Le Castellet (Alpes-de-Haute-Provence)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Le Castellet, ou le Castellet-d'Oraison<ref name="castellians"/>, est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Modèle:Sommaire

Géographie

Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Le Castellet et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Le village chef-lieu de la commune est Le Castellet, dans la vallée de la Rancure. Le hameau de Taillas est situé dans la vallée de l’Asse.

Les communes limitrophes du Castellet sont Puimichel, Entrevennes, Brunet, Valensole, Oraison, Les Mées.

Les villages les plus proches sont :

Géologie

Modèle:...

Relief

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Hydrographie

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Climat

Modèle:Article détaillé Le Castellet est soumis à un climat méditerranéen d'intérieur, très semblable à celui que l'on trouve dans le reste de la Provence à basse altitude. Les hivers sont frais, avec des gelées fréquentes, tandis que les étés sont très chauds et secs, avec quelquefois des orages.

Une station météo manuelle est installée au Castellet ; les stations plus complètes sont situées à Valensole et Forcalquier, une autre station manuelle se trouve à Saint-Jurs<ref name="climatheque">Météo-France, « Réseau des postes du Sud-Est », Climathèque, consultée le 11 mars 2013</ref>.

Environnement

La commune compte Modèle:Unité de bois et forêts, soit 62 % de sa superficie<ref name="tresor"/>.

Hameaux

Les principaux hameaux sont Taillas et Notre-Dame.

Voies de communication et transports

Voies routières

Pont à poutres en acier
Pont de la RD 101 sur le ravin de Puimichel, en crue.

La commune est desservie par les routes départementales Modèle:Nobr qui remonte la vallée du Rancure où se trouve l’habitat (vers Oraison à l’ouest et Puimichel à l’est), et la Modèle:Nobr qui s’embranche sur la précédente en direction d’Entrevennes.

Services autocars

Lignes intercommunales

Le Castellet est relié par une ligne intercommunale du réseau Trans'Agglo<ref>Site de DLVA Mobilité.</ref> :

Ligne Parcours
Modèle:Bus Trans'Agglo/correspondance BrunetEntrevennesPuimichel ↔ Le Castellet ↔ Oraison (Transport à la demande)
Lignes scolaires

Des lignes de transports scolaires ont été mises en place pour rallier le collège d'Oraison. Ces lignes sont financées par la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon au travers du réseau Trans'Agglo. En plus des lignes existantes du réseau, une autre a été rajoutée.

Ligne Tracé
Modèle:Bus Trans'Agglo/correspondance EntrevennesPuimichel ↔ Le Castellet ↔ Oraison

Risques naturels et technologiques

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton des Mées auquel appartient Le Castellet est en zone 2 (risque moyen) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques<ref name="ddrm39"/>, et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011<ref name="prim"/>. La commune du Castellet est également exposée à trois autres risques naturels<ref name="prim"/> :

  • feu de forêt ;
  • inondation (dans les vallées du Rancure et de l’Asse) ;
  • mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort<ref name="ddrm37"/>.

La commune du Castellet n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture<ref name="ppr"/>.

Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 1998 pour les risques d’inondation, de mouvement de terrain et de séisme<ref name="ppr"/> mais le Dicrim n’existe pas<ref name="dicrim"/>.

Urbanisme

Typologie

Le Castellet est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Manosque, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,3 %), terres arables (27,1 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,3 %), cultures permanentes (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

La localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1178 (Castelleto, ce qui signifie petit village fortifié en occitan)<ref name="TGF"/>. Il fut encore appelé le Castellet des Entrevennes, le Castellet des Mées<ref name="Blanc"/> ou encore Le Castellet d’Oraison<ref name="castellians"/>,<ref name="Blanc"/>.

Le nom français, Le Castellet, est le résultat de la francisation du provençal Lou Castelet, diminutif du provençal castèu, du latin castellum<ref>Le trésor du Félibrige / Lou tresor dóu Felibrige, F. Mistral, tome 1, Modèle:P. et 492, édition CPM 1979</ref>.

Histoire

Fichier:Four communal du Castellet.JPG
Four communal.

