Gondebaud
Modèle:Voir homonyme Modèle:Infobox Biographie2 Gondebaud ou Gondovald ou Gombaud, né vers 450, mort en 516, est roi des Burgondes à partir des Modèle:Nobr, d'abord avec ses frères, Godégisile, Gondemar et Chilpéric, puis seul à partir de 501.
Après avoir été magister militum et patrice et avoir fait de Glycérius un éphémère empereur des Romains, il s'est efforcé d'unir les Burgondes et les Gallo-Romains et a réussi à créer une entité et une identité commune à ces deux peuples, forgeant un particularisme burgonde, qui se perpétuera même après l'intégration au royaume franc des Mérovingiens, dans le Modèle:Latin (royaume de Bourgogne ou de Burgondie), à côté de la Neustrie et de l'Austrasie.
L'action législatrice de Gondebaud laisse son nom à la loi Gombette, élément de cohésion pour les habitants de la Burgundia.
Biographie
Gondebaud est le petit-fils de Gondicaire, fondateur de la monarchie burgonde, et le fils aîné de Gondioc, époux d'une sœur<ref>Modèle:Harvsp.</ref> du Suève Ricimer, patrice des Romains vers 470.
En Italie
Au début des années 470, Gondebaud est présent en Italie<ref>Louis Girod, Évian et le Chablais : au fil de l'histoire, Éditions Cabedita, 1993, Modèle:P.34.</ref>,<ref group=notes>Justin Favrod, dans Les Burgondes, Modèle:P.70 donne pour certain le meurtre de l'empereur Anthémius à Rome en 472 perpétré par Gondebaud, alors qu'il était envoyé, dit Favrod, par Chilpéric pour venir en aide à Ricimer qui tentait de renverser l'empereur. Katalin Escher, dans Genèse et évolution du deuxième royaume burgonde (443-534), Volume 2, Modèle:P.732 donne la même version. Enfin, le lien externe : Anthémius, sur De Imperatoribus Romanis, donne cette information, (en anglais), en indiquant que son origine proviendrait de Jean Malalas (Chronique) : Indeed, it was Gundobad himself who was responsible for Anthemius death.
Malalas reported, "Ricimer immediately summoned Gundobad, the son of his sister, from Gaul, where he was Master of Soldiers, who, having killed the emperor Anthemius in the very church of the St. Peter the Apostle, where he had taken refuge, then returned to Gaul" (Chron. 375).</ref>, où il reçoit une éducation raffinée à la cour impériale de Ravenne, aux côtés de Ricimer<ref group="notes">Le patrice Ricimer qui tenait l'Empire était beau-frère de Gondioc qui avait reçu pour épouse l'une de ses sœurs.</ref>, patrice des Romains depuis 456 et véritable maître du gouvernement.
Gondebaud reçoit le titre de Modèle:Latin (« maître des milices ») de la Gaule, puis est élevé à la dignité de patrice à la mort de Ricimer en 472. L'empereur romain d'Occident Olybrius étant mort en 472<ref>Généalogie d'Olybrius sur le site Medieval Lands.</ref>, Gondebaud contribue à l'élection de son successeur, l'empereur Glycérius mais ne parvient pas à le maintenir face à l'opposition de l'empereur d'Orient Modèle:Noble qui impose Julius Nepos.
Roi des Burgondes avec ses frères
Gondebaud revient en Gaule vers 474.
Gondioc étant mort vers cette date, le royaume burgonde est dirigé par son oncle Modèle:Noble.
À la mort de Modèle:Noble-, vers 480<ref>Voir Modèle:Harvsp.</ref>, Gondebaud devient roi des Burgondes conjointement avec ses trois frères, selon la coutume germanique de partage du royaume.
La disparition de Chilpéric et de Gondemar
Modèle:Noble et Gondomar meurent assez rapidement, comme l'indique une lettre<ref group=notes>Saint-Avit aurait dit à Gondebaud : Modèle:Citation. Dans La Bourgogne au Moyen Âge édité par l'Académie de Dijon, Centre régional de recherche et de documentation pédagogiques (1972).</ref> de l'évêque Avit de Vienne à Gondebaud, où il nous le montre affligé de la mort de ses frères : Modèle:Citation
La disparition de ces deux frères donne lieu à un débat historiographique. Au minimum, la responsabilité de leur mort est attribuée à Gondebaud. Une reconstruction<ref>Voir la page Gondemar et la discussion.</ref> un peu romancée envisage une tentative de renversement de Gondebaud par Chilpéric et Gondemar, Godegisèle restant en dehors de l'affaire. Gondebaud aurait d'abord été vaincu près d'Autun, puis aurait réussi à rétablir la situation et aurait pris les deux frères dans Vienne, Gondemar mourant au cours des combats et Chilpéric étant exécuté par Gondebaud.
La documentation d'époque consiste essentiellement en un passage de Grégoire de Tours où celui-ci évoque formellement et de façon assez détaillée l'assassinat de Chilpéric et de son épouse par Gondebaud, mais sans en donner les circonstances. Pour Grégoire de Tours, Chilpéric est un personnage important en tant que père de Clotilde (465-545), qui devient reine des Francs dans les Modèle:Nobr, et qui passe les dernières années de sa vie, exceptionnellement longue pour l'époque, à Tours, ville dont Grégoire devient évêque en 565 :
Modèle:Début citationGondioc avait été roi des Burgondes : il appartenait à la famille d'Athanaric, le roi persécuteur de qui nous avons parlé ci-dessus. Il avait eu quatre fils : Gondebaud, Godégisèle, Chilpéric et Gondemar. Gondebaud égorgea Chilpéric son frère et noya la femme de celui-ci en lui attachant une pierre au cou. Il condamna à l'exil ses deux filles ; l'aînée, qui prit l'habit, s'appelait Croma, la plus jeune Clotilde. Or, comme Clovis envoie souvent des ambassades en Bourgogne, la jeune Clotilde est aperçue par ses ambassadeurs. Comme ils l'avaient trouvée élégante et sage et qu'ils avaient su qu'elle était de famille royale, ils l'annoncèrent au roi Clovis. Sans tarder, celui-ci envoie à Gondebaud une ambassade pour la demander en mariage. Ce dernier n'osant pas opposer un refus la remit aux ambassadeurs, et ceux-ci, amenant la jeune fille, la présentant au plus vite au roi. Quand il l'eut vue, le roi fut rempli d'une grande joie et il se l'associa par le mariage, alors qu'il avait déjà d'une concubine un fils nommé Thierry. Modèle:Fin citation
En ce qui concerne Gondemar, on n'a pas de renseignements sur les circonstances de sa disparition<ref>Voir le chapitre « Gondemar a disparu mystérieusement », dans Clovis, un roi de légende, Modèle:P.148, de Michèle Laforest, Albin Michel Modèle:ISBN.</ref>.
Roi avec Godégisile
À la suite de la mort de Chilpéric et de Gondemar, un nouveau partage du royaume a lieu entre Gondebaud et Godégisile. Gondebaud établit sa capitale à Lyon et son frère s'installe à Genève.
En 491, Gondebaud consent<ref group=notes>« ne pas opposer un refus » semble indiquer qu'il aurait bien voulu dire non et que s'il a dit oui c'est à contrecœur. In Modèle:Harvsp.</ref> à accorder la main de Clotilde, sa nièce, au roi des Francs Modèle:Noble et le mariage a lieu vers 493<ref>Modèle:Harvsp.</ref>,<ref group=notes>Il faut toutefois prendre en considération les incertitudes qui pèsent sur la chronologie de certains événements concernant le royaume burgonde ainsi que sur la succession d'événements qui ont marqué le règne de Clovis. La date du mariage de Clovis fait l'objet de controverses entre les historiens et l'année 493 n'est peut-être pas celle de la vérité historique.</ref>. Le mariage de Clotilde, fervente catholique, très pieuse, nourrie, d'après Grégoire de ToursModèle:Refsou, d'un grand ressentiment envers son oncle Gondebaud, est très important pour les destinées du royaume burgonde.
