Stéphane Bern

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Animateur audiovisuel

Stéphane Bern <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}, né le Modèle:Date à Lyon, est un animateur de radio et de télévision, acteur et écrivain franco-luxembourgeois.

Passionné par les familles royales et régnantes en Europe, il a présenté plusieurs émissions consacrées à l'histoire et au patrimoine français, qui ont contribué à partir des années 2000 à en faire une figure majeure du paysage audiovisuel français. Il est notamment connu pour être l'animateur de l'émission historique Secrets d'Histoire depuis 2007.

Par ailleurs, il présente sur l’antenne d’Europe 1 l’émission quotidienne Historiquement vôtre et commente, pour France 2, le Concours Eurovision de la chanson et la version junior.

Il est également comédien pour le cinéma, la télévision et le théâtre.

Biographie

Enfance, formation et débuts

Né le Modèle:Date de naissance-<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> de parents juifs ashkénazes originaires de Pologne<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> et naturalisés français après-guerre, Stéphane Bern est le second fils de Louis Bern (1931-2022<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>), attaché commercial puis directeur de la communication dans une société pétrolière<ref name="Beaucarnot" />,<ref name="jlb" />, dont la famille a émigré de Sieradz (Pologne) en France dans l'entre-deux-guerres<ref>Stéphane Bern a des origines essentiellement polonaises : le grand-père Abraham, fils de Gersch, est venu s'installer avec sa femme et ses enfants dans l'entre-deux-guerres à Lyon, où il a longtemps tenu une bijouterie-horlogerie sur le cours Lafayette</ref>.

Sa mère, Melita Schlanger (1939-1992), est interprète<ref>maîtrisant sept langues</ref>,<ref name="Lafitte">Modèle:Ouvrage.</ref> et gérante de société<ref name="jlb">Who’s who (2013)</ref>. Elle est née en 1939 à Zurich d'un couple polonais originaire de Rzeszów en Basses-Carpates. Sa grand-mère est Sara Schlanger (nom de jeune fille Kurtz), née à Zurich d'un père commerçant. Son grand-père s'appelle Joseph Schlanger (dont la famille a été exterminée pendant la Seconde Guerre mondiale<ref>Belgisch staatsblad (1956)</ref>) et est natif de Sokołów Małopolski (Pologne). Le couple des grands-parents s'installe d'abord à Zurich puis dans la capitale du Luxembourg<ref>Tageblatt numéro 270 (19 novembre 2015)</ref>. La mère de Stéphane Bern y étudie les sciences naturelles. Contrairement à ses parents, qui obtiennent la nationalité luxembourgeoise par naturalisation le Modèle:Date-<ref name=":02">Mémorial du grand-duché de Luxembourg (17 septembre 1958, 24 février et 10 septembre 1959, 21 septembre 1963)</ref>, Melita Schlanger ne sera pas naturalisée<ref name=":02" />. Pour échapper aux persécutions nazies contre les juifs polonais, elle s’était réfugiée avec sa mère en Suisse le Modèle:Date-<ref>Archives d'État de Genève - Personnes enregistrées à la frontière genevoise durant la Deuxième Guerre mondiale [1] et Jewish Arrivals in Switzerland, 1938-1945 (list of refugees who attempted to illegally enter Switzerland. Includes name, gender, birth date, arrival date, nationality, and comment) [2]</ref>, son père figurant, au Luxembourg, sur la liste « des juifs d'origine polonaise » qui furent livrés à la Gestapo en 1941<ref>Modèle:Article.</ref>. Pour rendre hommage à sa mère qui meurt des suites du diabète en 1992, Stéphane Bern crée la fondation Mélita-Bern-Schlanger, qui lutte contre cette maladie.

Issu de parents juifs pratiquants<ref name="Le fou de la république"/>, Stéphane Bern grandit avec son frère aîné Armand, plus tard ingénieur polytechnicien<ref name="Beaucarnot">Jean-Louis Beaucarnot et Frédéric Dumoulin in Dictionnaire étonnant des célébrités (First éditions, 2015)</ref>, jusqu'à l'âge de quatre ans à Lyon entre la Saône et le Rhône<ref name="Beaucarnot" />, puis jusqu'à l'âge de dix ans à Nancy où il réside rue Braconnot et enfin à Paris où il effectue ses études au lycée Carnot<ref name="Lafitte" />, y obtenant son baccalauréat C<ref name="Beaucarnot" />. En 2018, dans l'émission Le Divan, il évoque une enfance compliquée avec sa mère, qui manquait de tendresse et était très exigeante avec elle-même et avec les autres. Avec son père, il trouvait une écoute plus attentive<ref>« Stéphane Bern se confie sur ses relations compliquées avec sa mère », Femme actuelle, 5 novembre 2018.</ref>.

Il déclare avoir développé son intérêt pour la monarchie en la découvrant au Luxembourg, chez ses grands-parents. Modèle:Citation. En promenade devant le château de Colmar-Berg, résidence du couple grand-ducal, il s'incline bien bas. Du grand-duché, son grand-père lui envoie des cartes postales représentant la famille régnante qu'il conserve encore, et à admirer la grande-duchesse Joséphine-Charlotte de Belgique, devenue grande-duchesse de Luxembourg, à travers la télévision. À 12 ans, à l'avènement du roi d'Espagne, [[Juan Carlos Ier|Juan Carlos {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], il écrit des lettres enflammées. Le 30 décembre 1983, après lui avoir écrit, il rencontre le comte de Paris, Henri d'Orléans, ce qui l'a fasciné. C'est son père qui l'accompagne ce jour-là dans la somptueuse demeure à Chantilly. Il est également présent comme témoin lorsque Stéphane Bern est investi membre honoraire dans l'ordre de l'Empire britannique par la reine du Royaume-Uni, Élisabeth II le 5 juin 2014, alors qu'elle se trouve à Paris pour les commémorations du 70e anniversaire du débarquement de Normandie. Son père interpelle la reine en lui confiant : Modèle:Citation, ce qui a fait rire de bon cœur Sa Majesté<ref>« Stéphane Bern évoque sa rencontre avec Elizabeth II : "J'étais intimidé !" », Public, 6 juin 2014.</ref>. Néanmoins, sans rester dans une admiration extatique, il prend la mesure du pouvoir de fascination qu'exercent les rois, et de leur utilité politique. De cette proximité avec ce milieu, en 1998, il tient à préciser : Modèle:Citation<ref>« Stéphane Bern, le joyeux de la couronne », Le Temps, 7 septembre 1998.</ref>,<ref>« L'intrigant Monsieur Bern », Vanity Fair, 18 juillet 2018.</ref>.

Vers l'âge de 16-Modèle:Nombre, il est hôte d'accueil au château de Versailles<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>.

En 1985, il sort diplômé de l'École supérieure de commerce de Lyon<ref name="Beaucarnot"/> et échoue à l'oral de l'Institut d'études politiques de Paris<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Activité professionnelle

Presse écrite

De 1985 à 1987, Stéphane Bern est le rédacteur en chef du magazine Dynastie ; en 1987, il collabore au magazine Voici, puis en 1988 devient journaliste à Jours de France. Il a ensuite été rédacteur en chef adjoint (rubrique « Événements ») du magazine Madame Figaro<ref name="Beaucarnot"/>. En 2020, il rejoint les colonnes de Paris Match pour y assurer des récits dans la rubrique Royal blog et devient également éditorialiste associé à la rédaction de l'hebdomadaire du groupe Lagardère.

Radio

Fichier:Le fou du roi (cropped).jpg
Stéphane Bern (sur la gauche) avec ses chroniqueurs et le chanteur Francis Cabrel (centre), lors de l'émission Le Fou du roi sur France Inter (2003).

De 1992 à 1997, Stéphane Bern assure une chronique radiophonique sur des familles royales d'Europe sur l'antenne d'Europe 1<ref>Modèle:Article.</ref>, avant de rejoindre RTL pour participer à l'émission Les Grosses Têtes de Philippe Bouvard.

En 2000, il produit et anime l'émission Le Fou du roi sur l'antenne de France Inter (Modèle:Heure - Modèle:Heure), et dont les chroniqueurs-vedette sont, entre autres, Didier Porte (jusqu'à début juillet 2010) et Daniel Morin.

Après onze années passées à la tête du Fou du roi, il rejoint à la rentrée 2011 la station RTL pour animer l'émission À la bonne heure (Modèle:Heure - Modèle:Heure), dont la plupart des chroniqueurs est issue de l'émission Le Fou du roi (Alix Girod de l'Ain, Régis Mailhot, Éric Dussart, Patrice Carmouze, Joëlle Goron, Didier Porte, etc.).

À la fin de saison 2020, RTL met fin à son émission À la bonne heure, la station avançant une audience insuffisante<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La collaboration entre l'animateur et RTL se termine, puisque cette dernière ne trouve pas de place au programme souhaité par Stéphane Bern<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le Modèle:Date-, Le Parisien annonce que l'animateur rejoint Europe 1 pour coanimer la tranche 16 heures - 18 heures avec Matthieu Noël dès la fin août 2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ce dernier décrit ainsi l'émission : Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'émission, Historiquement Vôtre, réunit trois personnalités historiques qui n'auraient jamais pu se rencontrer, mais qui ont un point commun inattendu<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Télévision

Stéphane Bern apparaît pour la première fois à la télévision, à Modèle:Nombre, le 30 novembre 1985 dans l'émission Liberté 3 sur FR3. Il est alors le rédacteur en chef du magazine Dynastie<ref>Est-ce-que Stéphane Bern est monarchiste ? sur le site liberation.fr (consulté le 11 novembre 2019)</ref>. Le 4 janvier 1989, alors âgé de Modèle:Nombre et journaliste à Jours de France, il débat avec Jean-Michel Blanquer sur La Cinq, dans l'émission Duel sur La Cinq présentée par Jean-Claude Bourret, lors du numéro Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 1994, il débute en tant que chroniqueur sur TF1. Il participe sur cette chaîne à des magazines et divertissements : tout d'abord de 1994 à 1996 dans Famille, je vous aime, une émission en deuxième partie de soirée présentée par Isabelle Quenin. De 1995 à 1996, il fait partie des chroniqueurs d'Échos de stars, un magazine présenté par Bernard Montiel, au côté d'Hermine de Clermont-Tonnerre, Isabelle Heurteaux et d'Henry-Jean Servat.

De 1996 à 1997, il participe à la version télévisée Les Grosses Têtes de Philippe Bouvard, diffusée en première partie de soirée sur TF1, qui connaît autant le succès qu'à la radio. Bern a ainsi l'occasion de mieux se faire connaître du grand public. Cependant, pour son producteur Jean-Louis Remilleux, c'est en 1997, alors qu'il intervient devant des millions de Français sur le plateau du journal télévisé de Claire Chazal pour évoquer la mort de Diana Spencer survenue le 31 août que Stéphane Bern opère une révélation médiatique. De 1997 à 2001 toujours sur TF1, il anime le magazine people Célébrités, en deuxième partie de soirée avec tout d'abord Alexandra Bronkers, puis Carole Rousseau ainsi que Benjamin Castaldi, et enfin Valérie Bénaïm. De 1998 à 2003, il anime Sagas, une émission diffusée en première partie de soirée consacrée aux VIP et aux têtes couronnées<ref name="VF"/>.

En 2003, il arrive sur Canal+ et anime jusqu'en 2005 [[20 h 10 pétantes|Modèle:Heure]] pétantes, un talk-show quotidien diffusé entre Modèle:Heure et Modèle:Heure, dans lequel sont révélés notamment les artistes Florence Foresti et Stéphane Guillon. De 2005 à 2006, l'émission n'est plus diffusée que le vendredi et le samedi, de Modèle:Heure à Modèle:Heure, sous le nom Vendredi pétantes et Samedi pétantes.

En 2006, il arrive sur le service public où, tout d'abord, il s'essaye à l'animation de débat par l'intermédiaire de l'émission L'Arène de France sur France 2. Le programme, qui peine à trouver son public et sujet à quelques polémiques, est arrêté en 2007. Stéphane Bern se lance dans d'autres émissions et est, depuis, l'un des animateurs vedettes de France Télévisions, notamment avec son émission phare Secrets d'histoire sur France 3<ref>« "Secrets d'histoire", "Apocalypse" : pourquoi les Français sont-ils passionnés par les programmes historiques ? », Mathilde Cesbron, RTL.fr, 2 juin 2015.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. À partir de janvier 2010, il présente l'après-midi du lundi au vendredi Comment ça va bien ! entouré de nombreux chroniqueurs jusqu'à ce qu'en juillet 2016 France 2 décide d'arrêter le programme<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il présente par la suite Visites privées sur la même chaîne, une émission quotidienne tournée dans les réserves du Mobilier national. Elle est arrêtée au bout d'une saison faute d'audiences suffisantes et remplacée par Affaire conclue de Sophie Davant<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la même chaine, il présente occasionnellement en première partie de soirée des émissions consacrées au patrimoine français telles que Le Village/ La Maison / Le Jardin / Le Monument / La Ferme préféré(e) des Français, ainsi que des divertissements, des soirées spéciales et des jeux. Il présente Code promo le dimanche après-midi lors de la saison 2017-2018<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Il est également consultant pour France 2 lors des retransmissions télévisées des grands événements historiques, comme la fête nationale ou les commémorations du 8-Mai ou du 11-Novembre. Il a notamment commenté le mariage du prince William et de Catherine Middleton le 29 avril 2011.

Par ailleurs, il commente la finale du Concours Eurovision de la chanson pour la France : avec Cyril Hanouna pour France 3 en 2010, et pour France 2 depuis 2015 avec plusieurs personnalités (dont Marianne James). Le Modèle:Date-, il commente le Concours Eurovision de la chanson junior avec le duo Madame Monsieur, en 2019 avec Sandy Hédibert et Angelina Nava ainsi qu'en 2020 avec Carla Lazzari.

À partir de 2018, il présente avec Lorànt Deutsch le magazine Laissez-vous guider sur Modèle:Nobr<ref>Modèle:Article.</ref>. Du Modèle:Date- au 15 juin 2019, il présente le samedi à Modèle:Heure sur France 2 le magazine Bons baisers d'Europe avec comme chroniqueurs Abdel Alaoui, Énora Malagré et Julia Molkhou<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 2020, lors du départ de Jean-Pierre Pernaut au Journal du 13 h de TF1, il fait partie de la liste des prétendants à son remplacement<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il n'est finalement pas retenu.

Acteur à la télévision

En parallèle de ses émissions, il joue également pour la télévision : dans des séries telles que Samantha Oups !. En 2007, il interprète le rôle du chambellan dans une adaptation du conte Cendrillon des Trois contes merveilleux (pièce de théâtre filmée dans laquelle jouent les animateurs de France Télévisions, produite par Olivier Minne et diffusée sur France 2). En 2015, il apparaît dans le téléfilm Merci pour tout, Charles avec notamment Charlotte de Turckheim. En 2018, pour France 3, il incarne le rôle principal d'un gendarme dans un téléfilm de la collection Meurtres à…<ref>Modèle:Article.</ref>.

Fin 2019, son nom est annoncé au casting d'un téléfilm produit par Morgane Productions et qui sera tourné en juillet 2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'animateur devrait y incarner un militaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il devrait également décrocher un rôle dans la saison 4 de L'Art du crime, un téléfilm diffusé sur France 2<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Mission au sujet du patrimoine

Modèle:Article détaillé En septembre 2017, il est chargé par le président de la République Emmanuel Macron d'une mission de six mois, pour établir une liste des monuments et des bâtiments en péril et identifier les trésors méconnus du patrimoine français. L'animateur déclare faire cette mission bénévolement<ref>William Galibert, « Stéphane Bern, nouveau "Monsieur Patrimoine" d'Emmanuel Macron » sur le site d'Europe 1, 16 septembre 2017.</ref>. Sa nomination suscite à nouveau des critiques de la part de certains historiens, concernant son inexpérience et sa vision orientée de l'Histoire<ref>Modèle:Lien web.</ref>, qui redoublent après le tacle adressé aux professionnels du patrimoine par l'animateur<ref>Modèle:Lien web.</ref>, ainsi qu'après l'énonciation d'une de ses premières propositions — faire payer l'entrée des cathédrales, idée refusée par l'Église elle-même<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 2017, Stéphane Bern affirme que la loterie nationale avait été créée par Modèle:Nobr pour financer la construction de châteaux et de bâtiments publics. Certes, le souverain avait lancé cette initiative par un édit de 1539, mais l'animateur ne mentionne pas le fait que celle-ci fut tellement mal gérée que ce fut un fiasco complet. Le prélèvement du roi était excessif, personne ne voulait jouer. Cette loterie n’a rien rapporté et le Parlement de Paris a combattu l’idée, refusant d’enregistrer les lettres patentes. Après quelques tentatives, tout fut abandonné et rien ne fut construit<ref>« François 1er a-t-il créé le loto pour financer des bâtiments ? », Géraldine Woessner, Europe 1.fr, 27 octobre 2017.</ref>. Stéphane Bern, irrité des critiques et remontrances contre ses propositions en faveur du patrimoine, se pose en Modèle:Citation et réplique à ses contradicteurs : dans un message posté le Modèle:Date- sur son compte Twitter, il explique en avoir Modèle:Citation<ref>« La colère de Stéphane Bern face aux "critiques et insultes de ceux qui ne font rien pour servir le pays" », BFM TV.com, 16 novembre 2017.</ref>. Trois mois après avoir reçu sa mission de la présidence de la République, il confie finalement avoir des doutes pour la mener à son terme, évoquant d'un côté le soutien de l'Élysée et de l'autre certains blocages de l'administration du ministère de la Culture<ref>« Stéphane Bern : le blues de "M. Patrimoine" », Valeurs actuelles.com, 4 janvier 2018.</ref>.

Le Modèle:Date-, la ministre de la Culture Françoise Nyssen présente la mission Bern « Patrimoine en péril » et la publication de la liste des projets retenus. Sur les Modèle:Unité qui ont été signalés par les Français, les experts du ministère de la Culture et les délégations de la Fondation du patrimoine ont analysé Modèle:Unité dits « prioritaires », qui pourront bénéficier dès l'année 2018, des fonds issus du Loto du patrimoine. Parmi eux, Modèle:Unité emblématiques bénéficieront d’enveloppes particulièrement significatives : un par région, soit 13 en France métropolitaine et 5 en Outre-mer. La première édition de ce Loto du patrimoine a eu lieu le Modèle:Date-, à l’occasion des Journées européennes du patrimoine<ref>Présentation de la mission Bern “Patrimoine en péril” et publication de la liste des projets retenus, Ministère de la Culture, 31 mai 2018</ref>.

Acquisition d'un monument historique

En Modèle:Date-, Stéphane Bern se porte acquéreur de l'ancien collège royal et militaire de Thiron-Gardais (Eure-et-Loir), vendu par le conseil départemental d'Eure-et-Loir, pour le restaurer, le réhabiliter et ouvrir au public un musée consacré aux collèges royaux de France. Cet édifice, bâti en 1630 par les Bénédictins de l'abbaye de la Sainte-Trinité de Tiron, devint collège royal et militaire en 1776 jusqu'à sa fermeture à la Révolution française en 1793. Stéphane Bern y ouvre un musée<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2021, il choisit de s'y installer à plein temps, quittant Paris où il résidait depuis cinquante ans<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En Modèle:Date-, il crée la fondation Stéphane Bern pour l'Histoire et le Patrimoine, abritée par l'Institut de France. La fondation récompense un premier livre en français à caractère historique, publié au maximum il y a trois ans, ainsi qu'une action en faveur du patrimoine. Après sa mort, cette fondation doit hériter du collège royal et faire vivre le monument<ref name="PM">Stéphane Bern, interviewé par Caroline Rochmann, « Stéphane Bern cultive son bonheur », Paris Match, semaine 24 au 30 août 2017, p. 54-59.</ref>.

Il possède également une maison sur l’île de Páros en Grèce<ref>« Stéphane Bern, son bonheur avec Cyril », parismatch.com, 19 août 2016.</ref>.

Autres activités

Fichier:Stéphane-Bern-commente-enquete-L214.JPG
Stéphane Bern a commenté en 2017 une enquête de L214 sur l'élevage des poules pondeuses.

En 2003, le maire de Paris Bertrand Delanoë nomme Stéphane Bern président du conservatoire de musique du [[9e arrondissement de Paris|Modèle:9e]] de Paris : le centre international Nadia et Lili Boulanger<ref>« Je veux mettre ma notoriété au service du conservatoire », Laure Pelé, Le Parisien.fr, 25 mars 2003 (consulté le 7 avril 2016).</ref>.

Membre depuis sa création en Modèle:Date- de l'Académie Grévin, dont il est devenu le président en avril 2014 succédant à Bernard Pivot, il a inauguré le Modèle:Date- son double en cire du musée Grévin, installé à côté de celui de la reine Élisabeth II du Royaume-Uni<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Il est aussi membre du cercle de l'Union interalliée, et membre des jurys du prix Oscar Wilde, du prix Hugues Capet, du prix Palatine du roman historique et du prix « Grand Siècle - Laurent-Perrier » (une marque de champagne)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Vie personnelle

Fichier:BERN Stéphane-24x30-2005.jpg
Stéphane Bern en 2005, photographié par le studio Harcourt.

En 2005, Stéphane Bern intente un procès au magazine L'Expansion auquel il reproche d'avoir évoqué son homosexualité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il fait son coming out dans le magazine Têtu en octobre 2009, puis le 6 novembre suivant dans l'émission Vie privée, vie publique présentée par Mireille Dumas.

À propos de religion, il affirme : Modèle:Citation Il dit également avoir une Modèle:Citation pour l'Église catholique : Modèle:Citation mais conclut : Modèle:Citation<ref>« Fastes food », Marie Guichoux, Libération.fr, 2 mai 2000 (consulté le 7 avril 2016).</ref>.

Il déclare également ne pas apprécier d'être ramené à ses origines et à son homosexualité : Modèle:Citation<ref name="Le fou de la république"/>.

En août 2017, il pose dans Paris Match avec son compagnon, Lionel, qui travaille dans les nouvelles technologies. Il a auparavant vécu en couple pendant plus d'une décennie avec Cyril Vergniol, un architecte d'intérieur, qui est resté un ami<ref name="PM"/>.

Stéphane Bern possède aussi la nationalité luxembourgeoise depuis 2017<ref>Modèle:Article.</ref>.

Le Modèle:Date-, à l'occasion de la Gay Pride, il officialise sa relation avec Yori Bailleres, fondateur du club de rencontres Le Cercle de Socrate<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En décembre 2021, Stéphane Bern, installé à Paris depuis une quarantaine d'années, quitte son appartement situé dans le quartier de Pigalle pour s'installer en Eure-et-Loir, où il a racheté en 2013 un ancien collège royal et militaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date-, il met en vente aux enchères une grande partie de ses meubles et objets de collection afin de restaurer sa nouvelle propriété<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le Modèle:Date-, il annonce la mort de son frère Armand, à l'âge de 59 ans<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Engagements, prises de position et polémiques

Convictions royalistes

Depuis toujours de conviction royaliste, Stéphane Bern entre à Modèle:Nombre à la Nouvelle Action royaliste, mais en est exclu en 1999<ref>« Stéphane Bern sur la route de RTL », Daniel Psenny, Le Monde.fr, 4 juin 2011 (consulté le 7 avril 2016).</ref>,<ref>Émission Happy Hour du 14 août 2010 sur Canal+.</ref> pour avoir rendu compte dans Le Figaro de la dilapidation de l'héritage du comte de Paris<ref>« Comment Stéphane Bern son monde », Béatrice Guelpa, L'Hebdo.ch, 14 septembre 2000 (consulté le 7 avril 2016, archive).</ref>. Au fil de ces années, il tisse cependant un réseau parmi les familles royales européennes<ref name="VF">Sophie des Déserts, « L'intransigeant monsieur Bern », Vanity Fair Modèle:N°, août 2018, Modèle:P..</ref>.

Il est par ailleurs membre du conseil d'administration de la Fondation Saint-Louis, qui met à la disposition de l'État des biens ayant appartenu autrefois à la famille d'Orléans. Il fut aussi présent au mariage de Jean d'Orléans, duc de Vendôme (considéré par ses partisans comme le dauphin de France), avec Philomena de Tornos y Steinhart à Senlis.

Dans un entretien au journal Libération en 2016, il reconnaît au sujet de son émission phare Secrets d'histoire que les audiences contribuent à motiver des choix éditoriaux favorisant les sujets royaux, mais il estime que ces derniers doivent servir d'embrayeurs d'intérêt pour l'Histoire dans sa diversité, parlant de « devoir citoyen » : Modèle:Citation bloc

Action politique comme élu ou soutien

De 1999 à 2001, Stéphane Bern est conseiller municipal du [[9e arrondissement de Paris|Modèle:9e]] de Paris (à la suite de la démission d'un conseiller RPR ; le maire de cet arrondissement est Gabriel Kaspereit, un ami de son père)<ref>« Carnet », Josette Lécrivain, Le Point.fr, 23 janvier 2007 (consulté le 7 avril 2016).</ref>. Il termine son mandat déçu par cette équipe et, en conséquence, décide de soutenir Jacques Bravo, la tête de liste socialiste de cet arrondissement<ref>« Pourquoi Stéphane Bern votera socialiste », Laure Pelé, Le Parisien.fr, 26 janvier 2001 (consulté le 7 avril 2016).</ref>.