De la période de présence romaine datent quelques vestiges. Le site de Notre-Dame de Taillas a livré des restes d’une villa antique, avec des restes de dolia (grande amphore vinaire)<ref>Marc Gauthier, « Provence-Alpes-Côte-d'Azur », Gallia, Tome 43, Modèle:N°2, 1985. Modèle:P.515.</ref>. Une nécropole gallo-romaine a également été découverte en 1963<ref name="Collier20"/>.

Le Castellet est signalé dans les chartes à partir de la fin du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:|  }} }} et du début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, sous le nom de Castelletum ou de Castelletum d’Antravenis (« Le Castellet d’Entrevennes »)<ref name="archeo-provence"/>. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Le Castellet dépendait des Isnard, seigneurs d'Entrevennes. En 1542 le village passe sous la dépendance des seigneurs d'Oraison.

Aux {{#switch: e

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   Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleXIII

}}, le prieuré Saint-Pierre et ses revenus appartenaient à l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon<ref name="Barruol217"/>. L’hospice lui fut rattaché au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name="archeo-provence"/>.

En 1348, la reine Jeanne, chassée de son royaume de Naples, dut se réfugier en Provence. Pour reconquérir ses États napolitains, elle vendit Avignon au pape pour 80 000 florins, et obtint au passage l'absolution pontificale qui la lavait de tout soupçon dans le meurtre de son premier époux André de Hongrie. Reconnaissante, elle offrit à Guillaume II Roger, frère du pape, le fief de Valernes, qui fut érigé en vicomté par lettres patentes en 1350<ref>Jean-Marie Schio, Guillaume II Roger de Beaufort.</ref>. La nouvelle vicomté comprenait les communautés de Bayons, Vaumeilh, la Motte, Bellaffaire, Gigors, Lauzet, les Mées, Mézel, Entrevennes et le Castellet, avec leurs juridictions et dépendances<ref>Édouard de Laplane, Histoire de Sisteron, tirée de ses archives, Digne, 1845, T. I, Modèle:P..</ref>.

La communauté de Taillas (site du château actuel), qui comptait 5 feux en 1315<ref name="AHP"/>, est dépeuplée par la crise du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (Peste noire et guerre de Cent Ans) et annexée par celle du Castellet au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="AHP"/>. Par contre, le fief de Taillas, dont le siège est dans la vallée de l’Asse, subsiste en plus de celui du Castellet jusqu’à la Révolution<ref name="AHP-c195"/>.

La communauté du Castellet relevait de la viguerie de Digne.

Fichier:Monument aux morts du Castellet.JPG
Monument aux morts de la Première Guerre mondiale.

Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792<ref name="club"/>.

Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 5 habitants du Castellet sont traduits devant la commission mixte<ref>Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, Modèle:P.71.</ref>.

Comme de nombreuses communes du département, Le Castellet se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle possède déjà une école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu<ref name="labadie9"/>. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants<ref name="labadie16"/>, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Le Castellet<ref name="labadie18"/> ; ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Saint-Lions sont régulièrement scolarisées.

Jusqu’au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la vigne était cultivée au Castellet. Le vin produit était destiné à l’autoconsommation. Cette culture est aujourd’hui abandonnée<ref name="reparaz-medit109"/>.

Politique et administration

Intercommunalité

Le Castellet fait partie :

Liste des maires

Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel

Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Politique environnementale

La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon.

La commune dispose d'une déchèterie.

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe Le nom de ses habitants est Castellians<ref name="tresor"/>,<ref name="castellians"/>.

En Modèle:Population de France/dernière année Infobox, Le Castellet comptait Modèle:Population de France/dernière pop habitants. À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les recensements réels des communes de moins de Modèle:Unité ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Le Castellet). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

Modèle:Population de France/tableau

L'histoire démographique du Castellet, après la saignée des {{#switch: XV

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}} et le long mouvement de croissance jusqu'au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, est marquée par une période d'« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure toute la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. L'exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. La perte est relativement lente, puisque ce n’est qu'en 1936 que la commune enregistre la perte de la moitié de sa population du maximum historique de 1856<ref name="vidal">Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. », Provence historique, tome 21, Modèle:N°85, 1971, Modèle:P.289.</ref>. Le mouvement de recul se poursuit jusqu’aux années 1960. Depuis, la population s’est remis à croître pour revenir à ses hauts niveaux du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Modèle:Population de France/graphique

En 1315, la commune compte 36 feux et 42 maisons habitées en 1540.

Enseignement

Fichier:École du Castellet.JPG
École maternelle.

La commune est dotée d’une école maternelle<ref name="ecole"/>.

Économie

Aperçu général

En 2009, la population active s’élevait à 123 personnes, dont 14 chômeurs<ref name="insee-dossier-local5"/> (chiffre stable en 2011<ref name="insee-dossier-local8"/>). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (77 %)<ref name="insee-dossier-local7"/> et travaillent majoritairement hors de la commune (76 %)<ref name="insee-dossier-local7"/>. L’industrie et la construction représentent le tiers des établissements<ref name="insee-dossier-local16"/>.

Agriculture

Fichier:Oliveraie du Castellet.JPG
Jeune oliveraie au Castellet.

Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait sept établissements actifs au sens de l’Insee et un emploi salarié<ref name="insee-dossier-local16"/>.

Le nombre d’exploitations, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, a diminué de moitié dans les années 2000, passant de huit à quatre, uniquement des exploitations pratiquant les grandes cultures. Les exploitants vivant des cultures permanentes ont disparu<ref name="otex"/>. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a augmenté, de Modèle:Nombre à Modèle:Nombre, alors que le nombre d’exploitations baissait (de dix à huit)<ref name="exploitations-insee"/>. La SAU a cependant augmenté lors de la dernière décennie, à Modèle:Nombre<ref name="otex"/>.

La culture de l’olivier est pratiquée dans la commune depuis des siècles, tout en étant limitée à certains versants. Le terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des Modèle:Unité : au Castellet, il s’agit des versants bien exposés des vallons entaillant le plateau de Valensole. L’oliveraie du Castellet occupait plusieurs dizaines d’hectares au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Modèle:Quand, elle a régressé mais reste relativement importante, avec plus de 1000 pieds exploités<ref name="reparaz-medit109-58"/>.

Industrie

Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait 10 établissements, employant 15 salariés<ref name="insee-dossier-local16"/>.

Les Ateliers de mécanique générale du Castellet (AMGC), est un atelier de mécanique de précision, spécialisé dans la construction de prototypes. Ils emploient 5 personnes<ref name="amgc"/>.

Activités de service

Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait sept établissements (avec quatre emplois salariés), auxquels s’ajoutent les six établissements du secteur administratif (salariant quatre personnes)<ref name="insee-dossier-local16"/>.

D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est assez importante pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant<ref name="atlas-hébergement6"/>. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :

  • un hôtel en 2007<ref name="atlas-hébergement11"/> (non classé<ref name="atlas-hébergement13"/>) ;
  • plusieurs meublés<ref name="atlas-hébergement32"/>,<ref name="atlas-hébergement36"/> ;
  • des chambres d’hôtes<ref name="atlas-hébergement38"/>.

Les résidences secondaires apportent un complément à la capacité d’accueil<ref name="atlas-hébergement44"/> : au nombre de 49, elles représentent le tiers des logements<ref name="insee-dossier-local17"/>,<ref name="insee-tourisme"/>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Art religieux

L’église paroissiale Saint-Pierre (1622), est de style roman. Le chœur est à chevet plat et voûté ; une petite chapelle est placée près de l’autel, côté nord<ref name="Collier220"/>.

Il subsiste peu de chose du prieuré Saint-Pierre, qui dépendait de l’abbaye de Villeneuve-lès-Avignon : une abside intégré à un hangar agricole<ref name="archeo-provence"/>. Il existe plusieurs chapelles Notre-Dame du côté de Taillas (vallée de l’Asse)<ref name="archeo-provence"/>.

Modèle:Message galerie-Commons

Architecture civile

Le patrimoine civil se compose de :

Personnalités liées à la commune

  • Edmond Humeau (1907-1998), poète, possédait une maison au Castellet.

Héraldique

Modèle:Article détailléLe blasonnement de la commune du Castellet est décrit ci-dessous<ref name="armorial" />,<ref name="blason" /> : Modèle:Blasonnement

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail