Bully-les-Mines

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Bully-les-Mines est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Bullygeois.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin qui regroupe Modèle:EPCI-pop1 communes et compte Modèle:Nombre en Modèle:EPCI-pop1. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

La commune est traversée, à l'ouest, par l'autoroute A21 et, au sud, par l'autoroute A26, et à Modèle:Unité, à l'ouest de Lens et limitrophe de Liévin. Elle est située en Gohelle.

Modèle:Carte interactive

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes : Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

Modèle:Article connexe Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par le Surgeon, un cours d'eau naturel de Modèle:Unité, qui prend sa source dans la commune de Bouvigny-Boyeffles et se jette dans le Canal d'Aire à La Bassée au niveau de la commune de Cuinchy<ref>Modèle:Sandre</ref>. Le fossé des quatre Hallots, cours d'eau naturel de Modèle:Unité, qui prend sa source dans la commune de Bouvigny-Boyeffles, se jette dans le Surgeon au niveau de la commune de Bully-les-Mines<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Modèle:Article détaillé Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »<ref group=Note>Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).</ref>, selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>.

Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après<ref name=Joly/>.

Modèle:Centrer
  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 1,7 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

Urbanisme

Fichier:Bully-les-Mines - Panneau d'entrée.JPG
Entrée de la commune.

Typologie

Bully-les-Mines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (70,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (63,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (59,4 %), terres arables (29,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,2 %), mines, décharges et chantiers (4,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

Voies de communication

Modèle:Article connexe La commune est desservie par les routes départementales D 58, D 165 et D 166, et par les autoroutes A21 et l'A26 via la sortie Modèle:N°<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Transport ferroviaire

Fichier:Bully-les-Mines - Gare de Bully - Grenay (01).JPG
La gare de Bully - Grenay.

Modèle:Article connexe Sur la commune se trouve la gare de Bully - Grenay, située sur la ligne d'Arras à Dunkerque-Locale, desservie par des trains TER Hauts-de-France.

La commune était située sur la ligne de Bully - Grenay à La Bassée - Violaines, une ancienne ligne de chemin de fer qui reliait, depuis 1862 (une petite partie de la ligne est toujours en exploitation), la commune de Bully-les-Mines à La Bassée (Nord), ainsi que sur la ligne de Bully - Grenay à Brias, une ancienne ligne de chemin de fer qui reliait, de 1875 à 1990, Bully-les-Mines à Brias.

Toponymie

Modèle:Article connexe Le nom de la localité est attesté sous les formes Bulgi en 1135 ; Bugi en 1152 ; Builli en 1154 ; Bulli en 1266 ; Builly en 1295 ; Buylly en 1410 ; Builly-lez-Grenay en 1513 ; Builli-en-Gohelle au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; Bully-en-Gohelle en 1847<ref name="DT">Modèle:Ouvrage.</ref>, Bully en 1793 et 1801.
Bully-les-Mines depuis 1925, en raison de la vigueur de l'activité minière de l'époque<ref name="Cassini" />.

Le nom, selon plusieurs sources, serait d’origine gauloiseModèle:Référence souhaitée.

Bully-les-Mines est issue de la scission de Bully-Grenay<ref name="DT" />.

La gare, située à cheval sur la commune de Bully-les-Mines et la commune de Grenay, a gardé le nom de Bully-Grenay, ce qui entraîne parfois des confusions.

Histoire

Bien que la région ait été habitée dès la préhistoire, on ne trouve rien à Bully-les-Mines. La plus ancienne découverte est un bracelet celte. Les découvertes gallo-romaines sont en revanche nombreuses. Bully-les-Mines appartient au Pagus Silvinus, région administrative des Atrébates, la future Gohelle. En 2006, des fouilles effectuées lors de la construction d'un lotissement ont mis au jour une nécropole gallo-romaine<ref>rapport d'activité 2006 de l’Inrap page 107</ref>.

Moyen âge et époque moderne

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Bully est rattaché spirituellement à l'évêque de Cambrai-Arras en résidence à Cambrai et civilement à l'Artois primitif, chef-lieu Arras.

Bully fait partie intégrante de l'Artois. Le village appartient au comté de Flandre. Il n'est rattaché au domaine royal qu'avec l'annexion des Pays-Bas bourguignons par le roi de France en 1477. En 1492, la région est cédée aux Habsbourg qui la conserve jusqu'en 1659, où elle est cédée à la France dans le traité des Pyrénées.

Bully est une commune située à proximité des cités et place fortes d'Arras, Béthune et de Lens. Les sièges et attaques contre ces villes font que Bully est régulièrement le théâtre de combats et subit le passage des armées.

En 1213, lors de la campagne de Philippe II Auguste contre les flamands, le village est ravagé par les armées de l'ost royal.

En 1303, lors de la guerre de Flandre menée par Philippe IV contre les flamands révoltés, Bully est attaquée par l'ost royal et détruit. Les destructions y sont notamment plus importantes, les bois constituant une des ressources de la paroisse sont coupés par les armées royales françaises, possiblement afin de construire des machines de siège ou des lignes de circonvalations.