En 492, Gondebaud entreprend une expédition contre les Ostrogoths en Ligurie et Lombardie, dont il sort victorieux. À la suite de cette expédition, une ambassade est envoyée par Théodoric le Grand pour le rachat des prisonniers, et Ostrogotha, fille de Théodoric, est accordée en mariage à Sigismond, fils de Gondebaud.
En 496, le roi burgonde apporte son aide à Clovis dans sa campagne contre les Alamans, achevée par la victoire franque de Tolbiac, ce qui permet aux Burgondes d'étendre leurs frontières jusqu'à la Reuss<ref>Édouard Sécretan, Le premier royaume de Bourgogne, Modèle:P..</ref>, aux confins de l'actuelle Suisse.
Le prosélytisme<ref group=notes>Modèle:Citation.</ref> de Clotilde pour obtenir la conversion de Clovis, encore païen, à la religion chrétienne est couronné de succès après la victoire de Tolbiac. Mais Clovis, baptisé à Reims par l'évêque Rémi, devient immédiatement catholique, ce qui amène l'épiscopat catholique du royaume burgonde, l'évêque Avit en tête, à apporter son soutien au roi des Francs, Clovis étant salué comme « un nouveau Constantin ».
Malgré les efforts d'Avit, son ami, confident et conseiller, le roi burgonde préfère rester arien comme la majorité de son peuple, tout en étant soucieux de maintenir la concorde entre les Burgondes et les Gallo-romains catholiques. Le refus de Gondebaud de se convertir a sans doute été une occasion d'aller de l'avant pour Clovis. Mais Clotilde aurait aussi poussé, selon la traditionModèle:Refnec, son mari à attaquer le responsable du meurtre de son père.
La guerre de Gondebaud contre Godégisile et Clovis (500)
Modèle:Article détaillé Grégoire de Tours raconte cette guerre de façon détaillée :
Gondebaud s'enferme à Avignon sous la protection des remparts de la ville. Le siège de celle-ci traînant en longueur, Clovis accepte de négocier. Gondebaud se reconnaît tributaire.
Après le départ de Clovis, Gondebaud mobilise à nouveau une armée, se dirige sur Vienne où son frère s'est installé et y met le siège. La ville de Vienne n’étant pas prête à tenir un siège, Godégisile décide d’expulser toutes les bouches inutiles car la famine était proche. Il expulse notamment l’employé de l’aqueduc, qui, vexé, aurait proposé à Gondebaud d’entrer dans la ville par l’aqueduc ainsi que le raconte Grégoire de Tours :
Godégisile s’étant réfugié dans la cathédrale arienne, Gondebaud l’y rejoint et le tue sur place, ainsi que l’évêque : Grégoire de Tours continue son récit : Modèle:Citation bloc
Il tue aussi la femme et les deux filsModèle:Refnec<ref group=notes>Il y a une analogie curieuse entre la fin de Godégisile et celle de Chilpéric.</ref> de Godégisile, seules furent épargnées ses deux petites-filles : Sédéleubeude et Gondioque.
Désormais, Gondebaud est seul roi. Il « rétablit sous sa domination toute la région qui est maintenant appelée la Bourgogne et il édicta pour les Burgondes des lois plus douces afin qu'ils n'oppriment pas les Romains ».
Gondebaud seul roi des Burgondes
Le royaume de Gondebaud atteint alors sa plus grande extension ; il va de la Loire et du Rhône aux Alpes et au Rhin, incluant une partie de l'Helvétie. Du côté du nord, il dépasse la ville et le plateau de Langres et atteint la lisière du massif des Vosges ; au sud, il englobe l'ouest de la Provence, y compris, pendant un moment, Marseille.
