Amboise

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Amboise est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire dans l'arrondissement de Loches en région Centre-Val de Loire.

Située sur les bords de la Loire, la cité doit sa renommée au château d'Amboise qui la domine, à la tour de l'Horloge, à l'église Saint-Denis, au château du Clos Lucé où vécut et s'éteignit Léonard de Vinci, au domaine-royal de Château-Gaillard construit par Charles VIII en 1496 (dont les jardins aménagés par Pacello da Mercogliano) et à la pagode de Chanteloup. Son nom est aussi attaché à la sanglante « conjuration d'Amboise » de Modèle:Date-.

C'est l'une des onze communes viticoles de l'aire d'appellation d'origine contrôlée (AOC) Modèle:Citation.

Amboise est située dans le périmètre du Val de Loire inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO<ref>Modèle:Lien web ; Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Sommaire

Géographie

Amboise s'étend, pour l'essentiel, sur la rive sud de la Loire, à un endroit où le fleuve se sépare en deux bras. Il enserre une île (dénommée île Saint-Jean, en souvenir d'un prieuré malmené par les crues, Grande-Île ou Île-d'Or), qui fait partie du territoire communal.

Fichier:AmboiseLoire.jpg
Le bord de la Loire à Amboise.

La ville est protégée des crues de la Loire, au sud, au nord, à l'ouest et à l'est par de très puissantes digues situé à côté du port (promenade du Mail, en forte surélévation par rapport aux premières maisons). Le faubourg établi sur la vaste île fut cantonné dans sa partie la plus élevée et défendu des hautes eaux par une digue (1780).

La cité ancienne est surplombée par le plateau sur lequel est établi son château.

Amboise s'est développée au nord de la Loire, avec le quartier de la gare, mais également au sud où en 1946, la commune a absorbé celle voisine de Saint-Denis-Hors<ref name=Cassini/>.

Paris se trouve à Modèle:Unité. Modèle:Multiple image

Lieux-dits et écarts

Modèle:…

Communes limitrophes

Lussault-sur-Loire, Saint-Martin-le-Beau, Dierre, La Croix-en-Touraine, Civray-de-Touraine, Souvigny-de-Touraine, Saint-Règle, Chargé, et du côté nord de la Loire : Nazelles-Négron, Pocé-sur-Cisse.

Hydrographie

Fichier:37003-Amboise-Cours eau.jpg
Réseau hydrographique d'Amboise.

La commune est bordée sur son flanc nord-ouest par la Loire (Modèle:Unité). Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de Modèle:Unité, comprend un autre cours d'eau notable, l'Amasse (Modèle:Unité), et divers petits cours d'eau dont le Villarçon (Modèle:Unité)<ref name="SIGES-fiche">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="Geoport-Amboise">Modèle:Lien web.</ref>.

Le cours de la Loire s'insère dans une large vallée qu'elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d'années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon du Val de Loire orléanais, qui court entre la sortie de Sully-sur-Loire (Loiret et la sortie de Nazelles-Négron<ref>Modèle:Ouvrage, Modèle:P..</ref>, dont la station hydrologique de référence la plus proche est située à Blois. Le débit mensuel moyen (calculé sur Modèle:Unité pour cette station) varie de Modèle:Unité au mois d'août à Modèle:Unité au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de Modèle:Unité et s'est produit le Modèle:Date-, la hauteur maximale relevée a été de Modèle:Unité le Modèle:Date-<ref name="Réf-Hydro">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur le plan piscicole, la Loire est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)<ref name="Decret1958">Modèle:Lien web.</ref>.

L'Amasse, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source à Pontlevoy en Loir-et-Cher et se jette dans la Loire à Amboise, dans le bourg, après avoir traversé Modèle:Unité<ref name="Sandre-K4814000">Modèle:Lien web.</ref>. Sur le plan piscicole, l'Amasse est également classée en deuxième catégorie piscicole<ref name="Decret1958" />.

Six zones humides<ref group="Note">D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».</ref> ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des Territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « l'étang de la Pagode de Chanteloup », « l'étang de l'Herpinière », « l'étang de la Janvrie », « l'étang du Pâlis », « l'étang de la Quantinerie » et le « Val de Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin »<ref name="ZH1">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="ZH-Pref">Modèle:Lien web.</ref>.

Voies de communication et transports

Transports doux

Fichier:EuroVelo Route 6 map.svg
Tracé de l'EV6.

