Jan Bucquoy

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Biographie2

Jan Bucquoy, né le Modèle:Date de naissance à Harelbeke (province de Flandre-Occidentale), est un artiste post-surréaliste belge<ref name="Entretien">Entretien de Giovanni Ambrosio du 22 mars 2003 à Bruxelles. Thèse de l'université de Naples, département littérature, 2002-2003 : Le surréalisme est un état d'esprit. Le surréalisme, via l'imaginaire, arrive à faire ce que le pervers n'a pas réussi à faire. Tous ceux qui viennent du surréalisme révolutionnaire venaient en Belgique, pour faire des réunions, ils allaient au Dolle Mol avec Marcel Mariën.</ref> et situationniste<ref>Entretien de C. Carrière dans Magazine Nova, p. 37 : Le cinéma néo-situ remet le spectateur à sa place en montrant des héros si minables qu'il ne peut y avoir d'identification. Tout est basé sur l'illusion, on vit dans une publicité permanente. Contre cette dictature du prime-time [émission en première partie de soirée], les artistes ne peuvent plus discourir : ils doivent prendre les armes.</ref>,<ref>Jan Bucquoy a toujours adopté une position soixante-huitarde, il est donc normal qu'il soit resté situationniste. La Voix du Nord, D.R.S., mardi Modèle:Date-.</ref>.

Metteur en scène de théâtre, scénariste de bande dessinée, réalisateur de cinéma et auteur de nombreux happenings<ref>Happenings sur janbucquoy.be</ref>, il est surtout connu pour ses interventions intrépides à la télévision, son coup d'État annuel à Bruxelles et ses musées plus ou moins durables, tel que le Musée de la femme Modèle:Incise ou le Musée du slip, installé au premier étage du Dolle Mol, célèbre café libertaire de Bruxelles qu'il anima durant de nombreuses années.

Carrière au théâtre

Études

Il étudie Modèle:Référence nécessaire. À Strasbourg, pendant ses études, il commence ses expérimentations de théâtre avec le Laboratoire d'action populaire (LAP) dans lequel il est directeur de troupe. Il met en scène des pièces de Vsevolod Meyerhold, Bertolt Brecht, Rainer Werner Fassbinder, Erwin Piscator et Michel de Ghelderode. De ce dernier il met en scène à Narbonne<ref>Article dans Het Laatste Nieuws au sujet du premier Salon de la bande dessinée à Uccle pour le prix Oscar Désiré Vandenmuyzenwinkel obtenu pour Le Bal du rat mort.</ref> : Barabbas, Christophe Colomb, Hop Signor!, Masques ostendais et Sortilèges (cette dernière en collaboration).

France

Pendant une tournée dans le Nord de la France durant l'été 1966, il met en scène Huis clos de Jean-Paul Sartre. À Paris, Modèle:Référence nécessaire. À Grenoble, Modèle:Référence nécessaire et travaille dans son studio avec les bandes magnétiques afin de rendre le cinéma plus léger dans le transport<ref>Ciné Revue, no 34 du Modèle:Date-.</ref>Modèle:Référence insuffisante. Il expérimente avec les acteurs : théâtre en rond/théâtre en bloque, dans lequel on voit les acteurs de tous les côtés, méthodes de relaxation d'acteurs comme dans sa mise en scène de Christophe Colomb, dans laquelle les acteurs doivent expérimenter la peur de la chute à la fin du monde dans le bateau sous une forme d'hypnose. Ces expériences de théâtre lui sont utiles plus tard comme réalisateur de cinéma (direction d'acteurs)<ref>Concernant sa carrière de théâtre : Entretien non publié de mai 2007 avec Francis De Smet au café « Dolle Mol » à Bruxelles.</ref>.

Carrière d'auteur de bande dessinée

Évolution

Aux limites du réel : la série Jaunes. C'est le premier volume de la série Jaunes, Labyrinthe étant le dernier de la série de sept albums. Le Bal du rat mort<ref name ="BalBDBDGest">Modèle:Lien web.</ref> fut le premier album à succès de Jan Bucquoy, édité à plusieurs reprises par les éditeurs Michel Deligne et Glénat en français et en néerlandais. L'auteur est apparenté au réalisme magique, dont Le Bal du rat mort était le premier volume dans ce style, ainsi que démontre aussi sa série de bande dessinée Daniël Jaunes avec dessins de Tito.

