baudre Modèle:Citation.

En 1414, des lettres patentes du roi ordonnent que le sieur de Baudre et Richard son fils, Modèle:Citation<ref name="levenart">D'après la Recherche de J. Le Venart.</ref>. En 1463 et 1464, se fit une recherche de la noblesse par ordre du roi Modèle:Noble. En la ville et sergenterie de Saint-Lô, seize hommes furent trouvés nobles. On y relève les noms de Jean de La Haize, Guillaume de Quesnequerin de Saint-Ouen et Guillaume de Baudre<ref name="toustain"/>.

Le Modèle:Date-, Eustace de Baudre fait hommage du fief de Baudre à Geoffroy Herbert, évêque de Coutances, baron de Saint-Lô<ref name="levenart"/>.

Temps modernes

En 1523, Jean de Baudre, écuyer, seigneur de Roncheray, de la Vallée et autres lieux, commandait la noblesse du Cotentin. Cette même année à Saint-Lô, devant Jean Le Venart, lieutenant de l'élection de Coutances, au siège de Saint-Lô, commissaire du Roi, Jean de Baudre baille sa généalogie et déclare que ses Modèle:Citation.

Modèle:Jean II de Baudre, écuyer et seigneur du lieu, commandait la noblesse du CotentinModèle:Sfn. Il fit partie des gentilshommes présents à l'arrivée de Modèle:François Ier à Saint-Lô le Modèle:Date-Modèle:Sfn. Gilles et Guillaume de Baudre, après avoir pris le parti de la Réforme, font retour à la religion catholique en 1585 et 1586. Dans cette famille, on avait beaucoup d'enfants, ce qui fait qu'on retrouve des de Baudre dans divers endroits de la Manche et du Bessin.

En 1623, Marie-Magdeleine de Baudre de Soubressin épousa François Toustain, sieur de la Valette. De ce mariage naquit René Toustain de Billy qui devint plus tard curé du Mesnil-Opac (près de Saint-Lô) et fut l'historien des évêques de Coutances et des villes du Cotentin. Les de Baudre étaient peu riches et dans le « Rôle de la Noblesse du Cotentin en 1640 », on lit ceci à propos d'un Jacques de Baudre : Modèle:Citation.

Les représentants de la famille de Baudre étaient nombreux et il est possible d'en retrouver la trace dans la Manche et le Calvados tout au long des Modèle:S mini-, Modèle:S mini-, Modèle:S mini-, {{#switch: et même

 | e | er | = 
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 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et même|-| – | et même }}Modèle:S mini- siècles

}}. C'est vers le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle que les de Baudre cessèrent de posséder la seigneurie de cette paroisse.

Comme Toustain de Billy, l'astronome Le Verrier, né à Saint-Lô, le Modèle:Date-, appartenait par sa mère, née de Baudre, à l'une des branches ayant fait souche dans le Calvados.

La famille de Baudre, l'une des plus nobles et des plus anciennes de Basse-Normandie, portait Modèle:Citation.

Dès 1608, on trouve un nouveau seigneur en la personne de François du Buhot (ou du Bichot) lequel est qualifié sur les registres d'état civil de « sieur de Baudre ». Des de Baudre continuèrent à habiter Baudre. Guillaume de Baudre mourut à Saint-Ouen de Baudre et fut inhumé le Modèle:Date- dans l'église de la paroisse.

On sait qu'en 1742, le seigneur était Michel du Buhot (ou du Bichot), écuyer, patron honoraire de Saint-Ouen de Baudre. Il fut d'ailleurs l'objet, ainsi que le curé, d'une protestation adressée au roi par François de Baudre, chapelain du roi en l'abbaye de Montmartre qui prétendait qu'ils n'avaient cherché, lui et le curé, que leur intérêt au détriment de l'église.

Plus tard, on trouve en 1774 un d'Argouges, seigneur de Baudre, et en 1787, la seigneurie était passée à Léonor Kadot (1722-1805), écuyer, seigneur de Gerville et de Saint-Ouen de BaudreModèle:Sfn,<ref>Kadot ou Cadot de Sébeville. Les Kadot de Sébeville étaient issus d'une très ancienne famille de l'élection de Coutances.</ref>, lequel assista à l'assemblée de la noblesse du bailliage de Coutances, réunie en 1789 dans la cathédrale de Coutances, en compagnie de son parent Charles Kadot de Sébeville, capitaine au régiment de Bourbon. En 1793, Léonor Kadot, renonça publiquement à ses droits féodaux par « brulement des titres »Modèle:Sfn,Modèle:Note.

En 1793, les villages de Saint-Ouen de Baudre et Fumichon sont réunis pour former la commune de BaudreModèle:Sfn.

Il faut aussi avoir une idée de l'état dans lequel vivaient les nobles de Baudre dont la paroisse comptait alors vingt-huit feux. En 1767, pour la confection des rôles de 1768, Antoine Hue, syndic de la paroisse, déclara qu'à Baudre Modèle:Citation. Il estima la surface Modèle:Citation à Modèle:Nobr environ.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Administration municipale

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel

|- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous. Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin

Modèle:ÉluFin

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et deux adjoints<ref name="of-maire2014"/>.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/introduction Baudre a compté jusqu'à Modèle:Nobr en 1806. Ce maximum n'a été dépassé qu'au recensement 2006.

Modèle:Population de France/tableau

Modèle:Population de France/graphique

Manifestations culturelles et festivités

Le week-end du dernier dimanche d'août a traditionnellement lieu la saint Ouen avec messe, repas champêtre, vide-greniers, courses pédestres<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Enseignement

Cycle Établissement public Établissement privé
Écoles École publique de Baudre

Économie

Modèle:…

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:FranceNormandieBaudreEglise.jpg
L'église Saint-Ouen.
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 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}), endommagée en 1944 et restaurée. L'église abrite un autel et un retable (Modèle:S mini-) provenant de l'ancienne église Saint-Thomas-de-Saint-Lô, ainsi qu'une chasuble classée au titre objet aux monuments historiquesModèle:Sfn,<ref>Modèle:Base POP Palissy.</ref>.

Personnalités liées à la commune

Modèle:…

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets Modèle:Liens

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Section histoire : référence bibliographique : Historique de Baudre, par Élie Guéné

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail