Le Perray-en-Yvelines
Modèle:Infobox Commune de France
Le Perray-en-Yvelines est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.
Ses habitants sont appelés les Perrotins depuis 1980.
Géographie
Situation
La commune du Perray-en-Yvelines est située à Modèle:Unité de Rambouillet, elle occupe une position privilégiée sur le grand itinéraire Paris-Hendaye, à Modèle:Unité de Paris Notre-Dame avec une gare SNCF sur la ligne Paris Montparnasse-Rambouillet.
Elle bénéficie d’un environnement de qualité située aux portes de la forêt des Yvelines, Modèle:Référence nécessaire.
Communes voisines
Hydrographie
La commune constitue le maillon terminal de la chaîne des étangs. Sur son territoire figure l'étang du Perray ainsi que le fascinant plan d'eau de Saint-Hubert, miroir serti de verdure.
Louis XV en tomba amoureux et fit construire un château sur l’une de ses berges. Il ne subsiste aujourd’hui que les soubassements de la terrasse. Le Perray compte trois étangs et des sentes piétonnes qui permettent de nombreuses balades au sein de la commune. Au cœur de la cité, face à la mairie s'ouvre un parc arboré de trois hectares.
-
L'acqueduc de l'Artoire.
-
L'étang du Perray.
-
L'étang de Saint-Hubert.
Les Étangs et rigoles d'Yvelines Modèle:Incise gérés par le Modèle:Abréviation ont été classés réserve naturelle nationale en avril 2021<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
Climat
Mois | Janv | Fév | Mars | Avr | Mai | Juin | Juil | Août | Sept | Oct | Nov | Déc | Année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Températures maximales moyennes (°C) | 6 | 7 | 11 | 14 | 18 | 25 | 26 | 26 | 22 | 15 | 9 | 7 | 14,8 |
Températures minimales moyennes (°C) | 1 | 1 | 3 | 6 | 9 | 12 | 14 | 14 | 11 | 8 | 4 | 2 | 7,1 |
Températures moyennes (°C) | 4 | 4 | 7 | 10 | 14 | 17 | 19 | 19 | 16 | 12 | 7 | 5 | 11,2 |
Source : Climatologie mensuelle - Trappes, France |
Urbanisme
Typologie
Le Perray-en-Yvelines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine du Perray-en-Yvelines, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 23,1% | 312 |
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques | 5,7% | 77 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 29,6% | 400 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 1,1% | 15 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 2,7% | 36 |
Forêts de feuillus | 31,1% | 420 |
Forêts de conifères | 2,4% | 33 |
Plans d'eau | 4,2% | 57 |
Source : Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref> |
Voies de communications et transports
La commune est desservie par :
- à l'ouest de la commune, la route nationale 10 orientée nord-sud et reliant Saint-Quentin-en-Yvelines à Rambouillet
- la route départementale 910 également orientée nord-sud, qui est le tracé initial de la nationale 10.
- la route départementale 61 orientée est-ouest en direction de Houdan.
La gare du Perray est desservie par la ligne Modèle:Transilien/correspondances avec intitulé du Transilien (branche Paris - Rambouillet). Elle permet de se rendre sur Paris avec terminus gare Montparnasse en 1 heure à raison d'un train toutes les 30 minutes, sauf aux heures de pointe où la fréquence est d'un train toutes les 15 minutes.
La commune est également desservie par les lignes 08, Express 12, 19, 39, 59, 79 et 89 de l'établissement Transdev de Rambouillet et par la ligne 36-15 du réseau de bus de Saint-Quentin-en-Yvelines.
Toponymie
Le Perray-en-Yvelines est mentionné dans un document de 1239<ref>Histoire et Mémoire du Perray.</ref> où il apparut comme In Villa Nova de Pereio in Aquilina et est érigée en paroisse le Modèle:Date-<ref>Auguste MOUTIÉ, Recueil des chartes et pièces relatives au prieuré des Moulineaux et à la châtellenie de Poigny, 1846.</ref>, se trouvait sur la vieille voie romaine de Beauvais à Orléans <ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, Petreum au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Nègre">Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Page 1288.</ref>, Perreium en 1242<ref name="Mulon">Noms de lieu d'Île-de-France – M. Mulon – 1997.</ref>, Neuville du chemin Perré en 1249<ref name="délimitation 1249">Dans une délimitation qui fut faite en 1249.</ref>, Moriacum en 1284<ref name="Cocheris">Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.</ref>, Paretum au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Cocheris" />, Perretum<ref name="Cocheris" />, Pareyum<ref name="Cocheris" />, Péré<ref name="Cocheris" />, Pairé<ref name="Cocheris" />, Le Perray-en-Yvelines depuis 1948, bien avant la création de département, marquant ainsi son attachement à la région naturelle de l'Yveline<ref group="Note">Sous l'Ancien Régime, le nom de Pays d'Yveline est donné à une subdivision du Gouvernement général d'Île-de-France. Le Gouvernement de l'Isle de France par Damien de Templeux, 1663.[1]</ref>,<ref group="Note">Le nom de Pays d'Yveline apparaît également dans plusieurs ouvrages de l'époque comme le Dictionnaire universel de la France ancienne & moderne, publié en 1726.</ref>.
De la langue d'oïl, du mot perroi, perrois « grève, terrain pierreux, gravier »<ref name="Nègre" />.
Le toponyme, Neuville du chemin Perré en 1249<ref name="délimitation 1249" />, indique qu'autrefois courait ici un perré, c'est-à- dire une chaussée, un chemin pavé de pierres, l'ancienne voie 263<ref>Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak, J.-M. Bordessoules, Origine des noms de lieux de Paris et grande couronne, page 264.</ref>. Sans aucun doute, le nom du lieu fait référence à la route<ref name="Mulon" />. Sous le règne de Louis IX (Saint-Louis), naît de la route pierrée de Paris à Chartres, un nouveau village : « villa nova de Pereio in Aquilina », d'où la devise "e via orta" (né de la route) rajoutée au blason en 1982.
Histoire
Modèle:Section à sourcer Sous le règne de Louis IX (Saint-Louis), naît de la route pierrée entre Paris et Chartres, un nouveau village : " villa nova de Pereio in Aquilina". Le Modèle:Date-, Aubry Lecornu, évêque de Chartres consacre la paroisse placée sous le vocable de Saint-Eloi. C'est un ensemble de novales (terres défrichées) où se sont installés des bûcherons venus des Essarts, puis des laboureurs qui vont exploiter ces terres. Le nouveau village est situé sur l'ancienne voie romaine qui menait d'Orléans (Cenabum) à Poissy (Pinciacum) (de la forêt des Carnutes à la Seine).
Ce village-rue va se développer le long de cette route, la route de Bayonne, dont la mise en valeur date d'abord des pèlerinages à Saint-Jacques de Compostelle. François Ier l'empruntait pour rejoindre son château de Rambouillet. La création des relais de poste par Henri III voit l'installation au Perray des premiers charrons et maréchaux.
Louis XIV l'a prise pour aller épouser Marie-Thérèse d'Autriche en juin 1660. Louis XV, grand chasseur et familier du duc de Penthièvre la connaît bien. C'est d'ailleurs au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle que la route contribue à développer l'activité locale : auberges, hostelleries, charrons, maréchaux, charretiers, voituriers. La Route Impériale n° 11 deviendra la Route Royale n° 11, puis n° 10, et, République oblige, la Route Nationale 10.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, près de 15 hôtels, restaurants, cafés ou buvettes, jalonnent les quatre kilomètres de sa traversée, depuis l'auberge de l'Artoire jusqu'à la Halte Saint-Jacques, près d'une dizaine de postes de distribution d'essence voient le jour. Mais la route devient dangereuse : de nombreux accidents, de nombreux morts, notamment après 1950. En 1976, la déviation de la RN 10 modifie la vie et le destin du Perray qui devient un espace "rurbain" et résidentiel aux Portes de la forêt. Modèle:Article détaillé C'est pour alimenter en eau le château de Versailles en 1685 que Louis XIV fit creuser au Perray-en-Yvelines un étang de dix hectares (L'Etang du Perray) alimenté par un système de rigoles (Parfond, Roseau et Coupe-Gorge) et la chaîne des Étangs (Saint-Hubert, Pourras, Corbet, Bourgneuf, Hollande) sur le tracé du ru Peissonnier. Cela permit d'assainir le territoire plutôt marécageux de la commune, d'obtenir de bonnes terres agricoles, de créer de grandes fermes et donc de développer le village, grâce aux hameaux agricoles (Roseau, Touche, Herse, Fourneaux, Mare Neuve, Rue Verte, Grimace, Barantonnerie).
En 1849, la ligne de Paris-Montparnasse à Brest passe par Le Perray : l'étang du Perray est coupé en deux et il faut attendre 1862 pour que la gare du Perray soit créée, facilitant le transport des marchandises locales (céréales, bois et pierre meulière) qui devient une activité essentielle au début du XXe siècle.
Pendant la Première Guerre mondiale, l'hôpital militaire auxiliaire Modèle:N° est installé dans le pavillon de chasse de la propriété du comte Félix-Nicolas Potocki<ref group="Note">Dès août 1914, Le Comte Félix-Nicolas Potocki, personnalité très en vue de notre région, met à disposition Le Pavillon de chasse de la Croix Saint-Jacques au Perray aux fins de constituer un Hôpital auxiliaire. Il ouvrira une annexe de son hôpital dans la « maison de santé » de madame Antoine-May aux Bréviaires.</ref>. On y soignait les soldats blessés ou malades, évacués du front<ref name="78A10112014"/>.
L’histoire du Perray-en-Yvelines a été retracée par l’abbé Jules Violette<ref group="Note">Jules Violette était le curé au Perray de 1886 à 1919</ref>) dans son Histoire de la commune du Perray et plus récemment par le docteur Alphonse Marest<ref group="Note">Alphonse Marest a été maire du Perray de 1971 à 1978 et de 1985 à 1989</ref> dans « Perray et Perrotins » et « Le siècle de l’enseignement primaire ». Elle est régulièrement actualisée par sa société d'Histoire : HMPY qui publie des articles mensuels ou bimestriels depuis 2007 <ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Politique et administration
- Rattachements administratifs
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et est le chef-lieu de son arrondissement de Rambouillet après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rambouillet de Seine-et-Oise puis des Yvelines<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de Rambouillet Modèle:Article détaillé Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription des Yvelines. Modèle:Article détaillé
Intercommunalité
Le Perray-en-Yvelines était membre de la communauté de communes des Étangs, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2004 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit notamment que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Unité, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le Modèle:Date-, la communauté d'agglomération dénommée Rambouillet Territoires, dont est désormais membre la commune.
Tendances politiques et résultats
Au premier tour des élections municipales de 2014 dans les Yvelines, la liste PS menée par la maire sortante Paulette Deschamps obtient la majorité absolue des suffrages exprimes, avec Modèle:Unité (53,54 %, 23 conseillers municipaux élus dont 5 communautaires), battant largement les listes menées respectivement par<ref>Résultats officiels pour la commune Le Perray-en-Yvelines</ref> :
- Jean-Louis Baron (DVD, 854 voix, 28,52 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Guillaume Odry (SE, 537 voix, 17,93 %, 2 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, 38,46 % des électeurs se sont abstenus.
Modèle:Article connexe
Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans les Yvelines<ref>Modèle:Article.</ref>, la liste LR-UDI menée par le jeune Geoffroy Bax de Keating<ref>Modèle:Article.</ref> obtient la majorité des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (46,82 %, 22 conseillers municipaux élus dont 4 communautaires), battant de 58 voix la liste PS de la maire sortante Paulette Deschamps (Modèle:Unité, 44,50 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Une troisième liste, sans étiquette, menée par Dounia Lazrak a obtenu 217 voix (8,66 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 51,33 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Modèle:Article connexe
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 33,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 25,4 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 51,65 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Enseignement
Le Perray-en-Yvelines dépend de l'académie de Versailles et compte une école maternelle (école du Pont-Marquant) et deux écoles élémentaires (école des Platanes et école de la Barantonnerie).
La commune qui compte deux écoles primaires (Les Platanes, ouverte en 1976 et La Barantonnerie, ouverte en 1979) et une école maternelle (ouverte en 1976) ne compte ni collège, ni lycée, et dépend du collège Les Molières aux Essarts-le-Roi et du lycée Louis-Bascan à Rambouillet.
Équipements culturels
- La médiathèque, adjacente aux ateliers culturels, sur le site de la Mare au Loup.
- La salle Les Granges du Parc : espace culturel et salle polyvalente.
- Le champ de Foire : c'est un grand espace extérieur qui peut être utilisé à diverses occasions.
- La salle des fêtes de la Mare au Loup.
Sports
La commune comporte de nombreuses associations sportives pour tous les âges et toutes les conditions physiques, et cela dans de nombreux domaines : tennis de table, tennis, danse, football, basketball, cyclisme...
Presque chaque année depuis 2010, la commune de Perray organise, en partenariat avec l'association Ellipse, une journée d'échange et de solidarité autour du sport entre des personnes en situation de handicap et des sportifs membres des associations et clubs de la ville, visant à renforcer le lien social entre différents publics à travers la pratique sportive.
Depuis 2000, des semaines sportives destinées aux jeunes Perrotins âgés entre 10 et 14 ans, sont organisées par le service des sports en partenariat avec les associations sportives locales, trois fois par an.
Économie
Le vendredi matin, mercredi toute la journée, un marché est installé à la place de la Mairie.
- la zone industrielle de la Croix de Saint-Jacques ;
- la zone de l'Antenne ;
- la zone industrielle de la Rougerie ;
- la zone industrielle du Chemin Vert.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église paroissiale Saint-Éloi date de la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle mais a été très souvent réhabilitée et rehaussée par deux fois dans la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par Philibert Caziot. Ce rehaussement momentané entrait dans le cadre des calculs géodésiques. Le clocher-tour a été restauré en 1778<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- La Croix Saint-Jacques, croix marquant le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, dont la forme actuelle en obélisque date de Louis XV qui l'a sauvegardée ainsi en son temps, a été classée monument historique en 1952.
- Parc de l'ancien château de Saint-Hubert : parc d'un ancien château royal construit par Ange-Jacques Gabriel pour Louis XV entre 1755 et 1759, puis agrandi entre 1763 et 1774. Il était décoré de sculptures de Guillaume Coustou (fils) ou Jean-Baptiste Pigalle.
Le château, abandonné par Louis XVI, est totalement démoli en 1855<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Le site, propriété privée composée actuellement d'une berge sur l'étang, d'un potager et d'une conciergerie est inscrit<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
dessiné par Thomas Compigné, tabletier du Roi Louis XV.
- Le pont Napoléon, dit aussi pont Royal ou chaussée de Pourras, construit entre l'étang de Pourras et l'étang de Saint-Hubert a été commandé par Louis XVI. Réparé vers 1808 à la demande de l'empereur, comme le mentionne une plaque, il est inscrit à l'inventaire des monuments historiques. Il a été restauré en 1967<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Le Rendez-Vous de Chasse de l'Empereur ou Pavillon Pourras situé au lieu-dit Pourras, construit inutilement, puisqu'il n'y vint jamais, pour l'empereur [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] en 1808 par l'architecte Auguste Famin, tombé en ruines dès 1840 a été partiellement restauré en 1967. Il a été classé monument historique en 1978<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Monument aux morts conçu par Prosper-Jean Lecourtier et inauguré en 1920. Au pied de la pyramide traditionnelle se trouve un bronze réalisé par les fonderies Durenne représentant un coq gaulois foulant un casque allemand tombé à terre<ref name="78A10112014">Modèle:Article.</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Charles de Valois, fils du roi de France Philippe III le Hardi, frère de Philippe IV le Bel et père de Philippe VI, est peut-être mort dans la ville.
- Jean-Baptiste-François de Bourgeon (1757-1843), conseiller général de la Seine sous la Restauration, est né au Perray.
- Le docteur Israël Garfunkel, né le 28/08/1904, médecin installé au Perray en 1935, est déporté parce qu'il est juif, le 07/10/1943, convoi Modèle:Numéro avec majuscule, et meurt après son retour le 29/12/1946. Son épouse, Mary née le 06/11/1905, et leurs enfants Bernard, né le 24/09/1930, et Irène née le 19/03/1936, sont tous trois déportés sans retour, exécutés dès leur arrivée à Auschwitz le 10/10/1943<ref>Modèle:Référence incomplète</ref>.
- Henri Le Thomas (1903-1964), officier des transmissions, membre des Forces navales françaises libres, compagnon de la Libération ; établi au Perray, où il préside le club local de football<ref>Modèle:Chapitre</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Jean-Roger Caussimon (1918-1985), auteur-compositeur-interprète et acteur, habitait Le Perray.
- Macha Béranger (1941-2009), animatrice de radio française, morte au Perray-en-Yvelines.
- Christian-Louis Eclimont (1953-2020), écrivain, journaliste et parolier, natif du Perray-en-Yvelines.