Genêts

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Modèle:Infobox Commune de France

Genêts (Genest au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année.</ref>.

Géographie

Fichier:Genets Blick.jpg
Vue sur le mont Saint-Michel.

Situation

Le village est situé à l'ouest de l'Avranchin, sur la rive nord de la baie du mont Saint-Michel, offrant une belle vue sur celle-ci, Tombelaine (réserve d'oiseaux) et le mont Saint-Michel. Au nord du village se trouve le bec d'Andaine<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>, qui fut jadis le port très fréquenté de Genêts. Ensablée depuis fort longtemps, il ne reste qu'une plage étendue d’où on peut faire des promenades guidées vers le mont Saint-Michel en passant par Tombelaine<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>. Genêts est limitrophe des communes de Vains, Bacilly et Dragey et est traversée par le Lerre.

Son bourg est à Modèle:Unité au sud de Sartilly, à Modèle:Unité à l'ouest d'Avranches et à Modèle:Unité au sud-est de Granville<ref>Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.</ref>.

Modèle:Communes limitrophes

Système érosion-progradation

L'érosion actuelle de la plage et des dunes de Dragey dans la baie du Mont-Saint-Michel<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Simplified geological and sedimentological map of the Mont-Saint-Michel bay (after Larsonneur and coll., 1989 ; L'Homer et al., 1999).</ref>,<ref>Coupe géologique à travers la baie.</ref> est à l'origine du recul du littoral d'environ Modèle:Unité depuis le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), les produits d'érosion étant transportés jusqu'au bec d'Andaine<ref>Le bec d'Andaine est la terminaison de ce système érosion-progradation.</ref> où la progradation des crêtes de sable (barres sableuses allongées, bien individualisées que tous les trois ou cinq ans, et terminées en crochet) s'érigeant en avant des anciennes dunes bordières, est du même ordre<ref>Modèle:Article.</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 0,6 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontorson », sur la commune de Pontorson, mise en service en 1997<ref>Modèle:Lien web.</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Genêts est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avranches, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du Modèle:Date-, dite loi littoral<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des Modèle:Nobr, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,5 %), prairies (27,4 %), terres arables (13,3 %), zones urbanisées (8,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,6 %), zones humides côtières (0,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Genitium au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, de Genecio en 1066, Genez en 1115, Genecium en 1140<ref>Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 1, 1990, page 655.</ref>.

Le nom Genêts (jadis de Genicio vers 1060<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, Genitium, Genecium) est sans rapport avec la plante du même nom (bas latin genĕsta, genista), par contre il correspond bien à sa situation géographique, puisqu'il est basé sur le celtique gen que l'on retrouve dans les environs: Argennes à Saint-Quentin-sur-le-Homme et Ingena, ancien nom d'Avranches<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. L'archétype devait être *genu- (Genova, Genève) « bouche » Cf. breton genou et gallois genau « bouches », de la sa signification topographique d'« embouchure » et Genêts « endroit près de l'embouchure » (ici celles de la Sée et de la Sélune), soit à l'embouchure de la Lerre sur laquelle l'agglomération est située (allusion à la baie du mont Saint-Michel)<ref>Cahier des Annales de Normandie - René Lepelley - Les noms de communes de l'arrondissement d'Avranches (Manche), page 562.</ref>.

François de Beaurepaire est le premier à rapprocher Genitium / Genecium de l'élément gaulois gen(u)a « bouche; embouchure, estuaire » , dont le radical gen- serait ici suivi d'un suffixe -icium<ref>François de Beaurepaire, La Toponymie de la Normandie, Méthodes et applications, Cahiers Léopold Delisle XVIII, fasc. 1-2, Modèle:1er semestre 1969, Société parisienne d’histoire et d’archéologie normandes, 1970, § 64.</ref>.

Jusqu'en 1893, la graphie officielle de la commune est Genest<ref name="Cassini"/>.

Le gentilé est Genestais.

Histoire

Fichier:Map of Genêts 1759.jpg
Carte de Genêts publié en 1759. L'estuaire n'est pas encore comblé. Cette carte présente une erreur : le quartier de Salmes y est représenté, or il a été emporté l'année précédente par une conjonction de fortes marées et de divagation de la Sée et de la Sélune<ref name="SIEG"/>.

Le territoire a probablement été celui d'une station romaineModèle:Sfn.

En 1090, quand le roi Guillaume et le duc RichardModèle:Sic assiégèrent le Mont-Saint-Michel, Richard avait pour quartier général GenêtsModèle:Sfn. Le roi d'Angleterre Modèle:Noble, en allant au Mont-Saint-Michel coucha plusieurs fois au villageModèle:Sfn.

Les bonnes conditions d'abri qu'offrait le port (un arc entre le bec d'Andaine et le Haut Moncel, encadrant l'estuaire du Lerre) lui permet de se développer et de devenir un port assez important de commerce jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : vin, blé, poissons séchés, plâtres, pierres à chaux, mercerie, draps, étoffes<ref name="SIEG">Modèle:Lien web.</ref>.

Les sources anciennes mentionnent l'activité de ce port. Un commerce de la région, les meules à moulins de Brie et de Champagne a donné son nom au bois des Meules<ref name="SIEG"/>. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle la population du bourg se monte à Modèle:Unité<ref name="SIEG"/>.

Mais sur les siècles suivant, la baie de Genêts va progressivement s'ensabler et l'estuaire de la Lerre se combler, faisant disparaitre son port. Le village est maintenant séparé de la mer par des marais.

