Saint-Ismier

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Modèle:Autre Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Ismier est une commune française située à une douzaine de kilomètres au nord-est de Grenoble dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est rattachée à l'arrondissement de Grenoble, au canton du Moyen Grésivaudan et à la communauté de communes Le Grésivaudan. Cette petite ville a vu sa population augmenter à 7000 habitants et son territoire s'urbaniser durant la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle mais garde encore d'importantes zones rurales éparses, agricoles et forestières.

Les habitants de la commune se dénomment Ismérusiens<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

La commune est distante de Modèle:Unité du centre de la ville de Grenoble, chef-lieu du département de l'Isère, située au sud-ouest, en aval de la rivière Isère. Sa distance avec Lyon, chef-lieu de la région Auvergne-Rhône-Alpes est de Modèle:Unité et enfin sa distance avec Paris est de Modèle:Unité, toutes ces distances ayant été calculées par la route.

La commune de Saint-Ismier occupe Modèle:Unité sur le coteau de la rive droite de l'Isère adossé au massif de la Chartreuse et face à la chaîne de Belledonne. Du bord de la rivière à Modèle:Unité d'altitude à l'est, jusqu'aux crêtes du Saint-Eynard à Modèle:Unité à l'ouest, le paysage de Saint-Ismier s'est constitué peu à peu au fil des événements historiques et économiques, en s'adaptant à sa nature originale.

Communes limitrophes

Fichier:Map commune FR insee code 38397.png
Communes limitrophes

Géologie et relief

La plaine de l’Isère, basse, assez large et relativement plate, résulte du passage des glaciers du quaternaire et de la fonte du lac post-glaciaire qui a laissé une épaisseur très importante d’alluvions accumulé au fil du temps.

L'agglomération s'est développée sur un coteau qui s’élève régulièrement de 200 à Modèle:Unité environ jusqu’à l’escarpement abrupt de la falaise de la Chartreuse : les éboulis calcaires ou marneux couvrent donc la plupart des secteurs, et les eaux souterraines s’y infiltrent<ref>Site saint-ismier-en-gresivaudan.fr, page "aperçu du territoire", consulté le 21 juillet 2019</ref>.

La partie la plus haute de son territoire est incluse dans le Parc Naturel Régional de Chartreuse.

Sites géologiques remarquables

Modèle:Article connexe Le torrent du Manival (Magni et Val qui signifient grande vallée), avec ses ouvrages de correction torrentielle, est un site géologique remarquable de Modèle:Unité qui se trouve sur les communes de Bernin, Saint-Ismier et Saint-Nazaire-les-Eymes. En 2014, ce site d'intérêt géomorphologique est classé « deux étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique »<ref name="Inventairegeo38">Inventaire du patrimoine géologique : résultats, Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016.</ref>. Ce torrent possède le plus grand cône de déjection de toutes les Alpes françaises. Il a causé autrefois de grands ravages, d'où les travaux importants effectués dans son lit afin de canaliser ses humeurs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le Manival est situé dans les contreforts du massif de la Chartreuse. La composition pétrographique de ce site est constituée de roches sédimentaires disposées en strates (alternance de couches argileuses et de calcaires). Les roches de Chartreuse, principalement calcaires, ont pour origine les résidus de coquillages marins datant de l'ère secondaire (-Modèle:Nombre à - Modèle:Nombre d'années )<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Climat

Modèle:Article connexe La vallée du Grésivaudan où se situe la totalité du territoire de la commune, étant orientée sud-ouest, nord-est, le vent y est donc beaucoup moins fréquent que dans la cluse de l'Isère. En particulier, les contreforts du massif de la Chartreuse sont protégés du vent du nord et du vent d'ouest. Le seul vent qui peut y souffler fortement, hors les rafales orageuses, est le vent de sud-ouest, surtout présent en automne et en hiver et il est souvent associé à un effet de foehn amenant une élévation de la température spectaculaire.

En hiver, à l'abri des vents du nord, les coups de froid y sont souvent moins sévères qu'à l'ouest du département, par contre les redoux océaniques sont plus longs à se faire sentir.

Hydrographie

Fichier:Saint-Ismier abc22.JPG
Lit du torrent du Manival

Le territoire de la commune est bordé par plusieurs cours d'eau :

Le principal cours d'eau est l'Isère, rivière longue de Modèle:Unité, dont le bassin versant représente Modèle:Unité, borde l'est du territoire communal. Cet affluent du Rhône est au milieu de son parcours lors de son passage en bordure orientale de la commune.

Le torrent du Manival, affluent de l'Isère, d'une longueur de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, sépare la commune (située principalement sur la rive droite) du territoire voisin de Saint-Nazaire-les-Eymes. Les crues du torrent du Manival ont occasionné régulièrement des dégâts sur les habitations situées de part et d'autre de ses rives. Des mesures de protection ont été mises en place dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Manival est le deuxième torrent des Alpes françaises pour ses activités de creusement et d'alluvionnement <ref>Site saint-nazaire-les-eymes.fr, page sur le torrent de Manival, consulté le 21 juillet 2019</ref>.

Le ruisseau de Corbonne, qui sépare la commune (située en rive gauche) des communes de Biviers et de Montbonnot-Saint-Martin, est également un affluent de l'Isère.

Voies de communication et transports

Fichier:Saint-Ismier abc23.JPG
Panneau de la RD1090 à l'entrée de la ville.

Routes principales

Le territoire de la commune de Saint-Ismier est traversé par deux voies à grande circulation, l'autoroute A 41 et l'ancienne route nationale 90 reclassée en RD1090.

L'autoroute A41 relie Grenoble à Genève. Sa date de mise en service remonte à l'année 1981. La section Grenoble – Crolles a été construite pour les JO d'hiver de Grenoble. Cette voie autoroutière est gérée en concession par la société AREA (Société des Autoroutes Rhône-Alpes), laquelle est une société d'autoroutes, filiale du groupe APRR. La ville de Saint-Ismier est desservie par deux bretelles :

La route départementale 1090 (RD 1090) traverse la commune selon un axe nord-est (commune de Saint-Nazaire-les-Eymes) - sud ouest (commune de Montbonnot-Saint-Martin) et sa gestion relève du département de l'Isère.

Routes secondaires

Deux routes notables :

  • la route départementale RD11b permet de relier le centre de la commune et la RD1090 à la sortie 25 de l'A41. Dénommée ensuite RD11, cette route franchit l'Isère et relie ainsi Saint-Ismier voisine de Domène pour se raccorder à la RD523.
  • la route départementale RD30 permet de relier le centre de la commune et la RD1090 à la sortie 24.1 de l'A41, puis après avoir franchi l'Isère, rejoint le centre-ville de Villard-Bonnot.

Transports

La communauté de communes Le Grésivaudan, à laquelle appartient La ville de Saint-Ismier, propose le réseau de bus TouGo pour voyager à l’intérieur des quarante-trois communes du territoire et ainsi faciliter les déplacements des habitants<ref>Site de la CC du Grésivaudan, page sur les lignes de bus</ref>.

La commune est desservie par quatre lignes régulières de cars du réseau interurbain de l'Isère, fonctionnant tous les jours, samedis, dimanches et jours fériés, compris.

La commune fait partie du Syndicat mixte des mobilités de l'aire grenobloise (S.M.M.A.G.). Elle participe ainsi à l'organisation des mobilités au service des territoires.

Urbanisme

Typologie

Saint-Ismier est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Grenoble, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (38,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (38,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,3 %), zones urbanisées (26,9 %), zones agricoles hétérogènes (15,6 %), terres arables (10,3 %), prairies (3,9 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (2,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %), mines, décharges et chantiers (1,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux, lieux-dits et écarts

Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de Saint-Ismier, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national<ref>Site géoportail, page des cartes IGN</ref>.