En 1348, un tiers de la population meurt de la peste noire. La peste sévit encore quatre fois durant le siècle, alternant avec des disettes et les guerres opposant Français, Anglais et Bourguignons.

En 1537, Bully est ravagée par les troupes du roi de France qui emportent tout et les malheurs continuèrent jusqu'à la prise de Lens par les Français en 1556-1557. Le receveur ne peut prélever aucun impôt à Bully, tant la population est éprouvée. En 1648, le village supporte la présence des armées pour la bataille de Lens.

De 1709 à 1712, Bully subit les marches et contremarches des armées lors de la guerre de succession d’Espagne. La situation est aggravée par une épidémie qui fit vingt-quatre morts. En 1796, un incendie détruit la moitié du village (en souvenir un lieu-dit est nommé ‘’Chemin brûlé’’).

Quelques propriétaires encaissant des revenus de terres à Bully en 1792 (hors seigneurs et particuliers) :

  • la Pauvreté d'Aix-Noulette (bureau de bienfaisance de l’époque)
  • la commanderie de l'Ordre de Malte
  • les chanoines d'Arras
  • le chapitre d'Arras (ou chapelains d’Arras)
  • les chapelains de Lens
  • les chanoines de Lens
  • les chanoines de Béthune
  • les religieuses et abbesse de l'abbaye d'Anchin
  • la prévôté de Gorre
  • l’abbaye de Beaupré
  • le curé de Gouy-Servins
  • l’hôpital Saint-Jean de Béthune

Histoire industrielle

Fichier:Bully-les-Mines - Fosse n° 1 - 1 bis - 1 ter des mines de Béthune (A).jpg
La Fosse n° 1 - 1 bis - 1 ter de la Compagnie des mines de Béthune était un charbonnage constitué de trois puits situé à Bully-les-Mines.

La ville se développe avec l'exploitation des mines de charbon.

Le Modèle:Date-, une machine et sa chaudière déclenchent un incendie dans la fosse n°1 de Bully-Grenay appartenant à la compagnie des mines de Béthune. La catastrophe fait 19 morts<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Lors de la grève de 1948, le maire et un mineur jaunes sont tabassés par des grévistes<ref>Marion Fontaine, Xavier Vigna « La grève des mineurs de l'automne 1948 en France », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, 2014/1 Modèle:N°121, Modèle:P.28.</ref>.

Première Guerre Mondiale

La salle des fêtes de la compagnie des mines de Béthune (toujours existante aujourd'hui sous le nom de salle Jean Vasseur) sert d'hôpital militaire pour les troupes françaises puis pour les troupes britanniques<ref>Modèle:Lien web</ref>. La ville se situe à proximité de la ligne de front, et subit d'importantes destructions. Les combats pour la préservation des mines, vitales pour le complexe militaro-industriel français, éprouvent la région.

Seconde Guerre Mondiale

Lors de la bataille de France, les troupes allemandes atteignent la ville le 29 mai 1940, prenant le maire Pierre Baillot et 10 autres personnes en otage pendant une journée<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Lors de la rafle du 11 septembre 1942, la famille Schwarz, composée d'Israël (né le 12 janvier 1899) et de son épouse Gitla (née Dzialoszynska le 14 décembre 1901), sont arrêtés à Bully-les-Mines parce que juifs, puis déportés le 15 septembre 1942 depuis le camp de rassemblement de Malines en Belgique à Auschwitz. Israël sera le seul à rentrer de déportation<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La ville est libérée par les troupes britanniques et canadiennes les 2 et 3 septembre 1944<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le 2 septembre, un adolescent de 13 ans, Pierre Carton, est accidentellement tué par le ricoché d'une balle, tirée par un membre des FFI qui cherchait à ouvrir la voie à un convoi<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Politique et administration

Découpage territorial

Modèle:Article connexe La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune de 1801 à 1961, et, depuis 1962, dans l'arrondissement de Lens du département du Pas-de-Calais<ref name="Cassini" />.

Commune et intercommunalités

Modèle:Article connexe La commune est membre de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin.

Circonscriptions administratives

Modèle:Article connexe La commune est rattachée au canton de Lens de 1801 à 1903, au canton de Lens-Nord-Ouest de 1904 à 1961, au canton de Liévin-Nord-Ouest de 1962<ref name="Cassini" /> à 2014, puis au canton de Bully-les-Mines depuis 2015.