Un des éléments du réalisme magique est l'interconnexion du temps et de l'espace (répandue dans la science-fiction américaine : par exemple l'auteur Keith Laumer dans Imperium). Dans Aux limites du réel (le mot « Jaunes » a expressément un double sens), Daniël reçoit sa carte de membre de Rex (parti de Léon Degrelle) quarante ans après la date d'envoi tandis que Jean Lamorgue se souvient plus du temps et des endroits dans lesquels il est passé. Le protagoniste du Bal du rat mort et celui de la série Jaunes sont des inspecteurs de police qui ont une fiancée qui les attend à Bruxelles (Lisa et Margot), ils vivent avec leur mère et en même temps ils sont attirés par des femmes magiques (Amalia dans Jaunes et la fille du fakir, Myriam, dans Le Bal du rat mort).

Modèle:Citation Entretien avec l'auteur dans La Cité, 7 au Modèle:Date-: Tito et Bucquoy rient Jaunes.

Dans Jaunes s'ajoute au thème de la psychanalyse omniprésent chez l'auteur et dans Le Bal du rat mort, le mélange des lieux et surtout des temps: Modèle:Citation Jaunes, Éd. Glénat, Modèle:P..

Autre bande dessinée fantastique du même auteur et comparaison: La Nuit du Bouc, album de la série Alain Moreau dont il est le scénariste, et qui est dessinée par Marc Hernu. Le monde du fantastique prend une place importante dans l'œuvre du scénariste du Bal du rat mort. Dans La Nuit du bouc<ref>éd. Ansaldi 1986, Modèle:ISBN. Modèle:Citation. Alain Germoz dans Pourquoi Pas ? Modèle:Date-.

L'inspecteur Moreau à la page 20 :

Modèle:Citation</ref>, Jan Bucquoy développe déjà le thème de la sorcellerie avec l'adoration d'un bouc. De même avec Retour au pays noir le protagoniste va à la recherche de sa vraie identité en confrontation avec son passé et les révoltes minières. Dans La Nuit du bouc, un curieux personnage nommé Stassen, qu'on appelle « vieux fou », est un chasseur de rats mais il chasse aussi les chats qu'il écorche et qu'il pend ensuite à sa porte la nuit du bouc. C'est une allusion au personnage de Myriam la prostituée dans Le Bal du rat mort, qui dit à Jean Lamorgue après une nuit d'amour : Modèle:Citation et à la question de Lamorgue : « Vous n'avez rien remarqué ? » elle répond : Modèle:Citation. Ce qui veut dire que les chats ont abandonné la lutte contre les rats à Ostende.

Œuvres majeures

Il est écrivain et auteur d'une cinquantaine de bandes dessinées : il a notamment publié la série Jaunes (citée en haut) avec Tito inspirée par Alfred Korzybski, Les Chemins de la gloire (Glénat, Modèle:Coll., 1985) avec Daniel Hulet, Une Épopée française (Glénat, 1990) avec Sels et une parodie pornographique de Tintin<ref>Modèle:Ouvrage et La Vie est belle, p. 30.</ref>, qu'il n'hésite pas de présenter par le personnage du présentateur de Radio Cosmos (Claude Semal) dans une scène délirante avec Lolo Ferrari dans le film culte Camping Cosmos. Sans oublier le thriller Le Bal du rat mort (Glénat, 1986) avec J.F. Charles qui se passe entièrement à Ostende (à l'exception de quelques scènes à Bruxelles) et qui obtient le prix Saint-Michel de la meilleure bande dessinée en 1981. Son film La Vie sexuelle des Belges 1950-78<ref name ="Cinergie">Modèle:Article.</ref> est basé sur les albums de sa série de bande dessinée Jean-Pierre Leureux (Brèves Rencontres (1987) et Tout va bien (1990), dessinés par Jean-Philippe Vidon), dans laquelle il incarne son personnage principal. En 1993, il sort La Vie sexuelle de Tintin, une parodie érotique qui lui vaut un procès pour contrefaçon dont il sort vainqueur<ref name="lalibre-2016-05-04">Modèle:Lien web.</ref>. Des planches et des toiles de cette BD sont exposées en 2016 au Musée de l'érotisme et de la mythologie à Bruxelles<ref name="lalibre-2016-05-04"/>.

