Le Liège

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Modèle:Voir homonymes

Modèle:Infobox Commune de France

Le Liège est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation et communes limitrophes

Situé sur le plateau entre Cher et Indre, le territoire du Liège est rattaché à la micro-région naturelle de la Champeigne tourangelle. Les communes limitrophes sont Céré-la-Ronde, Genillé et Luzillé. La commune fait partie de l'aire urbaine, du bassin d'emploi et du bassin de vie de Tours<ref>Modèle:Lien web.</ref>, cette dernière commune si situant à Modèle:Unité au nord-ouest du Liège<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Géologie et relief

Les roches sédimentaires crétacées comme la craie de Blois (c4-6B) du Sénonien n'affleurent que dans la vallée du ruisseau d'Hys qui a entamé cette strate par érosion. Ailleurs, elles sont recouvertes par les argiles à silex (c4-6S). À l'extrême ouest, le calcaire lacustre (e7) du Ludien se superpose aux argiles à silex alors qu'en de nombreux endroits un placage de limon éolien des plateaux (LP) est venu les masquer au Quaternaire<ref name="BRGM">Modèle:Lien web.</ref>. Le plateau est légèrement incliné de l'est (altitude de Modèle:Nobr dans la forêt de Biard) vers l'ouest (100 m à la pointe sud-ouest de la commune)Modèle:Sfn.

La superficie du territoire communal, qui affecte à peu près la forme d'un triangle isocèle dont la base est tournée vers le sudModèle:Sfn, est de Modèle:Unité quand la moyenne nationale s'établit à Modèle:Unité<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Hydrographie

Aucun cours d'eau permanent n'arrose la commune. Seul le ruisseau d'Hys, temporaire, coule au sud-ouest du LiègeModèle:Sfn.

Climat

Modèle:Article détaillé

La commune du Liège est soumise, comme l'ensemble des communes d'Indre-et-Loire, à un climat tempéré océanique dit dégradé<ref> Modèle:Lien web.</ref>, caractérisé par des températures clémentes, même en hiver. Aucun mois n'est véritablement sec, les précipitations mensuelles moyennes étant toujours supérieures à Modèle:Unité. En outre, les légers reliefs boisés (forêt de Biard à l'est de la commune et forêt de Brouard dans le prolongement de cette dernière, plus au sud) semblent suffisants pour créer un obstacle aux masses d'air atlantiques, conférant à cette partie de l'Indre-et-Loire une pluviométrie un peu plus importante que celle enregistrée dans le reste de la Touraine<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Paysages naturels et biodiversité

En 1987, 29 % du territoire communal est boisé. En dehors de ce secteur, le paysage bocager de la commune, encore bien présent jusqu'au milieu des années 1980, évolue depuis lors vers un paysage de champs ouverts dédiés aux cultures céréalièresModèle:Sfn.

Le « plateau de Champeigne entre Bléré et Loches » constitue une très grande ZNIEFF (Modèle:Unité) de deuxième génération et de Modèle:Nobr qui s'étend sur Modèle:Nobr ; elle n'intéresse que la pointe occidentale du territoire du Liège, au niveau du dolmen d'Hys. Au moins Modèle:Nobr de plantes à fleurs, dont l'Adonis d'automne (Adonis annua) et le Scandix peigne de Vénus (Scandix pecten veneris), ainsi que Modèle:Nobr d'oiseaux protégés ou rares y ont été recensées, parmi lesquelles le Circaète Jean-le-Blanc (Circaetus gallicus) et l'Outarde canepetière (Tetrax tetrax)<ref> Modèle:Lien web.</ref>. Ce dernier oiseau est devenu l'emblème de cette ZNIEFF<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Sur le territoire communal du Liège, cette ZNIEFF se confond géographiquement avec le site « Champeigne » du réseau Natura 2000 dans le cadre d'une zone de protection spéciale. Celle-ci vise à la préservation de plusieurs espèces d’oiseaux, dont l’Outarde canepetière (Tetrax tetrax) et l’Œdicnème criard (Burhinus oedicnemus)<ref> Modèle:Lien web.</ref>, grâce à des mesures agroenvironnementales appropriées imposées aux parcelles de culture concernées<ref> Modèle:Lien web.</ref>. La constitution de cette ZPS s'inscrit dans le cadre de la Directive Oiseaux du Modèle:Nobr édictée par l'Union européenne.

Urbanisme

Typologie

Le Liège est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Loches, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,5 %), forêts (31,1 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), prairies (2,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

La très grande majorité des habitations est regroupée au niveau du bourg qui se développe de part et d'autre de la Modèle:Nobr. La construction de deux lotissements au contact du bourg, au nord et à l'est, renforce cette polarisation. Les écarts et hameaux sont peu nombreuxModèle:Sfn.

Voies de communication et transports

La Modèle:Nobr qui relie Montrichard à Loches traverse le territoire communal du nord-est au sud en passant par le centre-bourg d'où rayonnent également la Modèle:Nobr vers Luzillé au nord-ouest, la Modèle:Nobr vers Saint-Quentin-sur-Indrois au sud-ouest ainsi qu'une route qui vers l'est permet de rejoindre Orbigny.

La commune n'est pas directement desservie par un réseau de transports en commun. Il faut gagner Genillé pour accéder à la ligne TC du réseau Rémi qui permet d'aller à Loches et au-delà à Descartes, ou Saint-Quentin-sur-Indrois où passe la ligne LMC du même réseau vers Amboise<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Risques majeurs

Le territoire de la commune duLiège est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Brouard, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:37127-Le Liège-argile.png
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux duLiège.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 169 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Toponymie

Le nom de la commune provient de l'anthroponyme Modèle:Latin, attesté dans l'Antiquité. Le Liège est le « domaine de Laevius ». Différentes formes sont attestée : Legio en 1150 dans un cartulaire de l'abbaye de Beaumont-lès-Tours, parochia de Lesgsio dans un cartulaire de l'archevêché de Tours en 1339, « paroisse du Loige » un siècle plus tard, « Le Liège-en-Touraine » en 1561 pour aboutir à la forme moderne sur la Carte de Cassini<ref name="G37">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Histoire

Des traces d'occupation humaine sont présentes à l'ouest du territoire dès le Néolithique avec un dolmen accompagné de haches poliesModèle:Sfn. Des enceintes probablement protohistoriques mais non datées plus précisément sont révélées par la prospection aérienne au début des années 1990 au nord-est du territoire<ref> Modèle:Article.</ref>.

L'histoire du Liège ne semble plus documentée, au regard des connaissances actuelles, avant le Moyen Âge central. La première mention du Liège remonte au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. À cette époque, le territoire est un fief relevant du château de LochesModèle:Sfn. Le territoire du Liège était totalement ou partiellement couvert, à l'époque médiévale, par la forêt de Chenevôse<ref>Modèle:Article.</ref>, mais l'histoire de son défrichement est mal connu. Il a probablement commencé à l'ouest, dans la zone géologique des calcaires lacustres où les aptitudes agricoles des sols sont meilleuresModèle:Sfn. Le territoire paroissial du Liège semble s'être constitué aux dépens de celui de Genillé mais le découpage est fait de telle sorte que le prieuré de Hys demeure sur le territoire de Genillé, même si les moines de ce prieuré sont probablement à l'origine de la fondation de l'église du Liège et du bourg qui l'accompagneModèle:Sfn.

En 1830, la commune du Liège cède à Genillé Modèle:Nobr et un petit hameau ; elle reçoit en échange Modèle:Nobr de terrain nu<ref name="Gor">Modèle:Ouvrage.</ref>. Lors des plébiscites organisés par Napoléon III en Modèle:Date- et Modèle:Date-, le score est sans équivoque : tous les inscrits votent et le oui remporte l'unanimité des suffrages<ref>Modèle:Chapitre.</ref>.

La Première Guerre mondiale fait Modèle:Nobr parmi les soldats originaires du Liège<ref>Modèle:Lien web.</ref>, alors que la commune compte Modèle:Nobr en 1911. Le Modèle:Date-, des résistants des Forces françaises de l'intérieur tendent une embuscade à l'armée allemande qui se replie. En représailles, plus de Modèle:Nobr encerclent le bourg dont une partie des habitants fuient leurs maisons. La fusillade éclate et Modèle:Nobr dont tués<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Un monument aux morts, dans le bourg du Liège, rappelle cet épisodeModèle:Sfn.

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Les habitants du Liège se nomment les « Liégeois »<ref name="G37"/>.

Les premiers registres paroissiaux connus remontent à 1596. En 1789, dernier année où un recensement par foyer est réalisé avant la mise en place d'un recensement individuel, la population du Liège est de Modèle:Nobr, ce qui correspond au maximum enregistré depuis 1687<ref name="Gor"/>.

Modèle:Population de France/section

Enseignement

La commune du Liège est intégrée à un regroupement pédagogique intercommunal comprenant également Genillé et Céré-la-Ronde. Les écoles maternelle et élémentaire se trouvent sur ces deux dernières communes<ref>Modèle:Article.</ref>.

La carte scolaire départementale prévoit la scolarisation des étudiants du Liège dans le collège de Montrésor et le lycée de Loches<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Santé et services d'urgence

Aucun professionnel de santé n'est installé sur le territoire du Liège. Par contre, Genillé accueille généralistes et spécialistes<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'hôpital le plus proche est le centre hospitalier des Rives de l'Indre à Loches<ref> Modèle:Lien web.</ref>. Genillé dispose, sur son territoire communal, d'un centre d'incendie et secours dont le périmètre d'action s'étend au Liège<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Économie

Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées au Liège selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés<ref group=I name="economie"> Modèle:Lien web.</ref> :

Établissements actifs par secteur d'activité au Modèle:Date-.
Total % 0
salarié
1 à 9
salariés
10 à 19
salariés
20 à 49
salariés
Modèle:Nombre
ou plus
Ensemble 24 100,0 19 4 0 1 0
Agriculture, sylviculture et pêche 5 20,8 5 0 0 0 0
Industrie 2 8,3 2 0 0 0 0
Construction 2 8,3 1 1 0 0 0
Commerce, transports, services divers 12 50,0 11 1 0 0 0
dont commerce et réparation automobile 5 20,8 5 0 0 0 0
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 3 12,5 0 2 0 1 0
Champ : ensemble des activités.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Le dolmen d'Hys se trouve non loin du hameau homonyme, sis pour sa part sur la commune de Genillé. Il se compose d'une table qui comporte deux cuvettes de polissage, reposant sur six pierres ; l'ensemble était probablement recouvert de terre à l'origine. Le dolmen a été dégradé par sa transformation en abri par des bergersModèle:Sfn. Des fouilles (fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et années 1920) ont mis au jour un crâne et des outils néolithiquesModèle:Sfn.

L'église Saint-Martin est un édifice dont la construction s'échelonne du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (nef) au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (chœur et abside à trois pansModèle:Sfn), au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (surélévation de la nef) puis au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (reprise des voûtes). Le clocher est construit latéralement à la nefModèle:Sfn. Des stalles (fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> et un Christ en croix (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> font partie des objets protégés recensés dans la base Palissy. Les stalles du Liège et celles se trouvant dans l'église de Saint-Flovier sont de facture comparable ; elles pourraient provenir d'un même établissementModèle:Sfn.

Dans le bourg, un bâtiment carré, élevé et couvert d'une toiture à quatre pans est l'unique vestige de l'ancien logis seigneurial. Après la Révolution, il est utilisé comme relais de poste jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècleModèle:Sfn.

Le château du Courbat doit son nom au premier propriétaire des lieux qui possédait en 1450 un domaine homonyme au Pêchereau et qui a rebaptisé l'ancien domaine de la Hardouinière. Le château actuel date de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et remplace un édifice plus ancien fortifié (enceinte, douves, pont levis)Modèle:Sfn. Il est saisi comme bien d'émigré à la Révolution<ref> Modèle:Article.</ref> avant de parvenir entre 1855 et 1885 entre les mains d'un parent de Châteaubriand<ref> Modèle:Article.</ref>. En 1840, une chapelle est ajoutée à l'ensembleModèle:Sfn.

Patrimoine gastronomique

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay<ref>Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.</ref>.

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune La bordure componée représente le département d’Indre et Loire, l’épée et le manteau évoquent saint Martin, le raisin et le pampre rappellent le passé viticole de la commune et le dolmen symbolise celui d'Hys<ref name="Blason"/>.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

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Références

  • Site de l'Insee :

Modèle:Références

  • Autres références :

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Modèle:Palette

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