L'EuroVelo 6 ou EV6, également connue sous le nom d'« Eurovéloroute des Fleuves », est une véloroute de type EuroVelo qui traverse Amboise en reliant Saint-Nazaire à Constanţa<ref>« EV6 c'est quoi ? » - Eurovelo6.org, site édité par le Conseil régional du Centre. « L’EuroVelo 6 Atlantique-Mer Noire est l’un des Modèle:Nombre du réseau EuroVelo 6 né à l’initiative de la Fédération européenne des cyclistes (ECF) (…). Son objectif est de suivre trois des plus grands fleuves européens, creusets de la civilisation européenne : la Loire, le Rhin et le Danube. Elle traverse donc la France, la Suisse, l’Allemagne, l’Autriche, la Slovaquie, la Hongrie, la Serbie, la Croatie, la Bulgarie et la Roumanie. »</ref>. C'est la plus célèbre véloroutes européennes, longue de Modèle:Unité, elle traverse l'Europe d'ouest en est, de l'océan Atlantique à la mer Noire en passant par dix pays. Elle suit l'itinéraire de trois des plus grands fleuves européens : la Loire, le Rhin et le Danube.

Modèle:Article détailléModèle:Article détaillé

Réseau TER Centre-Val de Loire et Intercités (Trains)

La gare d'Amboise est aujourd'hui desservie par des trains TER Centre-Val de Loire et Intercités entre Tours, Blois, Orléans et Paris-Austerlitz.

Réseau régional Rémi (Autocars)

Géré par la région Centre-Val de Loire et exploité par Transdev Touraine, le réseau Rémi<ref>Modèle:Lien web.</ref> permet de relier Amboise a de multiples communes via les lignes C, TA, TB et LMC.

Réseau Le Bus (Autobus)

Modèle:Article détaillé

Fichier:Mercedes-Benz Sprinter City (vue avant) - Le Bus (Amboise * été 2018).jpg
Le minibus municipal exploité sur la navette Le bus à l’été 2018.

Le Bus est le nom de la navette mise en place par la mairie d’Amboise. Elle circule tous les jours et dessert différents quartiers d’Amboise ainsi que la commune limitrophe de Nazelles-Négron.

Urbanisme

Typologie

Amboise est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Tours, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,5 %), zones urbanisées (14,7 %), terres arables (4,6 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %), prairies (0,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %), cultures permanentes (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune d'Amboise est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, et le risque industriel<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Amasse et la Loire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1990, 1999, 2016 et 2018<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif d'Amboise, est classée au niveau de risque 3, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:37003-Amboise-argile.png
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Amboise.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 4274 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990, 1992, 1996, 1997 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1985, 1999 et 2001<ref name=Géorisques/>.

Risques technologiques

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque industriel.</ref>.

Toponymie

Le nom d'Amboise serait une composition de deux éléments celtiques. Le préfixe -amb serait issu du gaulois -ambi signifiant : « autour de » ou même « alentour » ou bien « des deux côtés », que l'on retrouve dans le nom du roi légendaire gaulois des Bituriges Cubes : Ambi-catos ou Ambi-gatos qui veut dire, « celui qui se bat des deux côtés », et même dans le mot français, ambassade, amb-assade. Quant au suffixe -oise, il serait issu de l'hydronyme celtique -isara signifiant : « l'impétueuse » ou « la rapide ». Cet hydronyme est également à l'origine de la rivière de l'Oise ou de l'Isère, notons par ailleurs qu'il est apparenté au latin -aes et -asilus. Le sens « entre deux eaux » pourrait être une déformation de l'originel due au temps, mais l'on retrouve bien l'élément de localisation puis l'élément de l'eau.Modèle:Refnec

Histoire

Modèle:Section à sourcer Modèle:Section rédaction à revoir

Préhistoire

Fichier:Loire Indre Amboise1 tango7174.jpg
La Loire vue depuis le château d'Amboise.

L'éperon des Châtelliers, sur lequel est bâti le château d'Amboise, recèle un des plus importants sites néolithiques chasséens du Val de Loire, découvert lors de fouilles effectuées par A. et S. Högström entre 1954 et 1957. On y découvrit en particulier une idole féminine remarquable<ref>G. Cordier, Le site chasséen du plateau des Châtelliers à Amboise (Indre-et-Loire). Découverte et fouilles A. et S. Hogstrom (1954-1957), Revue archéologique du Centre de la France, Joué-lès-Tours, 34, 1995, Modèle:P..</ref>.

Protohistoire et Antiquité : le plateau des Châtelliers

Le site des Châtelliers est occupé en continu durant la Protohistoire et l'Antiquité. Il est documenté par plus d'une quarantaine d'opérations archéologiques<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=":0">Modèle:Article.</ref>.

Les fouilles ont mis au jour des occupations de l'Âge du bronze, dont un dépôt rituel de la fin de la période, anciennement considéré comme relevant d'un atelier de fondeur<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref name=":0" />. Un premier rempart de terre délimite une zone de 8 ha sur l'éperon, cet aménagement date peut-être de cette période ou du Néolithique<ref name=":0" />,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.

Au second Âge du fer, l'éperon est occupé par l'oppidum des Châteliers de 50 ha, fermé par un rempart gaulois de terre<ref name=":0" />. À la fin de la période, le site pourrait correspondre au chef-lieu du peuple des Turones avant son transfert à Caesarodunum (Tours).<ref name=":0" />

Durant le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle av. J.-C. et les deux premiers siècles de notre ère, le site des Châtelliers correspond à une importante agglomération. Les fouilles ont mis au jour habitats, voiries et structures artisanales<ref>Modèle:Lien web.</ref> ainsi que des monuments publics, en particulier un sanctuaire occupé au moins dès la deuxième moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle av. J.-C<ref name=":0" />,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref name=":1">Modèle:Article.</ref>. Le site semble déserté après le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de notre ère. Sulpice-Sévère rapporte toutefois la destruction d'un sanctuaire par Martin de Tours (saint), vers 374, lors de sa campagne d'évangélisation de la Touraine :

« Dans le bourg d'Amboise (c'est-à-dire dans le vieux château, maintenant habité par un grand nombre de moines) on voyait un temple d'idoles élevé à grands frais. C'était une tour bâtie en pierre de taille, qui s'élevait en forme de cône, et dont la beauté entretenait l'idolâtrie dans le pays. Le saint homme avait souvent recommandé à Marcel, prêtre de cet endroit, de la détruire. »
« Étant revenu quelque temps après, il le réprimanda de ce que le temple subsistait encore. Celui-ci prétexta qu'une troupe de soldats et une grande foule de peuple viendraient difficilement à bout de renverser une pareille masse de pierres, et que c'était une chose impossible pour de faibles clercs et des moines exténués. Alors Martin, recourant à ses armes ordinaires, passa toute la nuit à prier. Dès le matin s'éleva une tempête qui renversa le temple de l'idole jusque dans ses fondements. Je tiens ce fait de Marcel, qui en fut témoin. »<ref>Sulpice-Sévère (traduction de Richard Viot), Vie de Saint Martin, Mame, Tours, 1861, Modèle:P..</ref>

L'agglomération se développe sans doute ensuite sur le coteau opposé au promontoire, par-delà le marais de l'Amasse (qui a donné son nom à la ville), aux alentours de l'actuelle église Saint-Denis.

Le lieu est connu sous les noms d'Modèle:Latin au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (Sulpice-Sévère, Dialogii, III, 8, 4), d'Modèle:Latin (Grégoire de Tours, Historia Francorum, II, 35 et X, 31) et d'Modèle:Latin au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (Grégoire de Tours, De virtutibus sancti Martini, II, 17 et IV, 42)<ref name=":1" />.

Moyen Âge

Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, des rivalités permanentes, à la fois territoriales et religieuses, opposaient les Francs saliens, catholiques, dirigés par Clovis, qui occupaient le nord de la Gaule, et les Wisigoths, ariens, dirigés par Modèle:Souverain2, qui en occupaient le grand Sud-Ouest français. Pour tenter d'y mettre fin, le roi des Ostrogoths, Théodoric le Grand, écrivit des lettres aux deux protagonistes pour les convaincre de trouver un accord. Cette démarche aboutit en 504 à une rencontre entre les deux rois qui se déroula sur ce qui était à l'époque l'île Saint-Jean (devenue maintenant l'île d'Or). Les deux rivaux se promirent une alliance éternelle qui demeura lettre morte, puisque le différend ne fut réglé que par la mort d'Modèle:Souverain- à la bataille de Vouillé en 507. En 546, le seigneur d'Amboise était saint Baud, évêque de Tours, sans que l’on sache au juste la nature de son lien de dépendance au roi Modèle:Souverain2. Ensuite, on ne dispose plus d'informations historiques jusqu'au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Fichier:AmboiseFmChateau.jpeg
Amboise vue du château.
Fichier:Amboise colombage.jpg
Maisons à pans de bois près du château.

En 840, au cours des raids vikings, les ponts de bois qui traversaient la Loire furent détruits. Le château fut à nouveau ravagé par les hommes du Nord en 853, puis en 878. Dans le dernier quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, une certaine Aelindis reçut en dot de ses oncles Adalard (Adalardus), archevêque de Tours de 875 à 890 et Rainon (Regino), évêque d’Angers, le fief d'Amboise, lors de son mariage avec Ingelger, vicomte d'Angers. Vers 878, à la demande des deux prélats, Modèle:Souverain3 fit relever et fortifier le château et reconstruire les ponts. À cette époque le territoire d'Amboise était divisé en trois seigneuries dont la plus importante (La Maison consulaire) était celle attribuée à Ingelger. La seconde seigneurie (dite de la Tour) appartenait à Modèle:Souverain3, père d'Modèle:Souverain3, futur trésorier de l'abbaye Saint-Martin de Tours. La troisième seigneurie (dite de la Motte). Ces trois seigneurs s'opposaient fréquemment, ce qui n'était guère favorable au développement de la ville d'Amboise. Très occupé à rétablir la paix dans la région, Ingelger confia Amboise à Robert, fils de Haimo, un homme puissant qui lui était fidèle et qui possédait une partie de la forteresse par droit héréditaire.

Durant la période allant de 878 à 1107, les deux principales seigneuries d'Amboise cohabitèrent :

Au retour de son pèlerinage en Terre Sainte, Foulques Nerra confia la garde du château à Lisois dont il avait apprécié l'intelligence et le courage à ses côtés. Lisois épousa Hersende de Buzançais, fille d'Archambaut et nièce de Sulpice, réunissant ainsi château et bourg et créant la maison d'Amboise.

Après la mort d'Modèle:Souverain2 (1133-1189), seigneur d'Anjou et roi d'Angleterre et profitant que Richard Cœur de Lion soit retenu prisonnier par l'empereur germanique Modèle:Souverain2 capturé lors de son retour de la troisième croisade, Philippe Auguste intrigue avec Jean sans Terre, le frère de Richard Cœur de Lion, et, se fait donner Amboise<ref>Modèle:Article.</ref>.

En 1429, Jeanne d'Arc passa par Amboise alors qu'elle se rendait à OrléansModèle:Refnec.

Renaissance

Fichier:Amboise01.jpg
Le château d'Amboise au bord de la Loire.

L'histoire de la ville se confond pour l'essentiel avec celle de ses châteaux : le château royal<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> où réside la cour du roi Charles VIII puis de [[François Ier (roi de France)|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], le château du Clos Lucé, où vécut Léonard de Vinci et le domaine-royal de Château-Gaillard, demeure du maître Pacello da Mercogliano, architecte des jardins des trois rois de la Renaissance. Très attaché à la vieille forteresse où il avait passé sa jeunesse, Charles VIII avait décidé la métamorphose du château royal au lendemain de son mariage avec Anne de Bretagne. Louis XII et, surtout, [[François Ier (roi de France)|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], arrivé au château d'Amboise à l'âge de quatre ans y donnera de nombreuses fêtes, en poursuivirent les aménagements du logis Renaissance.

Ce fut sous les successeurs immédiats de Charles VII, Louis XI et Charles VIII que le château reçut ses principaux accroissements.

Fichier:Clos luce 04.jpg
Le château du Clos Lucé à Amboise.

Période moderne

Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

Période contemporaine

Modèle:…

Seconde Guerre mondiale

Fichier:Monument aux morts de la Première Guerre mondiale (Amboise).jpg
Monument aux morts.

Pendant la bataille de France, à partir de fin mai 1940, Amboise devient le point de passage d'un flot continu de réfugiés fuyant l'avancée ennemie, bientôt suivis par les soldats français qui se replient. La solidarité des habitants s'organise autour de la Croix-Rouge, permettant d'offrir de l'assistance aux plus fragiles et de servir jusqu'à Modèle:Nombre par jour.

Après la chute de Paris le 10 juin, le haut commandement militaire tente d'établir une ligne de résistance sur la Loire. Les 16 et 17 juin, des avions ennemis<ref>Faussement identifiés comme étant Italiens.</ref> bombardent la cité et détruisent notamment la gendarmerie. Le 17 juin à Modèle:Heure les soldats du génie font sauter la partie du pont séparant l'île d'Or du pied du château. La défense de la ville est assurée par une unité de chasseurs, renforcée par le régiment d'infanterie coloniale du Maroc (RICM), qui s'est retiré jusque-là en bon ordre, et quelques autres éléments.

Les premiers dommages importants sont causés le 18 juin par une erreur de tir de la batterie française de 155 installée à Chanteloup : un obus destiné aux assaillants incendie le pavillon de Penthièvre du château qui est totalement détruit. En empruntant la partie nord du pont restée intacte, les Allemands s'installent sur l'île d'Or et dirigent un feu intense sur les défenseurs réfugiés dans le château. Des salves de l'artillerie française infligent des pertes considérables aux convois allemands, mais ne peuvent empêcher le franchissement par bateaux de la Loire en amont, à hauteur de Chargé. Malgré la résistance acharnée de ses défenseurs, la ville tombe le 19 juin en fin d’après-midi.

Les dégâts infligés par les combats touchent essentiellement le château et les bâtiments alentour dans la ville et sur l'île d'Or : la chapelle Saint-Hubert est gravement atteinte, toitures éventrées, tours et terrasses criblées d'impacts, plusieurs habitations très endommagées. Dès le 20 juin, les Allemands installent un pont de bateaux, remplacé en juillet par une passerelle en bois et un bac. Pendant l'Occupation, un camp de Modèle:Nombre prisonniers est installé au lieu-dit « la Patte d’Oie »<ref>Thierry Vivier, Amboise dans la tourmente de la guerre et de l'occupation, éditions Alan Sutton, 2006.</ref>,<ref>Robert Vivier, Touraine 39-45, CLD, 1990.</ref>.

Politique et administration

Fichier:Amboise - mairie.jpg
Mairie d'Amboise.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:Article détaillé

Politique de développement durable

La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008<ref>FICHE | Agenda 21 de Territoires - Amboise, consultée le 27 octobre 2017</ref>.

Finances locales

Évolution de l'endettement (en milliers d’€)<ref name="finances.gouv.fr">finances.gouv.fr.</ref> :

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Jumelages

Population et société

Démographie

Les habitants sont appelés Amboisiens ou Ambaciens<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Modèle:Population de France/section

  • En 1946, la commune de Saint-Denis-Hors a été rattachée à celle d'Amboise.
  • Avec 12 505 habitants en 2007, Amboise est le cœur de la deuxième agglomération d'Indre-et-Loire en termes de population après celle de Tours.

Enseignement

Amboise se trouve dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription d'Amboise. La ville compte de nombreux établissements scolaires :

Écoles maternelles

  • École maternelle publique Anne-de Bretagne.
  • École maternelle publique Jeanne-d'Arc.
  • École maternelle publique Ambroise-Paré.
  • École maternelle publique George-Sand.

Écoles élémentaires

  • École primaire publique Ferry (maternelle et élémentaire).
  • École élémentaire publique Paul-Louis-Courier.
  • École élémentaire publique Ambroise-Paré.
  • École élémentaire publique Rabelais-Richelieu.
  • École élémentaire publique George-Sand.
  • École élémentaire privée Sainte-Clotilde-Saint-Joseph.

Collèges

  • Collège André-Malraux.
  • Collège Choiseul.
  • Collège privé Sainte-Clotilde-Saint-Joseph.

Lycées

  • Lycée Léonard-de-Vinci.
  • Lycée professionnel Jean-Chaptal.
  • Lycée professionnel agricole d'Amboise.

Économie

Outre l'économie résultant du tourisme, la région d'Amboise représente le deuxième pôle industriel d'Indre-et-Loire. Le canton possède un large tissu de PME installées à Amboise et sa périphérie, les plus importantes étant (liste non exhaustive) :

  • Fareva et quelques bureaux de Pfizer : laboratoire pharmaceutique (+ de Modèle:Nombre) installé à Pocé-sur-Cisse.
  • Ti Automotive : fabrication de pièces pour l'industrie automobile (+ de Modèle:Nombre).
  • Lestra (groupe Andres) : fabrication de literie, couettes, duvets et sacs de couchage (+ de Modèle:Nombre).
  • Restauration collective Val de France (+ de Modèle:Nombre).
  • Mecachrome : fabrication de pièces pour l'industrie automobile et aéronautique (+ de Modèle:Nombre).
  • Arch (Lonza) : fabrication de produits pour piscine (+ de Modèle:Nombre).
  • NCR : impression d'étiquettes adhésives et de rouleaux imprimés (+ de Modèle:Nombre), installée sur la commune de Pocé-sur-Cisse.
  • Jaybeam Wireless : fabrication d'antennes professionnelles (+ de Modèle:Nombre).
  • Phenix Metal : constructions métalliques (+ de Modèle:Nombre).
  • Saint-Gobain Abrasifs : fabrication de meules minces (+ de Modèle:Nombre).
  • Équiplabo : fabrication de matériel de laboratoire (+ de 50) en liquidation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • Groupe Brioche Pasquier : fabrication de biscottes (+ de Modèle:Nombre), usine fermé en 2013 et délocalisée à Brissac-Quincé.
  • SOGAREP (groupe AXA) : gestion de contrats santé pour les entreprises (+ 250 salariés).
  • VinOpôle Centre-Val de Loire : regroupement des acteurs économiques et culturels du vin en Val de Loire.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Château d'Amboise 07.jpg
Le château d'Amboise.

Modèle:Article détaillé La ville compte Modèle:Nombre.

Fichier:Amboise Horloge.jpg
La tour de l'Horloge.
Fichier:Château-Gaillard Amboise vue générale.jpg
Le domaine-royal de Château-Gaillard.

Les principaux monuments sont :

Personnalités liées à la commune

L'importance du château royal explique souvent que le nom de nombreux personnages relativement connus ou célèbres soit attaché à Amboise. Le personnage le plus connu ayant séjourné à Amboise est Léonard de Vinci. Ce génie pluridisciplinaire vécut au château du Clos Lucé de 1516 à 1519. Dom Pacello de Mercoliano, le plus célèbre maître jardinier de la Renaissance, serviteur des trois rois de la Renaissance œuvra pour le compte des Rois de France à Château Gaillard. Il en devint le propriétaire grâce à François 1 et y vécut de 1496 à 1534.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et contemporains

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  • Léonard de Vinci, invité par [[François Ier (roi de France)|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de France]], passa trois ans au château du Clos Lucé, sa résidence de 1516 à 1519, année de sa mort.
  • Dom Pacello de Mercoliano, moine napolitain et architecte des Jardins royaux et du Domaine royal de Château Gaillard où il implanta les Jardins du Roy et les premiers orangers en France de 1496 à 1534
  • Claude Chappuys, né à Amboise vers 1500, écrivain de la Renaissance, gardien de la Bibliothèque royale et valet de chambre de François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de 1532 à 1565, proche parent du sommelier de l'échansonnerie du dauphin, Héliot Chapuis (1468)<ref name="minus.stools.net">Source : minus.stools.net.</ref>.
  • Gabriel Chappuys, né à Amboise entre 1546 et 1550, neveu de Claude Chappuys, historiographe de France, secrétaire-interprète du roi<ref name="minus.stools.net"/>.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Fichier:Loire Indre Amboise2 tango7174.jpg
Le château surplombant la ville d'Amboise.

Héraldique, logo et devise

Modèle:Article connexe

Héraldique

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Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

  • Sulpice-Sévère (traduction de Richard Viot), Vie de Saint Martin, Mame, Tours, 1861.
  • Jean de Marmoutier, Gesta Consulum Andegavorum, traduite en français par Louis Halphen et René Poupardin sous le titre Chroniques des comtes d’Anjou et des seigneurs d’Amboise, Paris, Picard, 1913.
  • Étienne Cartier, Essais historiques sur la ville d'Amboise, Les éditions du Bastion, 1842.
  • Jacques-Xavier Carré de Busserole, Itinéraire historique et monumental en Touraine, 1891.
  • Thierry Vivier, Amboise dans la tourmente de la guerre et de l'occupation, éditions Alan Sutton, 2006.
  • Jean-François Badier, Maires d'Indre-et-Loire - Saint-Martin-le-Beau, Montlouis-sur-Loire, Amboise, Lussault-sur-Loire, Mosnes, Saint-Pierre-des-Corps…, Auto-édition, 2013 Modèle:ISBN.

Articles connexes

Liens externes

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