Après la guerre de l'année 500, un traité est concluModèle:Refnec l'année suivante avec Clovis<ref group=notes>Il paraît peu vraisemblable que Clovis n'ait pas réagi de façon plus sérieuse à l'assaut d'un tributaire contre un allié. Par ailleurs, quel est le contenu de ce traité ?</ref> sur la rivière Modèle:Latin<ref>Modèle:Harvsp.</ref>,<ref group=notes>D'autres auteurs placent le traité à l'année 506. Remarque : le nom de cette rivière pourrait être lié au mot gaulois Modèle:Page h'.</ref>, l'actuelle Cure, Gondebaud est désormais libre de se consacrer aux soins du gouvernement intérieur.
Il est à la fois Modèle:Latin et Modèle:Latin, ce qui fonde la légitimité de son pouvoir sur les Burgondes et sur les Gallo-Romains. Pétri de culture romaine (Avit de Vienne assureModèle:Refnec que Gondebaud Modèle:Cita), il a parmi ses conseillers des lettrés gallo-romains : Placidus, Lucanus, Héraclius, Laconius, ainsi que Syagrius de Lyon, appelé par Sidoine ApollinaireModèle:Refnec Modèle:Latin (« moderne Solon des Burgondes »), qui connaît la langue burgonde.
Marius d'Avenches ditModèle:Refnec que le règne se déroule Modèle:Latin (« heureusement »).
Burgondes et Gallo-Romains
Il s'efforce d'apaiser les tensions religieuses et de maintenir l'équilibre entre les Burgondes, presque tous ariens, et les Gallo-romains de confession catholique.
La coexistence des deux confessions se manifeste même au sein de la famille royale. Lui-même continue de refuser de se convertir, mais son épouse Carétène, morte en 506 est catholique<ref group=notes>Elle fait construire à Lyon une église dédiée à l’archange Michel. Cf. Modèle:Harvsp.</ref>. Rheinhold Kaiser écrit : Modèle:Cita. Il pousse la confiance envers les catholiques et leur clergé jusqu'à remettre à l'évêque Avit de Vienne l'éducation de son fils Sigismond, qui se convertit au catholicisme vers 506.
L'équilibre entre les Gallo-Romains et les Burgondes est aussi maintenu par la règle voulant que deux comtes soient en fonction dans chaque cité, un Romain et un Burgonde, chacun jugeant selon son propre droit<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.
La loi Gombette
Le nom de Gondebaud reste attaché à l'œuvre législative de son règne :
- la loi des Burgondes (Modèle:Latin), qui s'applique aux sujets burgondes, et aux conflits Modèle:Cita ; elle est couramment appelée, dès cette époque, Modèle:Latin, puis par déformation Modèle:Latin, formulation qui en français est devenue « loi Gombette » ; elle comporte 88 titres au départ<ref>Cf. La Bourgogne au Moyen Âge, CRDP, Dijon, 1972.</ref> ;
- la loi romaine des Burgondes (Modèle:Latin), qui s'applique aux sujets gallo-romains, et est du reste une reprise du droit romain, c'est-à-dire à cette époque du Code de Théodose ; elle est aussi appelée « loi Papien » ; elle comporte Modèle:Nobr avec Modèle:Nobr<ref>Cf. Les Modèle:Nobr de la Lex Romana Burgundionum (en latin).</ref>.
Ces deux lois sont en fait des codes promulgués, selon l'opinion la plus générale, en 501/502<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Gondebaud est le premier souverain germanique de Gaule à doter ses sujets d'un corps de lois nationales. À cette époque les lois s'attachent à la personne, à la nationalité et non au territoire, selon le principe de la « personnalité des lois ». Le juge, avant toute décision, doit s'enquérir de la nationalité du plaignant ou de l'accusé.