  • Gorge du Manival
  • la Montaige
  • les Courbières
  • les Collands
  • Marsauze
  • Saint-Rambert
  • les Écorchiers
  • le Manival
  • l'Allée
  • Côte Bonne
  • Larguit
  • Pratel
  • Champ Rousset
  • la Tour d'Arces
  • le Millet - Civet (H)
  • les Varciaux (H)
  • le Rozat (H)
  • les Bouts (H)
  • le Servage (H)
  • le Crêt de Chaume (H)
  • les Massons (H)
  • les Combes
  • le Plat
  • le Guyedan (H)
  • les Génissieux
  • la Poulatière (H)
  • les Poulets
  • le Mas (H)
  • les Semaises (H)
  • l'Église
  • les Maréchaux (H)
  • Blache
  • Pont du Rivet
  • Pajonnière (H)
  • Château Randon
  • Charvinère
  • les Plantées
  • le Fangeat (H)
  • la Bâtie (H)
  • Bougie / les Îles

H = hameau

Risques naturels et technologiques

Risques sismiques

Modèle:Article connexe L'ensemble du territoire de la commune de Saint-Ismier est situé en zone de sismicité Modèle:N°, comme la plupart des communes de son secteur géographique (Massif de la Chartreuse et vallée du Grésivaudan)<ref>Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité.</ref>.

Terminologie des zones sismiques<ref name="Légifrance_2010">Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance.</ref>
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = Modèle:Unité/s2

Autres risques

Du fait de sa proximité avec le cours de l'Isère, la partie la plus basse du territoire de Saint-Ismier peut être confrontée à un risque important d'inondation<ref>Site georisques.gouv.fr carte rapport géorisques pour Saint-Ismier, consulté le 21 juillet 2019.</ref>.

Toponymie

Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, le nom de Saint-Ismier évoque un moine du diocèse de Bâle, en Suisse, dénommé Modèle:Lien, à rapprocher du nom de la commune suisse de Saint-Imier<ref>André Planck, "L'origine du nom des communes du département de l'Isère", Modèle:ISBN édition L'atelier, 2006, page 198</ref>.

L'historien Ulysse Chevalier, dans son Regeste dauphinois, relève l'existence de la paroisse de Saint Ismier dès l'an 1083 sous le libellé de Modèle:Traduction<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Emmanuel Pilot de Thorey a trouvé dans des archives du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Traduction, ainsi que Modèle:Traduction<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Pendant la révolution française de nombreuses villes en France furent rebaptisées. La commune de Saint-Ismier fut brièvement appelée Mansval ou Manival<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Histoire

Fichier:Mémorial Doyen Gosse abc2.JPG
Le mémorial Doyen Gosse.

Modèle:Article connexe

Préhistoire et Antiquité

À compter du IVe millénaire av. J.-C., la mise en culture progressive des terroirs sur les flancs du Grésivaudan et de la Combe de Savoie par des paysans néolithiques a pu être constatée par des recherches archéologiques <ref>Site archéologique d'Aimé Bocquet, page sur le Grésivaudan</ref>.

Les premiers résidents du secteur de Saint-Ismier, historiquement reconnus, sont les Allobroges, qui s’y sont installés à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avant notre ère. Ce peuple occupait la zone la plus vaste allant du nord du Vercors et de Belledonne en passant par le Grésivaudan et sur une grande partie de la région qui sera dénommée plus tard la Sapaudia puis la Sabaudia qui deviendra la Savoie).

Moyen Âge et Temps Modernes

La première évangélisation du Grésivaudan et du secteur de Saint-Ismier aurait été effectuée par Nazaire de Milan<ref>Site de la ville de Saint-Nazaire-les-Eymes, page édito.</ref>.

Époque contemporaine

Avant le nouveau découpage territorial de 2014, Saint-Ismier était un chef-lieu de canton de l'arrondissement de Grenoble, qui comprenait également les communes de Bernin, Biviers, Montbonnot-Saint-Martin et Saint-Nazaire-les-Eymes.

Politique et administration

Fichier:Mairie de Saint-Ismier et une partie de son parc.jpg
La mairie de Saint-Ismier

Administration municipale

Conformément à son nombre d'habitants, le conseil municipal de Saint-Ismier compte vingt-neuf membres (quatorze femmes et quinze hommes) dont un maire, huit adjoints au maire, cinq conseillers délégués et quinze conseillers municipaux (douze membres de la majorité municipale et trois conseillers de l'opposition municipale)<ref>Site saint-ismier.fr, page sur le conseil municipal, consulté le 21 juillet 2019</ref>.

Saint-Ismier fait partie de la communauté de communes du Pays du Grésivaudan, la principale communauté de communes rurales de l'Isère, autant par sa superficie que par son nombre d'habitants.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Jumelages

Après avoir été jumelée, dans les années 1980, avec la ville suisse homonyme de Saint-Imier<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la commune a été jumelée de 2005 à 2015 avec une autre ville européenne : Stroud (Modèle:Pays), commune anglaise située à proximité de Bristol<ref>Site Saint-ismier.fr, page information-jumelage, consulté le 21 juillet 2019</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Fichier:Lycée horticole Saint Ismier - parc Château Randon 1.JPG
Le Lycée horticole.

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble (Zone A) et héberge trois écoles primaires publiques sur son territoire :

  • l'école de la Poulatière,
  • l'école du Clos Marchand
  • l'école des Vignes.

La commune compte également un collège public, le collège du Grésivaudan et un collège privé, le collège de La Sainte Famille.

Il existe également un lycée public horticole, l'École du Paysage. Cet établissement spécialisé dans des formations du paysage, de la nature et du vivant dispense tout à la fois un enseignement scolaire (LEGTA) ainsi que des formations par apprentissage et pour adultes (C.F.P.P.A.). Pour cela, il s'appuie sur une exploitation agricole, support pédagogique et véritable outil de production dont les produits, labellisés « biologiques », sont vendus sur le site. Cet établissement est géré par le ministère de l'agriculture.

La scolarité en filière générale publique peut se poursuivre au lycée du Grésivaudan Meylan (LGM).

Équipements et clubs sportifs

  • Entente Sportive du Manival, club de football regroupant les communes de Montbonnot-Saint-Martin, Biviers, Saint-Ismier, Saint-Nazaire-les-Eymes et Bernin.
  • Isère Gresivaudan Floorball (les Tigres du Grésivaudan), Club de Floorball évoluant en Élite Nationale amateur, a son siège à la commune de Saint-Ismier.
  • Saint-Ismier Tennis, club de tennis de la commune.
  • Shotokan Karaté Club de Saint-Ismier à l'Agora.

Équipements culturels

Fichier:La médiathèque de l'Orangerie.jpg
La médiathèque de l'Orangerie

La commune compte sur son territoire deux aménagements culturels principaux :

Équipement sanitaire et social

La commune comprend :

Habitat social

Modèle:Section vide ou incomplète

Médias

Presse locale et régionale

La commune publie plusieurs fois par an son magazine municipal "Le Lien", distribué dans toutes les boîtes aux lettres. On y retrouve toute l'actualité.

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Grenoble, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton, de la communauté de communes et quelquefois de la ville, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Presse audiovisuelle

TéléGrenoble est la chaîne de télévision locale généraliste privée diffusant par voie hertzienne sur la métropole de Grenoble. La chaîne se consacre exclusivement à l'actualité locale et à la mise en valeur du territoire. La commune est également couverte par le réseau de France 3 qui diffuse le journal d'information régional de France 3 Alpes.

Cultes

L'église Saint-Philibert fait partie de la paroisse Saint Martin du Manival, rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne<ref>Site du diocèse de Grenoble, page sur la paroisse Saint Martin du Manival, consulté le 6 mai 2020.</ref>. Le presbytère en héberge la Maison paroissiale.

Économie

Située à proximité de l'échangeur 24.1 de l'autoroute A41, la zone d'activité Isiparc accueille sur environ Modèle:Unité des entreprises de haute technologie et quelques enseignes commerciales.

La commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France<ref>Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.</ref>,<ref>Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, Modèle:N° (.PDF).</ref>.

Revenus de la population et fiscalité

En 2019, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Unité, ce qui plaçait Saint-Ismier dans les 200 premières communes de France.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Monument Doyen Gosse.jpg
Mémorial Doyen Gosse (extérieur).
Fichier:Vue intérieur du Mémorial..jpg
Mémorial Doyen Gosse (intérieur).

Le mémorial Doyen Gosse

Modèle:Article connexe Ce mémorial est situé à la sortie de Saint-Ismier, près de la route départementale 1090, en direction de Bernin. Il est labellisé [[Liste des édifices labellisés « Patrimoine du XXe siècle » de l'Isère|« Patrimoine du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle » de l'Isère]] depuis 2003.

En octobre 1948, René Gosse et son fils Jean, tous les deux assassinés par la milice en 1943, sont inhumés dans un ancien four à chaux, également utilisé pour le stockage de charbon puis transformé en mémorial édifié en leur honneur par l'architecte Auguste Perret.

La Tour d'Arces

Modèle:Article détaillé Datant du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et située dans la forêt domaniale du Saint-Eynard, la tour médiévale d'Arces est un édifice en ruines. Elle est présumée être la Bâtie de Saint-Ismier<ref name="Tasset455"/>. Elle est construite sur un énorme bloc d'éboulement de la faille du Pas de la Branche<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 2020 son propriétaire en fait don à la commune de Saint-Ismier<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les autres bâtiments et sites civils

Les bâtiments religieux

Fichier:Eglise Saint-Philibert - Saint-Ismier.jpg
Église Saint-Philibert
Église Saint-Philibert de Saint-Ismier

Cet édifice religieux, de style roman, date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il a été réaménagé à plusieurs reprises<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le portail qui est, avec le porche voûté qu'il précède, la seule partie médiévale clairement identifiable de l'église, a été classé au titre des monuments historiques par arrêté du Modèle:Date<ref name="PA00117256">Modèle:Base Mérimée.</ref>. À l'intérieur de l'église, juste à l'entrée, une copie d'un tableau de Philippe de Champaigne. L'original qui représente saint Jean-Baptiste a été offert par le général Jean Gabriel Marchand<ref>Mort à Saint-Ismier.</ref> au musée de Grenoble en 1811.

Modèle:Date a vu l'installation d'un orgue réalisé par le facteur d'orgues Michel Giroud.

En Modèle:Date l'église s'est dotée de vitraux d'Arcabas, exécutés par le maître verrier Jean Bessac : une verrière dans le chœur évoque la Pentecôte, cinq autres sous la tribune évoquent la vie de Jésus<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Patrimoine naturel

Fichier:Bois de La Bâtie automne 2017 03.jpg
Paysage du Bois de la Bâtie

Saint-Ismier est l'une des communes adhérentes du parc naturel régional de Chartreuse. Elle héberge également un espace naturel protégé.

L'Espace naturel sensible du Bois de la Bâtie<ref>Découvrez les Espaces Naturels Sensibles de l'Isère, isere.fr, Modèle:P. (consulté le 22 juillet 2014)</ref>, situé dans un ancien bras de l'Isère et partagé avec la commune voisine du Versoud. Il comprend une forêt alluviale préservée, un plan d’eau ( le Bois Français), un verger conservatoire et des mares pédagogiques. Un sentier aménagé permet d'observer les castors, des cygnes, des foulques, des poules d’eau, des martins-pêcheurs et de nombreuses espèces de libellules.

Espaces verts et fleurissement

Fichier:Bois français.jpg
Le Bois français.
Fichier:Fleurissement Saint-Ismier.jpg

En mars 2017, la commune obtient une fleur au concours des villes et villages fleuris, ce label récompense le fleurissement de la commune<ref name=vilfleur2017>Modèle:Lien web.</ref>.

La base de loisirs du Bois Français qui correspond à un ancien bras de l'Isère est située en grande partie sur le territoire de la commune, en limite du territoire de la commune voisine du Versoud. De nombreuses activités y sont proposées : baignade, ski nautique, aviron...

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail