Marie Leszczynska

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Modèle:Infobox Rôle monarchique Marie Leszczynska, ou Marie Leszczyńska<ref group="Note" name="nom">Marie Charlotte Sophie Félicité ; la forme « Marie Leczinska » est traditionnelle dans les textes français du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. On trouve aussi « Marie Leczynska » ; actuellement, l'orthographe polonaise est parfois utilisée : « Marie Leszczyńska ». Pour d'autres variantes orthographiques, on trouve « Marie Lekzinska » dans les éditions de la Biographie universelle classique (1829), ainsi que Vie de Marie Leckzinska (1828), de l'abbé Proyart.</ref> (prononcé en français ({{#ifeq:1|0|[lɛɡzɛ̃ska]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}), en polonais Maria Leszczyńska ({{#ifeq:1|0|[lɛʃ't͡ʃɨɲska]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}) que l'on peut traduire par Marie de Leszno, née le Modèle:Date de naissance à Trzebnica et morte le Modèle:Date de décès à Versailles, est une aristocrate<ref group=Note name="roipologne">Les rois de Pologne étant élus, leurs filles ne sont pas automatiquement des princesses ; le titre de prince (książę) est héréditaire dans certaines familles, comme les Czartoryski.</ref> polonaise, fille du roi de Pologne (1704-1709) Stanislas Leszczynski, reine de France par son mariage avec Modèle:Souverain2 en 1725. Sa famille portait les armes du clan Wieniawa. Par son fils le dauphin Louis, qui épousa Marie-Josèphe de Saxe, elle est la grand-mère des trois derniers rois de France<ref>Du moins, des derniers à porter le titre de « roi de France et de Navarre », Modèle:Souverain2 portant le titre de « Roi des Français ».</ref>, Modèle:Souverain2, Modèle:Souverain2 et Modèle:Souverain2.

Elle est la dernière reine de France à mourir avec sa couronne. Pieuse et généreuse, elle fut une figure effacée de la cour de Versailles par le nombre des maîtresses de son mari, en particulier la marquise de Pompadour.

Biographie

Jeunesse

Seconde fille (l'aînée, Anne Leszczynska, était née en 1699 et morte d’une pneumonie en 1717) de Catherine Opalińska et de Modèle:Souverain2, éphémère roi de Pologne grâce au roi de Suède Modèle:Souverain2 puis duc de Lorraine et de Bar (à titre viager) grâce au roi de France Modèle:Souverain2, Maria Karolina Zofia Felicja (Marie Caroline Sophie Félicité) Leszczyńska naquit à Trzebnica, en Silésie, le Modèle:Date.

Elle reçut pour parrain Alexandre Benoît Sobieski, fils de Jean III Sobieski de Pologne, et pour marraine Edwige-Sophie de Suède, duchesse douairière de Schleswig-Holstein-Gottorp.

Née alors que son père avait été placé sur le trône de Pologne par les armées suédoises de Modèle:Souverain2, elle le suivit dans son exil dès l'année suivante. Elle confia à Voltaire qu'elle avait failli être oubliée par les femmes chargées de préparer la fuite du roi : au moment de partir, l'une d'elles avisa un tas de linges qui gisait dans la cour et alla le ramasser Modèle:Incise. Exilée d'abord dans la principauté de Deux-Ponts (Zweibrücken), propriété du roi de Suède, puis dans la ville alsacienne de Wissembourg à la suite de nombreuses tractations politiques, elle fut d'abord pressentie en 1721 pour épouser un jeune officier français. Mais, le prétendant n'étant pas au moins duc, le père de Marie refusa le mariage.

On songea alors au prince de Schwarzenberg, noble de Bohême, mais celui-ci préféra une candidate plus argentée. La jeune femme fut alors convoitée par le marquis de Courtanvaux, petit-fils de Louvois, mais le roi Stanislas refusa à nouveau un prétendant qui n'était pas duc.

Un projet de mariage bien plus brillant pour l'ex-roi Stanislas fut enfin envisagé pour Marie Leszczyńska, avec le duc de Bourbon. Celui-ci, prince du sang, veuf et sans enfant de sa cousine Marie-Anne de Bourbon-Conti, était alors Premier ministre du royaume de France. L' idée ne venait pas du duc de Bourbon mais de sa maîtresse, la marquise de Prie. Ambitieuse, la jolie marquise pensait qu'une princesse sans influence ne lui porterait pas ombrage.

