Biviers
Modèle:Infobox Commune de France
Biviers est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
La commune est rattachée au canton du Moyen Grésivaudan et adhérente à la communauté de communes Le Grésivaudan dont le siège est fixé à Crolles. Ses habitants sont dénommés les Biviérois<ref>Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 13 février 2022</ref>.
Géographie
Situation et description
Biviers est une commune située dans la vallée du Grésivaudan, à environ une dizaine de kilomètres de Grenoble. Elle compte Modèle:Nombre<ref>Chiffres clés pour l'ensemble des communes de moins de Modèle:Nombre enquêtées en 2004, en 2005 ou en 2006, INSEE (consulté le 13 décembre 2007).</ref>.
De nombreux points de la commune liés à la topographie permettent d'avoir un diaporama. En effet, il est ainsi possible, par temps dégagé, d'apercevoir le Mont Blanc, distant à vol d'oiseau de Modèle:Unité, et le mont Aiguille. Le site offre également une vue de toute la chaîne de Belledonne et de la Chartreuse, avec en ligne de mire, la Dent de Crolles, la Croix de Chamrousse, la Croix de Belledonne… ainsi que sur le Trièves et les contreforts du Vercors, au-dessus de Grenoble et le Moucherotte.
Géologie et relief
Depuis les points de Saint-Hugues de Biviers, de l'église et du prieuré et de toute la partie amont de cette ligne, Biviers offre une vue de l'ensemble du bassin grenoblois.
Sise au pied du massif de Chartreuse, le long du mont du Saint-Eynard, dont le relief et la falaise s'offrent sur toute sa longueur, cette configuration offre à Biviers et à ses communes voisines un micro-climat nommé usuellement de « petit Nice »<ref>Les différents professeurs de l'institut de géologie et géographie de Grenoble dont l'un de ces anciens président est un Bivierois, expliquent aisément ce phénomène par le relief de la Falaise du St-Eynard et son exposition au soleil, créant ainsi une réverbération et une restitution énergétique.</ref>. En effet, la commune de Biviers bénéficie d'un paysage et d'un relief, d'une flore et d'une faune particuliers, complétés par la grande amplitude d'altitude entre son point bas (Modèle:Unité) et son point haut (Modèle:Unité). Ce micro-climat s'étend de Corenc à Saint-Nazaire-les-Eymes et est géologiquement connu. Il s'explique par l'orientation de la falaise du Saint-Eynard. La végétation locale accueille certaines espèces de pins, ainsi que l'amélanchier, pour ses qualités contre les éboulis de pierres, deux espèces végétales que l'on retrouve près de la côte d'Azur et en Provence.
Biviers, par son exposition géographique et son micro-climat, le tout renforcé en partie par sa topographie, eut une forte activité viticole<ref>Mémoire d'étude de Denis C., historien conseil et spécialiste de l'aménagement du territoire et des risques naturels</ref>, jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945). Mais face à la concurrence et aux qualités de vignobles tels les vins de Chignin (Savoie) et malgré les qualités d'expositions géographique et climatique, complété par l'attribution de subventions pour défricher et réduire les productions viticoles, l'espace viticole de Biviers céda de 1945 à 1970, peu à peu. C'est ainsi que les premiers lotissements furent construits à Biviers, les grandes familles propriétaires du foncier ayant meilleur parti à vendre le foncier<ref>Entretien avec l'ancien président de la Société des sulfates de Biviers de en 1950 lui-même agriculteur et qui sera par la suite maire de Biviers durant plusieurs mandats. Les sulfates sont utilisés pour traiter les vignes.</ref>. Cette tendance est amplifiée par les besoins de logements et les retombées économiques du développement du bassin grenoblois entre 1955 et 1980. Les Jeux olympiques de 1968 ont permis de financer de nombreuses infrastructures routières, telles que l'autoroute Lyon-Grenoble, la voie express Grenoble - Le Touvet qui, en 1975, se transformera en autoroute Grenoble Chambéry.
