Combiers
Modèle:Infobox Commune de France
Combiers (Combier en limousin, dialecte de l'occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Géographie
Localisation et accès
Située au bord de la Lizonne (appelée aussi Nizonne) sur sa rive droite et en limite avec le département de la Dordogne, à Modèle:Unité à l'est de La Rochebeaucourt, Combiers est aussi en lisière de la forêt d'Horte.
Combiers est aussi à Modèle:Unité de Villebois-Lavalette, le chef-lieu de son canton, Modèle:Unité de Dignac, Modèle:Unité de Montbron et de Nontron, Modèle:Unité d'Angoulême et Modèle:Unité de Périgueux<ref>Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper</ref>.
Combiers est principalement accessible par la D 939 entre Angoulême et Périgueux, qui passe au sud de la commune sur la rive gauche de la Lizonne (département de la Dordogne).
Des routes départementales de moindre importance traversent la commune. La D 25 dessert le bourg et va au nord en direction d'Angoulême par Charras et Sers. La D 41 dessert aussi le bourg et va en direction de Rougnac et Dignac. La D 87 à l'ouest de la commune relie La Rochebeaucourt à Rougnac et Sers. Les D 163, D 93, D 444 et D 109 passent aussi dans la commune<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref>.
Communes limitrophes
Combiers est limitrophe de six autres communes, dont la moitié dans le département de la Dordogne.
Géologie et relief
Combiers est situé sur un plateau calcaire datant du Crétacé, qui s'étage du Cénomanien au Campanien, plus crayeux, bien que la limite avec le Jurassique passe tout près, au nord-est de la commune (anticlinal de Mareuil).
Ce plateau est toutefois entièrement couvert dans une grande partie de la commune par des dépôts d'origines tertiaire et détritique (galets, sable), altérites du Quaternaire (glaciations). Les apports du Tertiaire en provenance du Massif central sont plus importants dans une petite partie orientale (la Grange de la Forêt). Les sables provenant du Santonien recouvrent une grande partie de la commune. Toutes ces zones sont boisées<ref>Visualisateur Infoterre, site du BRGM</ref>,<ref>Carte du BRGM sous Géoportail</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>.
On trouve d'anciennes mines de fer dans les environs de chez Métayer, du Temple et de la Grange de la Forêt<ref>Combiers sur charente.free.fr</ref> et une carrière de sable au Maine au Loup. Modèle:Article connexe
Le relief de la commune est celui d'un plateau boisé assez vallonné d'une altitude moyenne de Modèle:Unité, bordé au sud-est par la vallée de la Lizonne, et entaillé par trois petites vallées qui y affluent. Le point culminant de la commune est à une altitude de Modèle:Unité, situé près du Clédou. Le point le plus bas est à Modèle:Unité, situé le long de la Lizonne au pont de La Rochebeaucourt. Le bourg, situé dans la vallée au bord de la Lizonne sur sa rive droite, est à Modèle:Unité d'altitude<ref name="ign"/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente et le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Lizonne, la Belle, la Manore et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La commune est bordée au sud par la Nizonne, un affluent de la Dronne. Le territoire communal est presque entièrement dans le bassin versant de la Dordogne, la ligne de partage des eaux avec la Charente (bassin du Bandiat) passant à son extrémité nord-est.
La Belle, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la Dordogne, dans la commune de Mareuil en Périgord, et se jette dans la Lizonne dans la Dordogne, à La Rochebeaucourt-et-Argentine, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Arrosant toute la partie sud de la commune, la Nizonne, appelée Lizonne en aval de La Rochebeaucourt, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source en Dordogne, dans la commune de Sceau-Saint-Angel et se jette dans la Dronne à Bourg-du-Bost, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle a deux petits affluents qui prennent naissance dans la commune. À l'est, le ruisseau de la Lande prend naissance près de Lasfonds<ref group="Note">Las fonts signifie les sources en occitan.</ref>, et se jette dans la Lizonne près du bourg. À l'ouest, un autre petit ruisseau descend de Rozet.
Sur la limite sud-ouest, la Manore descendant de Rougnac se jette dans la Lizonne, au pied du château de la Rochebeaucourt<ref name="ign"/>.
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Réseaux hydrographique et routier de Combiers.
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La Nizonne en amont du pont de la Modèle:Nobr.
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La Nizonne entre Combiers (à gauche) et La Rochebeaucourt.
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le SAGE « Isle - Dronne», dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain. Modèle:Article connexe
Milieux naturels et biodiversité
ZNIEFF
Selon l'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), le site « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »<ref>Modèle:Pdf 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref> concerne la commune de Combiers. Dans les faits, les communes du département de la Charente mentionnées par la fiche ne font que tangenter cette zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), intégralement comprise dans le département de la Dordogne, comme le montre la carte du site<ref>Carte de la ZNIEFF 720008181, INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>. Ces communes de Charente, dont Combiers, sont traitées dans une autre ZNIEFF décrite ci-dessous.
À Combiers, la vallée de la Nizonne fait partie de la ZNIEFF de Modèle:Nobr nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »<ref name="Vallées">Modèle:Pdf - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref>Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>.
Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées<ref name="Vallées"/> :
- un amphibien : la Rainette verte (Hyla arborea) ;
- un crustacé, l'Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- cinq insectes dont trois lépidoptères : l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar) et le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et deux odonates : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) ;
- sept mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq chauves-souris : le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- quatre oiseaux : l'Alouette lulu (Lullula arborea), le Martin-pêcheur d'Europe (Alcedo atthis), le Milan noir (Milvus migrans) et le Tarier des prés (Saxicola rubetra) ;
- trois poissons : le Chabot commun (Cottus gobio), la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Toxostome (Parachondrostoma toxostoma) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées<ref name="Vallées"/>.
Natura 2000
Dans leur traversée de la commune, la Nizonne et sa vallée<ref>Carte du site FR7200663, INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref> font partie d'une zone du réseau Natura 2000 « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à [[Directive habitats#Annexe II|Modèle:Nobr]] de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne<ref>Modèle:Pdf FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref> :
- sept insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- dix mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola), et huit chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Petit murin (Myotis blythii) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) ;
- deux poissons : le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Urbanisme
Typologie
Combiers est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (67,5 %), zones agricoles hétérogènes (13,4 %), terres arables (11,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %), prairies (2,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Hameaux et lieux-dits
La commune assez étendue comporte de nombreux petits hameaux et fermes, principalement à la lisière de la forêt d'Horte. On peut citer Rozet, Lasfonds et la Peyre, les Roudiers, chez Bernard, la Chapelie, le Maine au Loup, Moulin Neuf<ref name="ign"/>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Combiers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par ruissellement et coulée de boue, notamment la Lizonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 87,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 66 sont en aléa moyen ou fort, soit 61 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
Les formes anciennes sont Comberiis, Comberio (non datés)<ref>Modèle:Ref-Ang-Pouillé 3</ref>, Comberio au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, dont l'identification avec Combiers est incertaine<ref>Modèle:Ref-Ang-Livre des fiefs</ref>.
Selon Dottin, cumborios signifierait « le Confluent ». En effet, Combiers est au confluent de la Lizonne et du ruisseau de la Lande. Cumborio- est un terme de nom gaulois, venant de comboro, qui pourrait avoir le même sens que l'irlandais commor : rencontre, confluent<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Selon Dauzat, le nom de Combiers viendrait de combe, employé dans tout le grand Sud de la France et en particulier en Charente, signifiant petite vallée, avec le suffixe collectif -arium<ref>Modèle:Dic-Dauzat-1989</ref>.
Langues
La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin<ref>Modèle:Ref-Charente-Michon</ref>. Elle s’écrit Combier en occitan<ref name=oc>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Article connexe
Histoire
Sous l'Ancien Régime, l'histoire de Combiers est liée à celle des seigneurs de La Rochebeaucourt, la famille Galard de Béarn depuis le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, ainsi qu'à celle de la forêt.
La forêt a attiré au Moyen Âge les religieux du prieuré de Rauzet.
Grâce aux mines de fer de la commune et à l'eau de la Lizonne, une forge a été construite par les Galard de Béarn au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Ce haut fourneau a été reconstruit en 1853 et possédé par la famille Cordebart. Le sable a été exploité pour faire des moules de fonderie. En 1870, la forge a été reconvertie en distillerie d'alcool de betteraves, puis tout récemment en une discothèque<ref name=hf>Modèle:Base Mérimée</ref>.
Vers cette même époque, le domaine du château, devenu forêt de La Rochebeaucourt, en grande partie sur la commune de Combiers mais aussi sur les communes d'Édon, Rougnac, Charras et La Rochebeaucourt, appartenait à une société chargée de son exploitation (président : Jean Claret).
La commune possédait aussi au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle une petite minoterie sur la Nizonne, au Moulin Neuf<ref name=mb>Modèle:Ref-Charente-MB</ref>.
Héraldique
Politique et administration
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Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 16,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 41,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 54,47 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Économie
Agriculture
La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Équipements, services et vie locale
Lieux et monuments
- Église de Rauzet ou Rozet, édifice roman de la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ancien prieuré, élevé par l'ordre de Grandmont; classée monument historique le 14 décembre 1992<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- L'église paroissiale Saint-Fiacre, édifice massif de style roman, avec extension de la nef d'un côté comme on en trouve parfois dans la région (par exemple Édon ou Rouzède). Elle dépendait du chapitre cathédral de La Rochebeaucourt. La chapelle grandmontaine de Rauzet servit d'annexe à la paroisse de Combiers et le cloître de cimetière.
- Arboretum du Clédou, partie de la forêt d'Horte, occupe une surface de Modèle:Unité et comporte Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web</ref>
- La discothèque la Forge était l'ancienne forge mentionnée dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name=hf/> (voir Histoire).
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L'église de Rauzet.
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La nef principale de l'église Saint-Fiacre.
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes