Jabir ibn Hayyan

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Source douteuse Modèle:Infobox Biographie2 Abu Mūsā Jābir ibn Hayyān (en arabe : جابر بن حیان, en persan : جابر بن حیان, souvent avec les nisbahs d'al-Bariqi, al-Azdi, al-Kufi, al-Tusi ou al-Sufi ; fl. c. 721 - c. 815<ref name=":0">Modèle:Article</ref>), aussi connu par la latinisation Geber, était un polymathe : chimiste et alchimiste, astronome et astrologue, ingénieur, géographe, philosophe, physicien, et pharmacien et médecin arabe originaire de Tous, Khorassan, Iran. Il a été décrit comme le père des débuts de la chimie, qui a également anticipé la fission nucléaire et le pouvoir destructeur de la scission d'un atome<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Zygmunt S Derewenda. (2007), "On wine, chirality and crystallography", Acta Crystallographica A, 64: 246–258 [247], Bibcode : 2008AcCrA..64..246D, doi :10.1107/s0108767307054293, PMID 18156689</ref>,<ref>John Warren (2005). "War and the Cultural Heritage of Iraq: a sadly mismanaged affair", Third World Quarterly, volume 26, Issue 4 & 5, p. 815-830.</ref>,<ref>Modèle:Dr A. Zahoor (1997). JABIR IBN HAIYAN (Geber) Modèle:Lien archive. Université d'Indonésie.</ref>.

Dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'identité de Jabir ainsi que l'étendue de son corpus étaient mis en question dans les cercles islamiques, puisque nombre de ses écrits auraient été l'œuvre d'autres intellectuels empruntant son nom. Aujourd'hui, les incohérences de forme et d'état de la connaissance poussent les historiens à parler du "Corpus Jabir", afin de mettre en évidence la multiplicité de ses auteurs<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Son nom a été latinisé en tant que "Geber" dans l'Ouest chrétien et dans l'Europe du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. 'Geber' a également été réutilisé par un moine franciscain d'Assise, Paul de Tarente, habituellement appelé Pseudo-Geber, pour publier des écrits d'alchimie et de métallurgie<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Biographie

Jabir est né à Tous, Khorassan, en Perse<ref name=":0" />, alors dirigé par le Califat Omeyyade. Le nom Al-Azdī indique son affiliation avec la tribu Arabe des Azd (Qahtanite), cependant, il y a une divergence<ref name="Nasr">S.N. Nasr, "Life Sciences, Alchemy and Medicine", The Cambridge History of Iran, Cambridge, volume 4, 1975, p. 412: "Jabir est intitulé dans les sources traditionnelles comme al-Azdi, al-Kufi, al-Tusi, al-Sufi. Il ne fait aucun doute que c'était un Persan du Khorasan qui est allé plus tard à Koufa ou qu'il était, comme certains l'ont suggéré, d'origine syrienne et a ensuite vécu en Iran".</ref> quant à savoir s'il était un Arabe<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, un Persan du Khorassan qui est ensuite allé à Koufa, ou s'il était, comme certains l'ont suggéré, d'origine syrienne, et a plus tard vécu en Perse et en Irak<ref name="Nasr" />.

Son origine ethnique n'est pas claire<ref name="Nasr" />, certaines sources le désignent comme le fils de Hayyan al-Azdi, un pharmacien de la tribu arabe Azd qui a émigré du Yémen à Koufa (Irak actuel) pendant le califat omeyyade<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name=":1">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name="Holmyard1997">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, d'autres le désignent comme un Persan<ref name="SourcesP">* William R. Newman, Gehennical Fire: The Lives of George Starkey, an American Alchemist in the Scientific Revolution, Harvard University Press, 1994. p. 94

  • William R. Newman, "The Occult and Manifest Among the Alchemists", in F. J. Ragep, Sally P Ragep, Steven John Livesey, Tradition, Transmission, Transformation: Proceedings of Two Conferences on pre-Modern science held at University of Oklahoma, Brill, 1996-1997, p. 178
  • Henry Corbin, "The Voyage and the Messenger: Iran and Philosophy", translated by Joseph H. Rowe, North Atlantic Books, 1998. p. 45
  • Tamara M. Green, "The City of the Moon God: Religious Traditions of Harran (Religions in the Graeco-Roman World)", Brill, 1992. p. 177
  • David Gordon White, "The Alchemical Body: Siddha Traditions in Medieval India", University of Chicago Press, 1996. p. 447
  • William R. Newman, Promethean Ambitions: Alchemy and the Quest to Perfect Nature, University of Chicago Press, 2004. p. 181
  • Wilbur Applebaum, The Scientific revolution and the foundation of modern science, Greenwood Press, 1995. p. 44
  • Neil Kamil, Fortress of the Soul: Violence, Metaphysics, and Material Life in the Huguenots New World, 1517–1751 (Early America: History, Context, Culture), JHU Press, 2005. p. 182
  • Aleksandr Sergeevich Povarennykh, Crystal Chemical Classification of Minerals, Plenum Press, 1972, v.1, p.4
  • George Sarton, Introduction to the History of Science, Pub. for the Carnegie Institution of Washington, par Williams & Wilkins Company, 1931, vol.2 pt.1, page 1044
  • Dan Merkur, in The psychoanalytic study of society (éd. Bryce Boyer, et al.), vol. 18, Routledge, page 352
  • Anthony Gross, The Dissolution of the Lancastrian Kingship: Sir John Fortescue and the Crisis of Monarchy in Fifteenth-century England, Paul Watkins, 1996, p. 19</ref>. Henry Corbin croit que Geber semble avoir été un client de la tribu Azd<ref>Henry Corbin, The Voyage and the Messenger: Iran and Philosophy, traduit par Joseph H. Rowe, North Atlantic Books, 1998. p. 45 : "La Nisba al-Azdin n'indique pas nécessairement l'origine arabe. Geber semble avoir été un client de la tribu Azd établie à Kufa."</ref>.

Selon Ibn al-Nadīm, Jabir était originaire du Khorassan (est de l'Iran), mais a passé la majeure partie de sa vie à Koufa<ref>Modèle:Article</ref>. Les Azd étaient fermement établis à la fois à Koufa et au Khorassan<ref>Modèle:Article</ref>, Jabir était peut-être un descendant des Arabes installés dans la région. Hayyan avait soutenu la révolte abbasside contre les Omeyyades, et avait été envoyé dans la province de Khorassan pour rassembler le soutien pour leur cause. Il a finalement été capturé par les Omeyyades et exécuté. Sa famille a fui au Yémen<ref name=":1" />,<ref name="Holmyard">E. J. Holmyard (éd.) The Arabic Works of Jabir ibn Hayyan, translated by Richard Russell in 1678. New York, E. P. Dutton (1928); Also Paris, P. Geuther.</ref>, où Jabir a grandi et a étudié le Coran, les mathématiques et d'autres sujets<ref name=":1" />. La profession du père de Jabir peut avoir grandement contribué à son intérêt pour l'alchimie.

Après la prise du pouvoir par les Abbassides, Jabir retourna à Koufa. Il a commencé sa carrière en pratiquant la médecine, sous le patronage d'un vizir (de la noble famille perse Barmécides) du calife Hâroun ar-Rachîd. Ses liens avec les Barmécides lui ont coûté cher à la fin. Quand cette famille est tombée en disgrâce en 803, Jabir a été placé en résidence surveillée à Koufa, où il est resté jusqu'à sa mort.

Il a été affirmé que Jabir était un étudiant de l'imam Ja'far al-Sâdiq et Harbi al-Himyari<ref name="Brabner2005">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name="Haq 1994 14–20">Modèle:Ouvrage</ref>; cependant, d'autres chercheurs ont remis en question cette théorie<ref>Modèle:Article</ref>.

Travaux alchimiques

Modèle:Source douteuse Jâbir a écrit plus de cent traités sur des sujets variés, dont 22 concernent l'alchimie. Fermement bâtis sur des observations expérimentales, ses livres donnent une systématisation des procédés chimiques fondamentaux utilisés par les alchimistes, tels que la cristallisation, la distillation, la calcination, la sublimation et l'évaporation. Ils constituent donc un grand pas dans la transformation de la chimie d'un art occulte en une discipline scientifiqueModèle:Référence nécessaire. En particulier, Jâbir devine que des quantités finies de différentes substances sont mises en œuvre au cours des réactions chimiques, devançant ainsi de presque un millénaire les principes de la chimie moderne et notamment de la loi des proportions définies découverte par Joseph Louis Proust en 1794Modèle:Référence à confirmer<ref> Modèle:Ouvrage</ref>,<ref> Modèle:Lien web</ref>,<ref> Modèle:Lien web</ref>.

On lui attribue également l'invention et le développement de plusieurs équipements de laboratoire toujours en usage à l'heure actuelleModèle:Lesquels. Héritier des alchimistes gréco-égyptiens comme Zosime de Panopolis, il utilisa l'alambic, qui lui permit d'effectuer des distillations de manière plus sûre, plus aisée et plus efficace. En distillant des sels en présence d'acide sulfurique, Jâbir découvrit l'acide chlorhydriqueModèle:Référence nécessaire(à partir de chlorure de sodium) et l'acide nitriqueModèle:Référence nécessaire. (à partir de salpêtre). Au-delà de ses applications pour l'extraction et la purification de l'or, cette invention fit à la fois le bonheur et le désespoir des alchimistes pendant le millénaire suivantModèle:Pourquoi. On lui attribue également la découverte de l'acide tartrique Modèle:Référence nécessaire(à partir de résidus de vinification).

Jâbir appliqua ses connaissances à l'amélioration de nombreux procédés de fabrication, parmi lesquels la fabrication de l'acier et de divers métaux, la prévention de la rouille, la dorure, la teinture des vêtements, la tannage du cuir, ainsi que l'analyse de pigments. Il développa l'utilisation du dioxyde de manganèse (MnO2) dans la fabrication du verre afin de compenser les teintes vertes produites par le fer, procédé encore employé de nos jours. Il remarqua que l'ébullition du vin produit une vapeur inflammable, ouvrant ainsi la voie à la découverte de l'éthanol par Al-Razi.

Il proposa également une nomenclature des substances, qui peut être vue comme posant les bases de la classification des éléments moderne. Il proposa de séparer les substances en trois catégories : « esprits », qui se vaporisent sous l'effet de la chaleur comme le camphre, l'arsenic ou le chlorure d'ammonium ; les « métaux » comme l'or, le plomb, le cuivre et le fer ; et les « pierres » qui peuvent être broyées sous forme de poudre.

Au cours du Moyen Âge, ses traités d'alchimie furent traduits en latin et devinrent les textes de référence des alchimistes européens. Parmi ceux-ci on peut citer le Kitab al-Kimya (« Livre de la composition de l'alchimie »), traduit par Robert de Chester en 1144, et le Kitab al-Sab'een (« Les 70 livres »), traduit par Gérard de Crémone (avant 1187). Berthelot traduisit certains de ses livres connus sous les titres de « Livre du Royaume », « Livre de l'Équilibre », « Livre de Mercure Oriental ». Certains termes techniques introduits par Jâbir passèrent dans les langues européennes et devinrent des mots courants du vocabulaire scientifique, comme al kali (alcalin).

Jâbir devint alchimiste à la cour du calife Haroun al-Rashid. Son intérêt pour l'alchimie fut très inspiré par son maître Ja'far al-Sadiq, qui était un homme très instruit et l'une des plus hautes autorités dans le domaine des sciences ésotériques. Jâbir fut lui-même surnommé « al-Sufa », ce qui indique qu'il appartenait à une branche mystique et ascétique de l'Islam. Il écrivit le Kitab al-Zuhra (« Livre de Vénus », le Noble art de l'alchimie) pour Haroun al-Rashid. Il écrit dans son « Livre des Pierres » que « le but est de désarçonner et d'induire en erreur tous sauf ceux aimés de Dieu et qu'il destine au savoir. » Ses travaux étaient délibérément écrits suivant un code ésotérique, de manière que seuls ceux ayant été initiés dans son école d'alchimie puissent les comprendre. Il est donc très difficile pour le lecteur moderne de discerner quels aspects de ses écrits doivent être compris comme des symboles (et d'en démêler la signification) et lesquels peuvent être compris littéralement.

Le but des travaux alchimiques de Jâbir concernait la création artificielle de la vie. Ses recherches étaient fondées théoriquement sur une numérologie élaborée liée aux systèmes pythagoricien et néoplatonicien. La nature et les propriétés des éléments étaient définies aux travers de nombres assignés en fonction des consonnes arabes présentes dans leurs noms.

Jâbir ajouta quatre propriétés à la physique d'Aristote : le chaud, le froid, le sec et l'humide. Chaque élément de la physique d'Aristote était caractérisé par ces propriétés : le Feu était chaud et sec, l'Eau froide et humide, la Terre froide et sèche et l'Air chaud et humide. Dans les métaux, deux de ces propriétés étaient intérieures et deux extérieures. Par exemple, le plomb était froid et sec, et l'or chaud et humide. D'après la théorie de Jâbir, il devrait être possible en réarrangeant les propriétés d'un métal d'en créer un nouveau. Cette théorie fut à l'origine de la recherche de l’al-iksir, l'élixir indéfinissable qui aurait rendu cette transformation possible, équivalent de la pierre philosophale dans l'alchimie européenne.

Les travaux de Jâbir concernèrent également la médecine et l'astronomie. Malheureusement, un petit nombre seulement de ses livres ont été édités et publiés, et peu sont toujours disponibles pour la traduction.

Il aurait aussi inventé l'alambic au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle selon certaines sources<ref>Les 10 savants musulmans qui ont révolutionné le monde</ref>.

Mais contrairement à la croyance populaire, il n'est pas l'inventeur de l'eau régale, qui est le fait de Pseudo-Geber<ref name="Principe 2012">Modèle:Ouvrage</ref>.

Ouvrages de Jâbir ibn Hayyân

Les écrits de Jâbir peuvent être classés en quatre catégories :

  1. Les 112 Livres dédiés aux vizirs et au calife Haroun al Rashid, Modèle:Refnec. Ils incluent la version arabe de la célèbre « Table d'émeraude » (Tabula Smaragdina), un ancien texte hermétique appartenant à l'alchimie « spirituelle ». Ce texte a été traduit en latin et publié un grand nombre de fois au Moyen Âge.
  2. Les 70 Livres, dont la plupart furent traduits en latin au cours du Moyen Âge.
  3. Les 10 Livres de Rectification, qui contiennent la biographie d'« alchimistes » parmi lesquels Pythagore, Socrate, Platon et Aristote.
  4. Le Modèle:4e, dont notamment les Livres de l’Équilibre, qui contiennent sa théorie sur l'équilibre dans la nature. Il est difficile de déterminer exactement lesquels furent écrits par Jâbir et lesquels le furent par ses étudiants, Modèle:Refnec.

Ses livres influencèrent nettement les alchimistes européens et justifièrent leur quête de la pierre philosophale, Lapis Philosophicus. On lui attribue la paternité d'un grand nombre d'équipements de laboratoire de chimie et de procédés maintenant courants ainsi que la découverte de substances chimiques, tels que l'acide chlorhydrique et l'acide nitrique, la distillation (qu'il a reprise des Grecs de l'époque hellénistique) et la cristallisation, qui devinrent les fondements de la chimie et du génie chimique modernes.

Le Pseudo-Geber

Le Moyen Âge a attribué à tort à Jâbir, dès lors appelé Geber latin ou Pseudo-Geber, des ouvrages d'alchimie qui sont apocryphes. Marcellin Berthelot a démontré que les ouvrages latins de Geber ne pouvaient venir de Jâbir ibn Hayyân mais dataient de la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, car ils décrivent des substances chimiques, surtout des acides minéraux, et des procédés de chimie inconnus des Arabes et qui relèvent de la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (La Chimie au Moyen Âge, p. 336-350).

Le plus illustre de ces livres d'alchimie est La Somme de perfection (Summa perfectionis) (vers 1260)<ref>Newman, William R., The Summa Perfectionis of Pseudo-Geber. A Critical Edition, Translation and Study, Leyde : E. J. Brill, 1991 (Collection de travaux de l'Académie internationale d'histoire des sciences, 35).</ref>. Selon William R. Newman, ce traité pourrait avoir été écrit vers 1260 par Paul de Tarente, un franciscain auteur d'autres ouvrages sur l'alchimie.

Il existe, au moins, une autre hypothèse. Une autre tradition proposeModèle:Référence souhaitée al Jābir, al Djāber, voire al Jarbi, un alchimiste mudéjar de la péninsule ibérique connu sous le nom de Geber. Il n'en est pas moins vrai qu'il continue de 1310 à 1360 les travaux des maîtres arabo-persans. Ses trois livres surtout connus en latin puis publiés en langue véhiculaire au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sont :

  • Summa perfectionis magisterii soit Le Testament
  • Liber fornacum soit Le Livre des fourneaux (ou appareils de laboratoire)
  • De investigatione perfectionis soit La Recherche de perfection
  • De inventione veritatis soit L'Invention de la vérité.

Notons que le mathématicien et géomètre Abou-Mohammed Djabir ibn Allah, dit Geber de Séville, vivant dans la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, est l'auteur d'un volumineux traité sur l'astronomie, traduit par Gérard de Crémone. Mais il ne peut être confondu avec les autres.

Œuvres

  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Eric John Holmyard, The Arabic Works of Jabir ibn Hayyan, 2 volumes, Librairie orientaliste Paul Geuthner, Paris, 1928
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Marcellin Berthelot, La Chimie Arabe, Imprimerie nationale, 1893 (compilation commentée des textes de Jabir dans les archives à Paris et Leyde et Liber septuaginta de Geber).
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Pierre Lory, Dix traités d'alchimie de Jâbir ibn Hayyân - Les dix premiers Traités du 'Livre des Soixante-dix'. Textes traduits et présentés, Paris, Sindbad, 1983, réédité avec une mise à jour en 1996 par Actes-Sud.

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

  • Paul Kraus, Jâbir ibn Hayyân: Contribution à l'histoire des idées scientifiques dans l'Islam (1942), collection « Sciences et philosophie arabes », Belles Lettres, 1987 Modèle:ISBN
  • Pierre Lory, Alchimie et mystique en terre d'Islam, Lagrasse, Verdier, 1989.
  • Pierre Lory, Eschatologie alchimique chez Jâbir ibn Hayyân, n° 91-92-93-94 de Mahdisme et millénarisme en Islam, juil. 2000. [1]
  • Modèle:Ouvrage

Articles connexes

Liens externes

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