La Merveilleuse Visite

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox V3/Début Modèle:Infobox V3/Image Modèle:Infobox V3/Séparateur Modèle:Infobox V3/Tableau début Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau fin {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} Modèle:Infobox V3/Séparateur

Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Modèle:Infobox V3/Fin

La Merveilleuse Visite est un film franco-italien réalisé Marcel Carné, sorti en 1974.

Synopsis

Un jeune homme, inanimé et nu, est découvert sur une plage par le curé d’un village de la côte bretonne. Conduit au presbytère et examiné par le médecin qui le déclare indemne et en bonne santé, l’homme reprend connaissance, incapable de dire comment il s’appelle tout en prétendant venir d’un autre monde, sans toutefois pouvoir préciser d’où exactement. Le curé héberge celui qu’il nomme « Jean », se référant au jour saint où il l’a découvert. Jean crée l’émoi dans le village en fonction des croyances et des préjugés de ses habitants : est-ce un ange tombé du ciel, un illuminé ou un imposteur ?

Fiche technique

Distribution

Production

Distribution des rôles

Marcel Carné<ref name="MCSouvenirs">Extrait de son livre de souvenirs Modèle:Ouvrage</ref> raconte ses péripéties pour dénicher l'oiseau rare devant incarner son « ange ». Ne l'ayant pas trouvé en France, il part à sa recherche à Rome, et le découvre en la personne du jeune acteur américain révélé en 1969 par Fellini dans son Satyricon, Hiram Keller, bien qu'il reproche à celui-ci de faire Modèle:Citation. Mais ce n'est pas ce qui va éliminer l'acteur du casting, c'est son incapacité à apprendre le français comme Marcel Carné le lui a demandé deux mois avant le début des prises de vues. Car, fin Modèle:Date-, bien que Hiram Keller se soit engagé par contrat à dire son texte en français, il n'a pas suffisamment travaillé et demeure incapable de parler correctement notre langue<ref>Hiram Keller tournera ultérieurement en France sous la direction de Catherine Breillat dans le premier film de celle-ci, Une vraie jeune fille (1976).</ref>. Marcel Carné fait alors appel à son Modèle:2e repéré lors des essais, le cover-boy Gilles Kohler. Marcel Carné avait également trouvé à Rome une jeune actrice italienne Modèle:Citation, Agostina Belli (parlant parfaitement le français), pour le rôle de Deliah. Mais à cause du temps perdu avec la valse des producteurs, Agostina Belli n'était plus libre quand vint le moment du tournage.

Tournage

  • Marcel Carné<ref name="MCSouvenirs"/> : Modèle:Citation S'ajoute à tout cela la profusion de « chèques en bois » émis par un producteur peu scrupuleux, (Modèle:Citation) qui fait jaillir la flamme qui couvait sous la cendre...

Musique

Marcel Carné<ref name="MCSouvenirs"/> : Modèle:Citation

Diffusion à la télévision française

Accueil

Marcel Carné<ref name="MCSouvenirs"/> : Modèle:Citation Mais la Commission de sélection rejette le film. Le producteur ne capitule pas et le présente au Marché du film de Cannes. La projection a lieu au cinéma « Le Paris ». Marcel Carné se souvient que Modèle:Citation Après avoir reçu un accueil Modèle:Citation lors des projections en août à La Baule et à Deauville, la première parisienne est envisagée pour l'inauguration du nouveau cinéma Publicis Champs-Élysées prévue en décembre, mais le producteur veut que la projection soit effectuée à la rentrée. La première a donc lieu en septembre dans une salle d'un passage de l'avenue des Champs-Élysées. Le film est projeté en présence d'Arletty et de Michèle Morgan. L'accueil du public est chaleureux et l'interprétation de Roland Lesaffre est très remarquée, Modèle:Citation, dixit Marcel Carné. Mais contrairement à l'accueil public, celui de la critique est beaucoup plus réservé. Henry Chapier aurait voulu Modèle:Citation tandis que Louis Chauvet, critique au Figaro voit une débutante en Mary Marquet (70 ans de carrière...) et Robert Chazal, de France-Soir, trouve la réalisation d'un Modèle:Citation. Ce qui ne refroidit pas l'accueil enthousiaste que le public continue de réserver à La Merveilleuse Visite. Après la projection à Quimper, un vieux breton, ému, dit à Marcel Carné : Modèle:Citation. Et malgré sa distribution dans un circuit de salles médiocres, le film continuera de faire de nombreuses entrées jusqu'à ce qu'il soit, sans raison apparente, brusquement retiré de l'affiche.

Notes et références

Modèle:Références

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Palette Modèle:Portail