Fichier:Marie Leszczynska by François Albert Stiemart, 1726, Versailles.jpg
Marie Leszczynska par François Albert Stiemart (1726).
Fichier:MariaLeszczynska02.jpg
Maria Leszczyńska, par Alexis Simon Belle (vers 1730).

Le choix de Marie comme reine de France

Quand Modèle:Souverain2, à peine âgé de quinze ans, tombe une nouvelle fois malade en Modèle:Date, le duc de Bourbon craint, pour son avenir personnel, que le duc d'Orléans, fils du défunt régent et son rival, ne monte sur le trône. Pour éviter qu'une telle chose se produise, il faudrait que Modèle:Louis XV ait, au plus vite, une descendance. C'est pourquoi, après avoir dressé une liste des cent princesses d'Europe à marier<ref>Un document de 1725 dans les Archives nationales, rédigé probablement à l'attention du duc de Bourbon, fait état de ce « casting royal » : « Des cent Princesses qu'il y a à marier en Europe, en en retranchant 44 qui sont trop âgées pour être mariées à un jeune Prince [[[:Modèle:Souverain-]] a Modèle:Nobr], 29 qui sont trop jeunes, 10 dont l'alliance ne convient pas, il ne reste donc que Modèle:Nobr ». Les deux dernières opportunément citées sont Henriette Louise Modèle:Mlle et Thérèse Alexandrine Modèle:Mlle, toutes deux filles de Modèle:Souverain3. Source : Modèle:Ouvrage.</ref>, on choisit Marie Leszczyńska qui est en âge d'avoir des enfants, contrairement à la jeune fiancée du roi, l'infante-reine Marie-Anne-Victoire d'Espagne, que l'on renvoie. On prête un rôle à la marquise de Prie dans les manœuvres qui ont conduit au choix de Marie, femme catholique saine et fraîche, la marquise voulant initialement l'offrir en épouse à son amant car elle considérait que cette Polonaise serait suffisamment effacée pour ne pas lui porter ombrage<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le roi, orphelin, et son précepteur, l'abbé de Fleury, rival du duc de Bourbon, acceptent cette alliance sans avantage avec une princesse qui compte vingt-deux ans, soit sept de plus que son futur mari.

Le Modèle:Date, le duc demande à Stanislas sa fille en mariage au nom de Modèle:Souverain2.

Les difficultés à l'annonce du mariage

L'annonce du mariage n'est pas très bien accueillie à la Cour ni à l'étranger où l'on se récrie sur les origines de la famille Leszczyński et sur sa nationalité polonaise. Élisabeth-Charlotte, duchesse de Lorraine et de Bar, sœur du défunt régent, et qui pensait asseoir sa fille aînée sur le trône des lys, écrit ainsi :

Modèle:Début citationJ'avoue que pour le Roi, dont le sang était resté le seul pur en France, il est surprenant que l'on lui fasse faire une pareille mésalliance et épouser une simple demoiselle polonaise, car […] elle n'est pas davantage, et son père n'a été roi que vingt-quatre heures.Modèle:Fin citation

Des rumeurs vont même jusqu'à annoncer que la future reine est laide, scrofuleuse, épileptique<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, ou stérileModèle:Référence nécessaire.

L'ex-roi de Pologne, l'ex-reine et leur fille quittent Wissembourg pour Strasbourg.

Néanmoins, le Modèle:Date, le duc d'Orléans, premier prince du sang, épouse Marie par procuration dans la cathédrale de Strasbourg, devant le cardinal de Rohan, grand aumônier de France. Pendant son repas, elle est servie par Mademoiselle de Clermont, sœur du duc de Bourbon, un membre de la famille royale.

Les débuts du règne

Fichier:Marie Leszczyńska, Queen of France - Louis Tocqué.jpg
Marie Leszczyńska en manteau de sacre par Louis Tocqué. Musée des châteaux de Versailles et de Trianon (1740).

De Strasbourg à Metz, en passant par le Saulnois pour éviter la Lorraine, puis à travers la Champagne et la Brie, Marie se fait vite aimer du peuple en distribuant des aumônes.

Le Modèle:Date, Marie rencontre Modèle:Souverain2 et, le lendemain, ils se marient à Fontainebleau. Le mariage est consommé le soir même, et le roi fait durer la « lune de miel » jusqu'en Modèle:Date-. Marie tombe aussitôt amoureuse du roi, beau comme un ange et lui-même en est, à l'époque, très épris : il a quinze ans, et elle est son premier amour.

On donne à la nouvelle reine des serviteurs qui ont veillé sur Modèle:Souverain2 enfant, afin de lui permettre de mieux connaître son mari. L'ardeur du roi permet à Marie de donner rapidement des enfants à la couronne, et en grand nombre : dix en dix ans, mais seulement deux garçons pour huit filles dont des jumelles. De plus, seul l'un des deux garçons, le dauphin Louis, survit à l'enfance.

Le bruit courut que Marie aurait dit : « Eh quoi ! Toujours coucher, toujours grosse, toujours accoucher<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. » Marie est également meurtrie par la mort en bas âge de deux de ses enfants.

La naissance de Louise de France, Madame Septième (1737), puis une fausse couche l'année suivante, les mises en garde des médecins sur les dangers d'une grossesse supplémentaire que Marie n'ose avouer au roi, la différence d'âge entre les conjoints, tout cela marque la fin du bonheur conjugal du couple royal. Modèle:Souverain2, vingt-sept ans, jeune et plein d'allant, s'ennuie auprès d'une femme considérée comme d'âge mûr, fatiguée par ses nombreuses grossesses et « trop douce et trop éprise »<ref>Plume d'histoire http://plume-dhistoire.fr/marie-leszczynska-manque-le-coeur-de-louis-xv/</ref>. Malgré ses scrupules moraux et religieux, le roi a déjà pris secrètement sa première maîtresse, la comtesse de Mailly, première des « sœurs de Nesle ».

Des relations difficiles avec Modèle:Louis XV

La reine Marie avait commencé à s'aliéner son époux dès le début de son mariage en se mêlant Modèle:Incise, de politique, malgré les mises en garde de son père. N'étant pas née à la cour, ne connaissant pas encore tout à fait les usages ni l'étiquette de Versailles, elle « convoque » le roi dans ses appartements pour lui demander de conserver le ministère à son bienfaiteur, l'impopulaire duc de Bourbon qui risquait alors la disgrâce. Dès cet instant, elle perd toute influence politique sur son mari de Modèle:Nobr (1726).

En 1733, elle soutient les efforts de son père qui tente de remonter sur le trône de Pologne (guerre de Succession de Pologne).

Petit à petit, Modèle:Souverain2 délaisse complètement cette épouse effacée, notamment à partir du moment où elle lui refuse l'entrée de sa chambre, par crainte d'une onzième grossesse qui, selon les médecins, lui aurait été fatale, ce qu'elle n'ose révéler à son mari (1738). Malgré une réconciliation maladroite après la maladie du roi à Metz en 1744, ce délaissement est définitif.

La Reine passe les vingt dernières années de sa vie à Versailles. Comme elle n'a aucune influence, les ambitieux ne la recherchent pas. Elle vit entourée d'un cercle restreint de courtisans fidèles : « La maison de la reine était formée de gens d'esprit, de conditions sociales diverses, sur le modèle des fameux salons parisiens si caractéristiques de l'époque »<ref>Danièle Rey-Girardet, La Louison, p. 132, Roman auto-édité, 2011 Modèle:Isbn Modèle:Lire en ligne</ref>.

Marie Leszczyńska demeure pourtant très attachée à son époux<ref group=Note name="epoux">Modèle:Citation, écrit-elle dans son testament.</ref> et réussit à s'adapter à la vie de Versailles : elle se fait instruire sur les questions de cérémonial et d'étiquette et assume ses devoirs de représentation lors des fréquentes absences du roi, à la chasse ou ailleurs.

Grande amatrice de musique et de peinture (elle peint elle-même des aquarelles), elle est la véritable mécène de la culture à la cour. Elle contribue, avec sa bru Marie-Josèphe de Saxe, à faire venir à Versailles des artistes de renom, comme le castrat Farinelli en 1737, qui lui donne des cours de chant, ou le jeune prodige Wolfgang Amadeus Mozart en 1764 avec qui, au grand étonnement de la cour, elle s'entretient en allemand, car elle est polyglotte.

