Jean Rapp
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité militaire
Jean, comte Rapp, né à Colmar le Modèle:Date de naissance et mort à Rheinweiler le Modèle:Date de décès, est un général et homme politique français de la Révolution et de l’Empire.
Biographie
Origines
Né à Colmar dans l'ancienne douane<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>, Jean Rapp, cousin germain du général Kessel<ref name="roglo"/> et neveu de Jean-Georges Edighoffen<ref name="Lavayssière"/>, suit d'abord de longues études théologiques pour devenir pasteur, mais il ne semble pas avoir la vocation : il est grand, fort, robuste, d'un tempérament bagarreur. En Modèle:Date-, il préfère donc s'engager dans les chasseurs des Cévennes, et y fut nommé brigadier-fourrier le Modèle:Date-, et maréchal-des-logis le Modèle:Date-.
Guerres révolutionnaires
Il a déjà fait les premières guerres de la Révolution à l’armée de la Moselle et à celle du Rhin, lorsqu’il obtient le grade de sous-lieutenant le Modèle:Date-. Envoyé à l’armée des Alpes, il devint lieutenant le Modèle:Date-. Bientôt après, il passe à l’armée du Rhin. Il ne tarde pas à se distinguer par son courage et sa fougue, tout en collectionnant les blessures<ref>À Lignenfelds, le 28 mai 1795, il charge à la tête de 100 chasseurs de son régiment, plus de 800 hommes de cavalerie ennemie, qu’il parvient à culbuter au moment où plusieurs pièces de canon vont tomber en leur pouvoir. Il reçoit dans cette charge plusieurs coups de sabre sur la tête et sur le bras droit.</ref>.
À la fin de l'année 1796, il devient l'aide de camp du général Desaix qui le nomme capitaine le Modèle:Date- et l'emmène avec lui lors de la campagne d'Égypte. Il lui voue, à partir de cette époque, une affection qui ne se démentira jamais.
Campagne d'Égypte
En Égypte, de nouveaux combats lui valent de nouveaux succès. Jean Rapp s'y fait remarquer au combat de Sediman le Modèle:Date-, en capturant l’artillerie ennemie<ref>. L’artillerie des Beys se démasque tout à coup et porte le ravage dans les rangs français ; Desaix, impatient d’éteindre le feu qui écrase les troupes françaises, se tourne vers son aide-de-camp, et, lui montrant les pièces… :
Vaincre ou mourir ! s’écria-t-il ; Vaincre ! répond l’intrépide Rapp, et se précipitant sur les Arabes, il renverse tout ce qui s’oppose à son passage, s’empare de l’artillerie, fait un grand nombre de prisonniers, et disperse en un instant le reste de la cavalerie. Ce beau fait d’armes lui fait décerner sur le champ de bataille le grade de chef d’escadron</ref>, un exploit qui lui vaut d'être promu chef d'escadron. Le général Bonaparte le nomme ensuite chef de brigade.
À la journée du Modèle:Date-, envoyé en reconnaissance, il marche sur les avant-postes des Mamelouks, les met en fuite, pénètre dans le village de Samanhoud, et soutient une lutte inégale, dans laquelle il aurait infailliblement succombé, si les carabiniers de la [[96e régiment d'infanterie|Modèle:21e légère]] ne l’eussent promptement dégagé. Grièvement blessé d’un coup de kandjar à l’épaule gauche, il se rend au Caire pour se faire soigner. Élevé au grade de chef de brigade le Modèle:Date-, Rapp suit son général en Europe.
Guerres napoléoniennes
Après la campagne d'Égypte, toujours dans le sillage de Desaix qu'il vénère, Jean Rapp revient en Europe et se trouve à la bataille de Marengo le Modèle:Date-, lorsque Desaix tombe frappé à mort. Il porte au général Napoléon Bonaparte les dernières paroles de ce jeune héros et devient, à cette date, l’aide-de-camp du Premier consul, poste qu'il occupe jusqu'en 1814.
Jean Rapp aide de camp de Napoléon Bonaparte
À ce titre, il est chargé de nombreuses missions de confiance par Napoléon Bonaparte, en Vendée, en Suisse et en Belgique.
Chargé en l’an X, d’une mission importante dans les cantons suisses, il somme les insurgés de Berne de suspendre les hostilités, fait évacuer Fribourg qui a été enlevée pendant l’armistice, et somme la diète de Schwitz d'accepter la médiation que lui offre le chef du gouvernement français. Le colonel Rapp part pour Coire au mois de Modèle:Date-, fait comparaître devant lui le petit conseil de cette ville et contraint la municipalité à se dissoudre.
Revenu à Paris, il accompagne le premier Consul dans son voyage en Belgique, obtient le brevet de général de brigade le Modèle:Date-, puis il se rend sur les bords de l’Elbe, pour y faire élever des redoutes et prendre des mesures défensives en cas d’un débarquement des Anglais. À son retour en France, créé membre de la Légion d'honneur le Modèle:Date-, il en devient commandeur le Modèle:Date-.
Au mois d'Modèle:Date-, il épouse, mademoiselle Barbe Rosalie Joséphine Vanlerberghe (1790-1879), fille du riche négociant Ignace-Joseph Vanlerberghe, enrichi comme fournisseur aux armées, propriétaire de la folie Beaujon.
Austerlitz
Modèle:Article connexe Il se distingue sur le champ de bataille d'Austerlitz. C'est lui qui, sur les hauteurs de Pratzen, venge la défaite d’un bataillon du [[4e régiment d'infanterie|Modèle:4e de Ligne]] et du [[99e régiment d'infanterie|Modèle:24e Léger]], que les fausses manœuvres de leurs chefs ont placé en situation périlleuse. Rapp et ses 375 mamelouks de la cavalerie de la Garde chargent les Russes en criant : « Faisons pleurer les dames de Saint-Pétersbourg ».
Il charge à Austerlitz en prenant la tête des Mamelouks et des grenadiers à cheval et en percutant les Chevaliers-Gardes de la Garde impériale russe. Il porte le désordre dans leurs rangs, fait prisonnier le prince Repnine, l’un des colonels des Chevaliers-Gardes, et s’empare de l’artillerie et de tous les bagages des troupes qui lui sont opposées<ref>La satisfaction de l’Empereur est telle, qu’il nomme Rapp général de division le 24 décembre 1804, et veut qu’il figure dans le tableau que Gérard fait de cette immortelle journée</ref>.
Promu général de division, il participe activement à la Campagne de Prusse et de Pologne entre 1806 et 1807. Chargé de poursuivre les fuyards après la bataille d'Iéna le Modèle:Date-, il pénètre parmi les premiers dans Weimar. À Naziesk, il taille en pièces le corps de cavalerie du général russe Kaminskoi. Enfin le Modèle:Date-, au cours de la difficile bataille de Golymin, il soutient une lutte opiniâtre contre des masses d’infanterie et a le bras gauche fracassé par une balle. Il n’est pas encore guéri de sa blessure quand il remplace le Modèle:Date-, dans le poste de gouverneur de Dantzig, le maréchal Lefebvre qui vient de s’emparer de cette place. Le Modèle:Date- de la même année, il est fait chevalier de l'ordre de la Couronne de fer.
Il sauve la vie de Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} à plusieurs reprises
Pendant deux ans, il exerce les fonctions importantes de gouverneur de Dantzig ; les habitants lui décernent une épée enrichie de diamants sur laquelle on lisait une inscription, et Napoléon le nomme le Modèle:Date-, comte de l'Empire avec une dotation de Modèle:Unité sur le domaine de Hitzacker situé en Hanovre.
La guerre se rallume cette année dans le Nord avec une nouvelle fureur : la Bavière est envahie par les Autrichiens ; Napoléon accourt à la rencontre de l’ennemi. L’armée française triomphe à Eckmühl, à Ebersberg, et se porte rapidement sur Vienne. Pendant qu’elle s’avance sur les rives du Danube, les Autrichiens descendent ce fleuve par l’autre rive.
Jean Rapp est toujours aux premiers postes, sur la ligne de feu : à Essling le Modèle:Date-, c'est lui qui charge à la tête des Modèle:Référence nécessaire
À Schönbrunn le Modèle:Date-, Jean Rapp empêche le jeune Frédéric Staps d'assassiner Napoléon.
Revenu à Paris en 1810, à l’époque du divorce de Napoléon Ier et Joséphine de Beauharnais, Rapp ne craint pas de blâmer la conduite de son maître, et reçoit, en récompense de sa franchise, l’ordre de retourner dans son gouvernement de Dantzig. Il n’en est pas moins créé grand officier de la Légion d'honneur le Modèle:Date-. Il donne toutefois une nouvelle preuve de sa sincérité à l’Empereur en condamnant l’expédition projetée au-delà du Niémen, dont il prévoyait les funestes résultats.
Les troupes françaises marchent sur le Niémen, le franchissent, culbutent les Russes à Ostrovno, à Smolensk, et arrivent à la Moskova, où l’armée ennemie a rassemblé la plus grande partie de ses forces, évaluées à Modèle:Nombre. Il est blessé de quatre balles à la bataille de la Moskova (5-Modèle:Date-)<ref>Cette journée couvre d’une nouvelle gloire toute l’armée française : généraux et soldats, tous font des prodiges de valeur, tous combattent en héros. Rapp ajoute à sa réputation et est atteint de quatre coups de feu.</ref>.
Quoiqu’il ne soit pas remis de ses blessures, on le voit se signaler de nouveau à la bataille de Maloyaroslavets, où il a un cheval tué sous lui. Il sauve encore une fois la vie de l'Empereur en repoussant une attaque de Cosaques à Gorodnia. Il est à nouveau blessé au passage de la Bérézina en combattant en arrière-garde aux côtés de Michel Ney. Il concourt à sauver l’artillerie française qui se trouve compromise sur ce point, et y reçoit sa vingt-quatrième blessure.
[[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] l’envoie ensuite prendre le commandement de Dantzig, où il doit soutenir pendant près d’un an un des sièges les plus mémorables que nous offrent les annales de la guerre. Le Modèle:Date-, il s'enferme à Dantzig et soutient un siège très dur puisqu'il ne capitule que le Modèle:Date-<ref>Secondé par le général Campredon, Rapp résolut de faire de Dantzig, qui n’avait ni casernes, ni écuries, ni magasins, un boulevard inexpugnable. Il s’affermit surtout dans cette résolution lorsque les divisions Heudelet et Grandjean vinrent, dans le courant de janvier 1813, renforcer la garnison de la place. Cette garnison s’éleva alors à Modèle:Nombre d’infanterie et 3600 de cavalerie ; mais la plupart de ces hommes, de toutes armes et de toutes nations, étaient perclus de froid, exténués par les fatigues, consumés par les privations et toutes les misères. Modèle:Unité seulement reçurent une nouvelle organisation ; mais on s’occupa avec activité des fortifications, l’artillerie répara les armes portatives, confectionna une grande quantité de munitions de tout genre</ref>. L’Empereur récompense le dévouement de Rapp en le nommant commandant en chef du Modèle:10e de la grande armée le Modèle:Date- suivant, et grand-croix de l'ordre de la Réunion le Modèle:Date- de la même année.
Le général Rapp eut peut-être lassé, par ses vaillantes sorties, les forces réunies des Russes, commandées par le duc de Wurtemberg, si la famine, une épidémie cruelle, et l’hiver avec ses pluies et ses glaces, ne lui eussent enlevé les deux tiers de son armée. Jaloux de conserver à la France le reste des braves qui l’ont si bien secondé, le général français se décide à entrer en négociations pour la reddition de la place.
Le Modèle:Date-, il conclut une convention honorable qui porte en substance, que le Modèle:10e rentrerait en France avec son artillerie, ses armes et tous ses bagages. Déjà tous les alliés sont sortis de Dantzig, lorsque le général Rapp apprend que l’empereur Alexandre refuse de ratifier la capitulation et que la garnison serait conduite en Russie jusqu’à son parfait échange ; Rapp proteste avec énergie, mais est forcé de se soumettre. C'est à Kiev, en Ukraine, qu’il apprend les événements de 1814. Il revient à Paris au mois de juillet suivant et y est accueilli avec distinction par Louis XVIII. Créé chevalier de Saint-Louis le Modèle:Date-, il obtient le grand cordon de la Légion d'honneur le 23 du même mois.
Les Cent-Jours
Après avoir montré une certaine hésitation à se rallier à Napoléon pendant les Cent-Jours, Jean Rapp est élu député du Haut-Rhin. En Modèle:Date-, Rapp se range sous les drapeaux de son ancien souverain, qui le nomme le Modèle:Date- commandant en chef de l’armée du Rhin, et pair de France le Modèle:Date- suivant. L’armée dont il se hâte de prendre le commandement, forte de Modèle:Nombre, doit défendre, de concert avec le corps du Haut-Rhin et de la Moselle, la chaîne des Vosges, depuis Belfort jusqu’à Bitche.
Le désastre de Waterloo rend inutiles ses dispositions et ses efforts. Lorsque les soldats apprennent la défaite de l’armée du Nord et l’abdication de Napoléon, un découragement universel s’introduit dans leurs rangs<ref>Excités par la malveillance, les uns veulent se rendre dans leurs foyers, les autres proposent de se jeter en partisans dans les Vosges. Rapp parvient à calmer l’effervescence des esprits.</ref>.
Sous la Restauration
Après Waterloo, Jean Rapp est tenu à l'écart quelque temps, car il a résisté aux assauts ennemis jusqu'en Modèle:Date-.
Après le licenciement, le général Rapp se retire en Argovie (Suisse), où il fait, en 1816, l’acquisition du château de Wildenstein.
Le Modèle:Date-, à Strasbourg, il épouse Albertine-Charlotte de Rotberg (1797-1842), qui lui donnera deux enfants, Max (1816-1828) et Émilie-Mélanie « Mathilde » (1817-1899)<ref>Fernand J. Heitz, « Les dernières amours de Rapp », Annuaire de la Société historique et littéraire de Colmar, 1951, Modèle:P..</ref>, future épouse d'Modèle:Lien par élément (1811-1863).
Lorsque le danger des réactions est passé, Rapp revient en 1817 à Paris. Une ordonnance royale du Modèle:Date- le met en disponibilité. Créé pair de France par Louis XVIII le Modèle:Date-, il est nommé, quelque temps après, premier chambellan et maître de la garde-robe en 1820.
Le Modèle:Date-, Jean Rapp meurt à Rheinweiler, en pays de Bade, d'un cancer à l'estomac. Il est inhumé au cimetière du Ladhof (Colmar) et son cœur est déposé à l'église protestante Saint-Matthieu (Colmar)<ref name="roglo"/>.
États de service
- Sources
- Cote S.H.A.T. : 7 Yd 422<ref name="SHAT"/>.
Distinctions
Modèle:Infobox Personnalité politique
Titres
- [[Noblesse d'Empire|Modèle:1er Comte Rapp et de l'Empire]] (décret du Modèle:Date, lettres patentes signées à Paris le Modèle:Date)<ref name="PLEADE"/>
- Pair de France<ref name="heraldica"/> :
- Baron-pair le Modèle:Date,
- Lettres patentes du Modèle:Date.
- Premier chambellan du Roi (Modèle:Date - Modèle:Date<ref name="SHAT"/>).
Décorations
- Légion d'honneur<ref name="Léonore"/> :
- Légionnaire (Modèle:Date républicaine : Modèle:Date), puis,
- Commandant (Modèle:Date républicaine : Modèle:Date), puis,
- Grand officier (Modèle:Date), puis,
- Grand cordon de la Légion d'honneur (Modèle:Date) ;
- Grand-croix de l'Ordre de la Réunion (Modèle:Date<ref name="SHAT"/>) ;
- Ordre royal et militaire de Saint-Louis :
- Chevalier (Modèle:Date), puis,
- Commandeur de Saint-Louis<ref name="Léonore"/> (Modèle:Date<ref name="SHAT"/>) ;
- Chevalier de l'ordre de la Couronne de fer (Modèle:Date<ref name="SHAT"/>) ;
- Grand-croix de l'Ordre de la Fidélité ;
- Grand-croix de l'[[Ordre du Lion de Bavière|ordre du Lion Modèle:Citation]]<ref name="Almanach 1810">Almanach royal (1810)</ref> ;
- Grand-croix de l'ordre militaire de Maximilien-Joseph de Bavière.
Hommage, honneurs, mentions...
- Le nom de RAPP est gravé [[Noms gravés sous l'arc de triomphe de l'Étoile#Pilier Est|au côté Est (Modèle:14e)]] de l’arc de triomphe de l'Étoile, à Paris.
- En 1856 une statue du général Rapp, réalisée par Bartholdi dont c'est le premier monument public, est érigée sur le Champ-de-Mars à Colmar<ref>Le Rapp (1852-1856) : premier monument public de Bartholdi (1834-1904) (exposition au musée Bartholdi, 30 juin-31 décembre 2000, commissaire de l'exposition Régis Hueber), Colmar, 2000, 227 p. Modèle:ISBN</ref>.
- L'avenue Rapp dans le [[7e arrondissement de Paris|Modèle:7e de Paris]], la rue Rapp à Colmar et également la rue Rapp à Strasbourg.
- Le fort Moltke, fort de type von Biehler à fossé sec appartenant à la ceinture fortifiée de Strasbourg, situé à Reichstett, fut renommé fort Rapp en 1918.
- Les objets du culte<ref>Modèle:Base Palissy</ref> (calice, ciboire, ostensoir et burettes en argent), de l'église Saint-Vigor, à Brucourt, comportent tous les armes du comte-général d'Empire, qui en fit don en 1807 à l'église du village où il venait fréquemment en villégiature<ref name="J. Bayle 1998 p. 35"/> ;
- Le fort des Hautes Perches, construit en 1874-1877 (place fortifiée de Belfort) a été baptisé fort Rapp, du nom du général.
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Noms gravés sous l'arc de triomphe de l'Étoile : pilier Est, Modèle:13e et Modèle:14e.
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Entrée du fort Rapp
Armoiries
Image | Armoiries |
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Modèle:Armoiries avec ornements communs | Armes du comte Rapp et de l'Empire
Écartelé, au premier des comtes tirés de l'armée ; au deuxième de gueules au vol ouvert d'or surmonté de trois étoiles deux et une d'argent ; au troisième de gueules au cavalier monté, armé, cuirassé, et casqué à l'antique, d'or, soutenu d'une terrasse de sinople et surmonté d'un comble d'or au lion passant de sable lampassé de gueules ; au quatrième d'azur au palmier d'or terrassé de sable brochant sur un crocodile passant d'argent et accosté d'un ibis d'or tenant au bec un serpent de même.<ref name="PLEADE"/>
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Modèle:Armoiries avec ornements communs | Armes du comte Rapp, baron-pair
Écartelé : au 1 d'arzur, à l'épée haute d'argent, montée d'or; au 2, de gueules, au vol ouvert d'or surmonté de trois étoiles d'argent, 2, 1 ; au 3, de gueules, au cavalier monté, armé, cuirassé et casqué à l'antique d'or, soutenu d'une terrasse de sinople et surmonté d'un comble d'or, chargé d'un lion passant de sable, lampassé de gueules; au 4, d'azur, au palmier d'or, terrassé de sable, brochant sur un crocodile passant d'argent, et accosté d'un ibis d'or et tenant dans son bec un serpent du même.<ref name="heraldica"/> |
Notes et références
Voir aussi
Bibliographie
- Jacques Jourquin, Mémoires du général Rapp (sous le pseudonyme de Gabriel Dervaux), édition critique, éditions de Troie, 1973
- Modèle:DicoParlement Modèle:Plume ;
- Modèle:Mullié Modèle:Plume ;
- Modèle:Ouvrage ;
- Modèle:Ouvrage ;
- Modèle:Ouvrage ;
- Jean-Marie Schmitt, « Jean Rapp (général) », in Nouveau Dictionnaire de biographie alsacienne, vol. 30, Modèle:P.
- Modèle:Ouvrage
Articles connexes
- [[10e corps d'armée (France)|Modèle:10e d'armée (France)]] ;
- Armorial des comtes militaires de l'Empire (L-Z) ;
- Galerie des Batailles ;
- Histoire de Seltz ;
- Liste des grands-croix de la Légion d'honneur ;
- Liste des membres de la noblesse d'Empire ;
- Maison de l'empereur durant la campagne de Russie ;
- Souffelweyersheim ;