Modèle:Média externe Modèle:Début citationIl est le contraire des bons faiseurs de scénarios, des gens réconfortants qui ne commettent pas ses erreurs, mais qui ont tellement moins à dire.Modèle:Fin citation

Personnages

Ses héros (par exemple Jean Lamorgue dans Le Bal du rat mort ou Raymond Lécluse dans Les Chemins de la gloire, qui proclame à la fin du premier tome : Modèle:Citation)<ref>À la page 16 du premier tome Le Temps des Innocents, on montre une image de Raymond Lécluse lisant Splendeurs et misères des courtisanes d'Honoré de Balzac.</ref> sont souvent inspirés par les personnages principaux d’Honoré de Balzac<ref>Il est remarquable que les auteurs Balzac et Dickens ont influencé aussi bien Jan Bucquoy que Hergé. Knack, special Kuifje, Tintin, les secrets d'une œuvre, Lire, hors série, 12 déc. 2006, p. 82.</ref>(comme Lucien de Rubempré, Eugène-Louis de Rastignac, etc.) avec les thèmes récurrents de la grandeur, la splendeur, avec la chute, la décadence, les illusions perdues et les misères. Par contre les personnages de ses films sont des anti-héros qui transcendent plutôt l'optimisme des protagonistes de Charles Dickens comme David Copperfield ou Oliver Twist. Son approche réaliste des personnages<ref>Jan Bucquoy est en outre un admirateur de Henry Miller et Bukowski : ... ses maîtres se nomment Henry Miler et Bukowski. Le Nouvel Observateur, article de François Cérésa.</ref> dans ses films et bandes dessinées est due à Georg Lukacs, auteur qu'il a appris à connaître grâce à sa lecture de Guy Debord<ref>Entretien avec Giovanni Ambrosio, cité : « Le problème chez Guy Debord, comme chez Karl Marx et Georg Lukacs, c'est le refus de la psychanalyse. Debord a préféré commencer à boire pour retrouver un peu son inconscient ».</ref> et son interprétation du fétichisme de la marchandise<ref>Provocation en Première Belgique, numéro 224, octobre 1995, p. IV ; et Camping Cosmos en Première Belgique numéro 232, juillet 1996, p. 2 ; par Claude Devos. Voir site : Les films de Jan Bucquoy.</ref>.

Liste de bandes dessinées

Voir lien externe : Bibliographie de bandes dessinées<ref name ="BucquoyBDGest">Modèle:Lien web.</ref>.

Une Aventure de Gérard Craan

Alain Moreau

Modèle:Bibliographie bande dessinée,Modèle:Commentaire biblio

Chroniques de fin de siècle

Jean-Pierre Leureux

Modèle:Bibliographie déroulante bande dessinée

Carrière politique

Il a été proche de quatre partis politiques : Modèle:Lien (Beter Alternatieven Nastreven Als Apathisch Nietsdoen), son pendant francophone BANANE<ref name ="LaVie p116-117">Modèle:Harvsp.</ref>(Bien Allumés, Nous Allons Nous Éclater), Vivant et Spirit.

Aux élections législatives belges du Modèle:Date, il est candidat sur la liste du Front des gauches.

Fichier:Poupée de Lolo Ferrari.JPG
Poupée grandeur naturelle de Lolo Ferrari dans le bureau du producteur. Dix de ces poupées étaient à l'entrée des salles de cinéma lors des projections du film Camping Cosmos en 1996.

Carrière au cinéma

Filmographie

Réalisateur

Acteur

Contenu

Ces films partent souvent d'un sujet politique entraînant les protagonistes dans des situations burlesques, la vie sexuelle étant une métonymie pour la vie sentimentale.

Influencé par le Traité de savoir-vivre à l'usage des jeunes générations de Raoul Vaneigem et de La Société du spectacle de Guy Debord<ref>La Vie est belge, couverture et p. 17.</ref>, il considère le monde des médias comme un spectacle continuel qui est transformé en marchandise par le capitalisme. Ceci explique en partie ses manifestations orageuses à la télévision<ref name ="LaVie p109">Modèle:Harvsp.</ref>.

