Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages

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Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages est un film français réalisé par Michel Audiard et sorti en 1968. Il s'agit du premier long métrage réalisé par Michel Audiard.

Synopsis

Rita va jouer de ses relations, notamment amoureuses, parmi les truands pour obtenir sa part dans un partage de lingots d'or. Jacky réussit à braquer un chargement d'or, mais Fred (le fiancé de Rita) l'élimine et met la main sur le butin. Malheureusement, il se fait braquer par Charles « le téméraire » qui s'est associé opportunément à Rita pour s'introduire à son domicile avec sa bande. Mais Charles trahit Rita en refusant de lui verser sa part du magot, et ceci en présence de Fred, qui ne peut lui pardonner. Complètement grillée et sans un sou, Rita va se plaindre à sa tante Léontine, une redoutable femme escroc en retraite sur la côte d'Azur, depuis l'arrestation d'Al Capone. Elle lui fait croire que Charles l'a appelée "la gâteuse" et lui a manqué de respect ("la vieille perd ses boulons !"). Outragée, Léontine entreprend de monter à Paris (où elle a gardé de fidèles relations), bien décidée à régler ses comptes, au grand effroi du "milieu".

Fiche technique

Distribution

À noter

Ce sont de vrais hippies que l'on voit dans le film, Françoise Rosay a précisé qu'après le tournage il a fallu désinfecter leur loge<ref>Télé 7 Jours, Modèle:N°, semaine du 28 juin au 4 juillet 1969, Modèle:P., portrait et interview de Françoise Rosay par Danièle Sommer : Modèle:Citation</ref>.

Critiques

Pour le magazine Télé Loisirs, Modèle:Citation<ref>Télé Loisirs, Modèle:N°, du 19 au 25 septembre 1987, Modèle:P..</ref>.

Postérité

Le nom du film fait penser au roman Les Enfants du bon Dieu d'Antoine Blondin paru en 1952 aux éditions de La Table Ronde à Paris, dont la phrase mise en exergue est : « Il ne faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages », mais l'intrigue en est totalement différente.

Le titre du film est repris, en créole réunionnais (Elle y prend z'enfants bon dié po des canards sauvages), dans la chanson Nénette, ma nénette interprétée par le groupe Ousanousava<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La formule est réutilisée par le général de Gaulle dans une conférence de presse, après les événements de Modèle:Date-.

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

Liens externes

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