La loi Gombette légifère dans le domaine de la propriété foncière, avec les règles de l'« hospitalité », c'est-à-dire les conditions du partage des terres, ainsi que les obligations réciproques de chacune des parties, entre les Burgondes, nouveaux venus, et les anciens propriétaires du sol. Ce partage devait se faire sans violence, dévoilant ainsi le caractère plutôt pacifique des Burgondes<ref group=notes>Cette remarque est purement idéologique : il n'y a aucune raison pour que les Burgondes aient été plus ou moins « pacifiques » que les Francs, les Wisigoths ou les Vandales.</ref>.
Elle légifère également sur les peines à infliger aux crimes et délits.
La loi Gombette a été augmentée par les successeurs de Gondebaud, Sigismond et Gondemar. Elle comporte Modèle:Nobr dans sa version finale, qui restera en vigueur même après la conquête du royaume des Burgondes par les Francs.
L'alliance avec les Francs
Selon Rheinhold Kaiser, il faut peut-être voir dans la conversion au catholicisme de Sigismond, gendre du roi des Ostrogoths, l'arien Théodoric le Grand, la cause du renversement d'alliance qui s'opère en faveur des Francs et au détriment des Goths<ref name="KAIS_90"/>.
En 507, Gondebaud fait cause commune avec Clovis dans la guerre contre les Wisigoths d'Modèle:Noble. Un détachement conduit par Sigismond<ref>Lebecq, page 56.</ref> participe à la campagne qui se termine par la victoire de Vouillé ; le royaume aquitain des Wisigoths tombe alors sous la domination du roi franc.
En 508, Francs et Burgondes font toujours cause commune contre les Ostrogoths à qui ils tentent de prendre le reste de la Provence. Mais ils sont mis en déroute par les généraux de Théodoric le Grand, Ibba et Mammo, qui les obligent à lever le siège d'Arles, puis s'emparent de Nîmes et de Narbonne en 509, pendant que les renforts ostrogoths dirigés par le duc Mammo ravagent Orange et Valence puis refoulent les Burgondes vers le nord. Gondebaud ne peut recouvrer la possession d'Arles et Marseille<ref group=notes>L'évolution de la situation de la Provence et de Marseille entre 492 et 508 par rapport aux Burgondes et aux Ostrogoths n'est pas très claire sur cette page.</ref>. Enfin, en 510, Ibba libère Carcassonne ; tandis que Clovis décède à Paris en 511. Selon Jordanès, probablement peu objectif du fait de ses origines gothiques, plus de Modèle:Nb furent tués par Ibba lors des combats.
Préparation de la succession
Voulant éviter les inconvénients du système germanique de succession, qu'il a connu au début de son règne, Gondebaud applique le système de la primogéniture. Quelques années avant sa mort en 516<ref group=notes>Peut-être à Genève.</ref>, il fait reconnaîtreModèle:Refnec par les grands du royaume son fils aîné Sigismond comme son successeur présomptif.
Mariage et descendance
Gondebaud a pour épouse Carétène, une catholique avec laquelle il a deux enfants légitimes :
- Sigismond, roi des Burgondes de 516 à 523 ;
- Modèle:Noble, roi des Burgondes de 524 à 534.
Notes et références
Notes
Références
Voir aussi
Bibliographie
Sources
- Grégoire de Tours, Modèle:Latin, traduction de Robert Latouche, Les classiques de l'histoire de France au Moyen Âge.
- La Loi Gombette, édition latine par J.E. Valentin-Smith, fascicule 2, Lyon et Paris, 1889.
- J.-F.-A. Peyré, La loi Gombette (traduction en français), Auguste Brun éditeur, Paris, 1855, disponible en ligne sur Google Livres.
Ouvrages récents
- Haut Moyen Âge
- Stéphane Lebecq, Les origines franques, Modèle:S mini-Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Seuil (Nouvelle histoire de la France médiévale, 1), 1990, particulièrement : pages 45-60 (première partie, chapitre 1 : « Clovis (481-511) ») Modèle:ISBN.
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Ouvrage.
- Sur les Burgondes et la Bourgogne
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage.
- La Bourgogne au Moyen Âge, Centre régional de recherche et de documentation pédagogique, Dijon, 1972.