Psychanalyse et surréalisme

Son approche de la psychanalyse de certains personnages comme Lolo Ferrari et Tintin est due à sa lecture des Écrits de Jacques Lacan<ref> Mon coup d'État est basé sur les théories de Freud et de Lacan qui restent pour moi des grands penseurs, puisqu'ils ont creusé derrière ce que Marx n'a pas fait. Entretien cité avec Giovanni Ambrosio.</ref> pour lequel il a une grande admiration<ref name ="LaVie p175">Modèle:Harvsp.</ref>. Son titre du film La Jouissance des hystériques avec Claude Semal est tiré de l'ouvrage La Jouissance de l'hystérique de Lucien Israël, un des nombreux élèves de Lacan. Jan Bucquoy était considéré par le surréaliste belge Marcel Mariën (L'Imitation du cinéma) comme étant son unique adepte<ref>Marcel Mariën a écrit spécialement pour son adepte : La Défense Bucquoy, Bruxelles, Les Lèvres nues, 1992. Voir aussi : Modèle:Ouvrage.</ref>. L'auteur a aussi été influencé par le livre de Desmond Morris : Le Singe nu et ceci dans son approche animale de la sexualité humaine et la comparaison des hommes avec des singes<ref name="Entretien"/>.

Carrière de provocateur et d'artiste

Fichier:Musée du Slip.jpg
Pancarte du Musée du slip dans sa version de 1990.

Déjà dans sa jeunesse, il avait participé à une révolte ouvrière dans les usines Usinor à Dunkerque<ref>La Voix du Nord, Modèle:Date-.</ref> et plus tard il aurait été participant de la fameuse Radio Uilenspiegel<ref>Radio Uilenspiegel.</ref> qui défendait la cause des Flamands dans le Nord.

Outre les films réalisés ou dans lesquels il a joué, Jan Bucquoy est connu pour une série d'extravagances et de manifestations anarchistes. Dont :

Il s'agit d'un meurtre métaphorique de la figure du père dans le sens lacanien. Voir aussi : Modèle:Ouvrage,Modèle:Commentaire biblio</ref> ;

Fichier:Jan bucquoy.jpg
Jan Bucquoy lors de son exposition dans la galerie Manaart, décembre 2008.
  • première tentative de coup d'État le Modèle:Date, annoncée depuis plusieurs années : manifestation et arrestation à la sortie de la place Royale, bordure de la « zone neutre », qu'il a réussi à traverser après négociation, alors qu'il lance, seul, l'assaut contre les forces de l'ordre, brandissant un drapeau anarchiste de son cru (fruit rouge et banane sur fond noir), pendant que Noël Godin chante l'hymne : Amusons-nous / Faisons les fous / La vie est si courte après tout / Ouh-ouh<ref>Sur l'air de la chanson « [

https://www.bide-et-musique.com/song/7873.html Amusez-vous !] »</ref>,<ref>Bonus du DVD d'un de ses films.</ref> ;

  • deuxième tentative de coup d'État le Modèle:Date, arrestation par deux policiers dans la zone neutre autour du parlement<ref>La Vie est belge, p. 13 et 52.</ref> ;
  • troisième tentative de coup d'État le Modèle:Date, parvient après discussion avec un monsieur en cravate à pénétrer avec son complice à l'intérieur du palais royal. Sort discrètement par l'arrière toujours avec son compagnon sous les seuls regards de gens assermentés et d'un cycliste en chaussures noir-jaune-rouge, pantalon de treillis vert kaki, braguette ouverte, slip jaune, sachets en plastique bleu-blanc-rouge, pull jaune en coton de la Modèle:3e de cuisine du [[61e régiment d'artillerie|Modèle:61e]] dont la devise est Sursum Corda (Élevons les cœurs), perruque-bonnet rasta ;
  • quatrième tentative de coup d'État le Modèle:Date, de nouveau un très bel échec, la partie n'est pas terminée<ref>The Bulletin, numéro 48 du 18 décembre 2008, p. 14 : "Absconding with the country" : « As Belgian as the Manneken Pis, slapstick anarchist jan Bucquoy has stormed the Royal Palace for the last time. At his new exhibition in the captial, he tells Cleveland Moffet about his plans to transfer the revolution, and the good life, to France ».</ref>.

Carrière d'écrivain

  • Jan Bucquoy a débuté comme romancier en 1976 avec Elles vivent sous terre et ne sortent que la nuit. - Textes - éd. Oswald, Paris.
  • La Disparue du port d'Anvers, 1979, éditions MDM, Paris.
  • Il a repris sa carrière d'écrivain avec un récit autobiographique dont le titre du livre est significatif : La Vie est belge

Réception de son œuvre

Critiques de la presse francophone

Jan Bucquoy fait l'objet de nombreuses critiques dans la presse francophone, certaines saluant son intelligenceModèle:Sfn, d'autres regrettant la grossièreté ou la lourdeur du propos :

  • « Bucquoy, enfant des Provos et de Mai 68, éternellement caca-boudin, éperdument en quête de martyre médiatique, animateur de théâtre expérimental, poète à ses heures, affreux jojo de l'écriture, à l'occasion show-man extravagant, bouillonnant de projets de livres et de films, antiroyaliste à crever, iconoclaste sardonique et bon enfant, véritable histoire belge ambulante. Lui, l'anarcho jusqu'à la moelle, qui finit ainsi ses poèmes : C'est pourquoi/Je préfère le noir/Au rouge/Même si je fais semblant/De choisir »<ref name ="LaVie p100">Modèle:Harvsp.</ref>.
  • « Bucquoy est un pénible bouffon, son art se résume à faire l'apologie du mauvais goût. » Juan Miralles dans La Dernière Heure.
  • « Il est sans doute difficile, sinon impossible, de dénicher aujourd'hui un personnage public aussi vulgaire, aussi bête, aussi creux que Jan Bucquoy. » A.P. dans La Libre Belgique.
  • « Ce barbu est une teigne. Ses dialogues sont aiguisés comme un merlin neuf et son humour est glacial. Mais quel plaisir. » Fr. Cérésa dans Le Nouvel Observateur.
  • « Grossier et laid ! » Juan Miralles dans La Dernière Heure.
  • « Intelligent pervers. » Jacques De Decker dans Le Soir.
  • « Intelligent, cultivé. » Anne Verdonckt dans L'Instant.
  • « Jan Bucquoy continue son œuvre. Soulever le couvercle pour que tout le monde respire. » André Kamp dans Le Vif/L'Express.
  • Un article du magazine Généreux suggère que les provocations sont une forme d'autodérision de Jan Bucquoy qui tourne souvent à l'autodestruction de sa carrière (par exemple, comme auteur de bande dessinée La Vie sexuelle de Tintin)<ref>Généreux, Magazine, L'art libertaire de Jan Bucquoy, n°26, mars-juin 1998.</ref>.
  • « Provocateur, bouffon du roi, cinéaste, artiste, conservateur du Musée du slip, Jan Bucquoy est à la Belgique iconoclaste ce que Philippe et Mathilde sont à la monarchie : un monument !Modèle:Sfn » Nicolas Crousse dans Le Soir du Modèle:Date-.

Critiques de la presse flamande et anglophone

Ces presses sont plus ouvertes à son œuvre :

Audiovisuel

Télévision

Distinctions

Notes et références

Modèle:Références nombreuses

Annexes

Bibliographie et sources

Livres

  • Deprez, Philippe, Crème et Châtiment, Têtes à Tartes !, dans Cinergie 1999, ajourné 2003.
  • De Smet, Francis, Het Bal du Rat mort, Ostende, Revue folklorique De Plate, numéro de Modèle:Date- entièrement consacré à l'article sur la bande dessinée Le Bal du rat mort.
  • Philippe Dubois et Edouard Arnoldy : Ça tourne depuis cent ans : une histoire du cinéma francophone de Belgique, Bruxelles, Communauté française de Belgique, Wallonie-Bruxelles, 1995, Modèle:P. Modèle:OCLC.
  • Sojcher, Frédéric, La Kermesse héroïque du cinéma belge, Paris, L'Harmattan, 1999, vol. III, Modèle:P..
  • Thomas, Paul, Un siècle de cinéma belge, Quaregnon, Quorum, 1996, Modèle:P..
  • Thys, Marianne, Belgian cinema/Cinéma Belge, Gand, Ludion/Flammarion, 1999, Modèle:P. et 252.
  • Tular, J., Dictionnaire du cinéma. Les Réalisateurs, Paris, éditions R. Captour, 1999, Modèle:P..

Article

Articles connexes

Liens externes

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