Lors de la campagne pour l'élection présidentielle de 2017, il est annoncé parmi les personnalités attendues à un meeting de soutien au candidat En marche ! Emmanuel Macron, le 17 avril à Bercy<ref>Antoine Llorca, « Stéphane Bern, Yohan Cabaye, Vincent Lindon… des dizaines de personnalités au meeting de Macron à Bercy », lci.fr, 17 avril 2017.</ref>. Sur le plateau de C à vous le Modèle:Date, soulignant qu'il Modèle:Citation, Stéphane Bern indique qu'Emmanuel Macron est un ami mais qu'il ne s'est jamais rendu à un de ses meetings<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il a toutefois été membre de la « cellule culture » du candidat pendant sa campagne<ref>Claire Bommelaer, « Stéphane Bern dans le secret des lieux », Le Figaro, encart Le Figaro et vous, samedi 13 / dimanche 14 janvier 2018, p. 27.</ref>. Il est présent à la brasserie La Rotonde, où le candidat fête sa qualification pour le second tour<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Lors de la campagne pour les élections régionales de 2021 en Île-de-France, Stéphane Bern s'est rendu sur invitation du candidat écologiste Julien Bayou auprès des opposants au projet d'aménagement de la partie centrale de l'île Seguin à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Le projet prévoit la construction d'un jardin de Modèle:Unité carrés, avec Modèle:Unité carrés de bureaux, dont une tour de Modèle:Unité et Modèle:Unité carrés de commerces. Il se positionne pour « la préservation d'un chapelet d'îles sur la Seine [à] absolument protéger ». Il estime aussi qu' « il y a eu beaucoup de projets au fil du temps sur cette île qui n'ont pas abouti, comme celui de Pinault, [et qu'on] va se retrouver avec des bureaux alors que le télétravail est plus que jamais mis en avant, c'est un manque de vision sur l'avenir »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Position sur le mariage des couples de même sexe

En 2013, Stéphane Bern signe le manifeste intitulé Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>, déclarant que cette position n'est pas liée au fait qu'il soit gay (d'ailleurs, il n'envisage pas de se marier), revendiquant plutôt Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Il dénonce également le double langage de Jean-François Copé, alors président de l'UMP, qui participe aux manifestations françaises contre le mariage homosexuel en 2013 tout en s'y étant déclaré, selon lui, favorable à titre privé<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Émission culinaire sur YouTube

Le Modèle:Date-, Stéphane Bern est l'invité principal de la première de l'émission Les Recettes pompettes (adaptation de l'émission québécoise homonyme), diffusé sur YouTube et présentée par Monsieur Poulpe. L'émission déclenche une polémique, du fait de son concept (« Ici, on fait à manger et on boit de l’alcool »)<ref>« Stéphane Bern réagit à la polémique sur les "Recettes pompettes" », 20 Minutes, 7 avril 2016.</ref>.

Avis sur la Révolution française

L'historien Guillaume Mazeau, spécialiste de la Révolution française, souligne que les intervenants de l'émission Laissez-vous guider du Modèle:Date- consacrée à la Révolution française, Stéphane Bern et Lorànt Deutsch, sont connus pour leurs positions royalistes<ref name="expressrevolution">[3], L'Express.</ref>,<ref>Laissez-vous guider : Lorànt Deutsch répond aux critiques contre lui et Stéphane Bern</ref>. D'autres historiens dont Sophie Wahnich, spécialiste de ce thème et directrice de recherche au CNRS, relèvent des biais idéologiques dans le programme<ref name="expressrevolution" />,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Stéphane Bern et Lorant Deutsch racontent la Révolution française : un divertissement plutôt qu’un documentaire</ref>. Simultanément, Alexis Corbière, député de La France insoumise, regrette dans le magazine Marianne que le point de vue républicain n'ait pas une place plus grande<ref>Alexis Corbière : "Avec Stéphane Bern et Lorànt Deutsch, le peuple est présenté comme menaçant"</ref>.

Vision sur l'ordonnance de Villers-Cotterêts

Le Modèle:Date-, Stéphane Bern, aux côtés du président de la République Emmanuel Macron, présente une version contestée par les historiens de l'ordonnance de Villers-Cotterêts, qui impose simplement en 1539 le français dans les documents officiels à la place du latin, et non pas le français comme langue unique du royaume de France<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il faut en effet attendre la Révolution française et Henri Grégoire, dans le rapport Grégoire du Modèle:Date-, sous la Convention nationale, pour que l'initiative de la généralisation de la langue française soit prise<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Utilisation de pseudonymes sur Internet

Le Modèle:Date-, il se prononce contre l'utilisation de pseudonymes sur les réseaux sociaux (une pratique souvent assimilée à une forme d'anonymat). Interrogé sur la réussite médiatique de la décennie, il déclare : Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Cancel culture

Interrogé au sujet du déboulonnage des statues de certains personnages historiques en 2020, il se déclare opposé à ce type de pratique<ref>Modèle:Lien web.</ref> et de manière plus générale à la cancel culture<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Dans la même lignée, il se déclare inquiet face à la difficulté d'organiser certaines commémorations en France comme le bicentenaire de la mort de Napoléon Ier : Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Éoliennes

Stéphane Bern a pris position contre l'installation d'éoliennes. Confirmant cette prise de position, il écrit une tribune le Modèle:Date- dans Le Figaro<ref>Modèle:Lien web.</ref>, accusant la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili : Modèle:Citation. Il ajoute que Modèle:Citation. Cette prise de position est remarquée pour l'approximation de certaines de ses affirmations<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Poules pondeuses élevées en cage

En 2017, dans une vidéo de l'association L214, Stéphane Bern présente les images tournées dans un élevage de Modèle:Unité pondeuses. Il soutient ainsi l'interdiction totale de l'élevage en cage<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Résumé de son activité professionnelle

Publications

Livres

Fichier:Stéphane Bern - Foire du Livre de Bruxelles 2011 - 01.JPG
Stéphane Bern à la Foire du livre de Bruxelles en 2011.
  • L'Europe des rois (avec une préface de Otto de Habsbourg-Lorraine), éd. Lieu commun, Paris, 1988, Modèle:Nobr de planches illustrées, Modèle:ISBN, Modèle:BNF
  • Les Couronnes de l'exil, éd. Balland, Paris, 1990, Modèle:Nobr de planches illustrées, Modèle:ISBN, Modèle:BNF
  • La Monarchie dans tous ses états, éd. Balland, coll. « Document », Paris, 1992, Modèle:Nobr, Modèle:ISBN, Modèle:BNF
  • Moi Amélie, dernière reine de Portugal, roman, éd. Denoël, Paris, 1997, Modèle:Nobr, Modèle:ISBN, Modèle:BNF
  • Diana, princesse des cœurs, éditions Michel Lafon, Paris, 1997<ref name="BNF_non">Ouvrage non référencé ou pas encore référencé dans le catalogue général de la Bibliothèque nationale de France.</ref>
  • « God Save the Queen » ! Cinquante ans de tempête chez les Windsor, éd. Michel Lafon, Paris, 1998, Modèle:Nobr, Modèle:ISBN, Modèle:BNF
  • Lady Di, éditions Flammarion, Paris, 1998<ref name="BNF_non" />
  • Rainier de Monaco et les Grimaldi, éd. L'Archipel, Paris, 1999, Modèle:Nobr, Modèle:ISBN, Modèle:BNF
  • Mon royaume à moi, éd. Albin Michel, Paris, 2000, Modèle:Nobr, Modèle:ISBN, Modèle:BNF
  • avec Éric Jansen, Sagas, TF1 éd., Paris, 2000, Modèle:Nobr de planches illustrées, Modèle:ISBN, Modèle:BNF
  • Diane de France, la princesse rebelle, éd. Flammarion, Paris, 2003, Modèle:Nobr de planches illustrées, Modèle:ISBN, Modèle:BNF
  • Un si joli monde, roman, éd. Flammarion, Paris, 2006, Modèle:Nobr, Modèle:ISBN, Modèle:BNF
  • Plus belle sera la vie, roman, éd. Plon, Paris, 2007, Modèle:Nobr, Modèle:ISBN, Modèle:BNF
  • Grace Kelly, coédition Albin Michel – Nostalgie, Paris, coll. « Nostalgie », 2007, Modèle:Nobr, Modèle:ISBN, Modèle:BNF
  • Oubliez-moi, éd. Flammarion, Paris, 2009, Modèle:ISBN<ref name="BNF_non" />
  • Une vie de chien. Les animaux chéris des grands de ce monde, éd. Albin Michel, Paris, 2009, Modèle:ISBN<ref name="BNF_non" />
  • Au cœur de l'Écosse, éd. Flammarion, Paris, 2009 (en collaboration avec Franck Ferrand, Guillaume de Laubier, et Angelika Cawdor)Modèle:ISBN<ref name="BNF_non" />
  • Le Livre fou… du roi, éd. Flammarion, Paris, 2010, Modèle:ISBN<ref name="BNF_non" />
  • Secrets d'histoire, éd. Albin Michel, Paris, 2010
  • Secrets d'histoire, tome 2, éd. Albin Michel, Paris, 2011
  • Le Destin d'une reine pour le jubilé de diamant d'Elizabeth II, éd. Albin Michel, Paris, 2012
  • Secrets d'histoire, tome 3, éd. Albin Michel, Paris, 2012
  • Portrait de Cour, avec Franck Ferrand, éd. Chêne, Paris, 2012
  • Guillaume & Stéphanie, Album-souvenir du mariage princier, éd. Saint Paul, Paris, 2012
  • Les Mystères de l'histoire, albums pour enfants (Louis XIV, Napoléon, la Révolution Française, Molière), éd. Albin Michel, Paris, 2013
  • Le Bel Esprit de l'histoire, éd. Albin Michel, Paris, 2013
  • Secrets d'histoire, tome 4, éd. Albin Michel, Paris, 2013
  • Châteaux royaux de France, éd. Albin Michel, Paris, 2013
  • Les Pourquoi de l'Histoire, éd. Albin Michel, Paris, 2014
  • Secrets d'histoire, tome 5, éd. Albin Michel, Paris, 2014
  • Jean de Luxembourg, éd. Saint-Paul, 2014
  • Le château de Chantilly, les trésors d'une collection d'art royale, cosigné avec Edwart Vignot, éd. Place des Victoires, 2014
  • Les Pourquoi de l'Histoire 2, éd. Albin Michel, Paris 2015
  • Secrets d'histoire, tome 6, éd. Albin Michel, Paris, 2015
  • Secrets d'histoire - illustrés, éd. Albin Michel, Paris, 2015
  • Le Village préféré des Français, éd. Albin Michel, Paris, 2015
  • Les Pourquoi de l'Histoire 3, éd. Albin Michel, Paris 2016
  • Secrets d'histoire, tome 7, éd. Albin Michel, Paris, 2016
  • Mon Luxembourg, un pays à découvrir, Flammarion (photos : Guillaume de Laubier), 2016
  • Piques & Répliques de l'histoire, éd. Albin Michel, Paris, 2017
  • Vallée royale de l'Eure, de Chartres à Rouen, avec Alexis Robin, éd. Sagamédias, 2017
  • Secrets d'histoire, tome 8, éd. Albin Michel, Paris, 2017
  • Les Pourquoi de l'histoire 4, éd. Albin Michel, Paris, 2018
  • Pourquoi sont-ils entrés dans l'histoire ?, éd. Albin Michel, Paris, 2019
  • Sauvons notre patrimoine, éd. Place des éditeurs, Paris, 2019
  • Secrets d'histoire, tome 9, éd. Albin Michel, Paris, 2019
  • Les Records de l'histoire, éd. Albin Michel, Paris, 2020
  • Laissez-vous guider : Le Paris du moyen âge, avec Lorànt Deutsch, éd. Michel Lafon, Paris, 2020
  • La Vie retrouvée d'un collège royal : Bienvenue chez Stéphane Bern, éd. Albin Michel, 2022
  • Les secrets de... l'Élysée, éd. Plon, 2022.

Préfaces

  • Alexis Grüss et Joëlle Chabert, Rêver les yeux ouverts (avec une préface de Stéphane Bern), éd. Desclée de Brouwer, Paris, 2002, Modèle:Nobr, Modèle:ISBN, Modèle:BNF.
  • Philippe Delorme, La Reine mère. Légendes et vérités, Balland, 2002, réédition numérique Kindle, Les 3 Orangers, 2014.
  • Stelios Anastasiadis, Cuisine d'un voyageur grec (traducteur non connu, avec une préface de Stéphane Bern), éd. Acanthe, coll. « Cuisine d'ici et d'ailleurs », Châtenay-Malabry, 2003, Modèle:Nobr, Modèle:ISBN, Modèle:BNF.
  • Guillaume Lepron et Alexis Robin, Maintenon en guerre, de l'Amirauté à la Libération, éd. Beaufort, Paris, 2018.

Théâtre

Filmographie

Cinéma

Modèle:Colonnes

Télévision

Séries télévisées
Téléfilms

Doublage

Modèle:Colonnes

Depuis 2015, aux côtés de Ève Ruggieri et Robert Hossein, il prête sa voix à la narration du vaste spectacle Le Fabuleux Noël du château de Maintenon, qui retrace l'ascension de Madame de Maintenon, l'épouse secrète de Louis XIV<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Vidéos

En 2019, il visite en exploration nocturne le château de Maintenon avec les vidéastes Florian Henn, Julien Aubrée et François Calvier de la chaîne Mamytwink, passionnés d'histoire et férus d'exploration de lieux abandonnés et historiques. La vidéo sera publiée sur YouTube sous le nom : Exploration nocturne d’un château avec Stéphane Bern<ref>Modèle:YouTube.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Stéphane Bern apparaît dans une vidéo du Youtubeur Cyprien postée le 18 juillet 2023, intitulée Le mashup des jeux vidéos. Il y incarne un personnage du jeu vidéo Assassin's Creed, tout en reprenant certains codes de son émission Secrets d'Histoire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Animation

Radio

Émissions de télévision

Modèle:Colonnes

Distinctions

Décorations

Décorations françaises

Décorations étrangères

Récompenses

  • 2011 : prix Roland-Dorgelès, catégorie « Télévision »<ref>Prix Roland Dorgelès 2011, culturecommunication.gouv.fr 7 février 2012.</ref> ;
  • 2018 : médaille du Mérite européen<ref>[4]</ref> ;
  • 2018 : prix Europa Nostra du Patrimoine européen, remis à Berlin<ref>[5]</ref>.

Distinctions honorifiques

Notes et références

Modèle:Références

Liens externes

Modèle:Autres projets Modèle:Liens

Modèle:Portail