Dieu seul me voit (Versailles-Chantiers)

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Titre mis en forme Modèle:Infobox V3/Début Modèle:Infobox V3/Image Modèle:Infobox V3/Séparateur Modèle:Infobox V3/Tableau début Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau fin {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} Modèle:Infobox V3/Séparateur

Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Modèle:Infobox V3/Fin

Dieu seul me voit (Versailles-Chantiers) est un film français. Il s'agit du premier long-métrage réalisé par Bruno Podalydès, sorti en 1998. Il existe une version courte sortie au cinéma en 1998 et une version longue, dite interminable, sortie en DVD en 2008 et constituée de six épisodes d'une heure<ref name = "dieuseulmevoit">Site web du film http://www.whynotproductions.fr/article.php?id=30</ref>.

Synopsis

La calvitie naissante, Albert doute de son pouvoir de séduction. Il doute aussi de ses propres sentiments comme de la direction à prendre, de l'attitude à adopter, du discours à tenir… Bref, Albert doute de tout et hésite en permanence. Son indécision l'emmène sur un chemin cahoteux, plein de détours et de situations ubuesques laissant la providence seule décider de son sort<ref name=LM>Modèle:Article</ref>,<ref name=Libe>Modèle:Article</ref>.

Fiche technique

Distribution

Musique

Production

Initialement, certaines scènes du film avaient été imaginées par Bruno Podalydès comme des scénarios potentiels de courts métrages. C'est notamment le cas de la scène du don du sang. Ces scènes ont finalement été intégrées dans le scénario<ref name = "lalanne">Modèle:Article</ref>.

Le scénario et les dialogues ont été écrits par Bruno et Denis Podalydès<ref name=Libe />. En pratique, le travail de dialoguiste de Denis porte essentiellement sur son personnage<ref name = "lalanne" />.

L'écriture du film a été très longue et Bruno Podalydès a fini par remettre à son producteur Pascal Caucheteux un long scénario de 300 pages. Il lui a laissé tourner un film très long en pariant sur le fait que la forme finie du film se déciderait au cours du tournage ou du montage. Podalydès a monté une première version avec deux épisodes de quatre heures. Il a finalement énormément coupé pour arriver à une version de deux heures compatible avec une exploitation normale en salle. Il a ensuite envisagé d'utiliser cette matière pour en faire un feuilleton télévisé<ref name = "lalanne" />.

Le choix du titre indique que le film colle à l'intimité du personnage<ref name = "lalanne" />.

Autour du film

  • Dieu seul me voit est le deuxième volet d'une trilogie sur Versailles, dont le premier, le moyen-métrage Versailles Rive-Gauche (1992), met en scène le même anti-héros, donnant une soirée, en proie à une panique organisationnelle avant l'arrivée de ses invités. Le troisième volet, Bancs publics (Versailles Rive-Droite), est sorti en 2009.
  • Par son thème, sa distribution et son équipe technique, le film est proche de Comment je me suis disputé… (ma vie sexuelle) d'Arnaud Desplechin. Les deux films racontent en effet les errements d'un jeune homme particulièrement enclin à l'introspection avec en arrière-plan la vie d'un groupe. On retrouve dans la distribution des deux films Michel Vuillermoz, Denis Podalydès, Jeanne Balibar et Mathieu Amalric. Enfin le producteur est le même dans les deux films<ref name = "lalanne1">Modèle:Article</ref>.
  • Comme dans chacun de ses films, Bruno Podalydès glisse des clins d'œil aux albums de Tintin. Dans celui-ci, le héros emmène une amie dans un restaurant syldave avec la parfaite reconstitution d'une case du Sceptre d’Ottokar dans laquelle le serveur au gilet à carreaux écoute à la porte.
  • Comme dans chacun de ses films, Bruno Podalydès glisse au moins une scène dans laquelle apparaît la fusée de l'album de Tintin Objectif Lune. Dans celui-ci, elle se trouve sur le bureau d'Albert, près du répondeur.

Distinctions

Notes et références

Modèle:Références

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Palette

Modèle:Portail