Confrontée à l'adultère du roi, elle garde discrétion et dignité, entretenant même pendant vingt ans des relations correctes avec la plus célèbre des maîtresses de son royal époux, la Marquise de Pompadour. Talleyrand note, cependant, que Modèle:Citation. Après la désaffection de Modèle:Louis XV, elle se réfugie dans l'affection pour ses enfants, qui tentaient maladroitement de prendre son parti, et pour son père, qui venait la visiter souvent et lui conseillait la patience et la soumission Modèle:Incise.

Elle obtient de Modèle:Louis XV, le roi cherchant peut-être à se faire pardonner, un grand appartement privé<ref group=Note name="appart">Cet appartement est par la suite détruit lors des aménagements commandés par Marie-Antoinette.</ref>, où elle peut mener une vie plus calme et moins tournée vers l'apparat. Un groupe d'amis se forme autour d'elle, dont le couple de Luynes. Elle dispose alors d'une cassette de Modèle:Nb, somme assez médiocre pour une Reine, à affecter à son divertissement, à ses aumônes et à son jeu. Cette passion pour le jeu (surtout pour le cavagnole) lui vaut quelques dettes, qui sont épongées par le roi, ou par son père Stanislas.

Mort et inhumation

La reine Marie meurt le Modèle:Date-, au Château de Versailles, à l'âge de Modèle:Nobr. Son corps est inhumé à la basilique Saint-Denis, tandis que son cœur repose auprès de ses parents, en l'église Notre-Dame-de-Bonsecours de Nancy.

Les tentatives de remariage du roi avec l'archiduchesse Marie-Élisabeth d'Autriche ou l'infante Marie-Josèphe d'Espagne firent long feu.

Descendance

Marie Leszczyńska eut de Modèle:Souverain3 dix enfants<ref>Modèle:Harvsp. Le prénom usuel de l'enfant est indiqué en italique.</ref> :

Nom Portrait Naissance Décès Notes
Louise- Élisabeth Fichier:Louise Elisabeth de France... - Adelaide Labille-Guiard.png Modèle:Date Modèle:Date dite Madame (en tant que fille aînée du roi) ou Madame Première (puis Madame Infante) épouse en 1739 Philippe d’Espagne (1720 – 1765), duc de Parme en 1748.
Anne Henriette Fichier:Anne Henriette de France.jpg Modèle:Date Modèle:Date jumelle de la précédente, et Madame Seconde (puis Madame Henriette, puis Madame) sans alliance.
Marie Louise Fichier:Madame Troisième, Marie Louise de France, (1728-1733).jpg Modèle:Date Modèle:Date Madame Troisième (puis Madame Louise).
Louis Fichier:Portrait dauphin louis france hi.jpg Modèle:Date Modèle:Date dauphin épouse en 1745 Marie-Thérèse d'Espagne (1726 – 1746) puis en 1747 Marie-Josèphe de Saxe (17311767), père des derniers rois de France (Modèle:Souverain2, Modèle:Souverain2 et Modèle:Souverain2).
Philippe, duc d’Anjou Fichier:Philippe de France by Barrière.jpg Modèle:Date Modèle:Date Mort à l'âge de deux ans et demi.
Marie Adélaïde Fichier:Jean-Marc Nattier, Madame Adélaïde de France faisant des nœuds (1756) - 002.jpg Modèle:Date Modèle:Date Madame Quatrième (puis Madame Troisième, puis Madame Adélaïde, puis Madame) sans alliance.
Victoire Louise Marie Thérèse Fichier:Jean-Marc Nattier, Madame Victoire de France (1748).jpg Modèle:Date Modèle:Date Madame Cinquième (puis Madame Victoire) sans alliance.
Sophie Philippine Élisabeth Justine Fichier:Jean-Marc Nattier, Madame Sophie de France (1748) - 01.jpg Modèle:Date Modèle:Date Madame Sixième (puis Madame Sophie) sans alliance.
Thérèse Félicité Fichier:Posthumous portrait of Thérèse, daughter of Louis XV.jpg Modèle:Date Modèle:Date Madame Septième (puis Madame Thérèse).
Louise Marie Fichier:Madame Louise de France (1748) by Jean-Marc Nattier.jpg Modèle:Date Modèle:Date Madame Huitième (puis Madame Louise), entrée au Carmel en 1770 sous le nom de Sœur Thérèse de Saint-Augustin.

Citations

Piété

Fichier:Testament de la reine Marie Leszczynska 4 sur 15 - Archives Nationales - AE-II-1002 .jpg
Première page du testament de Marie Leszczynska daté de Versailles, le Modèle:Date- (Archives nationales).

La reine est très pieuse. Elle eut pour confesseur, entre autres, le capucin Ambroise de Lombez et pour page et confident Modèle:Souverain3 (1743-1833). Les capucins étaient reçus à la cour.

Initiée à la dévotion pour le Sacré-Cœur dans le couvent de la Visitation à Varsovie, elle s'efforce d'en répandre la fête et les offices. Elle fait ériger un autel du Sacré-Cœur dans la chapelle du château de Versailles<ref>Letierce, Étude sur le Sacré-Cœur, Modèle:P..</ref>. Elle demande aux évêques de l'assemblée générale du clergé de France à Paris d'établir dans leurs diocèses la fête du Sacré-Cœur, ce qui est approuvé par un courrier du Modèle:Date.Modèle:Refsou

La reine a une grande dévotion pour Marie et fréquente régulièrement la basilique Notre-Dame de Marienthal de Haguenau en Alsace qu'elle comblait de dons. Elle a une affection spéciale pour l'Abbaye de Gräfinthal dans le Land de Sarre où elle se rend en pèlerinage, où sa sœur Anne Leszczynska, morte en 1717, était enterréeModèle:Refsou.

Elle fait venir de Compiègne des religieuses de la congrégation Notre-Dame pour fonder le couvent, dit de la reine, qui facilitera l'éducation des filles des serviteurs de la cour.

Sources<ref>Pierre de Nolhac, Louis XV et Marie Leczinska d'après de nouveaux documents, Paris, Calmann-Lévy éditeur, 1902, p. 336 et suivantes. numérisé sur archive.org donne une liste détaillée de ses sources.</ref>

  • Archives nationales, AE/II/1002 [Cote d’origine : K//147/10/1], 24 juin 1767-15 janvier 1768, testament olographe et codicille de la reine Marie Leszczynska. Numérisé.
  • Archives nationales, AB/XIX/5024, lettres de Marie Leszczynska au président Hénault (1753-1768). Présentation générale. Détail du contenu.
  • Eugène Griselle, « Deux billets autographes de Marie Leszczynska au Carmel de Compiègne », Bulletin du bibliophile et du bibliothécaire, 1907, p. 82 et suivantes; Numérisé sur gallica.
  • Victor Des Diguères (éd.), Lettres inédites de la reine Marie Leszczynska et de la duchesse de Luynes au président Hénault, Paris, Champion, 1886. Numérisé.
  • Correspondance du comte d'Argenson, ministre de la guerre : lettres de Marie Leszczynska et du cercle de la reine, Pierre de Nolhac (éd.), 1922. Numérisé sur gallica (les lettres de la reine sont des pages 1 à 56).
  • correspondance de la reine avec la famille du duc de Luynes de 1746 à 1756, reproduite dans Comtesse d'Armaillé, La reine Marie Leckzinska, Paris, Didier et cie, 1870 (2e éd.), p. 200-237. Numérisée.
  • plusieurs lettres de la reine au cardinal de Fleury, etc, reproduites dans Charlotte Aglaé de Saint-Ouën, marquise des Réaulx, Le roi Stanislas et Marie Leczinska, Paris, Plon-Nourrit et cie, 1895.
  • « inventaire des objets trouvés dans les cabinets de la reine après sa mort, document dressé par M. de Saint-Florentin, le 25 juin 1768 », reproduit par Pierre de Nolhac, Louis XV et Marie Leczinska d'après de nouveaux documents, Paris, éditions de 1928-1930. En ligne.

Cinéma et télévision

Voir aussi

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Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

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Bibliographie

  • abbé Liévin-Bonaventure Proyart, Vie de la reine de France, Marie Leszczynska, princesse de Pologne, Bruxelles, Le Charlier, 1794. En ligne.
  • Comtesse d'Armaillé, La reine Marie Leckzinska, Paris, Didier et cie, 1870 (2e éd.) Numérisé.
  • Charlotte Aglaé de Saint-Ouën, marquise des Réaulx, Le roi Stanislas et Marie Leczinska, Paris, Plon-Nourrit et cie, 1895. Numérisé.
  • Pierre de Nolhac, Louis XV et Marie Leczinska d'après de nouveaux documents, Paris, Calmann-Lévy, 1930.

Articles connexes

Versailles

Liens externes

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