Marc Levy

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Nom protégé Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Biographie2 Marc Levy, parfois orthographié Marc Lévy<ref>Son patronyme, selon l'état civil, s'écrit « Lévy », avec un accent. Son site officiel l'orthographie sans accent.</ref>, né le Modèle:Date de naissance à Boulogne-Billancourt, est un romancier français devenu célèbre dès son premier roman, Et si c'était vrai…, adapté au cinéma en 2005.

Biographie

Son père, Raymond Lévy, connu comme écrivain et résistant, évadé du train de déportés qui les emmenait vers Dachau, est évoqué par Marc Levy dans son ouvrage Les Enfants de la liberté. Après guerre, il travaille dans un magasin avant de reprendre les éditions d'art de son beau-père. Sa mère est agente immobilière<ref>Baptiste Touverey, « Marchand d'évasion », [[Vanity Fair (magazine)|Modèle:Lang]], Modèle:Date-, Modèle:Nobr.</ref>.

Marc Levy entre à dix-huit ans à la Croix-Rouge française dans les Hauts-de-Seine, tout d’abord comme secouriste, et y reste six ans en prenant notamment des fonctions dans la gestion opérationnelle départementale tout en poursuivant des études de gestion et d’informatique à l’université Paris-Dauphine.

En 1983, il crée sa première entreprise avec deux associés (Mickael Bendavid et Xavier Poncin), Logitec France<ref>Modèle:Article.</ref>, basée au départ dans les locaux du quai Voltaire à Paris puis à Boulogne-Billancourt (à ne pas confondre avec un certain nombre de sociétés au nom similaire).

En 1988, il ouvre une unité chargée de développer une carte de traitement d'images à Sophia Antipolis avec les ingénieurs de la société américaine Spectrum HoloByte. Le projet échoue, ce qui aboutit en 1989 à la perte de contrôle de la société, qui dépose le bilan quelques mois plus tard.

Repartant de zéro, à Modèle:Nobr, il fonde avec son beau-frère (le frère de sa première femme) un cabinet d’architecture de bureau, Eurythmic Cloiselec.

En 2000, après l'immense succès de son premier roman Et si c'était vrai aux Éditions Robert Laffont, Marc Levy démissionne à Modèle:Nobr de son cabinet d'architecture et part habiter à Londres pour se consacrer exclusivement à l'écriture. L'ouvrage est traduit dans une quarantaine de langues, publié dans Modèle:Nobr et se vend à cinq millions d'exemplaires, restant classé durant deux ans sur les listes de meilleures ventes. DreamWorks SKG en acquiert les droits d'adaptation cinématographique. Le film, intitulé en langue originale [[Et si c'était vrai... (film)|Modèle:Lang]], réalisé par Mark Waters, interprété par Reese Witherspoon et Mark Ruffalo, se classe premier du box-office américain lors de sa sortie en 2005.

Depuis Modèle:Date-, des histoires de Marc Levy sont proposées, illustrées, chez McDonald's dans leurs menus Modèle:Lang<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il s'agit des aventures dans le passé de quatre enfants qui utilisent la magie pour retourner dans le passé. Ces histoires rappellent des faits historiques, comme l'existence de la montgolfière. Il y a également des histoires qui expliquent les expressions françaises<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Marc Levy est le frère de Lorraine Lévy, auteure de théâtre, scénariste, réalisatrice. Il est le cousin de Julie Andrieu, son grand-père maternel ayant épousé en deuxièmes noces la mère de Nicole Courcel.

Il est enfin le parrain de la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

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Marc Levy en 2006.

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Bibliographie

Nouvelles

Paroles de chansons

Collaborations

  • 2011 : Weepers Circus, N'importe où, hors du monde. Il s'agit d'un livre-disque dans lequel participe une quarantaine d'invités aux titres d'auteurs ou d'interprètes : Marc Levy y signe un texte inédit (non mis en musique) consacré à sa propre interprétation de ce titre de N'importe où, hors du monde.

Court-métrage et films

Adaptation au cinéma et en bande dessinée

Films adaptés de ses romans

Adaptations en bande dessinée

Réception critique

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Marc Levy à Milan en 2008.

La critique littéraire est très divisée dans ses appréciations des différents romans de Marc Levy.

Critique positive

Critique négative

  • François Busnel évoque des livres Modèle:Citation<ref>François Busnel - “Marc Levy ? Un supplice !”, francesoir.fr.</ref>. L'Express décrit les ingrédients du succès de l'écrivain : « l'enfance, l'amour et l'amitié à la sauce mélo »<ref>[1], lexpress.fr.</ref>. Luc Le Vaillant dans Libération décrit son écriture comme « minimaliste, pour ne pas dire minimale », supportée par une narration « des bons sentiments et des [[Happy end|Modèle:Lang]] »<ref>Tous contes faits, Luc Le Vaillant, liberation.fr, Modèle:Date-.</ref>.
  • fluctuat.net reproche à Mes amis mes amours son « absence totale de surprise et de densité », le travail de l’écrivain pouvant être vu comme « la ligne claire de l’art populaire, l’œuvre qui refuse de vous rendre plus intelligent mais se met exactement et à tout moment à votre hauteur. Le tout est ordonnancé comme une sublime fabrique industrielle de clichés »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • Dans Le Point, Patrick Besson avoue ne rien avoir compris à Sept jours pour une éternité, dont il relève les clichés et les formules toutes faites (une idée qui « traverse » un esprit ; un ciel « sublime » ; « le plus grand des hasards » ; les mots qui n'ont pas un ordre mais un « ordonnancement »)<ref>L'« ordonnancement » de Marc Levy, Patrick Besson, lepoint.fr, Modèle:Date-.</ref>.
  • Le Nouvel Observateur : Grégoire Leménager qualifie Le Premier Jour de « romance sirupeuse écrite au petit bonheur où la « timidité » est forcément « maladive » et où le hasard fait toujours très bien les choses (voir Modèle:P. : le héros confie à son ami n’avoir jamais oublié une histoire d’amour qu’il a eue quinze ans plus tôt avec une étudiante ; et Modèle:P. : il la rencontre dans un ascenseur, elle l’embrasse dans la minute) ». Le critique n’y voit qu’un « précis de morale de supérette qui nous enseigne que « l’enfant que l’on a été reste à jamais en soi », que « l’amitié ne se construit pas sans preuves de confiance », qu’« un monde parfait » serait « un monde libre » ». L’histoire, « à dormir debout », est résumée d’une formule lapidaire : « plus débile, tu meurs »<ref>Modèle:Article.</ref>.
  • Le style de Marc Levy a été parodié par Pascal Fioretto dans le pastiche Et si c’était niais ?<ref>Modèle:Article.</ref>, et a fait l’objet d’une analyse critique et ironique dans Le Jourde & Naulleau.

Notes et références

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Voir aussi

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Liens externes

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