Legé
Modèle:Infobox Commune de France
Legé est une commune française de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
C'est la commune la plus au sud de la Loire-Atlantique. Legé est donc une commune frontalière du département de la Vendée.
Avant la création des départements, la paroisse de Legé faisait partie des Marches Communes de Bretagne-Poitou et du diocèse de Luçon.
Ses habitants sont appelés les Legéens.
Géographie
Situation
Legé est située à Modèle:Unité au sud de Nantes.
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Géographie physique
- Topographie et hydrographie
La rivière Logne prend sa source à Legé.
- Climatologie
Le climat de la Loire-Atlantique est de type tempéré océanique. L'influence de ce climat est largement facilitée par l'estuaire de la Loire et l'absence de relief notable<ref>climat de la Loire-Atlantique</ref>. Les hivers sont doux (min Modèle:Unité / max Modèle:Unité) et pluvieux et les étés relativement beaux et doux également (min Modèle:Unité / max Modèle:Unité). Les pluies sont fréquentes mais peu intenses. Les précipitations annuelles sont d'environ Modèle:Unité<ref>nantes.fr Climat</ref> et peuvent fortement varier d'une année à l'autre. Les chutes de neige y sont exceptionnelles.
Géographie humaine
- Voies de communication et transports
La commune est traversée par les routes départementales 753 (Cholet > Saint-Jean-de-Monts) et 178 (Nantes > Les Sables-d'Olonne)
Elle est desservie par la ligne 312 (Nantes > Saint-Philbert-de-Grand-Lieu > Touvois) du réseau de transport régional Aléop.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rocheservière », sur la commune de Rocheservière, mise en service en 1985<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « La Roche-sur-Yon », sur la commune de Roche-sur-Yon, dans le département de la Vendée, mise en service en 1984 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Legé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Legé, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,2 %), zones agricoles hétérogènes (35,3 %), prairies (5,8 %), zones urbanisées (3,9 %), forêts (3,2 %), cultures permanentes (2,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le nom de Legé désigne un ancien domaine Gallo-Romain fondé vers le Modèle:S mini- ou le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle après Jésus-Christ, le domaine de Laevius. Par la suite, on voit apparaître dans les textes anciens le nom populaire en français sous la forme de Letge au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le nom de la localité est aussi attesté sous la forme Ecclesia de Legiaco en 1119<ref>Dans un document relatif à l'abbaye de Tournus.</ref>. Enfin, dès le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la forme actuelle, Legé, est attestée.
Legé se trouve dans le domaine linguistique du poitevin, au sud de la limite avec le gallo. En gallo, son nom est Lejaé selon l'écriture ELG<ref>Modèle:Lien web.</ref>, ou Ljaï selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce Modèle:MSAPI<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Levieg<ref name="Kerofis">Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
Moyen Âge
La paroisse de Legé est mentionnée sous l'appellation de « Legiaco » en 1119 dans un document relatif à l'abbaye de Tournus, fondée sous le vocable de Saint Philibert en 875 grâce au soutien de Charles le Chauve, roi de France.
Deux abbayes poitevines fondent à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ou au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle des prieurés sur le territoire de Legé. L'abbaye bénédictine de Saint-Jean-d'Orbestier (fondée en 1107 par Guillaume, comte du Poitou et duc d'Aquitaine), à Château-d'Olonne, fonde le prieuré de La Péranche sous le patronage de sainte Madeleine. L'abbaye augustine de Nieul-sur-Autize, près de Fontenay-le-Comte, fonde le prieuré de Saint-Laurent-de-Fougère.
Legé faisait autrefois partie des Marches communes au Poitou et à la Bretagne : l'histoire en fait mention en 1406, à propos d'une levée de guerriers qu'on y voulait faire malgré l'exemption qui lui en avait été accordée.
Une partie du territoire de Legé est inféodée à la baronnie-duché de Retz par la châtellenie de La Bénate.
Période moderne
Lors des rébellions huguenotes, Modèle:Souverain2 réunit son armée à Legé et y couche le Modèle:Date- avant de se diriger sur l'île de Riez pour y combattre Rohan-Soubise placé à la tête des Calvinistes.
En 1789, ce sont deux legéens, Jacques-Alexis Francheteau de La Glaustière et Charles-Joseph Auvynet, qui sont élus pour représenter le Tiers-État des Marches communes au Poitou et à la Bretagne aux États-Généraux.
Lors de la guerre de Vendée, le Général Charette séjourne dans la ville d'avril à Modèle:Date-. Il y établit son quartier général. La commune fut le théâtre d'une bataille entre Républicains et Royalistes le Modèle:Date-. L'armée de Charette mit en déroute les Modèle:Nombre de l'adjudant-général Boisguyon. Les exactions des colonnes infernales (tel que le massacre de Legé), les morts parmi les soldats républicains (tués au combat ou exécutés)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> et les exécutions sommaires de civils républicains accomplies par les Vendéens<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> rendent le bourg impossible à tenir par l'un ou l'autre camp<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Le Modèle:Nobr de la même année, verra la victoire des armées républicaines du général Florent Joseph Duquesnoy contre Charette (Duquesnoy y sera d'ailleurs blessé).
Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Par une loi du Modèle:Date-, la commune de Legé acquiert une portion du territoire des Lucs-sur-Boulogne et une autre de Grand’Landes, modifiant les limites de la Loire-Inférieure et de la Vendée<ref>Modèle:Article.</ref>.
Dès 1893, la gare de Legé va devenir le terminus de la ligne de chemin de fer à voie métrique en provenance de Nantes et sera gérée par la Compagnie française de chemins de fer à voie étroite jusqu'à la fermeture de la desserte en 1935. Durant cette même période, la gare était également desservie par les Tramways de la Vendée grâce à la mise en service de la ligne de La Roche-sur-Yon à Legé en 1904, liaison qui sera fermée en 1939<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Héraldique
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Tendances politiques et résultats
Après avoir démontré un fort ancrage à droite pendant longtemps, Legé a, depuis 2014, tendance à voter pour les candidats du Front national, aujourd'hui appelé Rassemblement national.
Par exemple, en 2017, c'est Marine Le Pen qui arrive en tête au premier tour de l'élection présidentielle, et c'est Jean-Luc Javel, le candidat du FN, qui arrive deuxième au premier tour des législatives alors qu'il n'est même pas qualifié pour le second tour au niveau de la circonscription.
Pour les élections européennes de 2014, la liste d'extrême-droite conduite par Gilles Lebreton l'emporte avec 29,88 %, soit dix points de plus qu'au niveau de la circonscription Ouest et cinq points de plus qu'au niveau national. En ce qui concerne le scrutin de 2019, la liste du RN conduite par Jordan Bardella arrive en tête avec plus de trois points supplémentaires qu'au niveau national.
Modèle:Résultats élections communes françaises
Population et société
Démographie
Modèle:Section à actualiser Selon le classement établi par l'Insee, Legé est une ville isolée qui est le centre d'une aire urbaine et d'un bassin de vie. Elle fait partie de la zone d'emploi de Nantes<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme Modèle:Citation : 90 % des habitants résidaient dans des zones Modèle:Citation et 10 % dans des zones Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web, données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.</ref>.
Évolution démographique
Les données concernant 1793 sont perdues.
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 35,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 25,5 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 50,11 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Santé
La maison de retraite Saint-Joseph accueille les personnes âgées.
Écologie et recyclage
Modèle:... La commune de Legé dispose d'une déchèterie intercommunale située au lieu-dit La Tournerie, par ailleurs des containers de tri sélectif mis à la disposition des habitants sont disséminés sur le territoire communal.
Enseignement
Legé est rattachée à l'Académie de Nantes.
Écoles maternelles et primaires
La commune possède deux écoles (à la fois maternelle et primaire) :
- école publique du Chambord ;
- école privée Notre Dame. L'école daterait de 1885.
Collèges
La commune possède deux collèges :
- collège privé Sainte-Anne. Le collège daterait de 1890 ;
- collège public Pierre de Coubertin.
Enseignement professionnel
- Maison Familiale Rurale
Justice
La commune de Legé dépend du tribunal de grande instance de Nantes, lequel est rattaché à la cour d'appel de Rennes.
Culture
La commune dispose d'un centre culturel et d'une bibliothèque qui se trouve au couvent des Visitandines.
Le centre culturel Saint-Michel
Ce centre culturel, qui se trouve dans le bourg de Legé, est composé d’une salle de spectacle pouvant accueillir jusqu’à Modèle:Nobr et de deux salles annexes. La salle principale fait office de salle de spectacle et de cinéma.
Pour ce qui est du cinéma, on compte huit séances par semaine en moyenne et la salle est équipée en son Dolby et des lunettes spéciales sont prêtées pour les quelques séances en 3D<ref name=":02">Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
C'est en 1948 que la première pierre a été posée pour cette salle nommée « salle du Patronage ». Inaugurée en 1951, c'est Joseph Rouillé, écrivain (fils d'un horloger legéen), qui a étrenné cette salle avec sa pièce « La Mieux-Aimée » qui fut un immense succès. C'est également en 1951 que cette structure a été reconnue par le C.N.C. (Centre National de la Cinématographie) avec une autorisation délivrée au président, Charles Vilain. À noter qu'à cette époque, la capacité était de Modèle:Nobr.
L'activité théâtrale a connu une période faste de 1951 à 1966. Aux dires des aînés legéens, « On a même dansé sur la scène à l’occasion des noces ».
Cette salle « Legé-Ciné » a été marquée par quelques évènements :
- en 1965, pendant trois semaines et en avant-première, elle a bénéficié d'une copie neuve du film Le Tonnerre de Dieu, tourné en grande partie au Bois-Chevalier et avec Jean Gabin notamment ;
- c'est depuis 1984 que le cinéma offre des films « Arts et Essais » qui touchent un public plus restreint. Les films qui y sont présentés sont souvent des films à petits budgets ou indépendants, des documentaires, des films internationaux, loin des superproductions, des blockbusters ou des films dits « grand public » ;
- de 1996 à 2002, un ambitieux projet de réhabilitation est organisé pour pallier la vétusté des lieux. La réhabilitation achevée, le centre culturel rouvre ses portes au dernier semestre 2002 et est inauguré le Modèle:Date en présence de plusieurs personnalités du département<ref name=":02"/> ;
- dans la nuit du 2 au 3 novembre 2019, une mini-tornade causée par la Tempête Amélie, qui a sévit sur tout le tiers Sud-Ouest de la France, provoque des dégâts à Legé. Le centre culturel est sûrement le bâtiment legéen qui en aura le plus fait les frais : sa toiture se désolidarise du bâtiment et s'envole, sans provoquer de grands dégâts en retombant au sol. Le maire annonce dès le lendemain que le centre sera fermé jusqu'à nouvel ordre et interdit d'accès à la population. Tous les évènements prévus sont annulés et les associations qui y siégeaient sont relogées<ref>Modèle:Article.</ref>.
Sports
Legé dispose d'un piscine de plein air et d'un complexe sportif comprenant notamment deux salles omnisports et des terrains de football. Trois nouvelles salles ont été construites en 2017, et la commune s'est vu attribuer le titre de « ville sportive » et possède trois flammes olympiques (la dernière lui a été décernée en 2019).
La commune possède une belle diversité de disciplines : Modèle:Nobr sportives regroupant Modèle:Nombre dont plus de 58 % ont moins de Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Cultes
La Paroisse catholique Saint Philbert et Saint Jacques sur Logne regroupe les communautés de Corcoué-sur-Logne, La Bénate (commune de Corcoué-sur-Logne), La Chevrolière, La Limouzinière, Legé, Saint-Colomban, Saint-Lumine-de-Coutais, Saint-Philbert-de-Grand-Lieu et Touvois.
Médias
Aucune rédaction de presse n'est installée dans la ville, des correspondants relayant les informations locales pour le quotidien Ouest-France ou l'hebdomadaire Le Courrier du pays de Retz par exemple. La seule publication locale régulière est le bulletin d'informations communales Legé-Magazine qui paraît tous les trois mois<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Économie
Agriculture
Legé est une commune à vocation agricole avec un secteur dédié d'une superficie de 4 226 hectares partagée entre 40 exploitations, qui sont en majorité des sociétés (GAEC, EARL ou EURL par exemple). Les productions sont diverses et variées, à savoir : viande, lait, spécialités hors sol (volailles ou porc), viticoles ou encore céréalières (blé, maïs) qui, elles, sont principalement destinées à la nourriture du bétail.
Ces différentes productions façonnent inéluctablement la mosaïque de ce territoire agricole entre les vastes prairies et les surfaces cultivées. Le secteur est depuis longtemps très important pour l'économie de la commune et a vocation à le rester<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Commerces et entreprises
L'activité commerciale legéenne est principalement rassemblée autour du centre commercial des Visitandines et dans différents points de vente situés dans le centre-bourg.
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption (Modèle:S mini-).
- La chapelle Notre-Dame de Pitié édifiée en 1826.
- Le couvent des Visitandines (Modèle:S mini-), édifié en 1900, devenu par la suite le petit séminaire diocésain de Legé de 1937 à 1969, puis en dernier lieu, le Centre polyvalent des Visitandines, propriété de la commune de Legé.
- Le château du Retail.
- Le château du Bois-Chevalier dans lequel fut en partie tourné en 1965, le film Le Tonnerre de Dieu de Denys de La Patellière avec Jean Gabin, Lilli Palmer, Michèle Mercier, Georges Géret et Robert Hossein.
- Le château du Gouffier (Modèle:S mini-).
- L'enclos de La Colonne (Modèle:S mini-).
- la zone de loisirs du Paradis.
- Les calvaires : de toutes tailles et de tous matériaux, ils étaient autrefois très importants dans la vie communale et ils restent aujourd'hui de magnifiques œuvres rencontrées au détour des chemins, on en dénombre pas moins de 77 sur le territoire legéen.
- Un canon allemand de campagne de Modèle:Unité, modèle 1896 à canon court, construit en 1898 dans les usines Krupp, et huit obus de Modèle:Unité, visibles près de la « Chapelle Charette ». C'est un trophée de guerre, de provenance inconnue, attribué à la commune de Legé par le sous-secrétariat d'État aux finances en 1920<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Général Charette, la « Chapelle Notre Dame de pitié » ou « Chapelle Charette » est édifiée en son honneur.
- Jacques-Alexis Francheteau de La Glaustière, député du Tiers-État aux États-Généraux de 1789.
- Charles-Joseph Auvynet, député du Tiers-État aux États-Généraux de 1789.