Communes limitrophes
Climat
Modèle:Article connexe La vallée du Grésivaudan où est située la totalité du territoire de la commune, étant orienté sud-ouest, nord-est, le vent y est donc beaucoup moins fréquent que dans la cluse de l'Isère. En particulier, les contreforts du massif de la Chartreuse sont protégés du vent de nord et du vent d'ouest. Le seul vent qui peut y souffler fortement, hors les rafales orageuses, est le vent de sud-ouest, surtout présent en automne et en hiver et il est souvent associé à un effet de foehn amenant une élévation de la température spectaculaire.
En hiver, à l'abri des vents du nord, les coups de froid y sont souvent moins sévères qu'à l'ouest du département, par contre les redoux océaniques sont plus longs à se faire sentir.
Hydrographie
Le territoire communal est sillonné par quelques ruisseaux s'écoulant depuis les falaises du massif de la Chartreuse.
Voies de communication
Urbanisme
Typologie
Biviers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Grenoble, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,6 %), zones urbanisées (26,1 %), zones agricoles hétérogènes (22,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (9,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques naturels et technologiques
Risques sismiques
Modèle:Article connexe L'ensemble du territoire de la commune de Biviers est situé en zone de sismicité Modèle:N°, comme la plupart des communes de son secteur géographique (Massif de la Chartreuse et vallée du Grésivaudan)<ref>Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité.</ref>.
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
---|---|---|
Zone 4 | Sismicité moyenne | accélération = Modèle:Unité |
Autres risques
Toponymie
Histoire
Modèle:Article connexe La seigneurie de Biviers appartint à Abel Servien. En 1655, il la vendit à la famille de Reynold, famille de Gardes suisses<ref name=":0">Modèle:Article</ref>.
Biviers est une commune qui date de la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Il y avait beaucoup de fermes de viticulteurs, paysans et agriculteurs.
La mairie
En 1792, le conseil municipal décide de vendre la mairie, trop délabrée, pour racheter l’ancien presbytère. Le curé et un valet de la mairie habiteront dans la maison, composée au rez-de-chaussée d’une écurie, d'une cuisine, d'une salle et de quatre celliers et, à l’étage, de deux chambres et deux cabinets. Au nord, il y a un emplacement au-dessus de la cave, où l’on construira une salle pour le conseil municipal. La commune étant pauvre, ce n'est qu'en 1818 qu’une armoire fermant à clé sera achetée, pour conserver les documents officiels.
En 1817, le général Gabriel Donnadieu, commandant de la 7e division militaire, s'installe au château de Franquières.
Il faudra attendre 1841 pour qu’une grande bâtisse soit achetée pour transférer la maison communale. Sise chemin de Moydieu, elle est massive, banale. Elle a été agrandie, intégrant la maison du vigneron traditionnelle. En 1634, elle apparait sur le parcellaire comme propriété de la famille de Moydieu, dont les membres sont conseillers du Parlement de Grenoble. Maison des champs, elle fournissait à cette famille fruits et légumes, vins et rentes. Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, elle a été transformée ; on retrouve une entrée sur la façade ouest, qui accède à l’étage par un escalier droit de Modèle:Unité de large. Les marches sont des blocs de calcaire reposant sur les murs d’échiffre, une accolade plate apparait sous plâtre et peinture au-dessus de la porte de l’étage et un plafond à la française dans une pièce signent l’époque.
En 1977, la mairie est transférée chemin de l’Église, après avoir acquis l'ancienne villa de la famille Michal-Sisteron<ref>Journées du patrimoine 2013 - extrait des animations faites par la commune</ref>.
Politique et administration
Administration municipale
Liste des maires
Les maires de Biviers au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Époque | Dates élection
Nominations |
! . Nom des maires . | Nbre de mandats | Mode d'élection | ............... |
---|---|---|---|---|---|
Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle | 1790 | Jacques Perrard | 1 | Agent municipal [maire]
Élu par les électeurs dits « actifs » |
Les maires de Biviers au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Enseignement
La commune est rattachée à l'académie de Grenoble. Comme Montbonnot-Saint-Martin, Biviers est divisée pour la continuation de la scolarité. Il y a deux parties séparées par le torrent de l'Aiguille :
- les élèves résidant rive droite vont au collège du Grésivaudan à Saint-Ismier ;
- les élèves résidant rive gauche vont au collège Lionel-Terray à Meylan.
Médias
Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Grenoble, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton, de la communauté de communes et quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
Cultes
La communauté catholique et l'église de la commune (propriété communale) sont rattachées à la paroisse Saint Martin du Manival, elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne<ref>Site du diocèse de Grenoble, page sur la paroisse Saint Martin du Manival, consulté le 6 mai 2020.</ref>.
Économie
La commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France<ref>Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, Modèle:N° (.PDF).</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
- Château de Franquières (Modèle:1er du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (1601-1610) ; aujourd'hui internat)
- Le parc et les décors intérieurs et extérieurs du château font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du Modèle:Nobr<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Le parc du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle est aussi répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Le château et son parc fut vendu par la famille Forest durant les années 1950, à l’œuvre des villages d'enfant. Aujourd'hui, le château de Franquières est un institut thérapeutique éducatif et pédagogique (ITEP)<ref>Modèle:Lien web.</ref> qui accueille des enfants en difficulté, essentiellement par leur décalage avec les enfants du même âge. L'OVE leur apporte une structure d'accueil personnalisée et encadrée.
- Château Servien, dit Serviantin, du {{#switch: e
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- Le château fait l’objet d’une inscription partielle au titre des monuments historiques par arrêté du Modèle:Nobr<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Seules les façades et les toitures sont inscrites.
- Château de Montbives ou Montbivol
- Cette ancienne maison forte du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Tasset170176"/> fut dans un premier temps une salle de garde, en liaison avec la tour d'Arces de Saint-Ismier, afin de contrôler et surveiller les voies d'accès en provenance de la Chartreuse, par le pas de la Branche et le col de la Faita. Ce poste de garde était sous la gestion de la famille d'Arces qui, avec le château de Méribel à Montbonnot, contrôlait militairement le secteur.
- À la Renaissance, la famille d'Arces ne suivra pas l'évolution économique en se diversifiant vers des activités de négoces ou de commerce, comme cela fut pour de nombreuses familles d'armes à cette époque.
- Au lieu-dit Châtelard, des vestiges d'une tour carrée, précédée probablement par une fortification en bois disparue selon Eric Tasset<ref name="Tasset170176">Modèle:Ouvrage.</ref>.
- manoir de Crêt Chatel, du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (tour disparue)<ref name="Tasset170176"/>
- plusieurs maisons anciennes sont situées dans la commune : le Bontoux (début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), le Belvédère (sous le nom de Perretière il appartint aux chartreux au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la maison Chabert ({{#switch: e
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}}), la maison Saint-Pierre, la Galisserie, la maison Chaix, l' ancienne mairie (jadis maison Javelle) et la mairie actuelle<ref name="Tasset170176"/>
- au Mas de l'église (ou de la côte) se trouve un ancien manoir, jadis appelé Prieuré de l'Abyme<ref name="Tasset170176"/>
- Château de Plate Rousset, du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Tasset170176"/>
- Monument aux morts communal, également dénommé « espace du souvenir », inauguré le 11 novembre 2021<ref>Site ledauphine.com, article "Le 11-Novembre à Biviers".</ref>.
Patrimoine religieux
- Église de la Compassion de Biviers, Modèle:Référence nécessaire
- église des années 1500<ref name="Tasset170176"/>
- Centre Saint-Hugues : situé au pied de la falaise du Saint-Eynard, c'est un lieu d'accueil, de personnes individuelles ou de groupes, dédié au repos, au développement personnel ou encore à la spiritualité. Le lieu se compose de 3 bâtiments (le plus vieux date de 1860), un jardin cultivé, un arboretum et un parc de prairies et de forêts. Le site est ouvert au promeneur.
-
L'église.
-
Château de Franquières.
-
Château de Montbives.
-
Château de Serviantin.
Patrimoine naturel
La commune fait partie du parc naturel régional de Chartreuse.
Depuis le 11 janvier 2005<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la commune de Biviers est incluse pour partie dans le site classé du Massif du Saint-Eynard, du nom du massif qui surplombe la commune. À ce titre, les demandes d'autorisation d'urbanisme et d'occupation du sol concernant ce secteur intégré au site classé sont soumises à avis conforme de la DREAL Auvergne Rhône-Alpes.
Le plan local d'urbanisme (PLU) en vigueur, adopté par le Conseil municipal le 21 mars 2017, identifie plusieurs zones naturelles sur la commune ainsi que des corridors écologiques le long des torrents de la commune, faisant l'objet d'une protection spécifique. La commune dispose également de nombreux Espaces Boisés Classés (EBC) et d'Espaces Végétaux Paysagers (EVP) identifiés dans son document d'urbanisme.
La commune de Biviers, de par sa proximité avec le massif du Saint-Eynard et les torrents qui la traversent, est soumise à de nombreux risques naturels identifiés au sein d'un Plan d'Exposition aux Risques (PER) valant Plan de Prévention des Risques Naturels (PPRN) ainsi qu'au sein d'une carte des aléas, intégrés au PLU et donc opposables aux tiers dans leurs démarches, notamment ce qui concerne les demandes d'autorisation d'urbanisme.
Personnalités liées à la commune
- Abel Servien, né à Biviers, ministre de Louis XIV et négociateur du traité de Westphalie (1644-1648)<ref>Livret rédigé par Augustin Jacquemont, lors des journées du patrimoine du 16 et 17 septembre 2000, complété par une bibliographie de Madame Hélène Duccini</ref>
- François de Reynold (1642-1722), Lieutenant général, membre du Conseil de la Guerre, Colonel général des Suisses et des Grisons, dont la famille possédait la seigneurie de Biviers, achetée à Abel Servien<ref name=":0" />.
- Dominique Dubarle (né en 1907 à Biviers), religieux et philosophe. Il collabora avec Leprince-Ringuet à résoudre des problèmes de physique nucléaire, il a écrit Humanisme scientifique et raison chrétienne (1964), La Civilisation et l’Atome (1964), Approche d’une théologie de la science (1967).
- Jean Silvy (1910-1971), né à Grenoble, compagnon de la Libération. Un hommage lui est rendu sur le monument aux morts de Biviers, village où sa famille possédait une maison, et où il s'est marié<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Claude Berri, producteur-réalisateur de cinéma français. De confession juive, il a été caché à Biviers durant la Seconde Guerre mondiale. Le film Le Vieil Homme et l'Enfant, tourné en 1966 en partie sur Biviers et à Saint-Vincent-de-Mercuze (Isère), retrace les années de Claude Berri dans la Guerre 1939-1945, lors de son séjour à Biviers.
- Serge Kampf, né le Modèle:Date de naissance<ref>Source: Convocation de l'assemblée générale de Capgemini du 26 avril 2007.</ref> à Grenoble et mort le Modèle:Date de décès<ref>Modèle:Lien web.</ref>, était un homme d'affaires français d'origine suisse<ref>[1], sur fsa.ulaval.ca.</ref>, fondateur de Sogeti et ensuite acquéreur de la SSII française Capgemini. Le stade de rugby de Biviers porte son nom depuis le Modèle:Date.
Biviers dans les arts
Biviers dans la littérature
Biviers au cinéma
Dans sa biographie, le cinéaste Claude Berri relate que deux films ont partiellement été tournés dans le village Biviers<ref>Google Livre "Autoportrait" de Claude Berri Editions Léo Scheer, 2015</ref> :
- des scènes de son propre film, Le Vieil Homme et l'Enfant, sorti en 1967, ont été tournées dans la maison appartenant au Modèle:Dr Chautard.
- des scènes du film La mariée était en noir, sorti en 1968, a été tournée dans la même maison par le réalisateur François Truffaut appréciait, notamment la maison filmée au cours des scènes présentant l'enfance du personnage principal.