Circonscriptions électorales

Modèle:Article connexe Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la douzième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

Modèle:Article connexe

Élections municipales de 2020

Résultats des municipales de 2020 à Bully-les-Mines
Fichier:Conseil municipal Bully-les-Mines.svg
Tête de liste Liste Premier tour Sièges
Voix % Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation
Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | François Lemaire<ref name=sortants group="Note">Liste du maire sortant ou de la maire sortante</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> PS 2 506 69,16 29 4
Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs | Modèle:Référence nécessaire RN 916 25,28 4 0
Modèle:Infobox Parti politique français/couleurs| Jean-Michel Padot DVG-PRCF 201 5,54 0 0
Votes valides 3 623 99,03
Votes blancs 45 0,48
Votes nuls 46 0,49
Total 3 714 100 33 4
Abstention 5 675 60,44
Inscrits / participation 9 389 39,56

Liste des maires

Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin Modèle:Boîte déroulante/fin

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Jumelages

Modèle:Article connexe La commune est jumelée avec : Modèle:Jumelages

Équipements et services publics

Modèle:…

Justice, sécurité, secours et défense

La commune dépend du tribunal de proximité de Lens, du conseil de prud'hommes de Lens, du tribunal judiciaire de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Béthune<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe Les habitants de la commune sont appelés les Bullygeois<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 36,7 %, soit égal à la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 24,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 53 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Économie

Modèle:… L'économie de commune était issue, pour l'essentiel, des houillères du Nord-Pas-de-Calais et de la Compagnie des mines de Béthune.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine mondial

Modèle:Article connexe Depuis le Modèle:Date-, la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l’UNESCO. Parmi les Modèle:Nobr, répartis sur Modèle:Nobr inclus dans le périmètre du bassin minier, le site Modèle:N° est composé à Bully-les-Mines et Mazingarbe de la cité no 2, à Mazingarbe de l'école de la cité no 2 et du dispensaire de la Société de Secours Minière de cette même cité, à Bully-les-Mines de la salle des fêtes, de maisons d'ingénieurs, et de la clinique Sainte-Barbe ; le site no 83 est constitué par le monument aux morts de la Compagnie des mines de Béthune, avec la liste des morts, sur les murs de l'école, et la grille de la cité des Brebis ; le site no 86 est formé par le monument au soldat Fernand-Joseph-Édouard Marche, près de la fosse no 1 - 1 bis - 1 ter des mines de Béthune<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Saut

Monuments historiques

Modèle:Saut

Autres lieux et monuments

  • Le terril no 52, 2 de Béthune Est, ancien terril conique de la fosse no 2 des mines de Béthune. Exploité, il n'en reste que la base.
  • Le terril no 52A, 2 de Béthune Ouest, ancien terril plat de la fosse no 2 des mines de Béthune. Exploité, il n'en reste quasiment plus aucune trace.
  • Le terril no 53, 1 de Béthune, situé à Bully-les-Mines, est le terril de la fosse no 1 - 1 bis - 1 ter des mines de Béthune. Exploité, il a été reconverti en espace vert.

Modèle:Saut

  • L'église Sainte-Barbe de la cité des Brebis, démolie en 1982. Une chapelle est réaménagée sous ce vocable.
  • L'église Sainte-Thérèse, à la cité des Alouettes, désaffectée en 1974 pour devenir le centre culturel Jean-Macé.
  • Le monument aux morts<ref name="mdp">Modèle:Lien web.</ref>.
  • La plaque commémorative Suzanne Blin, enseignante et résistante française, morte le Modèle:Date- à la suite des blessures infligées par la Gestapo<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • La plaque aux fusillés d'Arras<ref name="mdp1">Modèle:Lien web.</ref>.
  • La stèle aux victimes civiles tuées lors d'un bombardement<ref name="mdp1" />.
  • Le cimetière militaire Français, Modèle:Nobr<ref name="mdp" />.
  • Le Bully-Grenay Communal Cemetery British Extension, Modèle:Nobr<ref name="mdp" />.

Modèle:Saut

Personnalités liées à la commune

  • Paul Vanuxem (1904-1979), général, né à Bully-Grenay.
  • Édouard Pignon (1905-1993), peintre, né à Bully-les-Mines.
  • Suzanne Blin (1913-1944), enseignante et résistante française, née à Bully-en-Gohelle.
  • César Marcelak (1913-2005), cycliste sur route, polonais puis français, mort à Bully-les-Mines.
  • Jules Bigot (1915-2007), footballeur, né à Bully-les-Mines.
  • Henri Trannin (1919-1974), footballeur, né à Bully-les-Mines.
  • Roger Meerseman (1924-2008), footballeur, né à Bully-les-Mines.
  • Liliane Berton (1924-2009), artiste lyrique, soprano colorature, née à Bully-les-Mines.
  • Albert Eloy, (1927-2008), footballeur, né à Bully-les-Mines.
  • André Strappe (1928-2006), footballeur, né à Bully-les-Mines.
  • René Dereuddre (1930-2008), footballeur international, né à Bully-les-Mines.
  • Yves Devraine (1939-2008), scénographe et muséographe, né à Bully-les-Mines.
  • Jean-Marie Vanlerenberghe (1939-), homme politique, né à Bully-les-Mines.
  • Alain Milon (1947-), médecin et homme politique, né à Bully-les-Mines.
  • Martine Rouzé (1954-), athlète, championne de France et recordwoman de France du 3000 mètres, née à Bully-les-Mines.
  • Guillaume Ducatel (1979-), footballeur, né à Bully-les-Mines.

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Modèle:…

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail