Kōmeitō
Modèle:Infobox/Début Modèle:Infobox Parti politique Modèle:Infobox Parti politique/Représentation Modèle:Infobox/Fin
Le Modèle:Japonais est un parti politique japonais fondé en 1964.
Historique
Premier Kōmeitō (1964-1994)
Le Modèle:Japonais, fondé le Modèle:Date, est, à l'origine et jusqu'en 1971, le bras politique de la Modèle:Japonais, branche laïque de l'école bouddhiste Modèle:Japonais ; cependant, le parti affirme soutenir la distinction stricte entre les religions et l'État, tout en voulant appliquer les principes religieux du bouddhisme à la politique japonaiseModèle:Note, se revendiquant notamment de concepts nouveaux tels que la « démocratie bouddhiste », se voulant ainsi le pendant asiatique et bouddhiste de la démocratie chrétienne occidentaleModèle:Note.
À sa création, le Kōmeitō dispose déjà de Modèle:Nombre à la Chambre des conseillers, la chambre haute de la Diète, élus précédemment directement sous l'étiquette de la Sōka Gakkai. Profitant de la popularité de la Sōka Gakkai et de la Nichiren Shōshū dans les années 1950 et 1960, le Kōmeitō connaît à ses débuts un réel succès :
- Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date : 6 des Modèle:Nombre du Kōmeitō sont à renouveler, obtient Modèle:Nombre au vote unique non transférable (9 pour la circonscription nationale, 2 dans les préfectures) sur 127 (et Modèle:Nombre), portant son nombre total de conseillers à 20 sur 251, Modèle:3e du Japon (derrière le Parti libéral démocrate PLD et le Parti socialiste japonais PSJ).
- élections législatives du Modèle:Date : 5,38 % des voix, Modèle:Nombre sur 486 (et Modèle:Nombre), Modèle:4e du Japon (derrière le PLD, le PSJ et le Parti démocrate socialiste PDS).
- Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date : 9 des Modèle:Nombre du Kōmeitō sont à renouveler, obtient Modèle:Nombre (9 nationalement, 4 dans les préfectures) sur 126 (et Modèle:Nombre), portant son nombre total de conseillers à 24 sur 250, Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PSJ).
- élections législatives du Modèle:Date : 10,91 % des voix, Modèle:Nombre sur 486 (et Modèle:Nombre), Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PSJ).
- Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date : 11 des Modèle:Nombre du Kōmeitō sont à renouveler, obtient Modèle:Nombre (8 nationalement, 2 dans les préfectures) sur 126 (et Modèle:Nombre), portant son nombre total de conseillers à 23 sur 252, Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PSJ).
- élections législatives du Modèle:Date : 8,46 % des voix, Modèle:Nombre sur 491 (et Modèle:Nombre), Modèle:4e du Japon (derrière le PLD et le PSJ et le Parti communiste japonais PCJ).
- Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date : 13 des Modèle:Nombre du Kōmeitō sont à renouveler, obtient Modèle:Nombre (9 nationalement, 5 dans les préfectures) sur 130 (et Modèle:Nombre), portant son nombre total de conseillers à 24 sur 252, Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PSJ).
- Modèle:Lien du Modèle:Date : 10,91 % des voix, Modèle:Nombre sur 511 (et Modèle:Nombre), Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PSJ).
- Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date : 13 des Modèle:Nombre du Kōmeitō sont à renouveler, obtient Modèle:Nombre (9 nationalement, 5 dans les préfectures) sur 126 (et Modèle:Nombre), portant son nombre total de conseillers à 25 sur 252, Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PSJ).
- élections législatives du Modèle:Date : 9,78 % des voix, Modèle:Nombre sur 511 (et Modèle:Nombre), Modèle:4e du Japon en nombre de voix obtenus (derrière le PLD et le PSJ et le PCJ), le Modèle:3e en nombre de sièges (derrière le PLD et le PSJ).
- Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date : 11 des Modèle:Nombre du Kōmeitō sont à renouveler, obtient Modèle:Nombre (9 nationalement, 3 dans les préfectures) sur 126 (et Modèle:Nombre), portant son nombre total de conseillers à 26 sur 252, Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PSJ).
- élections législatives du Modèle:Date : 9,03 % des voix, Modèle:Nombre sur 511 (et Modèle:Nombre), Modèle:4e du Japon en nombre de voix obtenus (derrière le PLD et le PSJ et le PCJ), le Modèle:3e en nombre de sièges (derrière le PLD et le PSJ).
- Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date : 14 des Modèle:Nombre du Kōmeitō (il a gagné un élu supplémentaire entre 1980 et 1983) sont à renouveler, obtient Modèle:Nombre (au nouveau système électoral mixte, 8 à la proportionnelle nationale, 6 au vote unique non transférable dans les préfectures) sur 126 (et Modèle:Nombre), portant son nombre total de conseillers à 27 sur 252, Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PSJ).
- élections législatives du Modèle:Date : 10,12 % des voix, Modèle:Nombre sur 511 (et Modèle:Nombre), Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PSJ).
- élections législatives du Modèle:Date : 9,43 % des voix, Modèle:Nombre sur 512 (et Modèle:Nombre), Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PSJ).
- Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date : 13 des Modèle:Nombre du Kōmeitō sont à renouveler, obtient Modèle:Nombre (7 à la proportionnelle nationale, 3 au vote unique non transférable dans les préfectures) sur 126 (et Modèle:Nombre), portant son nombre total de conseillers à 24 sur 252, Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PSJ).
- Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date : 14 des Modèle:Nombre du Kōmeitō (il a gagné un élu supplémentaire entre 1986 et 1989) sont à renouveler, obtient Modèle:Nombre (6 à la proportionnelle nationale, 4 au vote unique non transférable dans les préfectures) sur 126 (et Modèle:Nombre), portant son nombre total de conseillers à 21 sur 252, Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PSJ).
- élections législatives du Modèle:Date : 7,98 % des voix, Modèle:Nombre sur 512 (et Modèle:Nombre), Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PSJ).
- Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date : 11 des Modèle:Nombre du Kōmeitō sont à renouveler, obtient Modèle:Nombre (8 à la proportionnelle nationale, 6 au vote unique non transférable dans les préfectures) sur 126 (et Modèle:Nombre), portant son nombre total de conseillers à 24 sur 252, Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PSJ).
- élections législatives du Modèle:Date : 8,14 % des voix, Modèle:Nombre sur 511 (et Modèle:Nombre), Modèle:4e du Japon (derrière le PLD, le PSJ et le Shinseitō) et le Modèle:3e de la coalition anti-PLD (derrière le PSJ et le Shinseitō).
Dissolution dans le Shinshintō (1994-1997)
Dans l'opposition jusqu'en 1993, il est l'un des sept partis politiques participant à la coalition anti-PLD qui gouverne pendant 10 mois entre Modèle:Date et Modèle:Date. Celle-ci étant alors renversée par une grande coalition formée entre le Parti libéral-démocrate (PLD, droite), le Parti socialiste japonais (PSJ, gauche) et le NPP (centre droit), le Kōmeitō se dissout avec plusieurs autres formations du centre ou du centre-droit ayant participé au cabinet anti-PLD pour former le Shinshintō ou Parti de la Nouvelle frontière. Toutefois, Modèle:Nombre sur les 24 de la Chambre des conseillers refusent cette fusion et se maintiennent en un groupe politique distinct appelé Kōmei avant d'être suivis en ce sens par plusieurs élus préfectoraux ou municipaux du parti.
Aux Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date, les Modèle:Nombre des anciens membres du Kōmeitō ayant rejoint le Shinshintō sont à renouveler : ils sont tous reconduits sous l'étiquette de leur nouveau parti. Aux élections législatives du Modèle:Date, Modèle:Nombre sont présentés par le Shinshintō et 42 sont élus (tandis que le Shinshintō obtient en tout Modèle:Nombre sur 500).
Lorsque ce grand parti d'opposition finit par éclater le Modèle:Date, les Modèle:Nombre parlementaires issus du premier Kōmeitō s'éparpillent le Modèle:Date en deux petits mouvements : le Modèle:Lien de Modèle:Lien qui regroupe Modèle:Nombre, et le Club de l'Aurore de Modèle:Lien avec Modèle:Nombre et les Modèle:Nombre. Ce dernier se fond rapidement, dès le Modèle:Date- suivant, avec le Komei qui fait retrouver son unité à l'ancien groupe Kōmeitō à la chambre haute. Sur les Modèle:Nombre de ce dernier, 11 sont à renouveler aux Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date : le Kōmei présente alors Modèle:Nombre mais seuls 9 sont élus (7 à la proportionnelle nationale et 2 au vote unique non transférable dans les préfectures) sur 126, portant son groupe à Modèle:Nombre sur 252. Celui-ci participe à partir du Modèle:Date à la coalition de l'opposition formée autour du PDJ de Naoto Kan et qui réussit pendant quelques mois (jusqu'en Modèle:Date) à enlever le contrôle de la Chambre des conseillers au PLD.
Finalement, le Modèle:Date, le Modèle:Lien et le Komei fusionnent pour redonner naissance à leur ancien parti sous le nom de « Nouveau Kōmeitō » (appellation utilisée uniquement dans le nom officiel du parti en anglais, la dénomination japonaise gardant uniquement les kanjis 公明党, soit Kōmeitō).
Nouveau Kōmeitō (1998-2014)
Le Modèle:Date, ce nouveau Kōmeitō forme une coalition tripartite avec son ancien adversaire, le PLD de Keizō Obuchi, et le Parti libéral d'Ichirō Ozawa (lui aussi un ancien du Shinshintō, déjà allié du PLD depuis le mois de janvier de la même année), obtenant ainsi un poste au sein du Cabinet du Japon. Depuis lors, le Nouveau Kōmeitō a participé à tous les gouvernements formés par le PLD dont il est considéré désormais comme l'allié traditionnel. Il connaît ensuite une certaine stagnation électorale, ces résultats étant associés à ceux de l'ensemble de la majorité :
- aux élections législatives du Modèle:Date, il recueille 2,03 % des suffrages exprimés au scrutin uninominal majoritaire à un tour et Modèle:Nombre ainsi que 12,97 % des voix et Modèle:Nombre à la proportionnelle. Le Nouveau Kōmeitō obtient donc un total de Modèle:Nombre, soi 11 de moins que ce qu'il possédait dans l'assemblée sortante. Troisième parti de la Chambre des représentants (loin derrière le PLD et le PDJ), il est talonné par le Parti libéral (retourné dans l'opposition, Modèle:Nombre), le PCJ (Modèle:Nombre) et le PSD (Modèle:Nombre). Obtenant une majorité relative plus faible encore qu'à la fin de la précédente législature (avec Modèle:Nombre sur 480), le PLD est obligé de reconduire son partenariat avec le Nouveau Kōmeitō.
- aux Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date, 14 des Modèle:Nombre du Nouveau Kōmeitō (le parti avait gagné Modèle:Nombre supplémentaires entre 1998 et 2001) sont à renouveler. Le parti présente Modèle:Nombre, et obtient Modèle:Nombre (8 à la proportionnelle nationale où sa liste recueille 14,96 % des suffrages, et 5 au vote unique non transférable dans les préfectures où ses candidats réunissent 6,38 % des voix) sur 121. Son nombre total de conseillers est donc de 23 sur 247 et il reste le Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PDJ).
- aux élections législatives du Modèle:Date, il connaît un certain regain : il gagne ainsi deux circonscriptions (mais pour un score moins bon au vote majoritaire qu'en 2000, avec 1,49 % des suffrages, essentiellement du fait des accords électoraux passés avec le PLD) et obtient un siège supplémentaire à la proportionnelle (les listes du Nouveau Kōmeitō totalisant 14,78 % des voix, soit près de deux points supplémentaires qu'en 2000). Avec Modèle:Nombre, le Nouveau Kōmeitō se confirme comme la troisième force politique du Japon et distance cette fois toutes les forces de l'opposition à l'exception du PDJ. La majorité PLD-Nouveau Kōmeitō Modèle:Nombre sur 480, la formation centriste étant la seule de l'opposition à avoir gagné des élus par rapport à la chambre sortante.
- aux Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date, 11 des Modèle:Nombre du Nouveau Kōmeitō (le parti avait gagné Modèle:Nombre supplémentaire entre 1998 et 2001) sont à renouveler. Le parti présente Modèle:Nombre, et obtient Modèle:Nombre (8 à la proportionnelle nationale où sa liste recueille 15,41 % des suffrages, et 3 au vote unique non transférable dans les préfectures où ses candidats réunissent 3,85 % des voix) sur 121. Son nombre total de conseillers se maintient donc, avec Modèle:Nombre sur 242 et il reste le Modèle:3e du Japon (derrière le PLD et le PDJ). De plus, sa relativement bonne performance permet au PLD (devancé en nombre de voix pour la première fois de son histoire par un autre parti, en l'occurrence le PDJ) de conserver la majorité à la chambre haute de la Diète.
- aux élections législatives du Modèle:Date, marquée par un véritable plébiscite en faveur du gouvernement de Jun'ichirō Koizumi auquel le Nouveau Kōmeitō est associé, ce dernier connaît une certaine contre-performance. Certes, il améliore son score en voix au scrutin majoritaire (2,7 % des suffrages) mais doit laisser l'une de ses circonscriptions (à Okinawa) au PLD, tandis que ses listes font un score légèrement inférieur à celui de 2003 avec 13,25 % des suffrages exprimés et Modèle:Nombre. Le Nouveau Kōmeitō perd donc Modèle:Nombre et, avec Modèle:Nombre, se retrouve à son niveau de 2000. Si le PLD a obtenu à lui seul une très large majorité absolue (296 sur 480), l'alliance avec le Nouveau Kōmeitō est maintenue (ne serait-ce que pour conserver une majorité stable à la Chambre des conseillers).
- aux Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date, il partage la défaite du PLD, bien qu'elle soit moins importante pour lui que pour ce dernier. 13 des Modèle:Nombre du Nouveau Kōmeitō sont à renouveler. Le parti présente Modèle:Nombre, mais n'obtient que Modèle:Nombre (7 à la proportionnelle nationale où sa liste recueille 13,18 % des suffrages, soit Modèle:Nombre de moins qu'en 2004, et 2 au vote unique non transférable dans les préfectures où ses candidats réunissent 5,96 % des voix) sur 121. Son nombre total de conseillers ne baisse donc que de Modèle:Nombre et s'établit à Modèle:Nombre sur 242. De plus, il reste le Modèle:3e du Japon (derrière le PDJ et le PLD).
- aux élections législatives du Modèle:Date, le Nouveau Kōmeitō connaît, comme le reste de la majorité sortante, une importante défaite. Il perd ainsi la totalité de ses Modèle:Nombre et ses Modèle:Nombre n'ont plus recueilli au total que 1,11 % des suffrages exprimés au scrutin majoritaire. À la proportionnelle, il connaît son plus mauvais score depuis sa renaissance en 1998, avec seulement 11,45 % des voix et Modèle:Nombre. S'il reste le troisième parti de cette assemblée, avec Modèle:Nombre sur 480, il perd Modèle:Nombre par rapport à la précédente élection et plusieurs de ses dirigeants sont battus dont son propre président Akihiro Ōta qui annonce immédiatement sa démission. Il est remplacé par Natsuo Yamaguchi.
- aux Modèle:Lien à la Chambre des conseillers du Modèle:Date, 11 des Modèle:Nombre du Nouveau Kōmeitō sont à renouveler. Le parti présente Modèle:Nombre, mais n'obtient (comme en 2007) que Modèle:Nombre (6 à la proportionnelle nationale où sa liste recueille 13,07 % des suffrages, soit seulement Modèle:Nombre de moins qu'en 2007, et 3 au vote unique non transférable dans les préfectures où ses candidats réunissent 3,88 % des voix, soit Modèle:Nombre mais un siège de plus qu'en 2007) sur 121. Son nombre total de conseillers ne baisse donc que de Modèle:Nombre et s'établit à Modèle:Nombre sur 242. De plus, il reste le Modèle:3e du Japon (derrière le PDJ et le PLD), mais a été dépassé en nombre de suffrages par le jeune Votre Parti.
- aux élections législatives du Modèle:Date, la coalition entre le PLD et le Nouveau Kōmeitō revient au pouvoir grâce au vote sanction qui frappe alors les démocrates (qui retombent à seulement Modèle:Nombre). Le parti retrouve alors Modèle:Nombre au vote majoritaire (la totalité de ses candidats à ce mode de scrutin sont élus, totalisant 1,49 % des suffrages exprimés), et gagne un élu de plus à la proportionnelle (Modèle:Nombre parmi Modèle:Nombre et 11,83 % des voix obtenus), disposant désormais de Modèle:Nombre.
Kōmeitō (2014)
En Modèle:Date-, pour marquer son cinquantième anniversaire, le parti a décidé de ne plus s'appeler « Nouveau », mais simplement Kōmeitō<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} K. Ijekiri, Modèle:Lang Modèle:Lien archive, [[Asahi shinbun|Modèle:Lang Modèle:Lang]] Modèle:Date-.</ref>.
Participation du Kōmeitō puis du Nouveau Kōmeitō au gouvernement
Voici la liste des ministres issus du Kōmeitō puis du Nouveau Kōmeitō :
- Modèle:Date - Modèle:Date : Modèle:Lien dirigé par Morihiro Hosokawa : Modèle:Nombre sur 20 :
- Modèle:Lien (représentant), ministre des Postes et Télécommunications,
- Modèle:Lien (représentant), ministre du Travail,
- Modèle:Lien (représentant), ministre d'État, directeur de l'Modèle:Lien,
- Wakako Hironaka (conseillère), ministre d'État, directrice de l'Agence de l'Environnement.
- Modèle:Date - Modèle:Date : Modèle:Lien dirigé par Tsutomu Hata : Modèle:Nombre sur 20 :
- Modèle:Lien (représentant), ministre des Transports également chargé du nouvel aéroport international de Tokyo,
- Modèle:Lien (représentant), ministre des Postes et Télécommunications,
- Modèle:Lien (représentant), ministre de la Construction,
- Modèle:Lien (représentant), ministre d'État, directeur de l'Modèle:Lien,
- Modèle:Lien (représentant), ministre d'État, directeur de l'Modèle:Lien et directeur de la Commission de l'énergie atomique,
- Modèle:Lien (conseillère), ministre d'État, directrice de l'Agence de l'Environnement.
- Modèle:Date - Modèle:Date : [[Gouvernement Obuchi|Modèle:84e du Japon]] dirigé par Keizō Obuchi : Modèle:Nombre sur 18 :
- Modèle:Lien (conseiller), ministre d'État, directeur de l'Modèle:Lien.
- Modèle:Date - Modèle:Date : [[Gouvernement Mori I|Modèle:85e du Japon]] : Modèle:Nombre sur 19 :
- Modèle:Lien (conseiller), ministre d'État, directeur de l'Modèle:Lien également chargé de la Restructuration du gouvernement central.
- Modèle:Date - Modèle:Date : [[Gouvernement Mori II|Modèle:86e du Japon]] : Modèle:Nombre sur 19 :
- Modèle:Lien (conseiller), ministre d'État, directeur de l'Modèle:Lien également chargé de la Restructuration du gouvernement central.
- Modèle:Date - Modèle:Date : [[Gouvernement Mori II|Modèle:86e du Japon]] remanié : Modèle:Nombre sur 18 :
- Modèle:Lien (représentant), ministre de la Santé et des Affaires sociales, ministre du Travail également chargé du problème des retraites (jusqu'au Modèle:Date), puis, après l'entrée en vigueur de la réforme du gouvernement central du Modèle:Date, ministre de la Santé, du Travail et des Affaires sociales.
- Modèle:Date - Modèle:Date : 87e puis [[Gouvernement Koizumi II|Modèle:88e du Japon]] dirigés par Jun'ichirō Koizumi : Modèle:Nombre sur 17 :
- Modèle:Date - Modèle:Date : [[Gouvernement Koizumi II|Modèle:88e du Japon]] remanié puis [[Gouvernement Koizumi III|Modèle:89e du Japon]] dirigés par Jun'ichirō Koizumi : Modèle:Nombre sur 17 :
- Kazuo Kitagawa (représentant), ministre du Territoire, des Infrastructures et des Transports, également chargé de la Délocalisation de la capitale et du Tourisme.
- Modèle:Date - Modèle:Date : [[Gouvernement Abe I|Modèle:90e du Japon]] dirigé par Shinzō Abe puis [[Gouvernement Fukuda|Modèle:91e du Japon]] dirigé par Yasuo Fukuda : Modèle:Nombre sur 17 :
- Tetsuzō Fuyushiba (représentant), ministre du Territoire, des Infrastructures et des Transports, également chargé du Tourisme et des Affaires maritimes.
- Yasuko Ikenobo (représentante), Ministre d'État chargée de l'Éducation, de la Culture, des Sports, des Sciences et de la Technologie
- Modèle:Date - Modèle:Date : [[Gouvernement Fukuda|Modèle:91e du Japon]] remanié dirigé par Yasuo Fukuda puis [[Gouvernement Asō|Modèle:92e du Japon]] dirigé par Tarō Asō : Modèle:Nombre sur 17 :
- Tetsuo Saitō (Modèle:1re, représentant), ministre de l'Environnement également chargé des Problèmes environnementaux mondiaux.
- Modèle:Date - Modèle:Date : [[Gouvernement Abe II|Modèle:96e]] puis [[Gouvernement Abe III|Modèle:97e du Japon]] dirigés par Shinzō Abe : Modèle:Nombre sur 18 :
- Modèle:Date - Modèle:Date : [[Gouvernement Abe III|Modèle:97e]] puis [[Gouvernement Abe IV|Modèle:98e du Japon]] dirigés par Shinzō Abe : Modèle:Nombre sur 18 puis sur 19 :
- Modèle:Date - Modèle:Date : [[Gouvernement Abe IV|Modèle:98e du Japon]] dirigé par Shinzō Abe puis [[Gouvernement Suga|Modèle:99e du Japon]] dirigé par Yoshihide Suga : Modèle:Nombre sur 19 puis sur 20 :
- Depuis le Modèle:Date : [[Gouvernement Kishida I|Modèle:100e]] puis [[Gouvernement Kishida II|Modèle:101e du Japon]] dirigés par Fumio Kishida : Modèle:Nombre sur 21 :
Implantation locale
Le Nouveau Kōmeitō est bien implanté en zone urbaine, et plus particulièrement dans la région de Kinki et la préfecture d'Osaka. Ainsi, jusqu'en 2009 et depuis 2012, le parti détient 4 des Modèle:Nombre électoraux de cette préfecture, concentrés dans les deux grandes agglomérations d'Osaka (3 des Modèle:Nombre découpant la ville) et Sakai (le Modèle:16e correspondant à la moitié nord de la ville). Depuis 1980, 2 des 6 puis Modèle:Nombre de la Chambre des conseillers représentant la préfecture d'Osaka sont issus du parti (Modèle:Nombre à chaque renouvellement de moitié de la chambre haute tous les trois ans), à savoir Modèle:Lien depuis 2010 et Modèle:Lien depuis 2013 (remplaçant Modèle:Lien, élu de 1989 à 2013). Le Nouveau Kōmeitō dispose à l'Assemblée préfectorale d'Osaka de Modèle:Nombre sur 109 depuis les élections de 2015, ce qui en fait la troisième force politique de cette institution (derrière l'« Association de restauration d'Osaka » ou ARO, mouvement fédéraliste local fondé en 2010 par le gouverneur puis maire d'Osaka Tōru Hashimoto, et le PLD, mais devant le PDJ)Modèle:Note, après y avoir constitué le deuxième groupe derrière l'ARO de 2011 à 2015. C'est également le cas à l'assemblée municipale d'Osaka, où il est représenté par Modèle:Nombre sur 86Modèle:Note. Au conseil municipal de Sakai il a longtemps formé le principal groupe avant de se faire dépasser là aussi par l'« Association de restauration d'Osaka », avec Modèle:Nombre de 2011 jusqu'en 2015 puis 11 ensuite (Modèle:Nombre puis 2 de moins que le parti du gouverneur et du maire) sur 52Modèle:Note.
Dans la préfecture voisine de Hyōgo, deux circonscriptions sont détenues jusqu'en 2009 et depuis 2012 (la Modèle:2e qui correspond à la partie centrale de Kobe, avec pour député Kazuyoshi Akaba, et la Modèle:8e soit la ville d'Amagasaki, représentée par Tetsuzō Fuyushiba jusqu'en 2009 et depuis 2012 par Modèle:Lien). Jusqu'en 1995, lorsque la préfecture de Hyōgo était encore représentée par six membres à la Chambre des conseillers (soit Modèle:Nombre à chaque renouvellement tous les Modèle:Nombre, ce nombre est passé à 2 à partir de 1995), le Kōmeitō avait aussi deux conseillers pour cette préfecture de 1977 à 1980 et de 1986 à 1995, sinon un seul de 1968 à 1977, de 1980 à 1986 et de 1995 à 1998. Elle n'y a plus de représentant à la chambre haute de 1998 à 2016 : à cette occasion, trois sièges sont pourvus, prévoyant le retour à Modèle:Nombre pour cette préfecture, et Modèle:Lien est ainsi élu sous les couleurs du parti à la chambre haute. À l'Assemblée préfectorale de Hyōgo, le Nouveau Kōmeitō a depuis 2011 Modèle:Nombre sur 91 (puis sur 87 à partir de 2015) soit le Modèle:3e de 2011 à 2015 puis le Modèle:2e derrière les 45 du PLD<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Composition de l'Assemblée préfectorale de Hyōgo sur son site officiel.</ref>. Au conseil municipal d'Amagasaki, avec Modèle:Nombre sur 42 depuis 2013, il est le deuxième groupe de la ville, après un parti local (le Shinseikai, Modèle:Nombre).
Le Nouveau Kōmeitō est également bien présent dans la métropole de Tokyo. Il y détient, de 2003 à 2009 et depuis 2012, le Modèle:12e de Tokyo à savoir les arrondissements au nord de la ville (Kita et Adachi) détenu par Akihiro Ōta. Il a fait de plus élire un conseiller pour Tokyo à chaque renouvellement de la moitié de la chambre haute depuis 1965, ce qu'il fait qu'il détient deux conseillers sur huit de 1968 à 2007, sur neuf de 2007 à 2010, sur dix de 2010 à 2016 et sur onze depuis 2016 (Natsuo Yamaguchi depuis 2001 et Modèle:Lien depuis 2010). S'y ajoute Modèle:Lien, élu pour la circonscription de Tokyo de 1995 à 2001 puis pour la circonscription nationale depuis 2001. Il a de plus maintenu un groupe de Modèle:Nombre sur 127 à l'Assemblée métropolitaine depuis 2001 :
- aux élections à l'Assemblée métropolitaine de Tokyo du Modèle:Date, le Nouveau Kōmeitō obtient 15,09 % des suffrages exprimés et la totalité de ses Modèle:Nombre sont élus sur les Modèle:Nombre à pourvoir. En nombre de voix, il est le troisième parti de la préfecture (derrière le PLD et le PCJ, qu'il talonne à Modèle:Unité près tandis que les communistes ont présenté pratiquement deux fois plus de candidats que le Kōmeitō) et le deuxième de l'assemblée en nombre de sièges après le PLD.
- aux élections à l'Assemblée métropolitaine de Tokyo du Modèle:Date, il réunit 18 % des voix et encore une fois ses Modèle:Nombre sont élus. Il est le troisième partie de la préfecture, tant en voix qu'en sièges, derrière le PLD et le PDJ.
- aux élections à l'Assemblée métropolitaine de Tokyo du Modèle:Date, il maintient ses Modèle:Nombre mais son score (dans un contexte difficile pour la coalition menée par le PLD qui pour la première fois de son histoire perd la majorité à Tokyo et son statut de premier parti préfectoral au profit du PDJ) retombe à 13,19 % des suffrages exprimés.
- aux élections à l'Assemblée métropolitaine de Tokyo du Modèle:Date, il fait toujours élire ses Modèle:Nombre, ce qui en fait désormais le deuxième groupe en nombre de sièges derrière le PLD, mais toujours le troisième en nombre de voix, avec 14,1 % des suffrages exprimés, talonnant le PDJ.
- aux élections à l'Assemblée métropolitaine de Tokyo du Modèle:Date, le parti conserve ses Modèle:Nombre et le deuxième groupe en nombre de sièges derrière le « Comité des citoyens de Tokyo d'abord » de la gouverneure Yuriko Koike avec qui il forme la nouvelle majorité et à égalité avec le PLD, mais est désormais la quatrième force en nombre de voix, avec 13,13 % des voix, loin derrière le « Comité des citoyens de Tokyo d'abord » et le PLD mais aussi à quelques voix derrière le PCJ.
Ligne politique
Le Kōmeitō encourage la réforme du gouvernement, en particulier soutient les propositions de réduction des effectifs de l'administration, et demande que l'utilisation des fonds spéciaux soit revue et possiblement supprimée. Il est aussi favorable à la décentralisation, et demande que les émoluments des membres du gouvernement ainsi que des parlementaires soient revus à la baisse. Économiquement, le Kōmeitō est favorable au soutien des PME-PMI, en particulier, de prêts aux conditions favorables pour les créateurs d'entreprises. Il demande aussi une politique permettant d'augmenter le tourisme, en particulier en améliorant la formation aux langues étrangères des professionnels de ces industries. En matière de sécurité sociale, le Kōmeitō propose d'étendre la couverture actuelle. Partisan d'un respect pour l'essentiel de la Constitution japonaise et de son aspect pacifique, il a toutefois évolué depuis 2001, du fait notamment de son alliance avec le PLD, vers un soutien tacite de la reconnaissance des Forces japonaises d'autodéfense comme d'une armée plus ou moins conventionnelle pouvant intervenir, sous certaines conditions, à l'étranger. Il défend activement l'octroi du droit de vote aux élections locales aux étrangers résidents réguliers au Japon.
Direction
Depuis Modèle:Date, la direction du Nouveau Kōmeitō est ainsi constituée :
- Président : Natsuo Yamaguchi (conseiller pour Tokyo)
- Président de la Conférence des délégués nationaux : Akihiro Ōta (représentant pour le Modèle:12e de Tokyo, ministre du Territoire, des Infrastructures, des Transports et du Tourisme, ex-président du parti de 2006 à 2009)
- Vice-présidents :
- Yoshihisa Inōe (ex-représentant pour le bloc du Tōhoku de 1996 à 2021)
- Kazuo Kitagawa (représentant pour le Modèle:16e de la préfecture d'Osaka, ex-ministre du Territoire, des Infrastructures, des Transports et du Tourisme de 2004 à 2006), aussi président du Comité exécutif central
- Modèle:Lien (représentante pour le bloc de Minami-Kantō)
- Tetsuo Saitō (représentant pour le Modèle:3e de la préfecture de Hiroshima, ex-ministre de l'Environnement de 2008 à 2009 puis ministre du Territoire, des Infrastructures, des Transports et du Tourisme depuis 2021)
- Modèle:Lien (ex-représentant pour le bloc de Shikoku de 2003 à 2021)
- Secrétaire général : Keiichi Ishii (représentant pour le bloc du Nord-Kantō, ex-ministre du Territoire, des Infrastructures, des Transports et du Tourisme de 2015 à 2019)
- Président du Comité exécutif central : Kazuo Kitagawa (représentant pour le Modèle:16e de la préfecture d'Osaka, ex-ministre du Territoire, des Infrastructures, des Transports et du Tourisme de 2004 à 2006), aussi vice-président du parti
- Président du Conseil de Recherche politique : Modèle:Lien (représentant pour le bloc de Kinki)
- Président du Comité des Affaires de la Diète : Shigeki Satō (représentant pour le Modèle:3e de la préfecture d'Osaka)
- Président du groupe à la Chambre des conseillers : Modèle:Lien (conseiller pour la préfecture de Saitama)
- Secrétaire général du groupe à la Chambre des conseillers : Modèle:Lien (conseiller à la proportionnelle nationale)
- Président du Quartier général des élections : Modèle:Lien (représentant pour le bloc de Tokyo)
- Président de la commission des affaires générales : Hiroyuki Takanabe
- Président de la commission de l'organe de presse : Masashi Yoshimoto
- Conseiller permanent : Modèle:Lien (ex-représentant de l'ancien Modèle:1er de la préfecture de Fukuoka puis pour le bloc de Kyūshū de 1983 à 2010, ex-ministre des Postes et Télécommunications de 1993 à 1994, ex-président du parti de 1998 à 2006)
- Conseillers du parti :
- Modèle:Lien (ex-conseiller pour la préfecture d'Osaka de 1989 à 2013)
- Modèle:Lien (ex-représentant pour le bloc du Hokuriku-Shinetsu de 1996 à 2017)
- Modèle:Lien (ex-conseiller pour Tokyo puis à la proportionnelle nationale de 1995 à 2019)
- Conseillers spéciaux :
- Modèle:Lien (ex-représentant de l'ancien Modèle:1er de la préfecture de Mie puis pour le bloc de Tōkai de 1972 à 1980, de 1983 à 1990 et de 1993 à 2012, ex-ministre du Travail de 1993 à 1994, de la Santé et du Travail de 2000 à 2001 puis de la Santé, du Travail et des Affaires sociales de 2001 à 2004)
Résultats électoraux
Chambre des représentants
Année | Sièges | Circonscriptions | Proportionnel | Gouvernement | ||
---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | |||
2000 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | 1 231 753 | 2,02 | 7 762 032 | 12,97 | [[Gouvernement Mori II|Mori Modèle:II]] (2000-2001), [[Gouvernement Koizumi I|Koizumi Modèle:Rom-maj]] (2001-2003) |
2003 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | 886 507 | 1,49 | 8 733 444 | 14,78 | [[Gouvernement Koizumi II|Koizumi Modèle:II]] |
2005 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | 981 105 | 1,44 | 8 987 602 | 13,25 | [[Gouvernement Koizumi III|Koizumi Modèle:III]] (2005-2006), [[Gouvernement Abe I|Abe Modèle:Rom-maj]] (2006-2007), Fukuda (2007-2008), Asō (2008-2009) |
2009 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | 782 984 | 1,11 | 8 054 007 | 11,45 | Opposition |
2012 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | 885 881 | 1,49 | 7 116 474 | 11,83 | [[Gouvernement Abe II|Abe Modèle:II]] |
2014 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | 765 390 | 1,45 | 7 314 236 | 13,71 | [[Gouvernement Abe III|Abe Modèle:III]] |
2017 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | 832 453 | 1,50 | 6 977 712 | 12,51 | [[Gouvernement Abe IV|Abe Modèle:IV]] (2017-2020), Suga (2020-2021), [[Gouvernement Kishida I|Kishida Modèle:Rom-maj]] (2021) |
2021 | Modèle:Infobox Parti politique/Sièges | 872 931 | 1,52 | 7 114 282 | 12,38 | [[Gouvernement Kishida II|Kishida Modèle:II]] (2021- ) |
Notes et références
Voir aussi
Bibliographie
Liens externes
- Modèle:Site officiel
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} La plate-forme politique du parti
- Modèle:Autorité