L'affaire criminelle Gaston Durand s'est déroulée à Genets et fut jugée par les assises de la Manche à Coutances le Modèle:Date-<ref>Jean-François Miniac, Les Nouvelles Affaires criminelles de la Manche, de Borée, 2012, page ??</ref>.

Le Modèle:Date-, Genêts s'associe avec Dragey, Ronthon et Saint-Jean-le-Thomas, la commune ainsi formée prenant le nom de Dragey-Tombelaine. Genêts et Saint-Jean-le-Thomas sortent de l'association en 1979, et la commune fusionnée est renommée Dragey, puis Dragey-Ronthon.

Politique et administration

Fichier:GenêtsMairie.jpg
La mairie.

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées

|- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous. Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin Source : mairie de Genêts.Modèle:Boîte déroulante/fin Modèle:ÉluFin

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et trois adjoints<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Démographie

Modèle:Population de France/introduction

Peuplé d'environ Modèle:Unité au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècleModèle:Référence nécessaire,Genêts a compté après la mise en place des recensements républicains, jusqu'à Modèle:Unité en 1836.

Modèle:Population de France/tableau

Modèle:Population de France/graphique

Économie et infrastructure

Le camping est situé entre le village et la plage de sable.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:GenêtsChapelle.jpg
La Maison de la Baie, aménagée dans l'ancienne chapelle Sainte-Anne.

Genêts était le point d'aboutissement de nombreuses voies montoises empruntées par les pèlerins. Au Moyen Âge, la population s'éleva jusqu'à environ Modèle:Unité au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'église était alors entourée de sept chapelles dont la chapelle Sainte-Anne détruite puis reconstruite. L'église Notre-Dame est le seul monument qui nous reste de cette époque.

L'église

L'église de Genêts (Modèle:S mini-, Modèle:S mini-, {{#switch: -

 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècles

}}) avec un intérieur gothique et des chapiteaux romans sculptés, est placée sous le vocable de Notre-Dame et aussi sous celui de saint Sébastien.

On n'a pas de données précises sur la première église de Genêts dont certains éléments subsistent encore dans le transept actuel. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le grand abbé du Mont, Robert de Thorigny, « releva l'église qui tombait de vétusté » et la fit consacrer en 1157. De cette époque datent le transept et la robuste tour carrée alors surmontée d'une flèche de pierre. Après le passage des Anglais qui brûlèrent l'église, les abbés-barons Nicolas Le Vitrier et Geoffroy de Servon « qui tenait la truelle à la main et l'épée de l'autre » la reconstruisirent. Lors des guerres de Religion, l'église fut pillée par les troupes de Montgomery. À la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'état des bâtiments était lamentable avec des toitures trouées, des autels croulants. Au siècle suivant, un effort se manifeste.

Aujourd'hui, ce patrimoine est l'objet de mesures conservatoires et d'un suivi attentif. L'église et le cimetière ont été classés monuments historiques le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>. Elle abrite des statues, des autels et autres éléments classés au titre objet aux monument historique<ref>|Œuvres mobilières classées à Genêts.</ref> : statue de la Vierge du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, classée dès 1908, maître-autel (Modèle:S mini-), autels latéraux (Modèle:S mini-), chandeliers d'autel et croix de procession (Modèle:S mini-), tableau l'Assomption de la Vierge (Modèle:S mini-), statues saint Sébastien et la Vierge (Modèle:S mini-) ; et inscrits<ref>||Œuvres mobilières inscrites à Genêts.</ref>, dont un tableau (Modèle:S mini-) mémorial aux morts de la Première Guerre mondiale de Paul Lavallé.

Le transept avec ses quatre piliers massifs et la tour implantée à la croisée de celui-ci appartient à la période romane. Certains éléments plus anciens ont été repris dans cette construction. La tour qui comprend deux étages, autrefois surmontés d'une flèche, a été remaniée au Modèle:S mini- par l'abbé Guillaume de Lamps qui la coiffa d'un toit en bâtière. Les cloches d'origine fondues à la Révolution, remplacées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, servaient aussi à guider les personnes égarées dans la baie par temps de brume. Sur les bancs du charmant porche sud dont la construction est attribuée à Guillaume de Lamps, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, se traitaient autrefois les affaires de la paroisse.

Le chœur à chevet plat, est divisé en trois travées. Il pourrait avoir été édifié vers le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle . La baie du chevet est décorée d'un vitrail restauré au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, dont certains éléments sont du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La nef très difficile à dater a été fort remaniée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Une récente restauration menée a permis de découvrir une charpente du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, à poinçon et entraits qui a été rétablie. Outre la grande verrière du chevet, l'église recèle des objets intéressants, des statues, des autels… Le peintre Alexandre-Claude-Louis Lavalley y a peint Le Christ sortant du tombeau.

Fichier:Notre-Dame de Genêts.jpg
Le chœur de l'église Notre-Dame.

Autres lieux et monuments

Fichier:Maringotte.jpg
Maringotte, carriole attelée qui assurait la liaison vers le mont Saint-Michel à partir de Genêts.

Activité et manifestations

Fichier:Traversée Baie du Mont-Saint-Michel.jpg
Traversée des grèves jusqu'au Mont-Saint-Michel depuis le Bec d'Andaine.

Modèle:…

Personnalités liées à la commune

Fichier:Genêts (50) Henri Ménardais.jpg
Plaque à la mémoire de l'abbé Henri Ménardais en l'église Notre-Dame de Genêts.

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail